Vitesse grand V pour l'appli d’autopartage d'un entrepreneur saoudien

1.	Fondée par Mohammed Khashoggi, Ejaro vise à dynamiser le marché de la location de véhicules dans le Royaume et à révolutionner l'industrie dans la région. (Photo d'archives AFP).)
1. Fondée par Mohammed Khashoggi, Ejaro vise à dynamiser le marché de la location de véhicules dans le Royaume et à révolutionner l'industrie dans la région. (Photo d'archives AFP).)
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Publié le Mercredi 14 octobre 2020

Vitesse grand V pour l'appli d’autopartage d'un entrepreneur saoudien

  • Jusqu'à présent, Ejaro s'est avéré populaire parmi les Saoudiens, avec 2 500 utilisateurs enregistrés dans le Royaume
  • Une fois que les utilisateurs téléchargent l'application et s'inscrivent, ils doivent simplement effectuer une recherche et réserver le véhicule de leur choix

DUBAÏ: Les jeunes entrepreneurs saoudiens n'ont pas permis à la pandémie de coronavirus de les ralentir, à en juger par les innombrables idées innovantes qui continuent à déferler. Parmi elles on retrouve Ejaro, la première communauté d’autopartage dans le monde arabe.

Fondée par Mohammed Khashoggi, Ejaro compte dynamiser le marché saoudien de la location de véhicules et révolutionner l'industrie dans la région. «Notre concept est semblable à celui d’AirBnb, sauf que ce sont des voitures que nous partageons. C'est un excellent moyen pour une personne de générer une source de revenus supplémentaire», explique Khashoggi, 31 ans, à Arab News.

Lui-même, propriétaire d’un véhicule, se voit obligé de louer régulièrement des voitures durant ses voyages d’affaires en Europe. L’entrepreneur originaire de Djeddah s’est inspiré d’une entreprise similaire au Royaume-Uni.

EN CHIFFRES Investissement entrepreneurial

* L'investissement de 67 millions de dollars en Arabie saoudite a commencé en 2019.

 

* 10 start-up saoudiennes dans la liste des 100 « plus prometteuses » du WEF.

 

* 42 % de la part du secteur pétrolier dans le PIB du Royaume.

«J'ai trouvé l’idée incroyable. J'ai fait des recherches pour trouver des entreprises similaires au Moyen-Orient et en Afrique du Nord (Mena). Il y en avait quelques-unes qui étaient censées se lancer dans le Conseil de coopération du Golfe (CCG) mais elles n’avaient pas eu de succès», a-t-il déclaré. «L’octroi de licences est l’élément le plus important, et nous sommes les premiers à être agréés par l’Autorité générale des transports du Royaume.»

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Mohammed Khashoggi, originaire de Djeddah, s’est inspiré d’une entreprise similaire au Royaume-Uni. (Photo Fournie)

Ayant grandi en Arabie saoudite, Khashoggi a déménagé au Royaume-Uni pour obtenir un baccalauréat en architecture. Trois ans plus tard, il rejoint le monde des affaires.

«J'étais dans le domaine de l'immobilier avec l'entreprise familiale. J’y suis resté pendant cinq bonnes années», dit-il. «Mon partenaire de l’université et moi avons lancé une société appelée Continental Group au Royaume-Uni, et, à partir de là, nous avons fondé une société immobilière, qui a traité plus de 400 millions de SR (100 millions de dollars) tout en comblant le fossé entre les investisseurs saoudiens et le marché immobilier britannique.

Au cours d'un week-end de Formule 1 à bord d'un yacht de luxe à Monaco, Khashoggi a eu l'idée d'une autre entreprise, la C's 500 Business Club, qui vendrait des «forfaits» aux membres invités pour rejoindre une plate-forme de yachts réservée pour le célèbre week-end de course à Abu Dhabi.

Ses efforts le rapprochent de personnalités influentes. «Cela nous a donné une excellente plate-forme pour développer le réseautage au bénéfice de notre entreprise», affirme Khashoggi.

«À partir de là, nous sommes entrés dans le monde de la technologie. J’ai lancé ma première entreprise conjointement avec une firme allemande, qui faisait du trading social. C’est là que j’ai réellement intégré le monde des activités technologiques.»

Après treize ans au Royaume-Uni, Khashoggi retourne en Arabie saoudite en avril 2019. Peu de temps après, Ejaro figure comme produit phare au «Riyad Season», recevant des approbations spéciales de Turki al-Cheikh, conseiller saoudien à la Cour royale et président de l'Autorité générale du divertissement.

«Nous n’avons pratiquement fait aucun marketing car «Riyad Season» nous a donné un excellent positionnement de marque», a déclaré Khashoggi. «Le bouche à oreille a également aidé, et la demande du marché est là.»

Une fois que les utilisateurs téléchargent l'application et s'inscrivent, ils doivent simplement effectuer une recherche et réserver le véhicule de leur choix. Le propriétaire accepte donc ou refuse, permettant une communication directe entre les deux parties pour coordonner la collecte ou la livraison du véhicule.

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Ejaro figure comme produit phare au «Riyad Season», recevant des approbations spéciales de Turki al-Cheikh, conseiller saoudien à la Cour royale et président de l'Autorité générale du divertissement. (Photo d'archives AFP).

Un processus d'enregistrement de cinq minutes, suivi d'une inspection du véhicule, de quelques photos, des relevés de carburant et de kilométrage, permet aux clients de partir sans souci.

Des vérifications rigoureuses des antécédents judiciaires sont également effectuées pour assurer la sécurité et la tranquillité d'esprit.

UNE VISION POUR L’INNOVATION par Richie Santosdiaz

L'économie saoudienne subit une réforme de développement économique massive, menée par la stratégie de transformation Vision 2030. Mais pour que l'entrepreneuriat prospère, les générations actuelles et futures en Arabie saoudite ont besoin d'un environnement stimulant. Le Royaume renforce son écosystème de start-up avec des structures réglementaires encourageantes et des fonds de capital-risque locaux.

Diverses institutions et initiatives travaillent conjointement à cette fin, notamment le Collège Mohammed ben Salman, le Centre saoudien d’entreprenariat d’Aramco (WAED), l'Académie du fonds d'investissement public (PIF), le département d'innovation et de développement économique de l'université du Roi Abdallah des sciences et technologies ainsi que la Fondation MiSK. Divers organismes et entreprises gouvernementaux soutiennent également les efforts du Royaume à cet égard, tels que l’entreprise Business Incubators and Accelerators Co., une unité de la compagnie saoudienne Saudi Technology Development and Investment Co. (TAQNIA), elle-même détenue par le PIF. Un certain nombre de programmes s'emploient aussi à promouvoir les futurs talents.

Le Programme d'échange de jeunes leaders saoudiens (SYLEP) est un programme de trois semaines aux États-Unis pour les étudiants saoudiens de premier cycle ou les étudiants universitaires récemment diplômés âgés de 21 à 26 ans. L'objectif de SYLEP 2020 est de «renforcer les compétences en leadership, la responsabilité civique, la valorisation de la diversité culturelle, ainsi que l'engagement communautaire et le volontariat parmi les étudiants universitaires saoudiens».

Le principal thème du programme de cette année est STEAM science, technologie, ingénierie, art et mathématiques. Au-delà de la priorité accordée à la technologie et à l'innovation, l'Arabie saoudite a permis aux entrepreneurs internationaux d'obtenir plus facilement des permis pour lancer des start-up, dans le cadre d'une initiative visant à amener le secteur privé à 65 % du produit intérieur brut contre 40 % actuellement.

Cela implique une alliance de croissance provenant de l'investissement étranger direct ainsi que de l'esprit d'entreprise et de l'innovation saoudiens. Malgré les défis actuels posés par la Covid-19, une grande partie des fondations de l'entrepreneuriat des jeunes du futur a déjà été posée. Partout dans le Royaume, les effets de cet esprit d'innovation se feront sentir pendant de nombreuses années. 

Jusqu'à présent, Ejaro s'est avéré populaire parmi les Saoudiens, avec 2 500 utilisateurs enregistrés dans le Royaume et jusqu'à 130 véhicules, dans la seule phase bêta.

Les propriétaires reçoivent jusqu'à 80 % du prix dans leurs portefeuilles, tandis qu'Ejaro encaisse 20 % en frais.

L'équipe prévoit de se concentrer dans un premier temps sur le marché saoudien avant de se lancer au CCG et à travers la région Mena.

«Tout le monde veut une source de revenus supplémentaire. Avec la Vision 2030 de l’Arabie saoudite et l’ouverture du tourisme et des voyages, la demande de location de véhicules augmentera parmi les touristes et même au sein des habitants du Royaume», a déclaré Khashoggi.

«Nous avons un moyen très rapide et plus efficace de répondre à cette demande grâce aux véhicules existants sur la route, et, en ce sens, nous réduisons ainsi la congestion dans nos routes.»

Bien que l'application soit actuellement en phase bêta, un lancement complet est prévu dans les semaines à venir. « La pandémie nous a légèrement touchés parce que nous sommes une entreprise en phase de démarrage; les industries du voyage, du tourisme et des transports se sont en outre complètement arrêtées », a-t-il déclaré.

«Mais cela nous a donné l'occasion d'approfondir notre produit, de l'améliorer et de changer complètement l'expérience utilisateur, le rendant beaucoup plus simple et transparent. La période de confinement a eu ses avantages cachés.»

«Cela a également permis à notre équipe de s'intégrer à plusieurs systèmes gouvernementaux pour rendre l’application plus sûre et donner aux utilisateurs une plus grande tranquillité d’esprit.»

Khashoggi est optimiste quant au futur des entrepreneurs saoudiens. « Je fais partie de cet écosystème, et il se passe certainement des choses incroyables dans le milieu des start-up en Arabie saoudite », a-t-il déclaré.

«Nous serons les leaders du CCG, et peut être, dans le monde bientôt, grâce à la Vision 2030 du prince héritier Mohammed ben Salmane, et à l'agilité et au soutien du gouvernement pour les PME (petites et moyennes entreprises) et les entrepreneurs. Le Royaume continuera sa croissance et prendra sa véritable place très prochainement.»

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Liban: deux membres du Hezbollah tués par l'armée israélienne

De la fumée s'échappe du site d'une frappe aérienne israélienne sur le village de Majdel Zoun, près de la frontière sud du Liban, au milieu des tensions transfrontalières persistantes alors que les combats se poursuivent entre Israël et les militants du Hamas à Gaza (Photo, AFP).
De la fumée s'échappe du site d'une frappe aérienne israélienne sur le village de Majdel Zoun, près de la frontière sud du Liban, au milieu des tensions transfrontalières persistantes alors que les combats se poursuivent entre Israël et les militants du Hamas à Gaza (Photo, AFP).
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  • Le Hezbollah libanais échange quotidiennement des tirs avec Israël depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas
  • Dans un communiqué, la puissante formation a déploré la mort d'un de ses membres dans la localité où la frappe de drone a eu lieu

BEYROUTH: Le Hezbollah a annoncé mardi la mort de deux de ses membres tués dans des frappes de l'armée israélienne, qui a indiqué avoir éliminé "deux terroristes importants" dans le sud du Liban.

Le Hezbollah libanais échange quotidiennement des tirs avec Israël depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas palestinien dans la bande de Gaza, il y a plus de six mois.

Israël réplique en bombardant des cibles de plus en plus en profondeur au Liban et ses drones visent régulièrement des combattants et responsables du mouvement pro-iranien.

Un drone israélien a visé "un ingénieur du Hezbollah, membre de la défense aérienne", a indiqué à l'AFP une source proche du parti chiite.

La frappe s'est produite dans la région côtière de Tyr, à environ 35 kilomètres au nord de la frontière avec Israël, selon un photographe de l'AFP qui a vu le véhicule entièrement carbonisé.

Dans un communiqué, la puissante formation a déploré la mort d'un de ses membres dans la localité où la frappe de drone a eu lieu.

De son côté, l'armée israélienne a annoncé avoir "éliminé un terroriste important de l'unité de défense aérienne du Hezbollah dans le sud du Liban" à une vingtaine de kilomètres de la frontière.

L'homme était "impliqué dans la planification et l'exécution d'attaques terroristes contre Israël et dans les activités de l'unité aérienne du Hezbollah", a ajouté l'armée israélienne.

L'armée israélienne a également annoncé avoir "éliminé un terroriste important des forces al-Radwan", l'unité d'élite du Hezbollah.

Tensions 

Le Hezbollah avait annoncé la mort d'un de ses combattants dans la nuit de lundi à mardi, l'Agence nationale d'information (ANI, officielle) faisant état de bombardements israéliens intensifs durant la nuit sur le sud du Liban.

Depuis environ une semaine, le Hezbollah, allié du Hamas, a intensifié ses frappes contre des sites militaires israéliens sur fond de tensions entre Israël et l'Iran.

Dimanche soir, le Hezbollah avait annoncé avoir abattu un drone israélien au-dessus du Liban, et l'armée israélienne avait confirmé.

Lundi soir, la puissante formation a annoncé avoir visé un quartier général militaire dans le nord d'Israël avec des "dizaines" de roquettes Katioucha, "en réponse" à des raids sur des villages du sud du Liban.

Les échanges de tirs entre Israël et le Hezbollah depuis le début de la guerre à Gaza le 7 octobre ont fait 378 morts du côté libanais, parmi lesquels 252 combattants du mouvement libanais ainsi que quelque 70 civils, selon un décompte de l'AFP.

Dans le nord d'Israël, onze soldats et huit civils ont été tués d'après l'armée. Des dizaines de milliers d'habitants ont dû fuir la zone de part et d'autre de la frontière.


Deux millions de visiteurs par an à AlUla d’ici à 2035, selon un haut responsable

Le Dr Stephen Browne, vice-président de la faune et du patrimoine naturel au sein de la Commission royale pour AlUla, partage la vision d’AlUla pour le développement des zones protégées lors du forum Hima à Riyad. (Photo AN/Abdelrahmane Alnajim)
Le Dr Stephen Browne, vice-président de la faune et du patrimoine naturel au sein de la Commission royale pour AlUla, partage la vision d’AlUla pour le développement des zones protégées lors du forum Hima à Riyad. (Photo AN/Abdelrahmane Alnajim)
Une session sur les aires protégées et le développement économique lors du forum Hima à Riyad (Photo AN/Abdelrahmane Alnajim)
Une session sur les aires protégées et le développement économique lors du forum Hima à Riyad (Photo AN/Abdelrahmane Alnajim)
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  • «Notre mission est de permettre à AlUla de prospérer au profit de ses communautés et de ses visiteurs en régénérant et en protégeant son paysage culturel»
  • «Nous favorisons la mise en place d’une communauté dynamique et prospère pour soutenir le développement d’un avenir durable pour AlUla grâce au renforcement des capacités»

RIYAD: La Commission royale pour AlUla a pour objectif d’accueillir deux millions de visiteurs par an et à créer 40 500 emplois d’ici à 2035: c’est ce qu’a déclaré un haut responsable de la commission. 

Lors du deuxième jour du forum inaugural des zones protégées de Hima, à Riyad, lors d’une session intitulée «Zones protégées et développement économique», l’intervenant principal, le Dr Stephen Browne, vice-président de la faune et du patrimoine naturel au sein de la Commission royale pour AlUla, a exposé la vision d’AlUla pour le développement des zones protégées et son impact économique. 

«Nos efforts s’inspirent d’une vision inspirante et notre mission est claire. Nous nous sommes fixé trois objectifs globaux pour 2035: deux millions de visiteurs par an, 40 500 nouveaux emplois à créer et 150 milliards de riyals saoudiens [soit 40 milliards de dollars; 1 dollar = 0,94 euro] de contribution cumulée au produit intérieur brut», a-t-il expliqué. 

«Notre mission est de permettre à AlUla de prospérer au profit de ses communautés et de ses visiteurs en régénérant ainsi qu’en protégeant son paysage culturel et en offrant une certaine qualité de vie», a-t-il ajouté. 

«Nous favorisons la mise en place d’une communauté dynamique et prospère pour soutenir le développement d’un avenir durable pour AlUla grâce au renforcement des capacités: fournir une formation de classe mondiale, créer des possibilités d’emploi pour les résidents d’AlUla dans le tourisme et d’autres secteurs économiques, promouvoir les entrepreneurs locaux en établissant des incubateurs de start-up et améliorer la qualité de vie en fournissant des services de santé de haute qualité et en créant des possibilités passionnantes en matière d’engagement communautaire», a soutenu M. Browne. 

«La nature et la vie sauvage sont des piliers essentiels de la stratégie d’AlUla. Elles sont tout aussi importantes que le développement économique et social, le tourisme, le patrimoine, l’art et la culture. AlUla aspire à devenir une destination mondiale. Les réserves naturelles et la faune sauvage en sont une grande partie», a-t-il précisé. 

«Notre stratégie repose sur sept piliers stratégiques: le tourisme, le patrimoine, l’art et la culture, la nature et la faune, le développement économique et social, le développement spatial, ainsi que la promotion des services et de l’excellence institutionnelle.» 

Le Dr Talal al-Harigi, PDG de la Réserve royale de l’imam Abdelaziz ben Mohammed, a fait savoir lors de cette session: «De nombreuses zones protégées fonctionnent souvent comme des centres de coûts. L’enjeu est de passer de ce modèle à un modèle générateur de profit ou de trouver un équilibre harmonieux entre les deux. Le fait de tirer parti de l’écotourisme et d’explorer d’autres activités économiques présente des voies viables pour atteindre cet objectif.» 

Nada al-Tamimi, adjointe aux affaires nationales au ministère saoudien du Tourisme, a évoqué les répercussions positives du tourisme durable sur les zones protégées et les communautés locales. 

«L’écotourisme durable, méticuleusement organisé et géré de manière réfléchie, répond aux désirs des voyageurs, mais il constitue également un moteur essentiel pour la génération de revenus, la création d’emplois et la prospérité économique», a-t-elle précisé. 

Le Dr Stuart Williams, conseiller principal à la direction des zones protégées du Centre national pour la faune sauvage, a déclaré pour sa part: «Nous devons adopter une perspective à long terme: lorsque le bien-être et le bonheur de notre population seront assurés, nous aurons plus que démontré aux économistes que chaque riyal investi permettra de réaliser des bénéfices importants.» 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


Diriyah Co. dévoile son dernier projet, Zallal

Zallal proposera également un accès direct à Wadi Hanifah. (Photo fournie)
Zallal proposera également un accès direct à Wadi Hanifah. (Photo fournie)
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  • Ce projet comprendra deux immeubles de bureaux peu élevés d’une surface locative combinée d’environ 6 000 m²
  • Il comprendra douze commerces et restaurants, répartis sur une superficie de quelque 8 000 m²

RIYAD: La société saoudienne Diriyah Co. a révélé les plans de son premier projet de développement de bureaux commerciaux et de commerces à usage mixte, Zallal, qui devrait être lancé dans le district de Bujairi au cours du premier semestre de l’année 2025. 

Ce projet comprendra deux immeubles de bureaux peu élevés d’une surface locative combinée d’environ 6 000 m². En outre, il y aura douze commerces et restaurants répartis sur une superficie de quelque 8 000 m². 

Situé à côté des célèbres terrasses Bujairi, Zallal bénéficiera de la proximité d’un lieu qui attire quotidiennement des milliers de visiteurs. 

Le projet est également situé près de l’espace Diriyah Art Futures, récemment achevé, et de l’hôtel Bab Samhan, qui ouvrira bientôt ses portes. 

Jerry Inzerillo, PDG du groupe Diriyah Co., confie: «Nous sommes ravis que Zallal ait été si bien accueilli au sein du secteur commercial et nous sommes en négociations avancées avec des entreprises internationales et locales désireuses de tirer parti de l’emplacement central au cœur de Diriyah ainsi que de la gamme diversifiée d’espaces commerciaux, de restaurants et de bureaux disponibles.» 

Il ajoute: «La construction suit son cours et Zallal maintient l’élan prometteur de Diriyah. Une fois lancé, le projet accueillera des milliers de visiteurs au quotidien dans les terrasses de Bujairi, devenant ainsi le dernier espace achevé dans le cadre de notre plan directeur en développement rapide.» 

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com