Première du dernier film de Dina Shihabi au Tribeca Film Festival de New York

Dina Shihabi a un grand nombre de projets et une première prévue pour cet été (Getty Images).
Dina Shihabi a un grand nombre de projets et une première prévue pour cet été (Getty Images).
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Publié le Mercredi 07 juin 2023

Première du dernier film de Dina Shihabi au Tribeca Film Festival de New York

  • La première de Catching Dust, dans lequel elle joue, sera présentée au Tribeca Film Festival de New York, le 11 juin
  • Un été chargé attend l’actrice née à Riyad, avec la diffusion de sa nouvelle série, Painkiller, sur Netflix le 10 août

DUBAÏ: L'actrice Dina Shihabi, en partie Saoudienne, a fait la promotion sur les réseaux sociaux de son dernier film, Catching Dust, dont la première sera présentée au Tribeca Film Festival de New York, le 11 juin.

Ce long métrage de quatre-vingt seize minutes a été réalisé par Stuart Gatt: Geena, une artiste et peintre qui rêve grand, est fatiguée de vivre dans le désert avec son partenaire dominateur. À bout de patience, Geena s'apprête à partir lorsqu'apparaît un nouveau couple de New York dans une caravane, désireux de se refaire une nouvelle vie loin de la ville. Les choses deviennent dangereuses pour les deux couples lorsque les tensions s’aggravent et que les ego atteignent leur paroxysme, alors que les tentatives de connexion laissent tout le monde à vif et au bord de la catastrophe.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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Dina Shihabi joue aux côtés de l'actrice américaine Erin Moriarty, qui tient le rôle de Geena, et des vedettes australiennes Jai Courtney et Ryan Corr. 

Un été chargé l’attend, sa dernière série, Painkiller, devant être diffusée sur Netflix le 10 août.

L'actrice, née à Riyad, s'est dernièrement manifestée sur Instagram pour présenter toute une gamme d’images de la minisérie, qui se concentre sur les origines et les conséquences du fléau des opioïdes aux États-Unis.

«C’est l'une des plus belles expériences de ma vie, avec un groupe de personnes parmi les plus talentueuses, que j'aimerai pour toujours. J'ai hâte que vous la regardiez», a-t-elle confié à ses fans.

Dina Shihabi y joue aux côtés des acteurs américains Matthew Broderick et Uzo Aduba, ainsi que de l'acteur canadien Taylor Kitsch.

Painkiller est basé sur le livre Pain Killer: An Empire of Deceit and the Origin of America's Opioid Epidemic, de Barry Meier, et un article du New Yorker, The Family That Built an Empire of Pain, écrit par Patrick Radden Keefe.

La série a été créée par le scénariste américain Micah Fitzerman-Blue et l'acteur et écrivain Noah Harpster, avec les cinéastes américains Eric Newman, Peter Berg et Alex Gibney comme producteurs exécutifs.

Dina Shihabi a passé une partie de son enfance à Dubaï. Son père est le journaliste saoudo-norvégien Ali Shihabi, et sa mère Nadia est mi-palestinienne et mi-allemande haïtienne.

Elle s’est établie aux États-Unis en 2007 et a été la première femme née au Moyen-Orient à être acceptée au sein du programme du diplôme d’interprétation de la Juilliard School et de l'Université de New York. Elle a commencé à apparaître dans des courts métrages en 2010, mais a surtout effectué une grande percée en 2017 avec le rôle de Hanin dans la série Tom Clancy's Jack Ryan.

Dina Shihabi s'est déjà entretenue avec Arab News pour présenter ses conseils aux futurs acteurs. «Regardez autour de vous les gens qui vous entourent en ce moment et commencez à créer des choses. La concentration, le travail acharné, la détermination, la passion sont importants. Ce sont des choses réelles», a-t-elle affirmé.

«Je travaille toujours très dur pour réaliser ce que je veux, et je ne pense pas que cela se terminera un jour. Si vous choisissez cette vie, vous choisissez une vie où vous devez vraiment travailler dur.»

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

 


Le premier sac Birkin d'Hermès vendu près de 8,6 millions d'euros à Paris

(AFP)
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  • Le premier sac Birkin d'Hermès, conçu spécialement pour Jane Birkin en 1984, a été vendu aux enchères, jeudi à Paris, pour 8,582 millions d'euros
  • Ce grand fourre-tout en cuir noir est le premier exemplaire de ce qui est devenu l'un des sacs les plus célèbres et les plus chers au monde

PARIS: Le premier sac Birkin d'Hermès, conçu spécialement pour Jane Birkin en 1984, a été vendu aux enchères, jeudi à Paris, pour 8,582 millions d'euros frais inclus, a indiqué la maison d'enchères Sotheby's.

Ce grand fourre-tout en cuir noir est le premier exemplaire de ce qui est devenu l'un des sacs les plus célèbres et les plus chers au monde.

Jusqu'à présent, le sac le plus cher jamais vendu aux enchères était un Kelly Hermès en crocodile, serti de diamants et rehaussé d'or blanc, ajdugé à plus de 513.000 dollars (438.000 euros), selon Sotheby's.

Ce "prototype historique réalisé à la main", gravé des initiales J.B., se distingue par plusieurs particularités qui en font une pièce unique, notamment sa taille, ses anneaux métalliques fermés, sa bandoulière non-détachable ou encore la présence d'un coupe-ongles intégré. Des traces d'autocollants sont aussi visibles sur le cuir patiné.

Icône de mode au look effortless chic (presque sans effort, ndlr), Jane Birkin privilégiait le côté pratique des choses.

Lors d'un vol Paris-Londres, la chanteuse et actrice anglaise, décédée en 2023, se plaint à son voisin de ne pas trouver un sac adapté à ses besoins de jeune maman.

Ce dernier n'est autre que Jean-Louis Dumas, gérant d'Hermès de l'époque. Un fourre-tout avec un espace dédié aux biberons voit ainsi le jour en 1984 et porte le nom Birkin.

Quarante ans plus tard, ce sac à main en cuir est devenu le produit emblématique du sellier-maroquinier. Produit en très petite quantité, il cultive une image d'exclusivité, avec un prix pouvant varier grandement, de quelques milliers d'euros pour les modèles les plus simples, jusqu'à plusieurs centaines de milliers d'euros pour les plus luxueux.

Outre le sac Birkin, la vente "Fashion Icons" de Sotheby's proposait des pièces emblématiques issues de défilés de créateurs tels que Christian Dior, John Galliano, Thierry Mugler ou encore Alexander McQueen.


Le musée de Djeddah expose 1 000 objets rares retraçant l’histoire de l'islam

La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
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La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
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  • La première galerie retrace l'évolution de la céramique et de la verrerie du Ier au Xe siècle de l'Hégire (du VIIe au XVIe siècle)
  • La deuxième galerie met en lumière le travail des métaux islamiques, avec des objets décorés de manière complexe et des récipients d'usage quotidien

DJEDDAH : La Maison des Arts Islamiques, le premier musée du Royaume entièrement dédié à l’art islamique, abrite une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique.

Situé dans le parc de Djeddah, le musée expose plus de 1 000 objets qui donnent un aperçu des valeurs islamiques et du patrimoine culturel et historique de la région, a rapporté l'Agence de presse saoudienne (SPA).

Le musée comprend six galeries, chacune explorant une facette distincte du patrimoine islamique.

La première galerie retrace l'évolution de la céramique et de la verrerie du Ier au Xe siècle de l'Hégire (du VIIe au XVIe siècle), mettant en valeur la poterie, un artisanat de l'Antiquité qui a connu un développement majeur sous l'impulsion des artisans musulmans.

La deuxième galerie met en lumière le travail du métal islamique, avec des objets décorés de manière complexe et des récipients d'usage quotidien.

La troisième galerie présente 500 pièces de monnaie de l'époque du prophète Mahomet à l'époque moderne, offrant un aperçu de l'histoire économique du monde musulman.

La quatrième galerie se concentre sur l'influence de l'art islamique sur les autres civilisations et sur la manière dont les cultures européennes se sont engagées dans les traditions artistiques islamiques.

La cinquième galerie présente des manuscrits coraniques rares, des pièces de calligraphie arabe et des tablettes de bois utilisées pour la mémorisation du Coran.

La dernière galerie présente des textiles islamiques, notamment des pièces provenant des revêtements intérieurs et extérieurs de la sainte Kaaba et un rare rideau de la porte Shammi de la mosquée du Prophète à Médine, fabriqué à l'époque ottomane au XIIIe siècle de l'ère chrétienne.

La visite du musée s'achève à la bibliothèque, qui propose une large sélection de livres en arabe et en anglais sur l'histoire, la culture et la littérature islamiques.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Le musée national Zayed explore l'histoire des Émirats arabes unis

Situé sur l'île de Saadiyat, le musée national Zayed explorera les premiers établissements humains datant de 300 000 ans, ainsi que la langue, les traditions, la flore et la faune de la région. (Fourni)
Situé sur l'île de Saadiyat, le musée national Zayed explorera les premiers établissements humains datant de 300 000 ans, ainsi que la langue, les traditions, la flore et la faune de la région. (Fourni)
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  • Situé sur l'île de Saadiyat, le musée national Zayed a d'illustres voisins, dont le Louvre Abu Dhabi, le Guggenheim Abu Dhabi, le musée d'histoire naturelle et le teamLab Phenomena

DUBAI : Alors que le musée national Zayed ("Zayed National Museum") s'apprête à ouvrir ses portes dans la capitale des Émirats arabes unis, Arab News s'est entretenu avec le directeur Peter Magee au sujet des objectifs du musée et de ce à quoi les visiteurs peuvent s'attendre.

La date d'ouverture n'a pas encore été annoncée, mais le centre se concentrera sur l'histoire des Émirats arabes unis et plus particulièrement sur le cheikh Zayed bin Sultan Al Nahyan. Il explorera les premiers établissements humains datant de 300 000 ans, ainsi que la langue, les traditions, la flore et la faune de la région.

"L'histoire du musée est guidée par les valeurs durables du père fondateur des Émirats arabes unis, le cheikh Zayed bin Sultan Al-Nahyan", a expliqué M. Magee. "Nous examinons ces valeurs et la manière dont elles l'ont guidé, mais aussi la manière dont elles reflètent les valeurs sociales qui existent dans les Émirats arabes unis, tant dans le passé que dans le présent - et dans l'avenir.

"C'est un musée national centré sur les Émirats arabes unis, mais il s'intéresse bien sûr aux liens régionaux qui existaient avec d'autres pays du golfe Persique, de l'océan Indien et même d'autres régions.

L'une des pièces maîtresses est la reconstitution grandeur nature d'un bateau Magan de l'âge du bronze, construit avec des roseaux et des cordes en fibre de palmier. Magee et son équipe ont navigué à bord de ce bateau pendant deux jours sur les eaux du golfe Persique.

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Situé sur l'île de Saadiyat, le musée national Zayed a d'illustres voisins, dont le Louvre Abu Dhabi, le Guggenheim Abu Dhabi, le musée d'histoire naturelle et le teamLab Phenomena. (Fourni)

Situé sur l'île de Saadiyat, le musée national Zayed a pour voisins illustres le Louvre Abu Dhabi, le Guggenheim Abu Dhabi, le musée d'histoire naturelle et le teamLab Phenomena.

"J'aime à penser que chacun de ces musées et institutions est sa propre étoile et qu'en les combinant, ils forment une constellation qui peut être lue de manière cohérente aussi bien ensemble qu'individuellement", a déclaré M. Magee.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com