AlUla Desert Blaze: une course d'endurance palpitante

AlUla Desert Blaze: Un nouvel événement de course à pied sera lancé le 26 août avec des coureurs du monde entier. (Photo fournie/RCU)
AlUla Desert Blaze: Un nouvel événement de course à pied sera lancé le 26 août avec des coureurs du monde entier. (Photo fournie/RCU)
AlUla Desert Blaze: Un nouvel événement de course à pied sera lancé le 26 août avec des coureurs du monde entier. (Photo fournie/RCU)
AlUla Desert Blaze: Un nouvel événement de course à pied sera lancé le 26 août avec des coureurs du monde entier. (Photo fournie/RCU)
AlUla Desert Blaze: Un nouvel événement de course à pied sera lancé le 26 août avec des coureurs du monde entier. (Photo fournie/RCU)
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Publié le Mardi 08 août 2023

AlUla Desert Blaze: une course d'endurance palpitante

  • Cette course, qui débutera le 26 août, vient s’ajouter à une liste passionnante de compétitions sportives qui tirent parti du terrain fascinant de la ville
  • «AlUla Desert Blaze, c’est une expérience unique et transformatrice», affirme Phillip Jones, responsable du tourisme à la Commission royale pour AlUla

DJEDDAH: AlUla Desert Blaze, nouvelle course à pied ajoutée à l’offre sportive d’AlUla, débutera le 26 août.

Des athlètes de la région et des quatre coins du monde participeront à cette course d’endurance de haute intensité, qui se déroulera sous des températures estivales caniculaires de 42°C.

Cette course vient s’ajouter à une liste passionnante de compétitions sportives qui tirent parti du terrain fascinant de la ville. Avec ses falaises de grès, ses oasis luxuriantes et ses terres agricoles productives, l’environnement local constitue une toile de fond unique pour l’événement.

Des hommes et des femmes de tous niveaux sportifs s’affronteront sur des distances de 5, 10, 21 et 42 km, en espérant faire partie des premiers vainqueurs mondiaux de cette course difficile en repoussant leurs limites physiques.

«AlUla Desert Blaze n’est pas une simple course; c’est une expérience unique et transformatrice. Elle constitue non seulement un nouveau jalon de performance pour les athlètes, mais donnera également à tous les participants une perspective unique sur AlUla et ses diverses offres touristiques, avec un parcours qui serpente le long de monuments anciens, à travers des paysages inconnus dans l’ombre de falaises monumentales bordant de vastes canyons de grès», explique Phillip Jones, responsable du tourisme à la Commission royale pour AlUla. «Nous continuons à diversifier nos offres pour les visiteurs du monde entier, et AlUla Desert Blaze vient s’ajouter à ce que la destination peut proposer aux aventuriers et aux amateurs de sport qui cherchent à vivre une expérience vraiment inoubliable», ajoute-t-il.

Pour les participants aux courses de 5, 10, 21 km, le point de départ est Hégra, le premier site d’Arabie saoudite inscrit à la liste du patrimoine mondial de l’Unesco. La course commencera à Maraya, le lieu de divertissement polyvalent qui bat tous les records, situé au cœur de la vallée d’Ashar.

Les inscriptions à la course, dont la cagnotte totale s’élève à 110 000 riyals saoudiens (1 riyal = 0,24 euro), sont ouvertes jusqu’au 22 août.

Les coureurs bénéficieront d'une assistance médicale complète pour assurer leur bien-être. Ils auront notamment accès à des ambulances, et des ambulanciers mobiles et stationnés, ainsi que des infirmières et des physiothérapeutes, seront présents sur place.

Des postes de ravitaillement seront installés tous les 5 km le long de l’itinéraire de la course. Ces postes seront approvisionnés en fournitures essentielles telles que de l’eau, des conteneurs de glace, des boissons pour s’hydrater, des gels énergétiques, des fruits frais et des en-cas nutritifs.

AlUla est à l’avant-garde du développement durable dans le Royaume grâce à ses offres de sport et d’aventure. Elle accueille des événements prestigieux comme l’AlUla Camel Cup, la Custodian of the Two Holy Mosques Endurance Cup et le Saudi Tour.

M. Jones a encouragé les personnes intéressées à participer à la course à s’inscrire pour avoir une chance de gagner des prix en espèces. Les fans qui souhaitent assister à la course peuvent acheter des billets sur le site experiencealula.com.

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Des archéologues discutent des dernières découvertes d'Al-Faw, un site inscrit sur la liste de l'Unesco

Les participants ont été invités à se rendre sur le terrain à Al-Faw, ce qui leur a permis de découvrir les efforts de préservation en cours et l'histoire du site. (Photo fournie)
Les participants ont été invités à se rendre sur le terrain à Al-Faw, ce qui leur a permis de découvrir les efforts de préservation en cours et l'histoire du site. (Photo fournie)
La Commission saoudienne du patrimoine a organisé la Conférence internationale pour la recherche archéologique d'Al-Faw mardi à Riyad. (Photo fournie)
La Commission saoudienne du patrimoine a organisé la Conférence internationale pour la recherche archéologique d'Al-Faw mardi à Riyad. (Photo fournie)
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  • Les découvertes récentes ont changé notre compréhension des anciennes civilisations de la région
  • Elles offrent, par ailleurs, de nouvelles perspectives sur les réseaux de commerce et de communication dans la région à l'époque

RIYAD: Des experts se sont réunis, lors d'une conférence internationale à Riyad mardi, pour discuter des derniers secrets historiques mis au jour sur le site archéologique d'Al-Faw en Arabie saoudite, notamment des informations sur le réseau complexe de routes commerciales qui s'y croisaient et sur les échanges culturels qui y prenaient place.

Cet événement, organisé par la Commission saoudienne du patrimoine, fait suite à l'inscription, en juillet, du site d'Al-Faw sur la Liste du patrimoine mondial de l'Unesco. Il s'agit du huitième site du Royaume à obtenir cette reconnaissance.

Ajab al-Otaibi, directeur du département de documentation et de recherche archéologiques de la commission, évoque la manière dont les découvertes récentes ont changé notre compréhension des anciennes civilisations de la région.

«Les fouilles les plus récentes ont révélé un réseau complexe de routes commerciales et d'échanges culturels qui reliaient Al-Faw à d'autres royaumes de la péninsule Arabique et au-delà», a-t-il déclaré.

«Ces découvertes ont considérablement modifié notre compréhension de la dynamique sociale et économique de la région au cours de l'Antiquité.»

Les découvertes offrent de nouvelles perspectives sur les réseaux de commerce et de communication dans la région à l'époque, et permettent de mieux comprendre les communautés qui y vivaient, a-t-il ajouté.

Noura al-Khamees, directrice générale du secteur du patrimoine mondial à la Commission, s'est félicitée de la reconnaissance du site par l'Unesco.

«L'inscription d'Al-Faw sur la Liste du patrimoine mondial de l'Unesco confirme l'importance du site pour le monde entier», a-t-elle déclaré.

«Il s'agit non seulement d'un témoignage de la grande histoire et de l'importance du site, mais aussi d'une reconnaissance mondiale de la gestion, de la conservation, de la protection, de la recherche et de la mise en valeur d'Al-Faw sous l'égide de l'Arabie saoudite.»

L'un des thèmes spécifiques abordés lors de la conférence était l'art rupestre et les inscriptions découverts sur le site, qui, selon les experts, fournissent des informations précieuses sur la vie des anciens habitants d'Al-Faw.

Les participants ont été invités à se rendre sur le site pour constater par eux-mêmes les efforts de préservation en cours et découvrir l'histoire qu'il révèle.

Selon les organisateurs, Al-Faw est plus qu'un simple site archéologique, c'est un symbole de l'engagement de l'Arabie saoudite à préserver et à partager son patrimoine culturel avec le monde entier.

Al-Faw se trouve dans le Wadi ad-Dawasir, à environ 700 kilomètres au sud-ouest de Riyad, à l'intersection du désert du Quart vide et de la chaîne de montagnes Tuwaiq. Il contient environ 12 000 objets archéologiques et son histoire remonte à plus de 6 000 ans.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


L'artiste saoudien Obaid AlSafi présélectionné pour le Sigg Art Prize 2024

L'artiste saoudien Obaid AlSafi présélectionné pour le Sigg Art Prize 2024
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  • L'artiste saoudien Obaid AlSafi a été sélectionné pour le Sigg Art Prize organisé par le conservateur Pierre Sigg, basé en Arabie saoudite
  • Le prix vise à redéfinir les limites de la création artistique grâce à l'intégration de l'intelligence artificielle et le thème de cette année est “Future Desert” (Le désert du futur)

DUBAÏ: L'artiste saoudien Obaid AlSafi a été sélectionné pour le Sigg Art Prize organisé par le conservateur Pierre Sigg, basé en Arabie saoudite. Le lauréat sera annoncé le 10 octobre lors d'une cérémonie au studio Asprey à Londres.

Le prix vise à redéfinir les limites de la création artistique grâce à l'intégration de l'intelligence artificielle et le thème de cette année est “Future Desert” (Le désert du futur).

AlSafi a étudié l'informatique mais a découvert que sa passion était l'art. Après avoir réalisé qu'il pouvait combiner les deux disciplines, le travail d'AlSafi a évolué vers un hybride d'art, de photographie et de conception graphique.

"En tant qu'artiste qui fusionne les connaissances numériques et l'art contemporain, j'ai pensé que ce prix correspondait parfaitement à ma pratique", a-t-il déclaré à Arab News.

Le créateur a déclaré que sa proposition pour ce prix "remet en question le contraste entre la perception et la réalité en s'interrogeant sur le concept de vide".

"Souvent perçu comme un vide stérile, le désert, mon lieu de naissance, recèle une richesse spirituelle qui dépasse de loin son apparence aride", a-t-il expliqué par courriel.

"En fusionnant le code et la créativité, nous voulons révéler la richesse latente de ce paysage ancien, en invitant les spectateurs à contempler une question profonde: Le vide n'est-il qu'un mirage, masquant les profondeurs illimitées de l'existence qui attendent d'être découvertes?"

S'appuyer sur l'IA pour créer de l'art présente de nombreux défis, note AlSafi.

"Cela redéfinit notre compréhension de la créativité, de la paternité et de l'expérience humaine. Elle ouvre la voie à un nouveau domaine d'exploration artistique, où les frontières traditionnelles sont fluides et où le concept d'art est en constante évolution", a-t-il déclaré.

Plus de 300 candidats de 70 pays ont postulé pour le prix et seuls sept d'entre eux ont été présélectionnés. Le lauréat recevra 10 968 dollars.

Les sept finalistes du Sigg Art Prize 2024 sont Alsafi, Dana-Fiona Armour, Léa Collet, Agnieszka Kurant en collaboration avec John Menick, Harrison Pearce, Aaron Scheer et Sasha Stiles.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


Les associations françaises de journalistes réclament « une fois de plus » un accès illimité à Gaza.

Selon le groupe, le fait d'empêcher les journalistes de travailler librement a permis à la désinformation de se répandre sans contrôle, les faussetés devenant des « armes de guerre utilisées par toutes les parties ». (AFP/File)
Selon le groupe, le fait d'empêcher les journalistes de travailler librement a permis à la désinformation de se répandre sans contrôle, les faussetés devenant des « armes de guerre utilisées par toutes les parties ». (AFP/File)
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  • Près de 30 associations de journalistes, pour la plupart basées en France, ont renouvelé leur appel en faveur d'un accès sans restriction des médias à Gaza,
  • Une lettre ouverte en français, en hébreu et en arabe constitue le dernier appel ignoré en faveur d'un accès à Gaza.

LONDRES : Près de 30 associations de journalistes, pour la plupart basées en France, ont renouvelé leur appel en faveur d'un accès sans restriction des médias à Gaza, tout en exhortant les autorités israéliennes à garantir la sécurité des professionnels des médias « piégés » dans l'enclave, dans des « circonstances sans précédent ».

Dans une tribune publiée mardi dans Le Monde, le groupe, qui comprend les associations de journalistes de France24, d'Arte et de Reporters sans frontières, demande à Israël d'autoriser les médias internationaux à entrer dans la bande de Gaza.

« Déjà condamnée il y a un an, cette situation est sans précédent. Comme dans tout conflit armé, il appartient aux rédactions de mesurer les risques liés à l'envoi de leurs journalistes dans les zones de guerre, comme elles le font partout dans le monde », peut-on lire dans l'article rédigé en français, en hébreu et en arabe.

Le groupe affirme que le fait d'empêcher les journalistes de travailler librement a permis à la désinformation de se répandre sans contrôle, les faussetés devenant des « armes de guerre utilisées par toutes les parties ».

La colonne Theodora a poursuivi : « Le droit d'informer et d'être informé est la pierre angulaire de nos démocraties. Il s'agit d'une liberté fondamentale, inscrite à l'article 19 de la Déclaration universelle des droits de l'homme. »

Elle ajoute : « Nous demandons donc aux autorités israéliennes de protéger la sécurité des journalistes qui tentent actuellement de travailler à Gaza, et d'ouvrir ce territoire à la presse internationale pour qu'elle puisse faire son travail : informer sans entrave et témoigner du déroulement de cette guerre, l'une des plus meurtrières et violentes de ce début de XXIᵉ siècle. »

Malgré la pression internationale, Israël a interdit aux médias étrangers d'entrer dans la bande de Gaza, obligeant les médias à s'appuyer sur des journalistes locaux chargés de sang et opérant dans une zone de guerre.

Les médias allemands ont adressé une demande similaire à Israël à la mi-septembre, qualifiant l'exclusion des médias internationaux de « sans précédent dans l'histoire récente ».

Le Comité de protection des journalistes a enregistré la mort d'au moins 128 professionnels des médias, presque tous palestiniens, depuis le début du conflit, ce qui en fait la guerre la plus meurtrière pour les journalistes depuis le début des enregistrements en 1992.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com