Goldorak: du rêve à la réalité

Cette photo prise le 25 octobre 2023 montre un homme portant le Skeletonics, une combinaison produite par le fabricant japonais de robots Robot Ride, déplaçant des obstacles lors d'une démonstration au Japan Mobility Show à Tokyo. (Photo de Kazuhiro Nogi AFP)
Cette photo prise le 25 octobre 2023 montre un homme portant le Skeletonics, une combinaison produite par le fabricant japonais de robots Robot Ride, déplaçant des obstacles lors d'une démonstration au Japan Mobility Show à Tokyo. (Photo de Kazuhiro Nogi AFP)
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Publié le Vendredi 27 octobre 2023

Goldorak: du rêve à la réalité

  • «C'est un engin qui permet aux gens d'avoir un petit goût de la science-fiction, raconte Ryo Yoshida dans les allées du salon «Japan Mobility Show», où la machine de l’entrepreneur de 25 ans valant 3 millions de dollars est l'une des grandes attractions
  • Avec ses 4,5 mètres de haut et ses 3,5 tonnes, «Archax» se meut à une vitesse de 10km/h grâce au pilote perché dans son cockpit high-tech

TOKYO : Devenir le pilote de Goldorak ou de l'un de ces autres robots géants issus des dessins animés nippons est un rêve devenu réalité pour le Japonais Ryo Yoshida, créateur d'un monstre piloté de l'intérieur.

Avec ses 4,5 mètres de haut et ses 3,5 tonnes, «Archax» se meut à une vitesse de 10km/h grâce au pilote perché dans son cockpit high-tech. Et ce dernier déploie à sa guise les 26 articulations dont deux énormes mains, via deux manettes, deux pédales et un écran tactile.

Devenir le pilote de Goldorak ou de l'un de ces autres robots géants issus des dessins animés nippons est un rêve devenu réalité pour le Japonais Ryo Yoshida
Devenir le pilote de Goldorak ou de l'un de ces autres robots géants issus des dessins animés nippons est un rêve devenu réalité pour le Japonais Ryo Yoshida (AFP)

«Je veux que les rêves des gens deviennent réalité. Le rêve que nous avions lorsque nous étions enfants, celui de monter dans un robot et de le diriger comme dans les films de science-fiction», explique M. Yoshida, le jeune patron de la start-up «Tsubame Industries».

«C'est un engin qui permet aux gens d'avoir un petit goût de ce monde (de science-fiction)», raconte à l'AFP cet entrepreneur de 25 ans dans les allées du salon «Japan Mobility Show», où sa machine valant 3 millions de dollars est l'une des grandes attractions.

Quant à l'utilisation de ces engins, Ryo Yoshida oscille entre le ludique, comme des combats de robots, et le pratique, comme des missions de déblaiements de décombres après des désastres ou de constructions.

Mais son objectif n'est pas uniquement de développer des robots, il veut surtout créer un système qui intégre le pilote et la machine.

«L'idée n'est pas que le pilote se contente de monter à bord et de piloter mais qu'il devienne le robot, comme si lui-même devenait gigantesque», affirme ce passionné.


« I like it hot ! » : J. Lo fait sensation à Abou Dhabi

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  • Jennifer Lopez, 56 ans, prouve qu’elle reste l’une des artistes les plus enflammées au monde

ABOU DHABI: De retour à Abou Dhabi après son spectacle magistral en février, Jennifer Lopez a dansé toute la soirée mardi à l’Etihad Arena sur l’île de Yas dans le cadre de sa tournée mondiale « Up All Night ».

En interprétant ses tubes cultes comme « On the Floor », « Ain’t Your Mama » et « Dance Again », Lopez a fait monter la température avec son énergie débordante et ses chorégraphies percutantes.

Même si j’ai regretté que « Jenny From the Block » n’ait pas bénéficié d’un moment à elle, Lopez l’a tout de même interprétée en medley avec « We Will Rock You » de Queen.

Pour célébrer ses 56 ans, elle a chanté « Birthday », le single sorti le 24 juillet, très applaudi par le public.

La superstar a remercié ses fans et les a encouragés à s’aimer les uns les autres et à suivre ce qu’ils aiment.

Elle a également plaisanté sur la chaleur intense des Émirats. « I like it hot ! », a-t-elle lancé en se ventilant.

Avec plusieurs changements de tenues et des plages musicales bien calibrées, le show a alterné entre titres dynamiques, ballades lentes et medleys.

Lopez a rendu hommage à sa culture latino en interprétant quelques-uns de ses succès en espagnol, notamment « Qué Hiciste » et « Si Una Vez ».

Elle a chanté en dansant le flamenco, vêtue d’une tenue inspirée du traje de flamenca, la robe traditionnelle des femmes aux festivals andalous.

L’artiste n’est pas étrangère au Golfe : elle avait déjà fait sensation en avril lors du Grand Prix d’Arabie saoudite de F1 à Djeddah, puis en novembre dernier à Riyad pour l’événement « 1001 Seasons of Elie Saab ».

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’artiste saoudienne met en lumière le riche paysage culturel de l’Asir à travers ses œuvres

L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
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  • Arafat Al-Asimi a surmonté de nombreux défis pour s’imposer comme artiste en tant que femme

MAKKAH : Les montagnes verdoyantes de la région d’Asir en Arabie saoudite ont nourri la vision artistique d’Arafat Al-Asimi.

En évoquant ses débuts, Al-Asimi confie qu’elle aime utiliser des couleurs pastel pour représenter des paysages naturels et patrimoniaux. Les montagnes, les vallées, les nuances des forêts et le climat unique de la région ont nourri son imagination artistique.

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L’artiste Arafat Al-Asimi affirme se sentir chez elle au cœur de la nature et des paysages traditionnels. (Fournie)

Elle explique se sentir profondément liée à la nature et aux dessins de paysages traditionnels, en particulier ceux inspirés de l’Asir, car ils traduisent son fort sentiment d’appartenance et lui procurent un équilibre et un confort psychologique.

Elle partage également sa passion pour l’intégration de la calligraphie arabe dans ses œuvres, soulignant combien cette pratique allie esthétique visuelle et identité culturelle.


Le programme Saudi Game Champions soutient les talents locaux pour une portée mondiale

Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
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  • Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux
  • L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme

RIYAD : Le Centre de l'entrepreneuriat numérique du ministère des communications et des technologies de l'information a conclu le programme Saudi Game Champions, une initiative de neuf mois visant à soutenir la croissance des studios de développement du pays.

Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux.

L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme.

Elle a offert plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux d'Arabie saoudite.

Lors de la cérémonie de clôture, Hussain Al-Safwan de LIMELESS Studio a remporté le prix du changement audacieux, tandis que Fahad Al-Jumaan de Hero Galaxy Studio a reçu le prix de l'inspiration.

Mostafa Fares a reçu le prix de la créativité et son collègue Ali Aseeri le prix du choix du public, tous deux représentant SYMMETRIC STUDIO.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre des efforts plus vastes déployés par le centre pour renforcer le rôle du Royaume dans l'industrie mondiale du jeu.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com