«Réécrire le monde»: Exposition du Camerounais Moustapha Baidi Oumarou à Casablanca

L’exposition «Réécrire le monde» du Camerounais Moustapha Baidi Oumarou se tient du 27 février au 30 mars à la galerie d’art L’Atelier 21 (Photo, Le Matin).
L’exposition «Réécrire le monde» du Camerounais Moustapha Baidi Oumarou se tient du 27 février au 30 mars à la galerie d’art L’Atelier 21 (Photo, Le Matin).
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Publié le Samedi 24 février 2024

«Réécrire le monde»: Exposition du Camerounais Moustapha Baidi Oumarou à Casablanca

  • L’exposition se tient du 27 février au 30 mars à la galerie d’art L’Atelier 21
  • De tous les genres picturaux, c’est le portrait qui l’intéresse au premier chef

L’artiste camerounais Moustapha Baidi Oumarou investit pour la toute première fois la galerie d’art L’Atelier 21 à Casablanca, du 27 février au 30 mars 2024, pour une exposition individuelle intitulée «Réécrire le monde».

Artiste autodidacte, Moustapha Baidi Oumarou se passionne très tôt pour la peinture où il a réussi à imposer un langage personnel qui célèbre la vie. Son regard idéaliste, résolument optimiste et empreint d’humanisme, se reflète sur ses toiles qui répandent une joie de vivre.

De tous les genres picturaux, c’est le portrait qui l’intéresse au premier chef. On reconnaît dans les œuvres de l’artiste une certaine filiation aux portraits photographiques en pied des grands maîtres du genre, comme Malick Sidibé, Seydou Keïta ou Michel Kameni, ainsi qu’une forme de célébration décomplexée du dandysme, cristallisée par le phénomène de la SAPE (Société des ambianceurs et des personnes élégantes). À ce sujet, l’écrivain Olivier Rachet note dans le texte du catalogue d’exposition que «les couleurs chatoyantes, parfois flashy, auxquelles recourt Moustapha Baidi Oumarou ne dépareraient pas dans un manuel de sapologie».

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NDLR: Mosaïque est une revue de presse qui offre au lecteur un aperçu sélectif et rapide des sujets phares abordés par des quotidiens et médias de renommée dans le monde arabe. Arab news en français se contente d’une publication très sommaire, renvoyant le lecteur directement vers le lien de l’article original. L’opinion exprimée dans cette page est propre à l’auteur et ne reflète pas nécessairement celle d’Arab News en français.


Fraude et évasion fiscales : Faid évoque la propagation des «marchés parallèles»

Le ministre des Finances, Laaziz Faid, a souligné, mardi à l’Ecole nationale des impôts (ENI) de Koléa (Tipasa), l’importance de renforcer le travail de terrain des agents fiscaux pour lutter contre la fraude et l’évasion fiscale et consacrer l’efficacité en matière de recouvrement fiscal. (Photo, El Watan)
Le ministre des Finances, Laaziz Faid, a souligné, mardi à l’Ecole nationale des impôts (ENI) de Koléa (Tipasa), l’importance de renforcer le travail de terrain des agents fiscaux pour lutter contre la fraude et l’évasion fiscale et consacrer l’efficacité en matière de recouvrement fiscal. (Photo, El Watan)
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  • Le ministre des Finances a souligné l’importance de renforcer le travail de terrain des agents fiscaux pour lutter contre la fraude et l’évasion fiscale et consacrer l’efficacité en matière de recouvrement fiscal
  • Il faut dire que l’Etat s’est montré impuissant jusqu’ici à contenir le phénomène de l’informel qui au fil des ans est parvenu à tisser sa toile dans pratiquement tous les secteurs d’activité

Le ministre des Finances, Laaziz Faid, a souligné, mardi à l’Ecole nationale des impôts (ENI) de Koléa (Tipasa), l’importance de renforcer le travail de terrain des agents fiscaux pour lutter contre la fraude et l’évasion fiscale et consacrer l’efficacité en matière de recouvrement fiscal. 

Dans une allocution prononcée lors des journées de formation au profit des chefs des inspections des impôts sur «les modalités d’imposition du revenu global», le ministre des Finances a, selon l’APS, insisté sur la nécessité pour les agents fiscaux de sortir des bureaux et d’aller sur le terrain pour lutter contre la fraude et l’évasion fiscale. 

Le ministre a déclaré que les services fiscaux sont «l’une des structures efficaces de l’Etat» face à de tels phénomènes, appelant les participants à ces journées de formation à redoubler d’efforts dans l’accomplissement de leurs missions et à renforcer leur présence sur le terrain, afin de lutter contre le marché noir où les opérateurs ne paient pas d’impôts. 

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Iran : Bâtir un avenir à partir du passé

L'ayatollah Ali Khamenei, salue la foule lors d'une cérémonie marquant le 34e anniversaire de la mort du fondateur de la République islamique, l'ayatollah Ruhollah Khomeini, dans son sanctuaire à Téhéran, le 4 juin 2023. (AFP)
L'ayatollah Ali Khamenei, salue la foule lors d'une cérémonie marquant le 34e anniversaire de la mort du fondateur de la République islamique, l'ayatollah Ruhollah Khomeini, dans son sanctuaire à Téhéran, le 4 juin 2023. (AFP)
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  • Alors que le système impose plus de limites à la réalisation de films, bon nombre des cinéastes les plus créatifs ont soit fui en exil, soit choisi une retraite anticipée
  • Ces dernières années, l’industrie de l’iranologie a commencé à émettre un bruit différent : le système khomeiniste est en crise, provoquée par la politique étrangère provocatrice de Téhéran

Au cours du dernier demi-siècle, ce qu’on appelle « l’iranologie » est devenue une industrie mondiale avec des dizaines de groupes de réflexion, d’instituts, de facultés et de groupes de pression essayant de comprendre et d’expliquer ce qui se passe en Iran, créé par Khomeini en 1979.

Inspirée de la kremlinologie, une industrie très active pendant la vieille guerre, l’iranologie a ignoré l’histoire et la culture iraniennes et a supposé que, plutôt que d’être un épiphénomène, comme le bolchevisme s’est avéré l’être, elle est une expression véritable et donc permanente de la nationalité iranienne.

Tout comme la kremlinologie, les iraniennistes ont utilisé et abusé de nombreux termes pour étayer leur prétention d'expertise : chiisme, taqiyah, source d'émulation, fatwa, islam révolutionnaire, etc. Noam Chomsky, l'un des plus ardents admirateurs de l'Iran, a également ajouté : basé sur les personnes et anti-impérialiste à la liste.

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Rosebud : Najia Mehadji expose son art à Casablanca

La galerie d’art L’Atelier 21 à Casablanca accueille jusqu’au 24 mai une exposition captivante de l’artiste plasticienne renommée Najia Mehadji. (Photo: Le Matin)
La galerie d’art L’Atelier 21 à Casablanca accueille jusqu’au 24 mai une exposition captivante de l’artiste plasticienne renommée Najia Mehadji. (Photo: Le Matin)
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  • Entre ré-interprétation audacieuse, gestuelle fluide et exploration artistique, l’artiste Najia Mehadji célèbre l’amour et la compassion à travers ses œuvres emblématiques
  • Depuis les années 1980, l’œuvre de Najia Mehadji a su transcender les frontières géographiques et esthétiques, fusionnant l’art contemporain avec les éléments de l’art islamique pour créer un style unique et reconnaissable

La galerie d’art L’Atelier 21 à Casablanca accueille jusqu’au 24 mai une exposition captivante de l’artiste plasticienne renommée Najia Mehadji. Intitulée «Rosebud», cette quatrième exposition individuelle de Mehadji est une célébration de l’amour, de la beauté et de la compassion à travers l’expression artistique.

Au cœur de cette exposition se trouve la série «Rosebud», une ré-interprétation de la série «War Flower» de Mehadji. Inspirée par le mot emblématique du film «Citizen Kane» d’Orson Welles, «Rosebud» incarne l’amour qui transcende le pouvoir et la réussite matérielle. À travers une gestuelle fluide et énergique, Mehadji donne vie à la rose sur ses toiles monochromes, exprimant ainsi sa compassion pour la tragédie humaine en cours en Palestine et ailleurs.

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