L'exposition de meubles italiens d’un designer libanais basé à Paris inspirée par la mer

Dans le cadre serein du monastère du XIVe siècle de Certosa di San Giacomo, sur l'île de Capri en Italie, Chahan Minassian, architecte d'intérieur libanais basé à Paris, a récemment présenté une exposition de meubles. (Photo fournie)
Dans le cadre serein du monastère du XIVe siècle de Certosa di San Giacomo, sur l'île de Capri en Italie, Chahan Minassian, architecte d'intérieur libanais basé à Paris, a récemment présenté une exposition de meubles. (Photo fournie)
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Publié le Mardi 01 août 2023

L'exposition de meubles italiens d’un designer libanais basé à Paris inspirée par la mer

  • Intitulée Cruise («Croisière»), l’exposition présente un agencement de meubles et d'œuvres d'art colorés avec des teintes de turquoise, de bronze, de bleu et de crème
  • Chahan Minassian s'est fait connaître grâce à ses intérieurs somptueux, ingénieux et harmonieux, dont l'Hôtel de Crillon à Paris

CAPRI: Dans le cadre serein du monastère du XIVe siècle de Certosa di San Giacomo, sur l'île de Capri en Italie, Chahan Minassian, architecte d'intérieur libanais basé à Paris, a récemment présenté une exposition de meubles.

Celle-ci s'inspire des formes, des matériaux et de l'ambiance de la Méditerranée, que surplombe la Certosa, comme on l'appelle souvent.

L’exposition de Minassian – la première fois que sa galerie Chahan, basée à Paris, participait à la foire d'art et de design Nomad Capri – s'est tenue dans l'ancien monastère des Chartreux donnant sur la mer Tyrrhénienne, qui fait partie de la Méditerranée.

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L’architecte d'intérieur libanais basé à Paris, Chahan Minassian. (Photo fournie)

Intitulée Cruise («Croisière»), l’exposition présente un agencement de meubles et d'œuvres d'art colorés avec des teintes de turquoise, de bronze, de bleu et de crème, évoquant les paysages de rêve de Capri.

Les pièces exposées, mariant l'art et la création à travers des œuvres sculpturales, des tableaux et des meubles, comprenaient de nouvelles œuvres de Marie Khouri et Antoinette Faragallah, ainsi qu'une table Canal Grande en verre de Murano conçue par Minassian, reflétant les styles vénitiens, aux côtés de la peinture expressionniste abstraite Mother of Us d'Emilio Martinez.

Né en 1961 dans une famille arménienne au Liban et basé à Paris depuis 1976, Chahan Minassian s'est fait connaître grâce à ses intérieurs somptueux, ingénieux et harmonieux, dont l'hôtel Crillon à Paris.

Il est également antiquaire et dirige la galerie Chahan située rue de Lille, à Paris, et se consacre à ses créations d'éclairage et de mobilier. Pour la Biennale de Venise en 2019, il a été curateur de l'Abbazia di San Gregorio, en partenariat avec la Colnaghi Gallery.

Il travaille actuellement sur une série de projets comprenant un palais à Venise, des maisons à Londres, des chalets à Kitzbühel et Gstaad, une maison à Genève ainsi que des appartements de prestige à New York, des jets privés et divers autres espaces commerciaux à Paris.

Il confie à Arab News: «Je m'exprime à travers ma décoration d'intérieur. À l'origine, j'étais ensemblier – c'est comme ça qu’on appelait dans les années 30 les décorateurs, qui faisaient vivre l'âme de la maison. Le lieu que je décore est ce qui m'inspire. Soit nous le suivons architecturalement, soit je laisse l'endroit m’inspirer sa décoration.»

Sa présentation à Capri juxtaposait au hasard les objets de couleur crème de Marie Khouri, née en Égypte et ayant grandi au Liban, qui ressemblent à un coquillage, et les totems organiques et structuraux de Faragallah, basée en Californie, et représentée par la galerie Minassian, avec ses propres créations.

Sur la terrasse, les œuvres, colorées dans des tons bleu clair, turquoise et crème, mariaient l'architecture du monastère avec la vue sur la mer en contrebas, et ses éperons rocheux jaillissant de l'eau.

Il a associé les créations de Marie Khouri et Antoinette Faragallah à des éléments des années 1950, présentant des lignes courbes éloquentes et colorées avec une touche de turquoise.

«J'aime aussi donner une nouvelle vie aux objets du passé. Le vert, le bleu sarcelle et le turquoise brillent à travers ces œuvres et s'associent à leurs lignes ondulantes pour évoquer le caractère de la mer», a-t-il ajouté.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


« I like it hot ! » : J. Lo fait sensation à Abou Dhabi

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  • Jennifer Lopez, 56 ans, prouve qu’elle reste l’une des artistes les plus enflammées au monde

ABOU DHABI: De retour à Abou Dhabi après son spectacle magistral en février, Jennifer Lopez a dansé toute la soirée mardi à l’Etihad Arena sur l’île de Yas dans le cadre de sa tournée mondiale « Up All Night ».

En interprétant ses tubes cultes comme « On the Floor », « Ain’t Your Mama » et « Dance Again », Lopez a fait monter la température avec son énergie débordante et ses chorégraphies percutantes.

Même si j’ai regretté que « Jenny From the Block » n’ait pas bénéficié d’un moment à elle, Lopez l’a tout de même interprétée en medley avec « We Will Rock You » de Queen.

Pour célébrer ses 56 ans, elle a chanté « Birthday », le single sorti le 24 juillet, très applaudi par le public.

La superstar a remercié ses fans et les a encouragés à s’aimer les uns les autres et à suivre ce qu’ils aiment.

Elle a également plaisanté sur la chaleur intense des Émirats. « I like it hot ! », a-t-elle lancé en se ventilant.

Avec plusieurs changements de tenues et des plages musicales bien calibrées, le show a alterné entre titres dynamiques, ballades lentes et medleys.

Lopez a rendu hommage à sa culture latino en interprétant quelques-uns de ses succès en espagnol, notamment « Qué Hiciste » et « Si Una Vez ».

Elle a chanté en dansant le flamenco, vêtue d’une tenue inspirée du traje de flamenca, la robe traditionnelle des femmes aux festivals andalous.

L’artiste n’est pas étrangère au Golfe : elle avait déjà fait sensation en avril lors du Grand Prix d’Arabie saoudite de F1 à Djeddah, puis en novembre dernier à Riyad pour l’événement « 1001 Seasons of Elie Saab ».

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’artiste saoudienne met en lumière le riche paysage culturel de l’Asir à travers ses œuvres

L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
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  • Arafat Al-Asimi a surmonté de nombreux défis pour s’imposer comme artiste en tant que femme

MAKKAH : Les montagnes verdoyantes de la région d’Asir en Arabie saoudite ont nourri la vision artistique d’Arafat Al-Asimi.

En évoquant ses débuts, Al-Asimi confie qu’elle aime utiliser des couleurs pastel pour représenter des paysages naturels et patrimoniaux. Les montagnes, les vallées, les nuances des forêts et le climat unique de la région ont nourri son imagination artistique.

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L’artiste Arafat Al-Asimi affirme se sentir chez elle au cœur de la nature et des paysages traditionnels. (Fournie)

Elle explique se sentir profondément liée à la nature et aux dessins de paysages traditionnels, en particulier ceux inspirés de l’Asir, car ils traduisent son fort sentiment d’appartenance et lui procurent un équilibre et un confort psychologique.

Elle partage également sa passion pour l’intégration de la calligraphie arabe dans ses œuvres, soulignant combien cette pratique allie esthétique visuelle et identité culturelle.


Le programme Saudi Game Champions soutient les talents locaux pour une portée mondiale

Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
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  • Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux
  • L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme

RIYAD : Le Centre de l'entrepreneuriat numérique du ministère des communications et des technologies de l'information a conclu le programme Saudi Game Champions, une initiative de neuf mois visant à soutenir la croissance des studios de développement du pays.

Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux.

L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme.

Elle a offert plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux d'Arabie saoudite.

Lors de la cérémonie de clôture, Hussain Al-Safwan de LIMELESS Studio a remporté le prix du changement audacieux, tandis que Fahad Al-Jumaan de Hero Galaxy Studio a reçu le prix de l'inspiration.

Mostafa Fares a reçu le prix de la créativité et son collègue Ali Aseeri le prix du choix du public, tous deux représentant SYMMETRIC STUDIO.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre des efforts plus vastes déployés par le centre pour renforcer le rôle du Royaume dans l'industrie mondiale du jeu.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com