Bella Hadid confie qu'elle «regrette» de s’être fait refaire le nez lorsqu’elle était adolescente

Bella Hadid est en couverture du numéro d'avril 2022 de Vogue. (Photo, AFP)
Bella Hadid est en couverture du numéro d'avril 2022 de Vogue. (Photo, AFP)
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Publié le Mercredi 16 mars 2022

Bella Hadid confie qu'elle «regrette» de s’être fait refaire le nez lorsqu’elle était adolescente

  • La mannequin a révélé qu'elle avait subi une intervention esthétique pour son nez à l'âge de 14 ans et que c'est une décision qu'elle regrette
  • Dans l'interview, la mannequin, qui a grandi en Californie, a évoqué sa vulnérabilité et le fait d'être comparée à sa sœur aînée Gigi, qui était considérée comme la sœur «cool»

DUBAÏ: La carrière de la mannequin palestino-néerlandaise Bella Hadid est en proie à des rumeurs concernant la chirurgie plastique depuis qu'elle a fait ses débuts en tant que mannequin en 2016, accusations qu'elle a démenties avec véhémence. «Les gens pensent que j'ai subi telle ou telle opération ou que j'ai fait ceci ou cela. Et voyez-vous? On peut faire un scan de mon visage. J'ai peur de mettre des fillers (produits de comblement) dans mes lèvres. Je ne voudrais pas gâcher mon visage», avait-elle précédemment affirmé dans une interview en 2018 avec InStyle.

Sa mère, la star de Real Housewives of Beverly Hills, Yolanda Hadid, a défendu sa fille contre les rumeurs de chirurgie plastique. «Aucun de mes enfants n'a jamais fait d’injection de fillers ou de botox ou mis quoi que ce soit d'étranger dans son corps», a-t-elle un jour écrit sur Instagram. «Ils sont mieux renseignés après avoir vu ce que j'ai vécu.»

En fait, dans une récente interview à Vogue Magazine, la mannequin, qui est en partie d’origine palestinienne, a révélé qu'elle avait subi une intervention esthétique pour son nez à l'âge de 14 ans et que c'est une décision qu'elle regrette.

La jeune femme, âgée de 25 ans, fille du magnat palestinien de l'immobilier Mohamed Hadid, a révélé dans son article de couverture dans Vogue: «J'aurais aimé garder le nez de mes ancêtres. Je pense qu’il m’aurait plu.»

Mais elle a ensuite mis un terme aux allégations selon lesquelles elle aurait opté pour d'autres procédures esthétiques telles qu’un lifting des yeux ou un filling des lèvres.

«Les gens pensent que j'ai complètement refait mon visage à cause d'une photo de moi adolescente dans laquelle je semble gonflée. Il est clair que l’on n’a plus la même apparence que l’on avait à l’âge de treize ans, n'est-ce pas?» a-t-elle affirmé. «Je n'ai jamais utilisé de filler. Mettons un terme à cette rumeur. Je n'ai aucun problème avec cela, mais ce n'est pas pour moi. Quiconque pense que j'ai fait un lifting des yeux ou peu importe comment cela s'appelle – c'est du ruban adhésif! Un des plus vieux trucs au monde», a-t-elle ajouté.

Dans l'interview, la mannequin, qui a grandi en Californie, a évoqué sa vulnérabilité et le fait d'être comparée à sa sœur aînée Gigi, qui était considérée comme la sœur «cool».

«J'étais la sœur la plus laide. J'étais la brune. Je n'étais pas aussi cool que Gigi, pas aussi extravertie», se souvient-elle. «C'est vraiment ce que les gens disaient de moi. Et malheureusement, quand on vous dit des choses tellement de fois, vous finissez tout simplement par y croire», a-t-elle ajouté.

Aujourd'hui, Bella Hadid est considérée comme l'une des femmes les plus séduisantes et a même été qualifiée de «plus belle femme au monde» selon une étude du célèbre chirurgien esthétique Julian De Silva, qui a répertorié sa liste des dix plus belles femmes en utilisant ce que l’on désigne sous le nom de Golden Ratio theory (la théorie du nombre d'or).

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Chantal Goya fête son jubilé: "Le public c'est ma famille"

La chanteuse française Chantal Goya pose lors d'une séance photo à Paris le 23 mai 2025. (AFP)
La chanteuse française Chantal Goya pose lors d'une séance photo à Paris le 23 mai 2025. (AFP)
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  • Chantal Goya, éternelle Marie-Rose et cousine de Bécassine, fête à 82 ans ses cinquante ans de "music-hall pour enfants" avec une grande tournée des Zénith, jusqu'en mars

PARIS: Marchande de rêves des petits devenus grands sur trois générations, Chantal Goya, éternelle Marie-Rose et cousine de Bécassine, fête à 82 ans ses cinquante ans de "music-hall pour enfants" avec une grande tournée des Zénith, jusqu'en mars.

La chanteuse se produira dimanche deux fois à guichets fermés, devant 7.000 fans au total, au Palais des Congrès de Paris, sa scène fétiche où elle a donné plus de 450 concerts.

QUESTION: Vous chantez depuis 1975 pour trois générations d'enfants. Quel regard portez-vous sur votre parcours ?

REPONSE: Tout est allé très vite et je n'arrive pas à réaliser. J'ai eu beaucoup de chance. Avec Jean-Jacques (Debout, son époux, NDLR), on a créé le music-hall pour enfants. Il a eu l'imaginaire que je n'ai pas. Sans lui, le personnage de Marie-Rose n'aurait jamais existé. Si je n'avais pas rencontré Jean-Jacques, je n'aurais jamais fait ce métier.

Q: Comment êtes-vous devenue chanteuse ?

R: Le 10 mai 1975, Jean-Jacques Debout m'a demandé au pied levé de remplacer Brigitte Bardot, malade, qui devait participer à une émission de Maritie et Gilbert Carpentier. Il m'a écrit la chanson "Adieu les jolis foulards". Après l'émission, personne n'en voulait pour en faire un disque et finalement, ça s'est fait. On en a vendu un million! Brigitte Bardot m'a toujours porté chance. Elle m'a donné beaucoup de conseils. Un jour, (la chanteuse) Barbara m'a dit: "Des gens vont se moquer de toi, mais il va falloir que tu t'accroches. Tu vois, tous les petits qui sont là, ils seront un jour papa et maman, ils reviendront avec leurs enfants et tu deviendras une institution". Je ne suis pas à la mode dans les médias, mais la plus belle radio, c'est radio papa-maman.

Q: Vous ne regrettez pas de ne pas avoir fait carrière au cinéma ?

R: À l'époque, je voulais être reporter de guerre et pas du tout artiste! Jean-Luc Godard me voulait pour "Masculin Féminin". Ça ne s'est pas très bien passé car je lui ai dit que je n'embrasse personne et que je ne joue pas nue. J'ai quand même fait le film jusqu'au bout, à mes conditions. Il m'a dit : "Vous ne serez jamais une vedette!". Je lui ai répondu: "Je m'en fous. J'ai une Vedette à la maison, ma machine à laver!"

Q: Vous êtes souvent décriée voire moquée. Comment le vivez-vous ?

R: Je m'en fous complètement! Je suis une toile cirée sur qui tout glisse! C'est ma force. J'ai un très fort caractère, comme l'avait ma mère. Donc je me défendrai toute ma vie!

Q: Connaissez-vous le trac ?

R: Pas du tout, au contraire. Chaque spectacle est une fête et je suis très contente. Vous savez, le public, c'est ma famille. Quand je vais voir quelqu'un de ma famille, je suis la plus heureuse. Pour cette tournée anniversaire, je suis émue. Mais je m'interdis de pleurer, sinon tout le monde va pleurer.

Q: À quoi va ressembler votre jubilé sur scène à Paris et en tournée ?

R: Je serai accompagnée de douze danseuses et dix enfants. Ce sera un mélange de mes grands spectacles, "Le soulier qui vole", "La planète merveilleuse", "Le mystérieux voyage" et "L'étrange histoire du château hanté". Jean-Jacques m'a écrit deux nouvelles chansons, "50 ans d'amour" et "Ainsi", qui racontent ma vie en trois minutes.

Q: Qu'allez-vous dire à votre public ?

R: Je ne saurai comment le remercier de m'avoir un jour choisi pour donner du rêve, en le transmettant à leurs enfants et petits-enfants. Le spectacle est aussi dans la salle: les enfants viennent déguisés en lapin, en chat botté ou en Bécassine et je les invite sur scène. C'est merveilleux!

Q : Vous fêterez vos 83 ans le 10 juin. Pensez-vous à la retraite ?

R : Je ne connais que la retraite aux flambeaux! Je n'ai pas fini! J'ai tellement d'idées dans la tête. Depuis toujours, j'ai la niaque et j'ai la chance d'être en bonne santé. Mes danseuses de 25 ans me demandent comment je fais car j'ai l'âge de leur grand-mère. Je ne veux pas mourir sur scène pour ne pas faire pleurer les petits enfants".


Abou Dhabi accueillera la première de «F1 The Movie» avec Brad Pitt en juin prochain

La production d'Apple Original Films suit un ancien pilote fictif, Sonny Hayes (Pitt), qui revient en Formule 1 des décennies après un accident qui a mis fin à sa carrière. Il s'associe à une écurie de course en difficulté et à une recrue de premier plan jouée par Damson Idris. (Photo fournie)
La production d'Apple Original Films suit un ancien pilote fictif, Sonny Hayes (Pitt), qui revient en Formule 1 des décennies après un accident qui a mis fin à sa carrière. Il s'associe à une écurie de course en difficulté et à une recrue de premier plan jouée par Damson Idris. (Photo fournie)
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  • «F1 The Movie» a été en partie tourné au Grand Prix d'Abou Dhabi l'année dernière
  • La production d'Apple Original Films suit un ancien pilote fictif, Sonny Hayes (Pitt), qui revient en Formule 1 des décennies après un accident qui a mis fin à sa carrière

ABOU DHABI: Le film de Brad Pitt sur la Formule 1 sera présenté en première régionale à Abou Dhabi le 25 juin, avant sa sortie officielle au Moyen-Orient le 26 juin.

Réalisé par Joseph Kosinski et produit par Jerry Bruckheimer et le septuple champion de F1 Lewis Hamilton, «F1 The Movie» a été en partie tourné au Grand Prix d'Abou Dhabi l'année dernière.

La production d'Apple Original Films suit un ancien pilote fictif, Sonny Hayes (Pitt), qui revient en Formule 1 des décennies après un accident qui a mis fin à sa carrière, et qui s'associe à une équipe de course en difficulté et à une recrue de premier plan jouée par Damson Idris.

Les acteurs et l'équipe reviendront à Abou Dhabi pour la première du tapis rouge après 29 jours de tournage dans l'émirat, notamment sur le circuit de Yas Marina et à l'aéroport international de Zayed. La production a mobilisé 284 membres de l'équipe locale et 15 stagiaires, avec le soutien du partenaire local Epic Films et du système de rabais de la Commission du film d'Abou Dhabi.

Mohamed Dobay, de l'Autorité des médias créatifs, a qualifié ce retour de «moment de clôture approprié» pour un projet qui a eu un impact significatif sur l'économie créative d'Abou Dhabi. Le film est l'une des 180 productions majeures soutenues par la Commission du film d'Abou Dhabi depuis 2013.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Live-action « Lilo & Stitch » : « amour et authenticité » au cœur de la réalisation, selon le producteur

Le classique animé de Disney "Lilo & Stitch", qui raconte l'histoire d'une fillette hawaïenne orpheline de six ans et de son animal de compagnie extraterrestre perturbateur, est prêt à captiver une fois de plus le public. (Fourni)
Le classique animé de Disney "Lilo & Stitch", qui raconte l'histoire d'une fillette hawaïenne orpheline de six ans et de son animal de compagnie extraterrestre perturbateur, est prêt à captiver une fois de plus le public. (Fourni)
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  • Le classique animé de Disney « Lilo & Stitch » est prêt à captiver une fois de plus le public grâce à une adaptation en prises de vue réelles qui sort cette semaine
  • Le réalisateur Dean Fleischer Camp et le producteur Jonathan Eirich partagent un amour profond pour le film original, sorti en 2002

DUBAI : Le classique animé de Disney « Lilo & Stitch » - qui raconte l'histoire d'une petite Hawaïenne orpheline de six ans et de son animal de compagnie extraterrestre perturbateur - est prêt à captiver une fois de plus le public grâce à une adaptation en prises de vue réelles qui sort cette semaine.

Le réalisateur Dean Fleischer Camp et le producteur Jonathan Eirich partagent un amour profond pour le film original, sorti en 2002.

« Cela a toujours été mon film d'animation Disney préféré. Je l'ai vu à sa sortie et j'en suis immédiatement tombé amoureux, comme tant d'autres », a confié Fleischer Camp à Arab News.

« Il s'agit vraiment de trouver des conteurs qui sont des fans de l'original, qui peuvent l'honorer de sorte que chaque choix en cours de route soit fait avec amour et authenticité », a expliqué Eirich en qualifiant la signature avec Fleischer Camp de "kismet". « Si vous faites cela correctement, et que vous faites ce que vous aimez, alors j'espère que le public ressentira la même chose », a-t-il ajouté.

Eirich a noté la nostalgie croissante qui entoure Stitch, en observant comment le personnage apparaît de plus en plus dans la culture populaire.  

« Nous avons commencé à voir des sacs à dos et des produits dérivés partout. Nous avons senti que c'était le bon moment pour revisiter cette histoire, mais nous savions que nous devions faire les choses correctement. Nous nous sommes demandé quels éléments les fans seraient contrariés de perdre ». Cette philosophie a guidé le processus de création, garantissant que le film serait à la fois familier et nouveau.  

Certains moments emblématiques de la version animée n'étaient pas négociables. La scène du hamac avec Nani, la grande sœur de Lilo, qui chante, et la scène finale sur la plage étaient particulièrement importantes.

« La scène où Nani chante "Aloha Hawaii" était un véritable déchirement dans la version originale, et c'est un moment magnifique. Mais il semble aussi qu'avec une adaptation en prises de vues réelles, il est possible de l'approfondir et d'en faire quelque chose de nouveau, tout en capturant le bel esprit de cette scène », a déclaré Fleischer Camp.

Pour Eirich, la célèbre citation de Stitch sur le fait de trouver sa propre "famille" a été clairement retenue.  

« Brisé mais toujours bon » devait absolument figurer dans le film, a-t-il lancé. « C'est le cœur de l'histoire. »

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com