Netflix lance la série de films «New Saudi Voices» pour célébrer les cinéastes saoudiens

Dans cette photo d'archive prise le 14 septembre 2022, le logo Netflix présent à l’événement Netflix Tudum à Los Angeles, en Californie. (AFP)
Dans cette photo d'archive prise le 14 septembre 2022, le logo Netflix présent à l’événement Netflix Tudum à Los Angeles, en Californie. (AFP)
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Publié le Jeudi 29 septembre 2022

Netflix lance la série de films «New Saudi Voices» pour célébrer les cinéastes saoudiens

  • Onze films rendent hommage à la créativité des talents émergents du Royaume
  • «Il y a des talents incroyables dans le Royaume, et ils ont des histoires uniques à raconter»

DUBAΪ: Netflix diffuse une série de films intitulée «New Saudi Voices» composée de onze courts-métrages spécialement sélectionnés pour mettre en avant la créativité des cinéastes saoudiens émergents.

Cette série comprend des films dans des genres tels que l'horreur, le fantastique et l'animation, dans le but de saisir toute l'étendue de la créativité et du talent des cinéastes saoudiens.

Les onze films font partie du programme New Saudi/New Cinema Shorts présenté l'année dernière au festival du film de la mer Rouge et ils illustrent le travail de certains des nouveaux noms les plus prometteurs du Royaume.

Parmi les films figurent Hallucinated, de Mohammed Basalamah, qui raconte l'histoire d'un livreur souffrant d'une insomnie grandissante jusqu'à ce que la frontière entre la réalité et ses hallucinations disparaisse et The Day I Lost Myself, de Rami Alzayer, qui raconte comment un jeune homme anxieux se retrouve coincé dans un ascenseur alors qu'il se rend à un entretien.

Des documentaires tels que Arufea, d'Abbas Alshuwayfie, offrent un aperçu d'un vieux quartier saoudien, et Covida the 19th, d’Omar al-Omirat, explore les changements de style de vie post-pandémie.

La collection comprend également un court-métrage d'animation intitulé Whisper Down the Lane, de Raghad Albarqi; The Jakar, d'Abdelaziz Saleh; The Palm Witch, de Hala Alhaid; Hide and Seek, de Mohammad Helal; Red Circle, d'Abdelaziz Sarhan et Little Bird, de Khalid Fahad.

Nuha el-Tayeb, directrice des acquisitions de contenu pour la plate-forme Netflix, pour la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (Mena) et la Turquie, déclare: «Nous sommes très enthousiastes à l'idée de porter les voix des cinéastes prometteurs d'Arabie saoudite à travers cette collection. Il y a des talents incroyables dans le Royaume, et ils ont des histoires uniques à raconter. Nous espérons qu'en regardant ces films, les gens en apprendront davantage sur ces artistes, et qu’ils auront un aperçu de leur passion, de leur originalité et de leur créativité, comme nous avons pu le constater nous-mêmes.»

Ce n'est pas la première fois que Netflix braque les projecteurs sur le cinéma saoudien. Plus tôt cette année, l'entreprise a diffusé une série de vingt et un films de femmes cinéastes arabes spécialement sélectionnés, baptisée «Because She Created», avec des films d'Arabie saoudite, d'Algérie, d'Égypte et d'autres pays.

À cette occasion, Mme El-Tayeb avait déclaré à Arab News : «Il y a un talent incroyable en Arabie saoudite. Le paysage du divertissement évolue rapidement et les Saoudiennes – comme les autres femmes du monde arabe et du monde entier – ont des histoires magnifiques et complexes à raconter.»

Le géant du streaming a également travaillé avec la scénariste et réalisatrice Hana al-Omair sur Whispers, un thriller psychologique en huit parties, ainsi qu'avec Haifaa al-Mansour sur Wadjda, le premier long-métrage réalisé par une Saoudienne.

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Film AlUla et Stampede Ventures dévoilent les films qui seront tournés en Arabie saoudite dans le cadre d'un accord portant sur 10 projets

L’annonce a été faite samedi, lors du Festival international du film de la mer Rouge (AN/Huda Bashatah).
L’annonce a été faite samedi, lors du Festival international du film de la mer Rouge (AN/Huda Bashatah).
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  • Nous avons une population active jeune, dynamique et engagée dans le numérique, dans un endroit considéré comme l’une des zones les plus éloignées
  • Le plus important est de prouver aux talents saoudiens que l’industrie cinématographique est un choix de carrière «durable»

DJEDDAH: Les films hollywoodiens Fourth Wall et Chasing Red devraient être tournés à AlUla en Arabie saoudite en 2024, dans le cadre d’un accord de 10 projets entre Film AlUla – la Commission royale pour l’agence cinématographique d’AlUla – et la société de médias mondiale Stampede Ventures.

L’annonce a été faite samedi lors du Festival international du film de la mer Rouge. Greg Silverman, PDG de Stampede Ventures, et Charlene Deleon-Jones, directrice exécutive de Film AlUla, ont fourni des détails supplémentaires sur l’accord qui durera trois ans, et qui inclut la comédie dramatique K-pops!, annoncée précédemment.

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L’annonce a été faite samedi, lors du Festival international du film de la mer Rouge (AN/Huda Bashatah).

Fourth Wall suit une ancienne enfant star d’une sitcom télévisée populaire qui est kidnappée. Elle se réveille dans une reconstitution complète du décor de la série avec le reste du casting, où elle doit surmonter son traumatisme et recréer des moments emblématiques de la série afin de rester en vie et trouver une issue.

Cependant, Chasing Red est une romance mettant en scène Veronica, une étudiante exemplaire, et le riche playboy Caleb. Il s'agit d'une adaptation d'un livre de l'auteure philippino-canadienne Isabelle Ronin, réalisée par Jessika Borsiczky. Cette dernière a souligné à Arab News que l'histoire l'a attirée en raison de son caractère universel, notamment le premier amour, ainsi que des récits de femmes découvrant leur identité et leur place dans le monde.

Stampede Ventures sera parmi les premiers à utiliser les installations de production de Film AlUla, qui comprennent une scène sonore de plus de 2 700m2, un décor extérieur, des bâtiments de soutien à la production, des ateliers, des entrepôts, un studio d’enregistrement et un espace d’entraînement et de répétition.

L’accent sera mis sur l’utilisation des talents saoudiens tout au long du processus de production, a déclaré Deleon-Jones, précisant: «L’une des parties les plus importantes sur laquelle nous travaillons est la formation et le développement, car cela nous donne l’opportunité de véritablement développer une équipe en dessous de la ligne dans un endroit comme AlUla, où traditionnellement, les principales carrières qui s’offraient à vous étaient l’agriculture. Nous disposons d’une population active jeune, dynamique et engagée dans le numérique, dans un endroit considéré comme l’une des zones les plus éloignées, et maintenant, de nouvelles opportunités de carrière passionnantes s’offrent à eux.»

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Jessica Borsicxky a déclaré à Arab News que l’histoire l’a attirée parce que «la romance est si universelle» (AN/Huda Bashatah).  

Selon elle, l'aspect le plus crucial est de démontrer aux talents saoudiens que l'industrie cinématographique offre une carrière «durable». Silverman renchérit sur cette idée, affirmant que l'accord a été «spécifiquement conçu pour permettre aux talents de venir, de prouver leur valeur, et qu'il y aura un autre film le mois prochain dans lequel ils pourront être impliqués.»

Silverman est un vétéran de l’industrie du divertissement, connu pour son expérience chez Warner Brothers où il a dirigé plus de 125 films qui ont rapporté plus de 38 milliards de dollars (1 dollar américain = 0,92 euro) au box-office mondial, notamment la série Harry Potter, la trilogie Batman de Christopher Nolan, 300 de Zack Snyder, la trilogie emblématique Hangover de Todd Phillips et Joker.

Parmi les productions hollywoodiennes antérieures tournées à AlUla, on compte le thriller d'action Kandahar, dirigé par Gerard Butler et réalisé par Ric Roman Waugh, ainsi que Cherry, avec Tom Holland et réalisé par Anthony et Joe Russo.

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 

 


Contre le stress, des éleveurs anglais proposent des séances de câlins avec leurs vaches

Fiona Wilson et ses collègues de la ferme ont commencé à proposer des séances de câlins avec leurs vaches en février, quand il est devenu clair que leurs difficultés économiques n'étaient pas prêtes de s'arranger (Photo, Instagram).
Fiona Wilson et ses collègues de la ferme ont commencé à proposer des séances de câlins avec leurs vaches en février, quand il est devenu clair que leurs difficultés économiques n'étaient pas prêtes de s'arranger (Photo, Instagram).
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  • Le succès est au rendez-vous: les créneaux sont réservés des mois à l'avance, pour un prix de 50 livres sterling
  • À l'intérieur de l'étable, les vaches assoupies semblent ravies de se faire gratter le menton et brosser le pelage par les visiteurs

BEVERLEY: Si les visiteurs de la ferme Dumble, dans le nord de l'Angleterre, viennent de loin, ce n'est pas pour acheter du lait ou du fromage, mais pour faire un câlin à Morag, une imposante vache Highland, et à ses compagnes.

Fiona Wilson et ses collègues de la ferme ont commencé à proposer des séances de câlins avec leurs vaches en février, quand il est devenu clair que leurs difficultés économiques n'étaient pas prêtes de s'arranger.

"Certaines personnes aiment le contact avec des chiens, des chats ou des chevaux. D'autres préfèrent être avec des vaches", a dit Fiona Wilson à l'AFP. "Les gens viennent pour leur bien-être. Etre en compagnie d'animaux soulage l'anxiété, c'est presque comme une thérapie."

Comme tant d'autres éleveurs, les propriétaires de la ferme Dumble, près de Beverley, dans l'est du Yorkshire, ont été violemment frappés par la chute brutale des prix du lait ainsi que, plus récemment, par la forte inflation.

En quelques décennies, des dizaines de milliers d'éleveurs ont quitté le secteur.

Selon un rapport de la bibliothèque de la Chambre des communes, le Royaume-Uni comptait 196.000 exploitations laitières en 1950. En 1995, il n'en restait plus que 35.700.

La baisse des prix du lait et l'augmentation des coûts de l'énergie, du carburant, des aliments pour animaux et des engrais depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, en février 2022, ont scellé le sort de beaucoup d'autres.

Selon l'Agriculture and Horticulture Development Board, qui représente les agriculteurs, il n'y avait plus que 7.500 producteurs laitiers en Grande-Bretagne en octobre 2023.

De «nature placide et amicale»

La ferme Dumble a été, en outre, confrontée à des inondations à six reprises en sept ans, laissant la ferme sous l'eau souvent pendant des mois.

Fiona Wilson et ses partenaires, dont son mari et son frère, travaillaient 14 heures par jour, toute l'année, mais perdaient de l'argent. "Ce n'est pas possible de vivre ainsi", souligne-t-elle. "Il n'y avait pas d'avenir. Nous n'allions nulle part."

En janvier 2022, ils ont décidé de diversifier leurs activités et ont vendu leur troupeau, à l'exception de cinq vaches qu'ils ne pouvaient se résoudre à abandonner.

"Elles étaient vraiment nos amies, avec leur nature placide et amicale", explique Fiona Wilson.

"Nous avons alors pensé que peut-être nous pourrions essayer de lancer des séances de câlin de vaches, juste pour gagner un peu plus d'argent, (...) et aussi pour intéresser les gens à ce que nous faisons ici."

La ferme a préparé les vaches pendant des mois avant d'inviter les clients à venir les caresser. Les vaches, elles, semblaient heureuses dans leur nouvelle activité.

"Ce sont des animaux curieux. Elles s'intéressent aux gens qui viennent les voir", assure Fiona Wilson.

L'expérience, qui comprend également des activités éducatives sur l'agriculture durable, attire des couples, des familles et des amoureux des vaches venus de tout le pays.

Le succès est au rendez-vous: les créneaux sont réservés des mois à l'avance, pour un prix de 50 livres sterling (58,30 euros) par personne.

À l'intérieur de l'étable, les vaches assoupies semblent ravies de se faire gratter le menton et brosser le pelage par les visiteurs.

Steven Clews a offert une séance à sa femme, qui adore les vaches Highland. Il a profité lui aussi de l'expérience.

"J'aime tous les animaux, surtout ceux qui sont câlins. Alors pouvoir câliner une grosse vache, c'est vraiment cool", se réjouit-il.

"Elles sont si faciles à brosser", s'enthousiasme son épouse, Emma Clews. "Je ne pensais pas que je trouverais cela si relaxant."

A la fin de la séance, Morag, avec ses longs poils couleur caramel, lève la tête vers le ciel, l'air satisfait, suscitant des sourires et des ronronnements de plaisir de la part de ses visiteurs.


Le Red Sea film festival célèbre «Women in Cinema» avec des vedettes mondiales

Zoe Saldana au gala de Women In Cinema, lors du Red Sea International Film Festival (Photo, Getty Images).
Zoe Saldana au gala de Women In Cinema, lors du Red Sea International Film Festival (Photo, Getty Images).
Yousra au gala de Women In Cinema, lors du Red Sea International Film Festival (Photo, Getty Images).
Yousra au gala de Women In Cinema, lors du Red Sea International Film Festival (Photo, Getty Images).
Yasmine Sabri au gala de Women In Cinema, lors du Red Sea International Film Festival (Photo, Getty Images).
Yasmine Sabri au gala de Women In Cinema, lors du Red Sea International Film Festival (Photo, Getty Images).
Le Red Sea International Film Festival se déroule du 30 novembre au 9 décembre et propose 11 catégories de films (Photo, Getty Images).
Le Red Sea International Film Festival se déroule du 30 novembre au 9 décembre et propose 11 catégories de films (Photo, Getty Images).
Sofia Vergara au gala de Women In Cinema, lors du Red Sea International Film Festival (Photo, Getty Images).
Sofia Vergara au gala de Women In Cinema, lors du Red Sea International Film Festival (Photo, Getty Images).
Diane Kruger au gala de Women In Cinema, lors du Red Sea International Film Festival (Photo, Getty Images).
Diane Kruger au gala de Women In Cinema, lors du Red Sea International Film Festival (Photo, Getty Images).
Le Red Sea International Film Festival se déroule du 30 novembre au 9 décembre et propose 11 catégories de films (Photo, Getty Images).
Le Red Sea International Film Festival se déroule du 30 novembre au 9 décembre et propose 11 catégories de films (Photo, Getty Images).
Sharon Stone au gala de Women In Cinema, lors du Red Sea International Film Festival (Photo, Getty Images).
Sharon Stone au gala de Women In Cinema, lors du Red Sea International Film Festival (Photo, Getty Images).
Nancy Ajram et Nabil Ebeid au gala de Women In Cinema, lors du Red Sea International Film Festival (Photo, Getty Images).
Nancy Ajram et Nabil Ebeid au gala de Women In Cinema, lors du Red Sea International Film Festival (Photo, Getty Images).
Amina Khalil au gala de Women In Cinema, lors du Red Sea International Film Festival (Photo, Getty Images).
Amina Khalil au gala de Women In Cinema, lors du Red Sea International Film Festival (Photo, Getty Images).
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  • Née le 21 janvier 1945, Nabila Ebeid a été surnommée «la première étoile de l’Égypte.»
  • Le festival a commencé par une projection de gala du film «HWJN», du réalisateur irakien basé à Dubaï Yasir Al-Yasiri

DJEDDAH: Le Red Sea Film Festival et Vanity Fair Europe ont organisé vendredi soir une célébration des «Women in Cinema» (Femmes dans le cinéma), en présence de célébrités du monde entier.

La star de Bollywood, Katrina Kaif, était présente aux côtés des actrices hollywoodiennes Sofia Vergara, Sharon Stone, Diane Kruger, Michelle Rodriguez et Zoe Saldana, lors de la soirée de gala, tout comme la mannequin britannique Naomi Campbell.

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Michelle Rodriguez au gala de Women In Cinema, lors du Red Sea International Film Festival (Photo, Getty Images). 

La liste prestigieuse des invitées du monde arabe était composée de Yasmine Sabri, l'icône égyptienne Yousra, Amina Khalil, Nadine Nassib Njeim, Andria Tayeh, Aseel Omran et Sarah Taibah, ainsi que de nombreuses autres vedettes de la région.

«En collaboration avec Vanity Fair Europe, et en marge de la troisième édition du Red Sea International Film Festival, nous avons eu le plaisir d'accueillir «Womenin Cinema » qui est une célébration de la contribution des femmes dans le cinéma – où nous avons rendu hommage à l'icône du cinéma égyptien Nabila Ebeid et sa riche carrière cinématographique», a posté le festival sur Instagram.

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Nabila Ebeid et Mohammed Al-Turki au gala de Women In Cinema, lors du RedSea International Film Festival (Photo, Getty Images).

Née le 21 janvier 1945, Nabila Ebeid a été surnommée «la première étoile de l’Égypte.» Elle est à la fois connue en tant qu’actrice, aussi bien au cinéma que sur les planches, qu’en tant que productrice.

Le Red Sea International Film Festival se déroule du 30 novembre au 9 décembre et propose 11 catégories de films: Sélections spéciales - Red Sea: Concours - RedSea: Concours de courts métrages - Favoris du festival -  Spectaculaire arabe - Spectaculaire international - Nouveau cinéma saoudien/Nouveau cinéma: courts métrages – Red sea: Nouvelle Vision – Red Sea: Familles et enfants – Red sea: Séries - et Red sea: Trésors.

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Mohammed Al-Turki et Naomi Campbell au gala de Women In Cinema, lors duRed Sea International Film Festival (Photo, Getty Images).

Le jury du festival, constellé de célébrités, est présidé cette année par le réalisateur Baz Luhrmann, ayant à ses côtés l'acteur suédo-américain Joel Kinnaman («SuicideSquad»), ainsi que Freida Pinto («Slumdog Millionnaire»), l'actrice égyptienne Amina Khalil («Grand Hotel»), et l’actrice espagnole Paz Vega («Sex and Lucía», et «The OA»).

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Sharon Stone et Shivani Pandya assistant au gala de Women In Cinema, lors duRed Sea International Film Festival (Photo, Getty Images). 

Le festival a commencé par une projection de gala du film «HWJN», du réalisateur irakien basé à Dubaï Yasir Al-Yasiri, inspiré du roman YA de l’écrivain saoudien Ibraheem Abbas. «HWJN», qui se passe dans l’actuelle Djeddah, relate l'histoire d'un djinn au bon cœur – un personnage invisible, dans la tradition islamique – alors qu'il découvre la vérité sur son lignage royal.

L'actrice libanaise Nadine Nassib Njeim s'est entretenue avec Arab News sur le tapis rouge lors de cet évènement, notant: «Le festival marque un tournant pour tout cinéaste saoudien ambitieux, tout en offrant un excellent soutien aux jeunes personnes talentueuses pour présenter leur travail dans des festivals internationaux.»

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com