Pour freiner l'inflation… il faut éviter les erreurs du passé

La pandémie de COVID-19 a perturbé les chaînes d'approvisionnement et a engendré une inflation généralisée (Photo, Shutterstock).
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Publié le Vendredi 01 juillet 2022

Pour freiner l'inflation… il faut éviter les erreurs du passé

  • À mon avis, le problème économique le plus important de l'heure est l'inflation
  • L'un des domaines les plus essentiels régis par des faits et des chiffres est l'économie

Il y a des choses dans la vie qui sont vouées à être gouvernées par les faits et les chiffres, le sentiment ne prenant aucune part à la prise de décision. Certaines de ces réalités économiques sont douloureuses, essayer de les travestir, ce serait fabriquer une réalité dans laquelle personne ne trouverait son compte y compris l'intéressé ayant voulu se soustraire aux lois économiques.

L'un des domaines les plus essentiels régis par des faits et des chiffres est l'économie, dans laquelle les espoirs et les rêves n'ont aucune place.

À mon avis, le problème économique le plus important de l'heure est l'inflation. L'inflation ravage le monde alors que les hausses de prix frappent de plein fouet le pouvoir d'achat des individus. Les gens ont par conséquent raison de s'en plaindre. Aucun de nous n'est heureux de payer plus que par le passé, quelles qu'en soient les raisons

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NDLR: Mosaïque est une revue de presse qui offre au lecteur un aperçu sélectif et rapide des sujets phares abordés par des quotidiens et médias de renommée dans le monde arabe. Arab news en français se contente d’une publication très sommaire, renvoyant le lecteur directement vers le lien de l’article original. L’opinion exprimée dans cette page est propre à l’auteur et ne reflète pas nécessairement celle d’Arab News en français.


Conférence de Bandung : 69 ans après, l’Algérie prolonge le combat diplomatique

Les peuples afro-asiatiques commémorent jeudi le 69e anniversaire de la Conférence de Bandung (18-24 avril 1955), qui avait boosté les mouvements de libération dans leurs continents. (Photo, El Watan)
Les peuples afro-asiatiques commémorent jeudi le 69e anniversaire de la Conférence de Bandung (18-24 avril 1955), qui avait boosté les mouvements de libération dans leurs continents. (Photo, El Watan)
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  • La Conférence de Bandung s’est vite fixée un cap, en plaçant la décolonisation des peuples, le non-alignement, la non-ingérence, la coexistence pacifique et le développement économique comme principaux axes de son action
  • La question algérienne s’en est sortie victorieuse dans la mesure où cinq mois plus tard, soit en septembre 1955, cette dernière a été inscrite pour la première fois à l’ordre du jour de l’Assemblée générale des Nations unies

Les peuples afro-asiatiques commémorent jeudi le 69e anniversaire de la Conférence de Bandung (18-24 avril 1955), qui avait boosté les mouvements de libération dans leurs continents et posé les jalons d’une nouvelle diplomatie en faveur de la paix, de la justice et contre l’exclusion des valeurs et des idéaux défendus ardemment par l’Algérie, qui œuvre à faire avancer la paix dans le monde.

Tenue sur l’île de Java en Indonésie, en présence des dirigeants de 29 pays nouvellement indépendants (23 d’Asie et 6 d’Afrique) et plusieurs délégations, dont la délégation algérienne conduite par les membres du FLN Hocine Aït Ahmed et M’hammed Yazid, la Conférence de Bandung s’est vite fixée un cap, en plaçant la décolonisation des peuples, le non-alignement, la non-ingérence, la coexistence pacifique et le développement économique comme principaux axes de son action. 

Ces idéaux ardemment portés et défendus par les leaders historiques de cette époque, dont le président indonésien Sukarno, le Premier ministre indien Nehru, le Premier ministre chinois Zhou Enlai et l’Egyptien Abdel Nasser, furent rapidement concrétisés. En effet, pas moins de 31 pays africains croupissant depuis de longue date sous le joug colonial ont pu accéder, en l’espace de quelques années, à leur indépendance, tandis que 12 autres pays appartenant aux deux continents ont été admis aux Nations unies en tant que membres à part entière. 

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NDLR: Mosaïque est une revue de presse qui offre au lecteur un aperçu sélectif et rapide des sujets phares abordés par des quotidiens et médias de renommée dans le monde arabe. Arab news en français se contente d’une publication très sommaire, renvoyant le lecteur directement vers le lien de l’article original. L’opinion exprimée dans cette page est propre à l’auteur et ne reflète pas nécessairement celle d’Arab News en français.


Une lecture des représailles de l’Iran

Le porte-parole de l'armée israélienne, le contre-amiral Daniel Hagari (au centre), et d'autres membres de l'armée israélienne se tiennent à côté d'un missile balistique iranien tombé en Israël ce week-end, lors d'une tournée médiatique à la base militaire de Julis, près de la ville de Kiryat Malachi, dans le sud d'Israël. 16 avril 2024. (AFP)
Le porte-parole de l'armée israélienne, le contre-amiral Daniel Hagari (au centre), et d'autres membres de l'armée israélienne se tiennent à côté d'un missile balistique iranien tombé en Israël ce week-end, lors d'une tournée médiatique à la base militaire de Julis, près de la ville de Kiryat Malachi, dans le sud d'Israël. 16 avril 2024. (AFP)
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  • Le régime des mollahs a lancé sa première opération militaire depuis la guerre Iran-Irak
  • Seuls 7 missiles balistiques ont atteint leurs cibles, causant des dégâts modestes à la base aérienne de Ramon dans le Néguev

Ce fut une bataille extrêmement brève mais très bruyante. Il a fallu deux semaines à l’Iran pour riposter contre Israël, et l’Iran n’a rien obtenu. Pas un seul toit n’est tombé et les Israéliens n’ont subi aucune victime.

Beaucoup de suspense a été généré lors de la préparation de l’attaque. Le ciblage par Israël du consulat iranien à Damas a été un coup porté à la tête qui a coûté la vie à tous les généraux de la Force Qods présents dans la salle des opérations. Après que le guide suprême Khamenei ait menacé Israël de regretter l’attaque, soulignant que sa nation cherchait à se venger (...), Téhéran a été obligé de lancer une attaque directe. Se cacher derrière des mandataires iraniens est devenu intenable et le régime des mollahs a lancé sa première opération militaire depuis la guerre Iran-Irak.
Après que la décision de riposter directement ait été prise. Le chef du CGRI a affirmé qu’Israël cesserait d’exister, alarmant le monde. La nuit du 13 au 14 avril était zéro heure. Les représailles ont été une démonstration de force, Téhéran ayant lancé environ 330 drones et missiles (de croisière et balistiques). Des millions de personnes ont regardé en direct, rivés à leurs écrans, les drones et les missiles traverser le ciel irakien avant d’atteindre la Jordanie et la Syrie. Cependant, la réponse coordonnée américano-britannique-israélienne l’a perturbée, à commencer par la frontière jordano-syrienne avec l’Irak. Seuls 7 missiles balistiques ont atteint leurs cibles, causant des dégâts modestes à la base aérienne de Ramon dans le Néguev, où se trouvent les avions à réaction avancés F-35 de cinquième génération !

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Investiture de six nouveaux membres de l’Académie du Royaume du Maroc

Il s’agit de la troisième cérémonie d’investiture dans le cadre de la réorganisation de l’Académie du Royaume instituée par le Dahir du 5 février 2021 portant promulgation de la loi n°74-19. (Photo, Le Matin)
Il s’agit de la troisième cérémonie d’investiture dans le cadre de la réorganisation de l’Académie du Royaume instituée par le Dahir du 5 février 2021 portant promulgation de la loi n°74-19. (Photo, Le Matin)
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  • Dans son article 11, ce Dahir indique qu’après la nomination de chaque nouveau membre résident ou associé, l’Académie consacre une séance solennelle pour son accueil et son investiture
  • Le Maroc a su se positionner comme un pays stable dans un contexte mouvementé en devenant un acteur incontournable dans la lutte contre le terrorisme et le crime organisé

Il s’agit de la troisième cérémonie d’investiture dans le cadre de la réorganisation de l’Académie du Royaume instituée par le Dahir du 5 février 2021 portant promulgation de la loi n°74-19. Dans son article 11, ce Dahir indique qu’après la nomination de chaque nouveau membre résident ou associé, l’Académie consacre une séance solennelle pour son accueil et son investiture. «Lors de cette séance, le secrétaire perpétuel ou son représentant parmi les membres de l’Académie, prononce un discours de bienvenue en mettant l’accent sur la personnalité du nouveau membre, son parcours et ses contributions scientifiques. À son tour, le membre récipiendaire prononce un discours vantant les vertus et les mérites de son prédécesseur et évoquant brièvement une des questions scientifiques ou intellectuelles qui relèvent de son domaine de spécialité».

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