Red Sea Global coopère avec la société Vaarst pour établir des cartes perfectionnées des écosystèmes marins

La société saoudienne Red Sea Global a déclaré qu'elle testait SubSLAM, une technologie de photogrammétrie avancée développée par le groupe Vaarst. (RSG)
La société saoudienne Red Sea Global a déclaré qu'elle testait SubSLAM, une technologie de photogrammétrie avancée développée par le groupe Vaarst. (RSG)
La société saoudienne Red Sea Global a déclaré qu'elle testait SubSLAM, une technologie de photogrammétrie avancée développée par le groupe Vaarst. (RSG)
La société saoudienne Red Sea Global a déclaré qu'elle testait SubSLAM, une technologie de photogrammétrie avancée développée par le groupe Vaarst. (RSG)
La société saoudienne Red Sea Global a déclaré qu'elle testait SubSLAM, une technologie de photogrammétrie avancée développée par le groupe Vaarst. (RSG)
La société saoudienne Red Sea Global a déclaré qu'elle testait SubSLAM, une technologie de photogrammétrie avancée développée par le groupe Vaarst. (RSG)
La société saoudienne Red Sea Global a déclaré qu'elle testait SubSLAM, une technologie de photogrammétrie avancée développée par le groupe Vaarst. (RSG)
La société saoudienne Red Sea Global a déclaré qu'elle testait SubSLAM, une technologie de photogrammétrie avancée développée par le groupe Vaarst. (RSG)
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Publié le Vendredi 15 décembre 2023

Red Sea Global coopère avec la société Vaarst pour établir des cartes perfectionnées des écosystèmes marins

  • «Ce système de pointe est le système de mesure sous-marine en temps réel 3D le plus précis disponible sur le marché»
  • Grâce aux capacités de pointe de SubSLAM, RSG quantifie et localise avec précision les coraux et les espèces sous-marines

RIYAD: La société saoudienne Red Sea Global (RSG) a annoncé jeudi qu'elle testait SubSLAM, une technologie de photogrammétrie avancée élaborée par la société de logiciels Vaarst, basée au Royaume-Uni, et leader de la robotique marine.

RSG, concepteur de multiples projets en rapport avec les destinations de tourisme régénérateur les plus ambitieuses au monde, indique que cette technologie était utilisée pour élaborer des représentations numériques 3D de haute résolution des récifs coralliens de la lagune d'Al-Wajh – situés dans la partie nord-est de la mer Rouge – et d’habitats vitaux.

«Ce système de pointe est le système de mesure sous-marine en temps réel 3D le plus précis disponible sur le marché», précise RSG dans un communiqué.

«La photogrammétrie et le système intelligent de collecte de données en temps réel de Vaarst transforment la façon dont les écosystèmes sous-marins sont cartographiés et préservés.»

«C'est une première en Arabie saoudite, témoignant de l'engagement de RSG en faveur d'un tourisme durable et régénérateur.»

La société d’ajouter: «Les capacités de SubSLAM permettent une quantification et une localisation précises des coraux et des espèces sous-marines, à l’aide de capteurs 4K perfectionnés. Cette technologie guide les véhicules télécommandés dans des examens minutieux de l’habitat, en comparant les images actuelles et passées, dans le but de contrôler les mutations et défendre la biodiversité.»

RSG déclare que cette technologie permettra à ses scientifiques de localiser et de répertorier rapidement les espèces marines, en collaboration avec l'université du roi Abdelaziz de Djeddah, sans avoir à visionner des heures d'images, et qu'elle éliminera le risque d'erreur humaine causée par la fatigue.

«Cette approche dynamique est vitale pour surmonter des difficultés telles que le blanchissement des coraux et les espèces envahissantes, garantissant ainsi que la beauté et la diversité de la mer Rouge soient préservées pour le plaisir des visiteurs», mentionne également le communiqué.

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Le chef de la diplomatie libanaise décline une invitation de l'Iran

Le ministre libanais des Affaires étrangères, Youssef Rajji, s'exprime lors d'une conférence de presse conjointe avec son homologue égyptien au siège du ministère des Affaires étrangères au Caire. (AFP)
Le ministre libanais des Affaires étrangères, Youssef Rajji, s'exprime lors d'une conférence de presse conjointe avec son homologue égyptien au siège du ministère des Affaires étrangères au Caire. (AFP)
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  • Le ministre libanais des Affaires étrangères Youssef Raggi a refusé une invitation à se rendre en Iran, évoquant des conditions inappropriées, et a proposé une rencontre dans un pays tiers neutre
  • Ce refus intervient sur fond de pressions américaines pour désarmer le Hezbollah, soutenu par l'Iran, alors que Beyrouth insiste sur la non-ingérence dans ses affaires internes

BEYROUTH: Le ministre libanais des Affaires étrangères Youssef Raggi a décliné mercredi une invitation de son homologue à se rendre en Iran, qui soutient le Hezbollah islamiste, et proposé une rencontre dans un pays tiers.

Le gouvernement libanais est soumis à une intense pression des Etats-Unis pour désarmer le Hezbollah, affaibli par une guerre avec Israël, alors que l'Iran a affiché son opposition à cette mesure.

Début décembre, le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi avait invité M. Raggi à se rendre à Téhéran pour évoquer "les relations bilatérales" ainsi que les "développements régionaux et internationaux", selon le ministère iranien des Affaires étrangères.

En réponse à M. Araghchi, "j'ai déclaré que je ne pouvais pas accepter son invitation à me rendre à Téhéran dans les circonstances actuelles", a annoncé mercredi M. Raggi sur X.

"Cela ne signifie pas un refus d'engager le dialogue, mais plutôt que les conditions ne sont pas propices à cette visite", a-t-il ajouté.

Il a proposé à son homologue de s'entendre pour se rencontrer "dans un pays tiers neutre", soulignant que les relations entre le Liban et l'Iran devaient être basées sur le principe de "non ingérence dans les affaires internes" de chaque pays.

L'Iran arme et finance le puissant Hezbollah, qu'une guerre a opposé à Israël d'octobre 2023 à novembre 2024.

En août, le Liban avait signifié à un haut responsable iranien, Ali Larijani, en visite à Beyrouth, son refus catégorique de "toute ingérence" dans ses affaires internes, après des critiques par Téhéran de la décision du gouvernement de désarmer le Hezbollah.

Téhéran dénonce régulièrement les frappes israéliennes qui le visent. Les Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de la République islamique, avaient appelé en novembre à "venger" l'assassinat par Israël au Liban du chef militaire du Hezbollah, Haitham Ali Tabatabai.


L'Arabie saoudite et l'Iran réaffirment leur engagement à mettre en œuvre l’Accord de Pékin

Une réunion organisée par Téhéran a rassemblé mardi des responsables saoudiens, iraniens et chinois. (SPA)
Une réunion organisée par Téhéran a rassemblé mardi des responsables saoudiens, iraniens et chinois. (SPA)
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  • Le vice-ministre saoudien des Affaires étrangères, Waleed Al-Khureiji, a participé mardi à la troisième réunion du Comité tripartite conjoint

RIYAD : L’Arabie saoudite et l’Iran ont réaffirmé leur engagement à mettre en œuvre l’Accord de Pékin lors d’une réunion tenue mardi à Téhéran.

Le vice-ministre saoudien des Affaires étrangères, Waleed Al-Khureiji, a assisté à la troisième réunion du Comité tripartite conjoint entre l’Arabie saoudite, l’Iran et la Chine.

Les parties saoudienne et iranienne « ont réaffirmé leur engagement à mettre en œuvre l’Accord de Pékin dans son intégralité, ainsi que leur volonté de renforcer les relations de bon voisinage entre leurs pays, dans le respect de la Charte des Nations unies, de la Charte de l’Organisation de la coopération islamique et du droit international », a indiqué l’Agence de presse saoudienne dans un communiqué.

L’Arabie saoudite et l’Iran ont également salué le rôle positif continu joué par la Chine ainsi que son soutien constant à la mise en œuvre de l’Accord de Pékin.

De son côté, la Chine a réaffirmé sa disponibilité à poursuivre son soutien et à encourager les démarches entreprises par le Royaume et l’Iran pour développer leurs relations dans divers domaines.

Les trois pays ont salué les progrès continus dans les relations saoudo-iraniennes et les perspectives qu’ils offrent à tous les niveaux, a ajouté la SPA.

Les trois pays ont également appelé à une cessation immédiate des agressions israéliennes en Palestine, au Liban et en Syrie.

Ils ont en outre condamné tout acte portant atteinte à l’intégrité territoriale de l’Iran.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L'armée israélienne dit avoir frappé des infrastructures du Hezbollah au Liban

Des véhicules de l'ONU passent devant des bâtiments détruits par l'offensive aérienne et terrestre menée par Israël contre le Hezbollah dans le sud du Liban, vue depuis la ville la plus septentrionale d'Israël, Metula, le dimanche 30 novembre 2025. (AP)
Des véhicules de l'ONU passent devant des bâtiments détruits par l'offensive aérienne et terrestre menée par Israël contre le Hezbollah dans le sud du Liban, vue depuis la ville la plus septentrionale d'Israël, Metula, le dimanche 30 novembre 2025. (AP)
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  • L’armée israélienne affirme avoir frappé plusieurs infrastructures du Hezbollah dans le sud du Liban, dont un site de lancement, un complexe d’entraînement et des installations militaires, malgré le cessez-le-feu de novembre 2024
  • Le contexte reste tendu depuis l’assassinat de Hassan Nasrallah en 2024, tandis que Washington presse Beyrouth de désarmer le Hezbollah, une demande rejetée par le groupe et ses alliés

JERUSALEM: L'armée israélienne a annoncé tôt mardi avoir frappé des infrastructures du mouvement islamiste Hezbollah pro-iranien dans le sud du Liban.

Les forces armées israéliennes ont indiqué "avoir frappé des infrastructures appartenant à l'organisation terroriste Hezbollah dans plusieurs zones du sud du Liban", dont un site de lancement utilisé pour des attaques contre Israël, dans un communiqué publié sur plusieurs réseaux sociaux.

Elles disent avoir ciblé également un complexe d'entraînement de la force al-Radwan, une unité d'élite, des champs de tir, des zones d'entraînement aux armes pour divers types d'armes et des structures militaires appartenant au Hezbollah.

Malgré un cessez-le-feu conclu en novembre 2024 avec le groupe chiite pro-iranien, Israël continue de mener des attaques régulières le visant dans ses bastions libanais, et d'occuper cinq points frontaliers dans le sud du Liban.

Israël avait menacé début novembre d'intensifier ses attaques au Liban, accusant le mouvement de se "réarmer".

Le Hezbollah a été fortement affaibli par la guerre, avec notamment l'assassinat de son chef historique, Hassan Nasrallah, par une frappe israélienne en septembre 2024 à Beyrouth.

Depuis, les États-Unis ont accru la pression sur les autorités libanaises pour désarmer le groupe, un plan auquel le Hezbollah et ses alliés s'opposent en invoquant notamment la poursuite d'une présence israélienne sur le territoire libanais.