Shadowland de Pilobolus illumine la scène à Ithra

Le spectacle remarquable raconte l’histoire du passage à l’âge adulte d’une jeune femme aux cheveux bleus qui crée un monde au sein même de son monde – directement dans son lit. (Photo AN/Ahmed al-Thani)
Le spectacle remarquable raconte l’histoire du passage à l’âge adulte d’une jeune femme aux cheveux bleus qui crée un monde au sein même de son monde – directement dans son lit. (Photo AN/Ahmed al-Thani)
Le spectacle remarquable raconte l’histoire du passage à l’âge adulte d’une jeune femme aux cheveux bleus qui crée un monde au sein même de son monde – directement dans son lit. (Photo AN/Ahmed al-Thani)
Le spectacle remarquable raconte l’histoire du passage à l’âge adulte d’une jeune femme aux cheveux bleus qui crée un monde au sein même de son monde – directement dans son lit. (Photo AN/Ahmed al-Thani)
Le spectacle remarquable raconte l’histoire du passage à l’âge adulte d’une jeune femme aux cheveux bleus qui crée un monde au sein même de son monde – directement dans son lit. (Photo AN/Ahmed al-Thani)
Le spectacle remarquable raconte l’histoire du passage à l’âge adulte d’une jeune femme aux cheveux bleus qui crée un monde au sein même de son monde – directement dans son lit. (Photo AN/Ahmed al-Thani)
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Publié le Dimanche 28 août 2022

Shadowland de Pilobolus illumine la scène à Ithra

  • Pendant trois nuits consécutives, jusqu’au 27 août, les spécialistes de l’éclairage ont utilisé des ombres pour créer des silhouettes qui se reflètent sur des murs de néons lumineux dans une performance tourbillonnante
  • Combinant un mélange de danse en direct et de magie de l’illusion, les neuf interprètes humains se sont servis de leur corps – et de quelques accessoires – pour donner vie au diaporama

DHAHRAN: Le théâtre du Centre du roi Abdelaziz pour la connaissance et la culture (Ithra) s’est illuminé la nuit dernière avec des danseurs qui ressemblaient à des animaux au clair de lune, leurs mains humaines se transformant en chiens. Ils n’avaient, pour seuls outils, que leurs doigts et leurs jambes stratégiquement synchronisés qui tourbillonnaient derrière des écrans de lumière ultrafins – ainsi que le pouvoir de l’imagination.

Pendant trois nuits consécutives, jusqu’au 27 août, les spécialistes de l’éclairage ont utilisé des ombres pour créer des silhouettes qui se reflètent sur des murs de néons lumineux dans une performance tourbillonnante.

Combinant un mélange de danse en direct et de magie de l’illusion, les neuf interprètes humains se sont servis de leur corps – et de quelques accessoires – pour donner vie au diaporama.

La pièce de danse primée de Pilobolus, une compagnie de danse moderne américaine qui a débuté dans les années 1970, est en tournée depuis 2009. Il s’agit de son premier voyage à Ithra.

Shadowland raconte l’histoire du passage à l’âge adulte d’une jeune femme aux cheveux bleus qui crée un monde au sein même de son monde – directement dans son lit. De la même manière, les visiteurs d’Ithra ont effectué un voyage de 75 minutes sans jamais quitter leur siège.

(fournie)
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Avec un dialogue limité, vous pouvez voir que l’héroïne semble lutter contre des démons intérieurs qui émergent complètement lorsqu’elle s’endort dans sa chambre après quelques petites tensions avec ses parents.

Pendant son sommeil, elle se lance dans une aventure épique qui comprend également des interactions avec de mauvaises plantes et des voyages à travers divers endroits, rencontrant différentes créatures lors de sa tournée au pays des rêves.

La musique fait partie intégrante du processus de narration – le début est en grande partie non verbal, de sorte que les membres du public peuvent créer un dialogue dans la langue qui leur convient le mieux. Ce spectacle primé, qui remonte à plusieurs décennies, est une collaboration entre Pilobolus et l’auteur du dessin animé toujours célèbre «Spongebob Squarepants», Steven Banks, ainsi que le musicien David Poe, dont la musique orchestrale et électronique a enrichi l’ambiance.

Shadowland a fait ses débuts il y a treize ans aux États-Unis et est en tournée depuis, sur des scènes de tous les continents – et maintenant en Arabie saoudite. À la fin du spectacle, les danseurs ont créé une silhouette avec leurs corps épelant les mots «Ithra» et «merci» en arabe.

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Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

 


Un programme de formation artisanale lancé dans la région d’Asir

La Banque saoudienne de développement social a lancé un programme de formation à l'artisanat à Asir, en partenariat avec l'école italienne de joaillerie contemporaine Alchimia. (AFP/File).
La Banque saoudienne de développement social a lancé un programme de formation à l'artisanat à Asir, en partenariat avec l'école italienne de joaillerie contemporaine Alchimia. (AFP/File).
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  • Le programme puise son inspiration dans le patrimoine local
  • L’initiative s’inscrit dans les efforts de la banque pour soutenir l’artisanat et les industries créatives

ABHA: La Banque saoudienne de développement social a lancé un programme de formation artisanale dans la région d’Asir, en partenariat avec l’école italienne Alchimia Contemporary Jewellery School.

Cette initiative, qui s’inscrit dans le cadre du programme de formation spécialisée de la banque, propose aux artisans et professionnels indépendants une formation à la création de pièces utilisant le cuivre et la feuille d’or.

Le programme s’inspire du patrimoine local, notamment de l’art Al-Qatt Al-Asiri – inscrit au patrimoine immatériel de l’UNESCO – pour concevoir des produits de qualité, répondant aux exigences du marché et favorisant des opportunités économiques durables.

La cérémonie de lancement a été marquée par la signature d’un accord de coopération stratégique entre la banque et l’école Alchimia. Ce partenariat vise à transférer un savoir-faire international vers le marché local grâce à des formations spécialisées à l’échelle nationale, dans le but de renforcer les compétences des artisans et leur compétitivité.

L’initiative fait partie des actions de la banque pour soutenir l’artisanat et les industries créatives. Depuis son lancement en 2023, le programme de formation spécialisée a bénéficié à plus de 300 participants à travers 15 programmes, donnant naissance à 250 produits uniques.

Par ailleurs, 30 % des participants ont obtenu un financement, et plus de 150 familles actives dans l’artisanat à domicile ont pu développer leurs activités.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


« I like it hot ! » : J. Lo fait sensation à Abou Dhabi

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  • Jennifer Lopez, 56 ans, prouve qu’elle reste l’une des artistes les plus enflammées au monde

ABOU DHABI: De retour à Abou Dhabi après son spectacle magistral en février, Jennifer Lopez a dansé toute la soirée mardi à l’Etihad Arena sur l’île de Yas dans le cadre de sa tournée mondiale « Up All Night ».

En interprétant ses tubes cultes comme « On the Floor », « Ain’t Your Mama » et « Dance Again », Lopez a fait monter la température avec son énergie débordante et ses chorégraphies percutantes.

Même si j’ai regretté que « Jenny From the Block » n’ait pas bénéficié d’un moment à elle, Lopez l’a tout de même interprétée en medley avec « We Will Rock You » de Queen.

Pour célébrer ses 56 ans, elle a chanté « Birthday », le single sorti le 24 juillet, très applaudi par le public.

La superstar a remercié ses fans et les a encouragés à s’aimer les uns les autres et à suivre ce qu’ils aiment.

Elle a également plaisanté sur la chaleur intense des Émirats. « I like it hot ! », a-t-elle lancé en se ventilant.

Avec plusieurs changements de tenues et des plages musicales bien calibrées, le show a alterné entre titres dynamiques, ballades lentes et medleys.

Lopez a rendu hommage à sa culture latino en interprétant quelques-uns de ses succès en espagnol, notamment « Qué Hiciste » et « Si Una Vez ».

Elle a chanté en dansant le flamenco, vêtue d’une tenue inspirée du traje de flamenca, la robe traditionnelle des femmes aux festivals andalous.

L’artiste n’est pas étrangère au Golfe : elle avait déjà fait sensation en avril lors du Grand Prix d’Arabie saoudite de F1 à Djeddah, puis en novembre dernier à Riyad pour l’événement « 1001 Seasons of Elie Saab ».

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’artiste saoudienne met en lumière le riche paysage culturel de l’Asir à travers ses œuvres

L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
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  • Arafat Al-Asimi a surmonté de nombreux défis pour s’imposer comme artiste en tant que femme

MAKKAH : Les montagnes verdoyantes de la région d’Asir en Arabie saoudite ont nourri la vision artistique d’Arafat Al-Asimi.

En évoquant ses débuts, Al-Asimi confie qu’elle aime utiliser des couleurs pastel pour représenter des paysages naturels et patrimoniaux. Les montagnes, les vallées, les nuances des forêts et le climat unique de la région ont nourri son imagination artistique.

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L’artiste Arafat Al-Asimi affirme se sentir chez elle au cœur de la nature et des paysages traditionnels. (Fournie)

Elle explique se sentir profondément liée à la nature et aux dessins de paysages traditionnels, en particulier ceux inspirés de l’Asir, car ils traduisent son fort sentiment d’appartenance et lui procurent un équilibre et un confort psychologique.

Elle partage également sa passion pour l’intégration de la calligraphie arabe dans ses œuvres, soulignant combien cette pratique allie esthétique visuelle et identité culturelle.