Le musée de l’université du roi Abdelaziz met à l’honneur le patrimoine géologique saoudien

Le musée retrace les découvertes de minéraux, de roches, de minerais et de champs pétrolifères dans le Royaume au fil du temps. (Photo fournie)
Le musée retrace les découvertes de minéraux, de roches, de minerais et de champs pétrolifères dans le Royaume au fil du temps. (Photo fournie)
Le musée comprend une reproduction de crâne de dinosaure. Il s’agit d’un tyrannosaure, qui a vécu à l'ère du Crétacé et qui remonte à 68 000 000 d'années. (Photo fournie)
Le musée comprend une reproduction de crâne de dinosaure. Il s’agit d’un tyrannosaure, qui a vécu à l'ère du Crétacé et qui remonte à 68 000 000 d'années. (Photo fournie)
Le musée pédagogique du Collège des sciences de la Terre de l’université du roi Abdelaziz conserve des milliers d'échantillons, de diapositives, de cartes, de photographies et d’échantillons de roches pour divers domaines des sciences de la Terre. Ce sont principalement les sciences géologiques, axées sur les roches et les minéraux économiques, ainsi que l'identification et la localisation des ressources naturelles du Royaume, qui simplifient la tâche des étudiants et des chercheurs dans leurs missions scientifiques. (Photo fournie)
Le musée pédagogique du Collège des sciences de la Terre de l’université du roi Abdelaziz conserve des milliers d'échantillons, de diapositives, de cartes, de photographies et d’échantillons de roches pour divers domaines des sciences de la Terre. Ce sont principalement les sciences géologiques, axées sur les roches et les minéraux économiques, ainsi que l'identification et la localisation des ressources naturelles du Royaume, qui simplifient la tâche des étudiants et des chercheurs dans leurs missions scientifiques. (Photo fournie)
 Le musée pédagogique du Collège des sciences de la Terre de l’université du roi Abdelaziz conserve des milliers d'échantillons, de diapositives, de cartes, de photographies et d’échantillons de roches pour divers domaines des sciences de la Terre. Ce sont principalement les sciences géologiques, axées sur les roches et les minéraux économiques, ainsi que l'identification et la localisation des ressources naturelles du Royaume, qui simplifient la tâche des étudiants et des chercheurs dans leurs missions scientifiques. (Photo fournie)
Le musée pédagogique du Collège des sciences de la Terre de l’université du roi Abdelaziz conserve des milliers d'échantillons, de diapositives, de cartes, de photographies et d’échantillons de roches pour divers domaines des sciences de la Terre. Ce sont principalement les sciences géologiques, axées sur les roches et les minéraux économiques, ainsi que l'identification et la localisation des ressources naturelles du Royaume, qui simplifient la tâche des étudiants et des chercheurs dans leurs missions scientifiques. (Photo fournie)
 Le musée pédagogique du Collège des sciences de la Terre de l’université du roi Abdelaziz conserve des milliers d'échantillons, de diapositives, de cartes, de photographies et d’échantillons de roches pour divers domaines des sciences de la Terre. Ce sont principalement les sciences géologiques, axées sur les roches et les minéraux économiques, ainsi que l'identification et la localisation des ressources naturelles du Royaume, qui simplifient la tâche des étudiants et des chercheurs dans leurs missions scientifiques. (Photo fournie)
Le musée pédagogique du Collège des sciences de la Terre de l’université du roi Abdelaziz conserve des milliers d'échantillons, de diapositives, de cartes, de photographies et d’échantillons de roches pour divers domaines des sciences de la Terre. Ce sont principalement les sciences géologiques, axées sur les roches et les minéraux économiques, ainsi que l'identification et la localisation des ressources naturelles du Royaume, qui simplifient la tâche des étudiants et des chercheurs dans leurs missions scientifiques. (Photo fournie)
 Le musée pédagogique du Collège des sciences de la Terre de l’université du roi Abdelaziz conserve des milliers d'échantillons, de diapositives, de cartes, de photographies et d’échantillons de roches pour divers domaines des sciences de la Terre. Ce sont principalement les sciences géologiques, axées sur les roches et les minéraux économiques, ainsi que l'identification et la localisation des ressources naturelles du Royaume, qui simplifient la tâche des étudiants et des chercheurs dans leurs missions scientifiques. (Photo fournie)
Le musée pédagogique du Collège des sciences de la Terre de l’université du roi Abdelaziz conserve des milliers d'échantillons, de diapositives, de cartes, de photographies et d’échantillons de roches pour divers domaines des sciences de la Terre. Ce sont principalement les sciences géologiques, axées sur les roches et les minéraux économiques, ainsi que l'identification et la localisation des ressources naturelles du Royaume, qui simplifient la tâche des étudiants et des chercheurs dans leurs missions scientifiques. (Photo fournie)
 Le musée pédagogique du Collège des sciences de la Terre de l’université du roi Abdelaziz conserve des milliers d'échantillons, de diapositives, de cartes, de photographies et d’échantillons de roches pour divers domaines des sciences de la Terre. Ce sont principalement les sciences géologiques, axées sur les roches et les minéraux économiques, ainsi que l'identification et la localisation des ressources naturelles du Royaume, qui simplifient la tâche des étudiants et des chercheurs dans leurs missions scientifiques. (Photo fournie)
Le musée pédagogique du Collège des sciences de la Terre de l’université du roi Abdelaziz conserve des milliers d'échantillons, de diapositives, de cartes, de photographies et d’échantillons de roches pour divers domaines des sciences de la Terre. Ce sont principalement les sciences géologiques, axées sur les roches et les minéraux économiques, ainsi que l'identification et la localisation des ressources naturelles du Royaume, qui simplifient la tâche des étudiants et des chercheurs dans leurs missions scientifiques. (Photo fournie)
 Le musée pédagogique du Collège des sciences de la Terre de l’université du roi Abdelaziz conserve des milliers d'échantillons, de diapositives, de cartes, de photographies et d’échantillons de roches pour divers domaines des sciences de la Terre. Ce sont principalement les sciences géologiques, axées sur les roches et les minéraux économiques, ainsi que l'identification et la localisation des ressources naturelles du Royaume, qui simplifient la tâche des étudiants et des chercheurs dans leurs missions scientifiques. (Photo fournie)
Le musée pédagogique du Collège des sciences de la Terre de l’université du roi Abdelaziz conserve des milliers d'échantillons, de diapositives, de cartes, de photographies et d’échantillons de roches pour divers domaines des sciences de la Terre. Ce sont principalement les sciences géologiques, axées sur les roches et les minéraux économiques, ainsi que l'identification et la localisation des ressources naturelles du Royaume, qui simplifient la tâche des étudiants et des chercheurs dans leurs missions scientifiques. (Photo fournie)
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Publié le Jeudi 20 juillet 2023

Le musée de l’université du roi Abdelaziz met à l’honneur le patrimoine géologique saoudien

  • «Nous possédons des échantillons de roches du volcan Jabal al-Malsa, entré en éruption dans la ville de Médine en l'an 1256, et qui est situé dans une montagne au sud-est de la ville»
  • Bader Hakami, doyen du Collège des sciences de la Terre, indique que le musée est rattaché à une salle d'aides pédagogiques et de vidéoprojecteurs qui diffusent des films scientifiques et éducatifs

RIYAD: Le musée de l'éducation géologique de l’université du roi Abdelaziz est un trésor de minéraux, de météorites et de roches provenant de toute l'Arabie saoudite et de l'étranger.

Le musée, qui a ouvert ses portes en 1977, comprend des milliers de minéraux rares, de roches, de cartes, de photographies, dont des photographies aériennes, et divers enregistrements scientifiques. Il abrite de précieuses ressources pour les étudiants et les chercheurs.

Ruchdi Taj, directeur général du musée, déclare à Arab News: «C'est un musée éducatif qui contient de nombreux types de roches formant la terre, notamment des roches ignées sédimentaires et métamorphiques.»

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Le musée retrace les découvertes de minéraux, de roches, de minerais et de champs pétrolifères dans le Royaume au fil du temps. (Photo fournie)

«Nous possédons également des échantillons de roches du volcan Jabal al-Malsa, entré en éruption dans la ville de Médine en l'an 1256, et qui est situé dans une montagne au sud-est de la ville.»

Jabal al-Malsa a été le dernier volcan à entrer en éruption dans l'actuelle Arabie saoudite. Cet événement a duré plusieurs jours et les coulées de lave ont parcouru 23 km, dont la plus longue s'est arrêtée à un peu plus de 8,2 km de la mosquée du Prophète.

Le volcan a engendré un champ de lave connu sous le nom de «Harrat Rahat», aujourd'hui zone touristique de premier plan, ainsi que le cratère Al-Wahbah à proximité.

 

EN BREF

Le dernier volcan à être entré en éruption dans ce qui est aujourd'hui l'Arabie saoudite fut le Jabal al-Malsa dans la région de Médine, en 1256.

 

En outre, l'Arabie saoudite abrite une vaste zone de roches volcaniques cénozoïques, qui s’étend sur près de 90 000 km2, ce qui en fait l'une des plus importantes et des plus vastes zones de basalte alcalin à olivine au monde.

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Le musée retrace les découvertes de minéraux, de roches, de minerais et de champs pétrolifères dans le Royaume au fil du temps. (Photo fournie)

S'exprimant à propos des autres échantillons exposés dans le musée, M. Taj précise: «Outre les nombreux minerais et sources qui proviennent des mines et carrières saoudiennes, ainsi qu'une variété de minéraux, nous avons également la météorite qui est tombée dans le Quart Vide en 1863, au sud-est de Riyad.»

Parmi les autres attractions du musée figure un crâne de dinosaure synthétique réalisé à l'aide d'un spécimen. Il représente le crâne d'un tyrannosaure qui aurait vécu à l'ère du Crétacé il y a près de 66 millions d'années.

Bader Hakami, doyen du Collège des sciences de la Terre, indique que le musée est rattaché à une salle d'aides pédagogiques et de vidéoprojecteurs qui diffusent des films scientifiques et éducatifs.

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Le musée retrace les découvertes de minéraux, de roches, de minerais et de champs pétrolifères dans le Royaume au fil du temps. (Photo fournie)

Il explique que le musée retrace l'avancement de la science et des découvertes de minéraux, de roches, de minerais et de champs pétrolifères au fil du temps dans le Royaume.

Ruchdi Taj ajoute que le musée est essentiel pour la prochaine génération, car il constitue une mine d’informations sur la géologie de l'Arabie saoudite et ses principales ressources minérales et pétrolières, qui sont utilisées pour produire des matériaux de construction.

Les heures de visite sont de 8 h 30 à 23 h.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

 


Thierry Ardisson, l'éternel homme en noir du petit écran

Gros bosseur, Thierry Ardisson lance la même année "Salut les Terriens !" sur Canal+, avant de migrer sur C8 en 2016. Mais l'émission s'arrête en 2019, après son refus de fournir ses émissions pour deux fois moins cher. (AFP)
Gros bosseur, Thierry Ardisson lance la même année "Salut les Terriens !" sur Canal+, avant de migrer sur C8 en 2016. Mais l'émission s'arrête en 2019, après son refus de fournir ses émissions pour deux fois moins cher. (AFP)
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  • Autodidacte, il avait débuté sur TF1 en 1985 avec "Descente de police", version télé des interviews insolentes, en forme d'interrogatoire musclé, qu'il publiait dans le magazine "Rock & Folk"
  • Suivront "Scoop à la Une", "Bains de Minuit", "Lunettes noires pour nuits blanches", "Télé Zèbres", "Double Jeu", "Ardimat", au hasard d'un va-et-vient incessant entre TF1 et Antenne 2

PARIS: Animateur et producteur controversé décédé lundi à 76 ans, l'homme en noir Thierry Ardisson, star cathodique à partir des années 1980, a inventé un ton transgressif et lègue un impressionnant patrimoine audiovisuel.

"Quand je suis arrivé, il y avait à l'antenne un langage télévisuel prude et compassé. On s'est mis à parler comme dans la vie, de sexe, d'alcool et de drogue", rembobinait l'ancien publicitaire.

Il ne s'était pas fait que des amis dans le milieu: pour Bernard Pivot, il était "tellement mégalo qu'il croit avoir inventé la vulgarité à la télévision".

Autodidacte, il avait débuté sur TF1 en 1985 avec "Descente de police", version télé des interviews insolentes, en forme d'interrogatoire musclé, qu'il publiait dans le magazine "Rock & Folk".

Suivront "Scoop à la Une", "Bains de Minuit", "Lunettes noires pour nuits blanches", "Télé Zèbres", "Double Jeu", "Ardimat", au hasard d'un va-et-vient incessant entre TF1 et Antenne 2.

"N'étant pas très à l'aise moi-même, je n'avais pas envie que les gens en face de moi le soient, d'où mon époque +Lunettes noires+ où j'étais d'une agressivité incroyable", reconnaîtra-t-il plus tard. Thierry Ardisson gardera le noir, qui "amincit".

Après trois ans de traversée du désert, ce défricheur, qui ne cachait pas avoir consommé en excès drogue et alcool plus jeune, présente en 1998 "Tout le monde en parle" sur France 2, talk-show à succès où il sonde des personnalités jusque dans leur vie privée, aux côtés du trublion Laurent Baffie.

Sommé de choisir entre le service public et Paris Première, il opte en 2006 pour la chaîne du câble et du satellite, où il anime "93, Faubourg Saint-Honoré", des dîners éclectiques filmés à son domicile.

Gros bosseur, Thierry Ardisson lance la même année "Salut les Terriens !" sur Canal+, avant de migrer sur C8 en 2016. Mais l'émission s'arrête en 2019, après son refus de fournir ses émissions pour deux fois moins cher.

Jamais à court de concept, le vétéran du PAF revient brièvement en 2022 avec "Hôtel du temps" sur France 3, où il interroge des stars défuntes dont les visages et voix sont recréés grâce aux nouvelles technologies.

Et en 2024, il imagine le magazine de société "Nos grandes décisions" pour France 2, avec le trentenaire Hugo Clément aux manettes.

"Torturé" et "exigeant" 

La chaîne YouTube "Ina Arditube" retrace ses 35 ans d'émissions cultes.

Certains programmes ont mal vieilli. Ainsi, l'écrivaine Christine Angot s'est dite humiliée à plusieurs reprises sur le plateau de "Tout le monde en parle", en se souvenant de rires face à l'inceste sur lequel elle a écrit.

La Légion d'honneur remise par Emmanuel Macron début 2024 à l'animateur-producteur a fait polémique, suscitant la réprobation d'artistes comme Judith Godrèche.

Le chef de l'Etat avait alors rendu hommage à "un personnage d'une liberté totale, un provocateur et érudit".

Mais, "aujourd'hui, les gens ne veulent plus rien dire à la télévision", déplorait le septuagénaire au même moment, regrettant une "aseptisation".

Lors de sa dernière apparition à la télé, le 10 mai dans "Quelle Epoque!" sur France 2, il avait comparé Gaza à Auschwitz, ce qui avait fait polémique - il avait ensuite demandé pardon à "ses amis juifs".

Né le 6 janvier 1949 à Bourganeuf (Creuse), d'un père ingénieur et d'une mère femme au foyer, Thierry Ardisson a passé une partie de son enfance en Algérie, puis en internat catholique en Haute-Savoie.

Il assume sa foi catholique, son parisianisme, ses convictions royalistes et également son appétit pour l'argent.

"Ardisson est un type torturé, exigeant, animé de la peur du lendemain" et "chez qui rien n'est jamais acquis", le décrit le producteur Stéphane Simon, compagnon de route depuis plus de trois décennies et marqué à droite.

A 20 ans, il avait démarré au culot dans la publicité, inventant des slogans tels "Lapeyre, y'en a pas deux" et "Quand c'est trop, c'est Tropico".

Thierry Ardisson a aussi été patron de presse - directeur de "L'Ebdo des Savanes" au début des années 1980, d'"Entrevue" dans les années 1990, où il est condamné pour divers articles tapageurs. Il s'est aussi essayé à la production de séries et films, et à l'écriture, se livrant notamment dans "Confessions d'un baby-boomer" en 2005. Marié à trois reprises, Thierry Ardisson a eu trois enfants avec la musicienne Béatrice Loustalan. Depuis 2014, il était l'époux de la présentatrice de TF1 Audrey Crespo-Mara.

 


May Calamawy promeut l'exploitation du film palestinien en Amérique du Nord

L'actrice égypto-palestinienne May Calamawy s'est rendue sur les réseaux sociaux samedi pour promouvoir le film palestinien "To A Land Unknown". (Getty Images via AN)
L'actrice égypto-palestinienne May Calamawy s'est rendue sur les réseaux sociaux samedi pour promouvoir le film palestinien "To A Land Unknown". (Getty Images via AN)
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  • Distribué par Watermelon Pictures, le film est réalisé par Mahdi Fleifel et met en scène Angeliki Papoulia, Mahmoud Bakri, Manal Awad et Aram Sabbah. 
  • Le film a reçu le Silver Yusr Award lors du Festival du film de la mer Rouge en Arabie saoudite en décembre.

DUBAI : L'actrice égypto-palestinienne May Calamawy s'est rendue sur les réseaux sociaux samedi pour promouvoir le film palestinien "To A Land Unknown".

Distribué par Watermelon Pictures, le film est réalisé par Mahdi Fleifel et met en scène Angeliki Papoulia, Mahmoud Bakri, Manal Awad et Aram Sabbah. 

Watermelon Pictures a été cofondée par Alana Hadid. (File/Getty Images)
Watermelon Pictures a été cofondée par Alana Hadid. (File/Getty Images via AN)

May Calamawy s'est rendue sur Instagram Stories pour partager l'information selon laquelle "To A Land Unknown" sera projeté dans 40 salles de cinéma en Amérique du Nord ce mois-ci, notamment à New York, Houston et Vancouver.

"Reda et Chatila sont deux cousins palestiniens qui se frayent un chemin dans les bas-fonds d'Athènes en poursuivant leur rêve de se rendre en Allemagne. Mais au fur et à mesure que leurs difficultés augmentent, leur désespoir s'accroît. Lorsque Chatila élabore un plan téméraire de tout ou rien, leur lien est mis à rude épreuve et ils repoussent les limites de ce qu'ils sont prêts à faire pour la liberté", peut-on lire dans le résumé du film.

Le film a reçu le Silver Yusr Award lors du Festival du film de la mer Rouge en Arabie saoudite en décembre.

Watermelon Pictures a été cofondée par Alana Hadid, la sœur des mannequins Gigi et Bella Hadid. Alana Hadid, ainsi que les frères Badie Ali et Hamza Ali, ont cofondé Watermelon Pictures, une société de production dont la mission est de créer des histoires captivantes et percutantes qui trouvent un écho auprès d'un public mondial.

"J'ai été honorée que l'on me demande d'être la directrice de la création de Watermelon Pictures. Je pense qu'il ne s'agit pas seulement d'un projet passionnel pour Hamza et Badie, mais aussi d'une opportunité pour les Palestiniens d'avoir un endroit où raconter leurs histoires... Cela me touche beaucoup. Je pense que c'est l'une des choses les plus belles que les gens aient un endroit où ils peuvent raconter leur histoire. Et nous savons que nous avons un endroit sûr pour cela", a déclaré Mme Hadid à Arab News.

Pour sa part, Calamawy est connue pour ses rôles dans les séries américaines Netflix "Ramy" et "Moon Knight" (2022), où elle joue le double personnage de Layla El-Faouly et du Scarabée écarlate.

Elle a fait les gros titres à la fin de l'année 2024 lorsque presque toutes ses scènes ont été coupées dans le film "Gladiator II" de Ridley Scott, les fans se plaignant sur les médias sociaux.

Son rôle dans le film a été annoncé pour la première fois en mai 2023.

À l'époque, Deadline a rapporté que Ridley Scott avait choisi Calamawy après une longue recherche, écrivant : "Alors que de nombreux rôles principaux étaient des offres directes, Scott a voulu faire une recherche similaire à celle qu'il avait faite pour le rôle de (Paul) Mescal pour le rôle que Calamawy a finalement obtenu".

Cependant, les fans ont remarqué que dans le montage final, qui est sorti en salles en novembre, Calamawy n'est vue qu'en passant et n'a aucun dialogue. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Asir : Un écologiste saoudien construit un musée écologique pour préserver le patrimoine naturel et culturel

Lahiq Al-Hadi, originaire du gouvernorat de Rijal Almaa dans la région d'Asir, a déclaré que le projet du musée vise à répertorier les arbres, insectes et oiseaux rares, ainsi que les outils agricoles traditionnels. (SPA)
Lahiq Al-Hadi, originaire du gouvernorat de Rijal Almaa dans la région d'Asir, a déclaré que le projet du musée vise à répertorier les arbres, insectes et oiseaux rares, ainsi que les outils agricoles traditionnels. (SPA)
Al-Hadi a souligné que ses efforts portent leurs fruits, l'environnement s'améliorant. Il a vu des espèces d'oiseaux migrateurs revenir après avoir replanté la végétation dont ils dépendent. (SPA)
Al-Hadi a souligné que ses efforts portent leurs fruits, l'environnement s'améliorant. Il a vu des espèces d'oiseaux migrateurs revenir après avoir replanté la végétation dont ils dépendent. (SPA)
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  • Al-Hadi a déclaré que le projet de musée se concentre sur la documentation d'arbres rares, d'insectes, d'oiseaux et d'outils agricoles traditionnels.
  • Al-Hadi a noté que ses efforts portaient leurs fruits, l'environnement s'améliorant. Il a vu des espèces d'oiseaux migrateurs revenir après la replantation de la végétation dont ils dépendent.

RIYAD : Dans une vallée au pied des montagnes d'Asir, l'écologiste local Lahiq Al-Hadi développe un musée environnemental éducatif afin de sensibiliser le public, d'attirer les touristes et de préserver le patrimoine naturel et culturel de la région.

Originaire du gouvernorat de Rijal Almaa, dans la région d'Asir, il a déclaré que le projet de musée se concentrait sur la documentation d'arbres, d'insectes, d'oiseaux et d'outils agricoles traditionnels rares, a rapporté l'agence de presse saoudienne.

Une section mettra en avant l'apiculture et la production de miel, en présentant les fleurs locales qui nourrissent les abeilles ainsi que les graines menacées que le musée vise à préserver et à propager, a ajouté Al-Hadi.

À la lisière de sa ferme, près de la vallée, il a replanté plus de 68 espèces d'arbres et de plantes locales qui étaient autrefois rares ou menacées.

Il passe son temps à rechercher des graines rares et à les distribuer aux agriculteurs intéressés, convaincu que « chaque graine plantée fait germer un nouvel espoir dans la terre ».

Al-Hadi a noté que ses efforts portaient leurs fruits, l'environnement s'améliorant. Il a vu des espèces d'oiseaux migrateurs revenir après la replantation de la végétation dont ils dépendent.

Le musée comprend également un pavillon consacré à l'architecture traditionnelle en pierre d'Asir qui offre un aperçu du patrimoine culturel de la région. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com