«Aji Tfham»: l’Histoire du Maroc racontée en web-série

Le premier épisode de la web-série «Aji Tfham», traite des «relations Maroc-Algérie» (Photo, Le Matin).
Le premier épisode de la web-série «Aji Tfham», traite des «relations Maroc-Algérie» (Photo, Le Matin).
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Publié le Mardi 08 novembre 2022

«Aji Tfham»: l’Histoire du Maroc racontée en web-série

  • La web-série permet une plus large diffusion de la connaissance historique
  • «L’histoire est un patrimoine qui appartient à tout le monde»

Raconter l’Histoire du Maroc par le biais d’une web-série d’animation sur la chaîne YouTube «Aji Tfham» (Viens comprendre) est une idée géniale qu’ont eue l’historien Nabil Mouline et le créateur de contenus Mustapha Swinga. Elle permet une plus large diffusion de la connaissance historique, tout en répondant aux questions du grand public et en suscitant la curiosité des générations futures à chercher dans leur histoire, l’identité et la culture de leur pays.

Le premier épisode de la web-série «Aji Tfham», sur «Les relations Maroc-Algérie», lancé le 4 novembre au site historique du Chellah, a été bien accueilli par l’assistance. «En tant qu’historien, je m’intéresse beaucoup à tout ce qui a un rapport avec l’histoire, notamment les documents, les archives, les publications et les cartes, entre autres. Et j’avais toujours le souci de transmettre cette histoire à un plus large public. Car l’histoire est un patrimoine qui appartient à tout le monde. Par exemple, l’Histoire du Maroc constitue l’identité de tous les Marocains, dépassant ainsi toutes les différences entre les régions, les langues parlées, les traditions locales… D’où cette histoire riche et diversifiée qui met en relief ce grand cumul de plusieurs règnes et générations, fruit d’un brassage, de coexistence et de luttes acharnées», souligne Nabil Mouline, historien chercheur au Centre national de recherche scientifique (CNRS-France).

Ce dernier a déjà entamé ce parcours par la recherche et l’écriture, puis en tenant plusieurs conférences et tables rondes. «Mais, j’ai trouvé que ces moyens de connaissances, qu’on peut qualifier actuellement de traditionnels, ont leurs limites, parce que la société a changé et les sources du savoir également.»

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NDLR: Mosaïque est une revue de presse qui offre au lecteur un aperçu sélectif et rapide des sujets phares abordés par des quotidiens et médias de renommée dans le monde arabe. Arab news en français se contente d’une publication très sommaire, renvoyant le lecteur directement vers le lien de l’article original. L’opinion exprimée dans cette page est propre à l’auteur et ne reflète pas nécessairement celle d’Arab News en français.


Les autorités irakiennes enquêtent sur le meurtre d'un influenceur des médias sociaux

La célébrité irakienne de TikTok, Um Fahad, est photographiée au stade international de Bassorah lors d'un match de la Coupe du Golfe arabe, le 19 janvier 2023 (Photo, AFP).
La célébrité irakienne de TikTok, Um Fahad, est photographiée au stade international de Bassorah lors d'un match de la Coupe du Golfe arabe, le 19 janvier 2023 (Photo, AFP).
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  • Ghufran Mahdi Sawadi, connue sous le nom d'Um Fahad ou « mère de Fahad », était populaire sur les réseaux sociaux TikTok et Instagram
  • L’agresseur avait ouvert le feu alors que Sawadi garait sa Cadillac devant sa maison vendredi, la tuant

Les autorités irakiennes enquêtaient samedi sur le meurtre d'une influenceuse bien connue des médias sociaux, abattue par un motocycliste armé devant son domicile dans le centre de Bagdad.

Ghufran Mahdi Sawadi, connue sous le nom d'Um Fahad ou « mère de Fahad », était populaire sur les réseaux sociaux TikTok et Instagram, où elle a publié des vidéos d'elle dansant sur de la musique et a été suivie par des dizaines de milliers d'utilisateurs.

Un responsable de la sécurité irakienne, qui s'est exprimé sous couvert d'anonymat car il n'était pas autorisé à parler aux médias, a déclaré que l'agresseur avait ouvert le feu alors que Sawadi garait sa Cadillac devant sa maison vendredi, la tuant, puis lui avait pris son téléphone. et a fui les lieux.

Un voisin de Sawadi, qui s'est identifié uniquement par son surnom, Abu Adam ou "père d'Adam", a déclaré être sorti dans la rue après avoir entendu deux coups de feu et avoir vu "la portière de la voiture ouverte et elle était allongée sur le volant".

 

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Le 53ème Festival national des arts populaires du 4 au 8 juillet à Marrakech

La préservation des arts traditionnels est une quête de permanence et de dialogue entre le passé et le présent (Photo, Le Matin).
La préservation des arts traditionnels est une quête de permanence et de dialogue entre le passé et le présent (Photo, Le Matin).
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  • Le festival devient ainsi une ode à la transmission des savoir-faire et des récits qui ont traversé les âges
  • Le Festival national des arts populaires aspire à renforcer les liens entre les générations en familiarisant les jeunes avec les trésors de l'art populaire Marocain

La 53ème édition du Festival national des arts populaires (FNAP) aura lieu du 4 au 8 juillet prochain à Marrakech, sous le thème "Rythmes et Symboles Éternels" avec la participation de plus de 600 artistes venant des quatre coins du Royaume.

Le Festival national des arts populaires, conçu pour mettre en lumière la diversité et la richesse du patrimoine artistique marocain, aspire à renforcer les liens entre les générations en familiarisant les jeunes avec les trésors de l'art populaire Marocain, indiquent les organisateurs dans un communiqué, notant qu'à travers des performances envoûtantes, le FNAP offre une vitrine exceptionnelle des talents indigènes et de leur créativité foisonnante.

"Rythmes et Symboles Éternels" n'est pas seulement un thème, mais une invitation à plonger dans l’histoire vivante du Maroc, une célébration de l'identité nationale à travers la musique, la danse, le chant, et l'artisanat, explique la même source. Le festival devient ainsi une ode à la transmission des savoir-faire et des récits qui ont traversé les âges, soulignant l'importance cruciale de la conservation et de la valorisation de ces expressions culturelles.

 

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Bendjama : «L’UNRWA est une épine dorsale de l’acheminement de l’aide humanitaire»

Le représentant permanent de l’Algérie à l’ONU, l’ambassadeur Amar Bendjama (Photo, El Watan).
Le représentant permanent de l’Algérie à l’ONU, l’ambassadeur Amar Bendjama (Photo, El Watan).
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  • «Il n’est plus nécessaire de débattre davantage de la crédibilité et de l’efficacité de l’Unrwa»
  •  «L’Unrwa est l’épine dorsale de l’acheminement de l’aide humanitaire à Ghaza. Elle doit fonctionner librement et sans menace»

 

Le représentant permanent de l’Algérie à l’ONU, l’ambassadeur Amar Bendjama, a souligné le «rôle irremplaçable» de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA), étant «l’épine dorsale» de l’acheminement de l’aide humanitaire à Ghaza, ravagée par plus de 200 jours d’agression génocidaire sioniste.

 «L’Unrwa est l’épine dorsale de l’acheminement de l’aide humanitaire à Ghaza. Elle doit fonctionner librement et sans menace», a déclaré mercredi M. Bendjama, après avoir écouté un briefing au Conseil de sécurité de la coordinatrice de haut niveau de l’action humanitaire et la reconstruction à Ghaza, Mme Sigrid Kaag, sur l’état de la mise en œuvre de la résolution 2720 (2023). «Il n’est plus nécessaire de débattre davantage de la crédibilité et de l’efficacité de l’Unrwa», après le rapport du comité indépendant chargé d’évaluer le fonctionnement de l’Unrwa, présidé par l’ex-ministre française des Affaires étrangères Catherine Colonna, a ajouté l’ambassadeur. 

Dans ce contexte, M. Bendjama a tenu à rappeler que le rapport de Mme Colonna indiquait que «l’Unrwa possède une approche de neutralité plus développée que d’autres entités similaires des Nations unies ou des ONG» et qu’«Israël n’a pas encore fourni de preuves à l’appui de ses allégations contre le personnel de l’UNRWA». Et de poursuivre : «Il n’y a pas d’alternative à l’Unrwa et les agences des Nations unies ne peuvent pas la remplacer». 

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