La police de New York lancée aux trousses d'un tireur du métro, qui a fait 23 blessés

Le personnel d'urgence envahit les rues près d'une station de métro à New York, le 12 avril 2022. (Photo, AFP)
Le personnel d'urgence envahit les rues près d'une station de métro à New York, le 12 avril 2022. (Photo, AFP)
Un important dispositif de sécurité a été mis en place au niveau de la 36e rue et de la 4e avenue de Brooklyn, où se sont produits les faits. (Photo, AFP)
Un important dispositif de sécurité a été mis en place au niveau de la 36e rue et de la 4e avenue de Brooklyn, où se sont produits les faits. (Photo, AFP)
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Au moins 13 personnes ont été blessées mardi matin lorsque des tirs ont retenti à l'heure de pointe dans le métro de New York. (Photo, AFP)
Au moins 13 personnes ont été blessées mardi matin lorsque des tirs ont retenti à l'heure de pointe dans le métro de New York. (Photo, AFP)
Au moins 13 personnes ont été blessées mardi matin lorsque des tirs ont retenti à l'heure de pointe dans le métro de New York. (Photo, AFP)
Au moins 13 personnes ont été blessées mardi matin lorsque des tirs ont retenti à l'heure de pointe dans le métro de New York. (Photo, AFP)
Un important dispositif de sécurité a été mis en place au niveau de la 36e rue et de la 4e avenue de Brooklyn, où se sont produits les faits. (Photo, AFP)
Un important dispositif de sécurité a été mis en place au niveau de la 36e rue et de la 4e avenue de Brooklyn, où se sont produits les faits. (Photo, AFP)
Plusieurs personnes ont été blessées par balle mardi dans une station de métro de New York, lors d'une attaque à l'heure de pointe du matin. (Photo, AFP)
Plusieurs personnes ont été blessées par balle mardi dans une station de métro de New York, lors d'une attaque à l'heure de pointe du matin. (Photo, AFP)
Un membre du département de police de New York grimpe sur une échelle pour récupérer une caméra de sécurité près d'une station de métro à New York, le 12 avril 2022. (Photo, AFP)
Un membre du département de police de New York grimpe sur une échelle pour récupérer une caméra de sécurité près d'une station de métro à New York, le 12 avril 2022. (Photo, AFP)
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Publié le Mercredi 13 avril 2022

La police de New York lancée aux trousses d'un tireur du métro, qui a fait 23 blessés

  • Des photos et vidéos amateurs ont montré des flaques de sang et des personnes gisant sur le plancher d'une rame de métro
  • Le président Joe Biden, qui avait annoncé lundi de nouvelles mesures contre les armes à feu, a été informé de la fusillade et la Maison Blanche a proposé son aide aux autorités de New York

NEW YORK: La police de New York s'est lancée mardi à la poursuite d'un homme portant un masque à gaz qui a semé le chaos dans le métro, à l'heure de pointe du matin, en déclenchant deux engins fumigènes avant d'ouvrir le feu, faisant 23 blessés dont dix par balle.

"Nous avons vraiment eu de la chance que cela n'ait pas été beaucoup plus grave", a souligné la cheffe de la police de New York, Keechant Sewell, résumant le soulagement des autorités après cette attaque où le suspect - toujours en fuite 12 heures après la fusillade - a tiré 33 balles dans le métro.

A 08H24 (12H24 GMT), à l'heure où les rames de métro de la mégapole sont bondées, l'individu, qui portait un masque à gaz, "a ouvert deux bonbonnes qui ont laissé s'échapper de la fumée dans la rame. Il a ensuite tiré sur nombre de passagers quand le train entrait dans la station de la 36ème rue" au sud de Brooklyn, a raconté Keechant Sewell

Des photos et vidéos amateurs ont montré des flaques de sang et des personnes gisant sur le plancher d'une rame, ainsi que sur le quai de la station.

Parmi les victimes, dont aucune n'était en danger de mort selon Keechant Sewell, dix ont été touchées par balle et treize autres dans la bousculade pour sortir du métro ou à cause des inhalations de fumée.

Le suspect a été décrit par la police comme "un homme noir" mesurant environ 1,65 m, "de forte corpulence", et portant un "gilet vert et orange de chantier" et un sweat-shirt à capuche gris.

Van

Sur place, les enquêteurs ont retrouvé une arme de poing et trois chargeurs, ainsi qu'une clé de véhicule qui leur a permis de remonter jusqu'à une camionnette du loueur américain U-Haul, récemment louée et abandonnée dans Brooklyn.

La police a donné la description de l'individu qui a loué ce véhicule à Philadelphie, un homme de 62 ans "ayant des adresses à Philadelphie et dans le Wisconsin", sans dire s'il s'agissait du suspect.

Dans le métro, "j'ai vu un nuage de fumée, j'ai vu des gens dans le chaos, allongés par terre, trois personnes au sol. Immédiatement, je me suis dit qu'il fallait partir", a raconté à l'AFP un habitant de Brooklyn travaillant sur place, Threstan Ralph, 34 ans.

"Les gens criaient +Que se passe-t-il? Pourquoi il a tiré?+, je ne savais pas ce qui se passait", a-t-il ajouté.

Selon l'un des passagers, Yav Montano, qui s'exprimait sur CNN, "une grenade à fumée... une bombe a explosé, je dirais deux minutes avant que nous n'arrivions à la station".

"On aurait dit que c'était planifié (...). On était coincés dans la rame (...) Il y avait beaucoup de sang sur le sol", a ajouté cet homme.

Toute la journée, un important dispositif de sécurité - pompiers, ambulances, police - a été déployé. Plusieurs écoles ont annulé toute sortie de leurs élèves à l'extérieur.

Epidémie

En visite dans l'Iowa, le président Joe Biden a promis: "Nous ne lâcherons rien tant que nous n'aurons pas trouvé l'auteur du crime".

Lundi, Joe Biden avait annoncé des mesures contre certaines des armes à feu qui prolifèrent aux Etats-Unis, et qui ont tué 45.000 personnes aux Etats-Unis en 2021, suicides inclus, selon l'organisation Gun Violence Archive.

Une "épidémie" selon la Maison Blanche.

L'attaque de mardi a eu lieu alors que New York a été confrontée à une hausse de la criminalité depuis la pandémie de Covid-19, le nombre d'homicides passant de 319 en 2019 à 488 en 2021, même si le bilan annuel reste bien en deçà des plus de 2.000 par an enregistrés au début des années 1990.

Elu en novembre sur des promesses de sécurité, le maire démocrate et ancien policier Eric Adams avait lancé en janvier un plan de lutte contre la prolifération des armes à feu, après la mort de deux policiers tués par balle lors d'une intervention.

Mais d'autres drames avec des armes à feu font souvent la une de la presse.

"Nous en avons assez de lire les gros titres sur la criminalité, qu'il s'agisse de fusillades ou de la perte d'une adolescente ou d'un jeune de 13 ans. Cela doit s'arrêter", a lancé la gouverneure de l'Etat de New York Kathy Hochul, faisant allusion à plusieurs victimes récentes -- dont des enfants -- de fusillades ou de balles perdues.

Pour le premier trimestre 2022, le nombre de fusillades et coups de feu à New York a augmenté de 260 à 296 par rapport à la même période de 2021, selon des chiffres de la police dévoilés la semaine dernière.


L'Inde cherche à porter la voix du « Sud global » entre le G7 et le Brics

Cette photographie prise et publiée par le Bureau d'information de la presse indienne (PIB) le 6 juin 2025 montre le Premier ministre indien Narendra Modi tenant le drapeau national lors de l'inauguration du pont ferroviaire de Chenab, qui fait partie de la liaison ferroviaire du Cachemire, à Reasi, dans l'État de Jammu-et-Cachemire. (PIB) / AFP)
Cette photographie prise et publiée par le Bureau d'information de la presse indienne (PIB) le 6 juin 2025 montre le Premier ministre indien Narendra Modi tenant le drapeau national lors de l'inauguration du pont ferroviaire de Chenab, qui fait partie de la liaison ferroviaire du Cachemire, à Reasi, dans l'État de Jammu-et-Cachemire. (PIB) / AFP)
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  • L'Inde n'est pas membre du Groupe des Sept (États-Unis, Japon, Allemagne, Royaume-Uni, France, Italie, Canada), mais elle est devenue une habituée de ses sommets, auxquels elle est régulièrement conviée depuis 2019.
  • « Nous contribuons activement à la diplomatie internationale et si cela peut servir de passerelle, c'est un atout pour la diplomatie internationale dans une période de relations difficiles et de tensions accrues », fait valoir M. Jaishankar.

PARIS : Invitée du G7 qui débute dimanche, mais aussi membre fondateur des Brics, l'Inde souhaite porter la voix du « Sud global », se posant en « passerelle » entre les différents acteurs de la scène internationale, affirme son ministre des Affaires étrangères dans un entretien à l'AFP.

L'Inde n'est pas membre du Groupe des Sept (États-Unis, Japon, Allemagne, Royaume-Uni, France, Italie, Canada), mais elle est devenue une habituée de ses sommets, auxquels elle est régulièrement conviée depuis 2019.

« Nous avons été un pays invité depuis plusieurs années et je pense que ça a été bénéfique pour le G7 », déclare à l'AFP Subrahmanyam Jaishankar depuis Paris, où il a clos samedi une visite en France, se félicitant d'avoir « la capacité de travailler avec différents pays sans qu'aucune relation ne soit exclusive ». 

Avec une population en passe de devenir la quatrième économie mondiale, l'Inde est l'un des pays les plus peuplés du globe. Elle siège à la table de nombreuses organisations, avec les Occidentaux au G7 ou au sein du « Quad » (Dialogue quadrilatéral pour la sécurité, avec les États-Unis, le Japon, l'Australie), mais aussi avec la Chine, la Russie et l'Iran au sein des Brics et du Groupe de Coopération de Shangaï.

« Nous contribuons activement à la diplomatie internationale et si cela peut servir de passerelle, c'est un atout pour la diplomatie internationale dans une période de relations difficiles et de tensions accrues », fait valoir M. Jaishankar.

Ancienne colonie britannique, indépendante depuis 1947, l'Inde se pose, avec le Brésil, en héraut du « Sud global », qui réunit « des pays qui ont été victimes de l'ordre mondial ces dernières années, ces derniers siècles ». 

« Dans les pays du Sud, il existe un fort ressentiment face aux inégalités de l'ordre international, une volonté de le changer, et nous en faisons pleinement partie », explique le ministre en poste depuis 2019.

« Aujourd'hui, pour des pays comme les nôtres, il est important de nous exprimer, de mener, de faire sentir notre présence. »

Cette voix passe aussi par les BRICS, devenue « l'une des principales plateformes de rassemblement pour les pays non occidentaux », dont les chefs d'État se réuniront en juillet.

Partisan de « négociations directes » pour résoudre la guerre entre l'Ukraine et la Russie, qui a frappé durement les pays du Sud, M. Jaishankar affiche son scepticisme face aux politiques de sanctions occidentales : « Ça n'a pas vraiment marché jusqu'à présent, non ? » 

Partenaire commercial et allié politique de la Russie, l'Inde pourrait se retrouver exposée en cas de sanctions contre Moscou.

« L'économie mondiale est sous tension. Plus on ajoute des facteurs de tensions, plus les difficultés seront grandes. »

Dans l'ordre mondial actuel, l'Inde doit composer avec la « discontinuité » posée par Donald Trump.

Des négociations en cours sur le sujet ont « bien avancé ».L'Inde doit également chercher « un équilibre » avec la Chine. 

Pékin soutient Islamabad, que New Delhi accuse de soutenir les activités de « terroristes » islamistes sur son sol.

Le 22 avril, une attaque au Cachemire indien a déclenché une confrontation militaire de quatre jours entre les deux pays, la plus grave depuis 1999. Narendra Modi a promis une « riposte ferme » à toute nouvelle attaque « terroriste », renforçant le spectre d'une escalade entre les deux puissances nucléaires.

« En 2008, la ville de Mumbai a été attaquée (plusieurs attentats jihadistes ont fait 166 morts) et nous avons commis l'erreur de ne pas réagir avec fermeté. Nous sommes déterminés à ne pas répéter ces erreurs. Si des terroristes pénètrent en Inde depuis et grâce au soutien d'un pays voisin, nous les poursuivrons et nous les châtierons ».

Mais l'Inde n'a jamais envisagé de recourir à l'arme nucléaire, assure-t-il : « Ces inquiétudes émanaient de personnes mal informées ».

 


Israël appelle les Iraniens à évacuer les zones proches de sites militaires

Des soldats et des membres d'une équipe de recherche et de sauvetage se rassemblent près de voitures endommagées dans la ville de Tamra, dans le nord d'Israël, à la suite d'une attaque à la roquette lancée par l'Iran dans la nuit du 15 juin 2025. (Photo par AHMAD GHARABLI / AFP)
Des soldats et des membres d'une équipe de recherche et de sauvetage se rassemblent près de voitures endommagées dans la ville de Tamra, dans le nord d'Israël, à la suite d'une attaque à la roquette lancée par l'Iran dans la nuit du 15 juin 2025. (Photo par AHMAD GHARABLI / AFP)
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  • L'armée a « demandé à toutes les personnes se trouvant actuellement dans des installations militaires en Iran, ou à proximité, d'évacuer immédiatement les lieux, précisant que leur vie était en danger ».
  • Le communiqué ne précise pas de coordonnées géographiques et n'est accompagné d'aucune carte permettant de localiser ces zones.

JERUSALEM : Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a déclaré dimanche dans un communiqué de son bureau avoir ordonné à l'armée israélienne d'émettre des avis d'évacuation à l'intention des habitants de Téhéran vivant à proximité de sites militaires.

Après cet ordre, l'armée israélienne a appelé les Iraniens à évacuer les zones « à proximité d'installations militaires » dans un communiqué publié sur le réseau social X en persan et en arabe.

L'armée a « demandé à toutes les personnes se trouvant actuellement dans des installations militaires en Iran, ou à proximité, d'évacuer immédiatement les lieux, précisant que leur vie était en danger ».

Le communiqué ne précise pas de coordonnées géographiques et n'est accompagné d'aucune carte permettant de localiser ces zones, contrairement aux communiqués de l'armée israélienne adressés aux Palestiniens de la bande de Gaza, où elle est en guerre contre le mouvement islamiste Hamas.

Cette décision fait partie d'un plan « visant à faire pression sur le régime » en créant des déplacements de population, a déclaré à l'AFP une source sécuritaire israélienne.


La Russie s'apprête à construire la première centrale nucléaire du Kazakhstan

Une vue aérienne montre le village d'Ulken (au premier plan) et le site proposé pour la centrale nucléaire près du village d'Ulken, situé sur les rives du lac Balkhash, à environ 400 kilomètres au nord d'Almaty, le 22 septembre 2024. (Photo de Ruslan PRYANIKOV / AFP)
Une vue aérienne montre le village d'Ulken (au premier plan) et le site proposé pour la centrale nucléaire près du village d'Ulken, situé sur les rives du lac Balkhash, à environ 400 kilomètres au nord d'Almaty, le 22 septembre 2024. (Photo de Ruslan PRYANIKOV / AFP)
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  • « Rosatom a été désigné chef de file du consortium international pour la construction de la première centrale nucléaire au Kazakhstan », a indiqué l'agence kazakhe pour l'énergie atomique.
  • Le Kazakhstan, immense ex-république soviétique et allié de Moscou, est le premier producteur mondial d'uranium (43 %) et le troisième fournisseur d'uranium naturel de l'Union européenne.

ALMATY, KAZAKHSTAN : Le géant russe du nucléaire Rosatom sera le principal constructeur de la première centrale nucléaire du Kazakhstan, ont annoncé samedi les autorités de ce pays d'Asie centrale, premier producteur mondial d'uranium, un chantier que convoitaient la France, la Chine et la Corée du Sud.

« Rosatom a été désigné chef de file du consortium international pour la construction de la première centrale nucléaire au Kazakhstan », a indiqué l'agence kazakhe pour l'énergie atomique.

Le Kazakhstan, immense ex-république soviétique et allié de Moscou, est le premier producteur mondial d'uranium (43 %) et le troisième fournisseur d'uranium naturel de l'Union européenne, mais souffre d'un manque cruel d'électricité pour sa consommation intérieure.

L'agence kazakhe dit désormais « étudier la question de l'obtention de financements publics à l'exportation aux dépens de la Fédération de Russie, conformément aux propositions de Rosatom ». 

Rosatom a salué la décision kazakhe dans un communiqué et promis « la construction d'une centrale nucléaire selon le projet le plus avancé et le plus efficace au monde, basé sur des technologies russes ».

« Les réacteurs VVER-1200 de troisième génération combinent des solutions techniques éprouvées avec les systèmes de protection active et passive les plus récents. Ces derniers ont été développés en stricte conformité avec les normes internationales de sécurité », a ajouté la société.

Rosatom (Russie), China National Nuclear Corporation (Chine), EDF (France) et Korea Hydro & Nuclear Power (Corée du Sud) faisaient partie des quatre entreprises pressenties.

L'agence ajoute qu'elle « continuera à travailler avec des partenaires étrangers pour former un consortium international efficace », sans donner plus de précisions. 

Ce projet de consortium international, qui n'a jamais été spécifié, s'inscrit dans la volonté du dirigeant kazakh Kassym-Jomart Tokaïev de maintenir de bonnes relations avec les grandes puissances.

Moscou, puissance historique en Asie centrale, a ainsi remporté cet appel d'offres aux dépens de la Chine, désormais incontournable dans la région. Cette annonce intervient quelques jours avant la venue du président chinois Xi Jinping au Kazakhstan pour un sommet « Asie centrale-Chine ».

La centrale, dont la construction a été validée lors d'un référendum sans surprise à l'automne, doit être bâtie près du village abandonné d'Ulken, dans le sud du pays, sur les bords du lac Balkhach, le deuxième plus grand d'Asie centrale.

En Ouzbékistan voisin, le géant russe Rosatom va construire une petite centrale nucléaire et a proposé au Kirghizistan un projet similaire.