Les marques saoudiennes révèlent leur style au salon des accessoires pour homme

Les marques émergentes ont fait sentir leur présence aux côtés de noms déjà établis sur le marché, lors d’une exposition sur les tissus et accessoires pour homme, avec plus de 700 exposants à Riyad (AN Photo / Huda Bashatah)
Les marques émergentes ont fait sentir leur présence aux côtés de noms déjà établis sur le marché, lors d’une exposition sur les tissus et accessoires pour homme, avec plus de 700 exposants à Riyad (AN Photo / Huda Bashatah)
Les marques émergentes ont fait sentir leur présence aux côtés de noms déjà établis sur le marché, lors d’une exposition sur les tissus et accessoires pour homme, avec plus de 700 exposants à Riyad (AN Photo / Huda Bashatah)
Les marques émergentes ont fait sentir leur présence aux côtés de noms déjà établis sur le marché, lors d’une exposition sur les tissus et accessoires pour homme, avec plus de 700 exposants à Riyad (AN Photo / Huda Bashatah)
Les marques émergentes ont fait sentir leur présence aux côtés de noms déjà établis sur le marché, lors d’une exposition sur les tissus et accessoires pour homme, avec plus de 700 exposants à Riyad (AN Photo / Huda Bashatah)
Les marques émergentes ont fait sentir leur présence aux côtés de noms déjà établis sur le marché, lors d’une exposition sur les tissus et accessoires pour homme, avec plus de 700 exposants à Riyad (AN Photo / Huda Bashatah)
Haiba est une entreprise qui se concentre sur les marchés régionaux et nationaux, en particulier ceux liés aux parfums et chaussures pour hommes et qui se distingue par la qualité, le cuir naturel et les designs uniques et exclusifs. Elle se spécialise dans les chaussures orientales haut de gamme et bien faites. Des styles traditionnels et contemporains sont disponibles. (AN Photo / Huda Bashatah)
Haiba est une entreprise qui se concentre sur les marchés régionaux et nationaux, en particulier ceux liés aux parfums et chaussures pour hommes et qui se distingue par la qualité, le cuir naturel et les designs uniques et exclusifs. Elle se spécialise dans les chaussures orientales haut de gamme et bien faites. Des styles traditionnels et contemporains sont disponibles. (AN Photo / Huda Bashatah)
Les marques émergentes ont fait sentir leur présence aux côtés de noms déjà établis sur le marché, lors d’une exposition sur les tissus et accessoires pour homme, avec plus de 700 exposants à Riyad (AN Photo / Huda Bashatah)
Les marques émergentes ont fait sentir leur présence aux côtés de noms déjà établis sur le marché, lors d’une exposition sur les tissus et accessoires pour homme, avec plus de 700 exposants à Riyad (AN Photo / Huda Bashatah)
La marque Burra s’intéresse aux accessoires pour hommes tels que les bagues, les chapelets, etc. Elle propose ses propres créations, spécialisées dans l'argent et les pierres précieuses. . (AN Photo/ Huda Bashatah)
La marque Burra s’intéresse aux accessoires pour hommes tels que les bagues, les chapelets, etc. Elle propose ses propres créations, spécialisées dans l'argent et les pierres précieuses. . (AN Photo/ Huda Bashatah)
Les marques émergentes ont fait sentir leur présence aux côtés de noms déjà établis sur le marché, lors d’une exposition sur les tissus et accessoires pour homme, avec plus de 700 exposants à Riyad (AN Photo / Huda Bashatah)
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Les marques émergentes ont fait sentir leur présence aux côtés de noms déjà établis sur le marché, lors d’une exposition sur les tissus et accessoires pour homme, avec plus de 700 exposants à Riyad (AN Photo / Huda Bashatah)
Les marques émergentes ont fait sentir leur présence aux côtés de noms déjà établis sur le marché, lors d’une exposition sur les tissus et accessoires pour homme, avec plus de 700 exposants à Riyad (AN Photo / Huda Bashatah)
Les marques émergentes ont fait sentir leur présence aux côtés de noms déjà établis sur le marché, lors d’une exposition sur les tissus et accessoires pour homme, avec plus de 700 exposants à Riyad (AN Photo / Huda Bashatah)
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Publié le Samedi 04 mars 2023

Les marques saoudiennes révèlent leur style au salon des accessoires pour homme

  • Haiba, une entreprise qui se concentre sur les marchés régionaux et nationaux des parfums et chaussures pour hommes, a présenté une gamme d’articles au design exclusif
  • Burra est connue pour ses accessoires, notamment ses bagues et ses chapelets ainsi que ses créations spéciales en argent et en métaux précieux

RIYAD : Les marques émergentes ont fait sentir leur présence aux côtés de noms établis lors d’une exposition sur les tissus et accessoires pour hommes avec plus de 700 exposants au Riyad International Convention and Exhibition Center.

Haiba, une entreprise qui se concentre sur les marchés régionaux et nationaux des parfums et chaussures pour hommes, a présenté une gamme d’articles exclusivement conçus en cuir naturel.

« C'est notre deuxième participation. Nous avons participé l'année dernière, et ce fut une expérience merveilleuse. L'impact de l'expérience ne s'est pas limité aux seuls jours de l'exposition, mais s'est prolongé tout au long de l'année », a déclaré Abdul Qadir Al-Fifi, responsable du développement commercial chez Haiba, à Arab News.

Haiba se spécialise dans les chaussures orientales, en mettant l'accent sur les styles traditionnels et contemporains. La marque cible principalement les clients du Moyen-Orient, en particulier l'Arabie Saoudite, avec des vêtements destinés aux jeunes et à des prix abordables.

Quant à elle, Burra est connue pour ses accessoires, notamment ses bagues et ses chapelets ainsi que ses créations spéciales en argent et en métaux précieux.

« Nous concevons des bijoux pour hommes et femmes chez Burra, mais nous nous concentrons actuellement sur les articles pour hommes. Nos produits sont de la plus haute qualité et nous avons une usine en Arabie Saoudite », a déclaré Abdulrahman Al-Budairah, propriétaire de Burra.

Selon lui, l'intérêt des hommes saoudiens pour les accessoires ne cesse de croître car ces derniers suivent les tendances du design moderne et recherchent des articles de haute qualité.


L'exposition a présenté les entreprises émergentes et établies, telles que Haik, une marque de la province de l'Est spécialisée dans les tissus pour hommes depuis plus de quatre décennies.

« C'est la première fois que nous participons à Riyad, et c’est excellent. Nous avons une succursale dans le quartier d'Al-Aqiq à Riyad », a déclaré Ibrahim Al-Idrisi, un vendeur à Haik, à Arab News.

Selon lui, Haik se distingue par ses tissus japonais pour hommes et ses motifs de thob produits à l'aide de machines allemandes.

Muqrin Al-Nashmi, directeur général de l'exposition, a déclaré à Arab News que la 2e  édition de l'exposition comprenait également des ateliers de formation sur la conception de produits, le marketing et la protection des droits de propriété intellectuelle, ainsi que des sessions sur les initiatives gouvernementales pour aider le secteur textile.

L'exposition, qui s'est terminée jeudi, a permis aux entreprises de communiquer directement avec les clients ainsi qu'avec les distributeurs cherchant à ouvrir des franchises et des succursales dans le Royaume.

Parmi les autres grands noms des tissus et accessoires pour hommes qui ont participé à l'exposition figurent Al-Bassam, Sayyar, Richy, Haibah, Al-Ajlan & Bros. et Al-Mojahli.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Le ministère saoudien des affaires étrangères accuse Israël de "génocide" à Gaza

Une femme palestinienne est assise à côté de ses affaires sur le site d'une frappe israélienne sur un camp de tentes abritant des personnes déplacées, à Deir Al-Balah, dans le centre de la bande de Gaza, le 21 août 2025. (Reuters)
Une femme palestinienne est assise à côté de ses affaires sur le site d'une frappe israélienne sur un camp de tentes abritant des personnes déplacées, à Deir Al-Balah, dans le centre de la bande de Gaza, le 21 août 2025. (Reuters)
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  • Le ministère condamne les "crimes" de Tel-Aviv concernant l'expansion des colonies et le déplacement des Palestiniens

RIYAD : Le ministère saoudien des Affaires étrangères a accusé Israël d'actes équivalant à un "génocide" à Gaza, dans un communiqué publié sur X jeudi.

Le Royaume "condamne avec la plus grande fermeté la persistance des autorités d'occupation israéliennes dans leurs crimes contre le peuple palestinien et sa terre occupée".

Tel-Aviv continue de "déplacer" les Palestiniens sur leurs terres et de les empêcher de créer un État indépendant.

"Cela inclut l'expansion continue de la construction de colonies autour de Jérusalem occupée, ainsi que l'expansion de leurs opérations et de leurs agressions, qui s'apparentent à des crimes de génocide contre des civils sans défense dans la bande de Gaza", a déclaré le ministère.

Le ministère a condamné ce qu'il a qualifié de "graves violations du droit international" et des résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies.

La "mise en œuvre de ces plans israéliens dangereux ... sans dissuasion" menace la "sécurité et la stabilité" régionales et la "légitimité de l'ordre international", a déclaré le ministère.

Israël est actuellement accusé de crimes de guerre et de génocide par la Cour internationale de justice. En outre, la Cour pénale internationale a émis des mandats d'arrêt à l'encontre du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et de l'ancien ministre de la défense Yoav Gallant.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Liban: les camps palestiniens entament leur désarmement

L'armée libanaise et les forces de sécurité montent la garde près d'un camion transportant une cache d'armes légères à la sortie du camp de réfugiés palestiniens de Burj al-Barajneh, dans la banlieue sud de Beyrouth, le 21 août 2025, alors que les groupes palestiniens armés dans les camps de réfugiés commencent à remettre leurs armes aux autorités libanaises. (AFP)
L'armée libanaise et les forces de sécurité montent la garde près d'un camion transportant une cache d'armes légères à la sortie du camp de réfugiés palestiniens de Burj al-Barajneh, dans la banlieue sud de Beyrouth, le 21 août 2025, alors que les groupes palestiniens armés dans les camps de réfugiés commencent à remettre leurs armes aux autorités libanaises. (AFP)
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  • Le processus de remise des armes par les factions palestiniennes a commencé dans le camp de Bourj al-Barajneh, conformément à un accord conclu entre les autorités libanaises et palestiniennes en mai
  • Cette initiative, qualifiée de symbolique, vise à encourager d'autres groupes armés à suivre, dans un contexte de pressions internationales sur le Liban pour le désarmement de toutes les forces non étatiques

BEYROUTH: Des factions palestiniennes présentes dans les camps de réfugiés au Liban ont commencé jeudi à remettre leurs armes aux autorités, conformément à un accord conclu en mai visant à garantir le monopole des armes à l'Etat libanais.

"Aujourd'hui marque le début de la première phase du processus de remise des armes à l'intérieur des camps palestiniens", a indiqué dans un communiqué le président du Comité de dialogue libano-palestinien, Ramez Damaschkieh.

L'opération a débuté dans le camp de Bourj al-Barajneh à Beyrouth, où un premier lot d'armes a été remis à l'armée libanaise, a constaté un photographe de l'AFP.

Un camion a transporté des armes et munitions placées dans des sacs du camp vers un parking voisin, où des militaires libanais étaient déployés.

Des dizaines de combattants en treillis, armés de fusils ont aussi été vus par l'AFP devant le siège à Beyrouth du Fatah, le mouvement du président palestinien Mahmoud Abbas.

L'émissaire américain, Tom Barrack, a salué une "étape historique vers l'unité et la stabilité" du Liban.

Le Premier ministre libanais, Nawaf Salam, s'est également félicité du début du processus, qui, a-t-il dit, "s'achèvera avec la remise de lots supplémentaires dans les semaines à venir depuis Bourj al-Barajneh et d'autres camps », selon un communiqué de son cabinet.

Un responsable sécuritaire palestinien avait plus tôt précisé à l'AFP, sous couvert d'anonymat, que "le Fatah commencera à remettre ses armes dans le camp de Bourj, dans le cadre de la coordination avec l'armée libanaise".

- "Démarche symbolique" -

En mai, M. Abbas s'était rendu à Beyrouth - sa première visite au Liban depuis 2017 - et y avait conclu avec le président libanais Joseph Aoun un accord prévoyant la remise aux autorités de toutes les armes présentes dans les camps palestiniens.

Le Liban est en parallèle sous fortes pressions américaines pour désarmer le Hezbollah, après les lourdes pertes infligées au mouvement pro-iranien lors de sa guerre contre Israël l'an dernier.

Le 5 août, le gouvernement a chargé l'armée de préparer un plan pour le désarmer d'ici la fin 2025.

Une source sécuritaire du camp de Bourj el-Barajneh a estimé que "l'initiative du Fatah de commencer à remettre ses armes est symbolique, et découle d'un accord entre Aoun et le fils du président palestinien, Yasser Abbas, actuellement en visite à Beyrouth".

Cette démarche vise à "encourager les autres factions (palestiniennes armées) à suivre le même chemin", a ajouté cette source, soulignant que dans les camp, ces dernières "n'ont pas encore décidé de remettre leurs armes".

L'Autorité palestinienne n'exerce pas de contrôle sur ces autres factions, au premier rang desquelles figure le Hamas, le mouvement islamiste palestinien en guerre contre Israël à Gaza depuis octobre 2023.

- "Illégitimes" -

Le Liban accueille environ 222.000 réfugiés palestiniens, selon l'agence onusienne Unrwa, dont une majorité vit dans des camps surpeuplés échappant au contrôle de l'Etat.

Le camp d'Aïn al-Hilweh, près de Saïda (sud), est le plus grand du pays et abrite notamment des personnes recherchées par les autorités libanaises.

La remise des armes devait initialement commencer à la mi-juin, mais, dans un entretien la semaine dernière à la chaîne saoudienne Al-Arabiya, M. Aoun avait imputé le retard à la guerre qui a opposé en juin l'Iran et Israël et à "des considérations internes à l'Autorité palestinienne".

Badie al-Habet, membre de la direction du Fatah à Beyrouth, a déclaré à l'AFP que la remise attendue jeudi concernait "les armes illégitimes détenues par des individus illégitimes".

Il a toutefois précisé que les armes du personnel de sécurité palestinien dans les camps n'étaient pas concernées.

Les factions armées palestiniennes, dont le Hamas, ont tiré à plusieurs reprises sur Israël depuis le Liban lors du conflit qui a opposé Israël au Hezbollah avant un accord de cessez-le-feu conclu fin novembre.

Le texte stipule que seule l'armée libanaise est autorisée à conserver des armes et qu'elle est la seule force, avec les Casques bleus de l'ONU, à être déployée dans le sud du pays.

Israël poursuit néanmoins ses frappes contre le Liban et maintient ses troupes sur cinq positions stratégiques dans cette région.

Le Hezbollah, de son côté, a affirmé qu'il résisterait à toute tentative de désarmement.


Le chef de la diplomatie jordanienne accuse Israël «de tuer les perspectives de la paix» dans la région

Le chef de la diplomatie jordanienne, Ayman Safadi, en visite en Russie, a accusé mercredi Israël de "tuer les perspectives de la paix" dans la région, alors que le gouvernement israélien a donné son feu-vert à la prise de la ville de Gaza. (AFP)
Le chef de la diplomatie jordanienne, Ayman Safadi, en visite en Russie, a accusé mercredi Israël de "tuer les perspectives de la paix" dans la région, alors que le gouvernement israélien a donné son feu-vert à la prise de la ville de Gaza. (AFP)
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  • "La paix est un objectif stratégique pour nous tous. C'est le seul chemin vers la stabilité dans la région", a souligné le ministre jordanien des Affaires étrangères
  • Bien que la Jordanie ne soit pas limitrophe de la bande de Gaza, elle fait partie des pays de la région touchés par le conflit entre Israël et le Hamas, déclenché par l'attaque sans précédent de ce groupe islamiste palestinien en Israël le 7 octobre 2023

MOSCOU: Le chef de la diplomatie jordanienne, Ayman Safadi, en visite en Russie, a accusé mercredi Israël de "tuer les perspectives de la paix" dans la région, alors que le gouvernement israélien a donné son feu-vert à la prise de la ville de Gaza.

"Nous voyons le gouvernement israélien non seulement tuer des Palestiniens et tuer les perspectives de la paix dans la région, mais aussi étendre le conflit au Liban et en Syrie", a déclaré M. Safadi lors d'une rencontre avec son homologue russe Sergueï Lavrov à Moscou.

Il a dénoncé une "réalité complètement inhumaine créée à Gaza par l'agression israélienne", en indiquant vouloir évoquer avec M. Lavrov "les efforts visant à mettre fin" aux "massacres et à la famine".

"La paix est un objectif stratégique pour nous tous. C'est le seul chemin vers la stabilité dans la région", a souligné le ministre jordanien des Affaires étrangères.

Bien que la Jordanie ne soit pas limitrophe de la bande de Gaza, elle fait partie des pays de la région touchés par le conflit entre Israël et le Hamas, déclenché par l'attaque sans précédent de ce groupe islamiste palestinien en Israël le 7 octobre 2023.

Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a ordonné mercredi le rappel de 60.000 réservistes après avoir donné son feu vert à la prise de la ville de Gaza, en pleine médiation en vue d'une trêve dans le territoire palestinien et la libération d'otages israéliens.

Depuis le début de la guerre, Israël assiège à Gaza plus de deux millions de Palestiniens menacés de famine selon l'ONU, des accusations rejetées par Israël.

L'attaque du 7 octobre 2023 a entraîné la mort côté israélien de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles.

L'offensive de représailles israélienne a fait au moins 62.064 morts à Gaza, majoritairement des civils, selon les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.