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La comédie romantique Merry Cream arrive pour la première fois à Dubaï
Merry Cream est une comédie romantique mise en scène par Lina Abyad, écrite par Walid Arakji et interprétée par Lama Lawand, Dory al Samarany, Mya Allawi, Jennifer Yammine et Walid Arakji. (Photo: fournie)
Merry Cream est une comédie romantique mise en scène par Lina Abyad, écrite par Walid Arakji et interprétée par Lama Lawand, Dory al Samarany, Mya Allawi, Jennifer Yammine et Walid Arakji. (Photo: fournie)
Merry Cream est une comédie romantique mise en scène par Lina Abyad, écrite par Walid Arakji et interprétée par Lama Lawand, Dory al Samarany, Mya Allawi, Jennifer Yammine et Walid Arakji. (Photo: fournie)
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Publié le Mercredi 22 mai 2024
Arab News en français
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La comédie romantique Merry Cream arrive pour la première fois à Dubaï
Merry Cream est une comédie romantique qui allie humour et messages sociaux importants, mise en scène par Lina Abyad et écrite par Walid Arakji
Nicolas est dans sa quête de la demande en mariage parfaite, mais tout bascule lorsque sa mère Rola lui rend visite et décide de rester
Publié le Mercredi 22 mai 2024
Arab News en français
Dubaï : Art For All s’apprête à accueillir la première de « Merry Cream » au théâtre Zabeel les 30 et 31 mai, une comédie engagée pour tous les publics arabophones.
Merry Cream est une comédie romantique qui allie humour et messages sociaux importants, mise en scène par Lina Abyad, écrite par Walid Arakji et interprétée par Lama Lawand, Dory al Samarany, Mya Allawi, Jennifer Yammine et Walid Arakji.
Rejoignez Nicolas dans sa quête de la demande en mariage parfaite, où l'amour rencontre le chaos ! Nicolas prépare un dîner surprise pour sa petite amie Nour, avec l'aide de son meilleur ami Joe et de sa petite amie Tanya. Mais tout bascule lorsque sa mère Rola lui rend visite et décide de rester, ce qui le pousse à commencer une série de mensonges qui changeront le cours de son projet.
Les rebondissements comiques s'enchaînent au fur et à mesure que les secrets se dévoilent, garantissant une soirée de rire, de drame, de romance et d'une touche de chaos - parfaite pour une soirée entre amis.
Walid Arakji a débuté sa carrière d'acteur à l'âge de 9 ans avec un rôle principal dans le long métrage franco-tunisien « Le Collier Perdu de la Colombe » de Nasser Khemir. Plus tard, il apparaît dans des petits rôles dans des films libanais. Il a joué dans deux pièces écrites par Alexandre Najjar et mises en scène par Lina Abyad, « L'inattendue » et « Monsieur Bechara », en 2018 et 2019 respectivement avant d’écrire sa première pièce en 2022, également mise en scène par Lina Abyad.
Walid s’entoure d’une équipe d’interprète connus, pour la mise en scène de Merry Cream, parmi lesquelles figure Lama Lawand. En plus de sa carrière de plus de 35 ans dans le domaine de l'audiovisuel et de la comédie, Lama est titulaire d'un doctorat en études théâtrales de la Sorbonne Nouvelle (Paris) et est professeur associé au département des arts de la communication à la Lebanese American University (LAU) à Beyrouth.
Le casting de Merry Cream comprend, Dory El Samarany, acteur libanais reconnu pour ses rôles dans plus de quarante séries télévisées et films arabes, Jennifer Yammine, diplômée en arts du spectacle de la LAU, Mya Allawi, connue pour de nombreux courts métrages entre autres.
Gallimard a dénoncé mardi les "parallèles forcés ou inexacts" entre l'intrigue du livre "Houris" de l'écrivain franco-algérien Kamel Daoud, prix Goncourt 2024, et la vie de Saâda Arbane, une Algérienne qui l'accuse d'avoir volé son histoire tragique. (AFP)
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AFP
Publié le 13 mai 2025
Cette "œuvre d'imagination" est basée sur "une intrigue", des "personnages" et des "événements empruntés au vécu de Kamel Daoud et à des faits historiques et criminels connus", soutient encore Gallimard
"Ces sources d'inspiration propres à tout romancier sont libres en France, selon une jurisprudence plus que séculaire, et ne relèvent pas du domaine de la vie privée", a-t-on encore ajouté
Publié le Mardi 13 mai 2025
AFP
13 mai 2025
PARIS: Gallimard a dénoncé mardi les "parallèles forcés ou inexacts" entre l'intrigue du livre "Houris" de l'écrivain franco-algérien Kamel Daoud, prix Goncourt 2024, et la vie de Saâda Arbane, une Algérienne qui l'accuse d'avoir volé son histoire tragique.
"Les parallèles forcés ou inexacts publiquement revendiqués (qu'il s'agisse de tatouages, d'un quartier, d'une plage ou d'un lycée d'Oran ou encore d'un avortement...) traduisent en réalité une déformation de l'histoire du livre et ne pourront transformer 'Houris' en une biographie ou une auto-fiction", affirme l'éditeur dans un communiqué.
Cette "œuvre d'imagination" est basée sur "une intrigue", des "personnages" et des "événements empruntés au vécu de Kamel Daoud et à des faits historiques et criminels connus", soutient encore Gallimard.
"Ces sources d'inspiration propres à tout romancier sont libres en France, selon une jurisprudence plus que séculaire, et ne relèvent pas du domaine de la vie privée", a-t-on encore ajouté.
Visé par deux mandats d'arrêt internationaux émis par l'Algérie, une plainte et une assignation en France, Kamel Daoud a dénoncé lundi "une forme de persécution judiciaire" auprès du journal Le Figaro.
Son avocate, Me Jacqueline Laffont, a fait mardi auprès de l'AFP un parallèle avec le sort de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, détenu à Alger depuis novembre.
L'avocate a aussi dénoncé les "attaques médiatiques et judiciaires qui visent, à partir d'un récit biaisé et d'une présentation inexacte des faits, à discréditer le travail d'écrivain (de son client, ndlr), la probité de ses proches et l'intégrité de son œuvre".
"Contrairement à ce que Saâda Arbane soutient, 'Houris' est une œuvre de fiction, fondée sur un travail d'imagination, de création littéraire, mais également de recoupement de témoignages et de faits historiques liés à la guerre civile algérienne, dont Kamel Daoud a été le témoin et qu'il a traités en sa qualité de journaliste", a encore dit Me Laffont.
L'avocate a assuré que l'histoire de Saâda Arbane avait été "rendue publique par sa propre mère, était déjà connue avant la publication du roman", qu'elle n'est "malheureusement pas la seule survivante mutilée de la guerre civile algérienne (...) ni la seule à avoir échappé à une tentative d'égorgement", et encore qu'"Houris" n'est pas le fruit d'une "violation du secret médical" de Mme Arbane.
Cette rescapée d'un massacre pendant la décennie noire de guerre civile en Algérie a déclaré dimanche à l'AFP vouloir "faire reconnaître un préjudice réel et très grave".
La circulation se poursuit devant les drapeaux saoudiens et américains flottant le long d’une artère principale de Riyad, le 12 mai 2025, à quelques heures de la visite du président américain Donald Trump en Arabie saoudite. (AFP)
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Tamara Aboalsaud
Publié le 13 mai 2025
Les principaux atouts de la vie en Arabie saoudite sont la sécurité, les opportunités économiques et la force des valeurs morales au sein de la société, selon les expatriés
Alors que le Royaume continue de s'ouvrir aux entreprises et aux investissements étrangers, il crée de nouvelles opportunités d'emploi pour les étrangers comme pour les locaux
Publié le Mardi 13 mai 2025
Tamara Aboalsaud
13 mai 2025
RIYAD: Les Américains installés en Arabie saoudite ont trouvé, loin de leur terre natale, un véritable foyer. Les liens humains qui se tissent entre les communautés reflètent la solidité des relations durables entre Washington et Riyad.
À l’approche de la visite du président américain Donald Trump dans la région, quatre expatriés ont confié à Arab News leur expérience de vie dans le Royaume.
Maria Cometti, cofondatrice du magazine DQ Living et résidente à Riyad, explique:
«Pour moi, les principaux atouts de la vie en Arabie saoudite sont la sécurité, les opportunités économiques, et la force des valeurs morales au sein de la société.»
Et d’ajouter: «En tant que parents, notre priorité est la santé et la sécurité de notre famille… c’est essentiel. Ici, les soins de santé sont également abordables, ce qui change beaucoup de choses.»
«En tant qu'Américaine mariée à un Saoudien, je suis particulièrement reconnaissante des liens étroits qui unissent nos deux pays.»
Le taux d'emploi des femmes a atteint plus de 36%, dépassant l'objectif de 30% fixé par la Vision 2030. (AFP)
Hana Nemec, une cadre qui s'est installée dans le Royaume en 2015 à l'âge de 24 ans, a déclaré qu'à son arrivée, le taux d'emploi des femmes était inférieur à 20%, ce qui «faisait souvent de moi la seule femme dans les réunions et m'a amenée à me poser des questions sur la disposition des sièges et à commettre des maladresses culturelles.»
À la fin de l'année dernière, ce taux était passé à plus de 36%, dépassant l'objectif de 30% fixé par la Vision 2030 avec dix ans d'avance.
«Depuis mon arrivée en Arabie saoudite, je suis agréablement surprise chaque jour par la population, son hospitalité contagieuse et sa volonté de travailler main dans la main pour atteindre les objectifs de la Vision 2030», a déclaré Nemec.
«Personnellement, j'ai été émue de constater les changements incroyables survenus en Arabie saoudite depuis l'annonce de la Vision 2030, en raison de l'impact profond qu'elle a eu sur ma vie.»
Alors que le Royaume continue de s'ouvrir aux entreprises et aux investissements étrangers, il crée de nouvelles opportunités d'emploi pour les étrangers comme pour les locaux.
L'Américain Sameer Shams a déclaré: «J'ai vécu à Riyad pendant plus de 15 ans et j'ai apprécié la richesse de la culture, la sécurité, les infrastructures modernes et la vie abordable avec des expériences uniques. L'Arabie saoudite (offre) d'excellentes opportunités de carrière, en particulier dans les secteurs en pleine croissance.»
Il a déclaré avoir vu comment les relations américano-saoudiennes, historiquement ancrées dans le pétrole et la défense, ont évolué vers la technologie, l'IA et les énergies renouvelables, une évolution qui peut être observée à travers des événements tels que le Forum d'investissement américano-saoudien à Riyad.
«De tels événements ont attiré des chefs d'entreprise de premier plan et renforcé les liens entre les peuples grâce à des initiatives de collaboration dans les domaines du développement durable, de la finance et de l'innovation», a-t-il déclaré.
«La transformation de l'Arabie saoudite est tangible et a un impact, offrant de nouvelles opportunités aux citoyens et aux expatriés. La trajectoire du Royaume vers la modernisation est évidente. Ayant été le témoin direct de ces changements, je considère l'ère actuelle en Arabie saoudite comme une période de grandes promesses et de changements positifs.»
Daniel Talbot, étudiant en technologies de dessalement à l’Université des sciences et technologies du roi Abdallah (KAUST), confie:
«J’ai entamé mon cursus en 2024, mais je considère déjà l’Arabie saoudite comme mon pays.»
Il ajoute: «C’est ici que ma famille et moi avons choisi de nous installer pour les quatre ou cinq prochaines années, le temps que je termine mon master et mon doctorat.»
Des cavaliers défilent devant la Maraya, le plus grand bâtiment en miroir du monde, dans le canyon désertique de la vallée d'Ashar, dans le désert d'AlUla, au nord-ouest de l'Arabie saoudite. (AFP)
Le fait de faire partie d'une communauté de collègues, dont beaucoup sont aujourd'hui ses amis, a permis à M. Talbot de se sentir chez lui et il a salué la compassion et la générosité du peuple saoudien.
«Je crois que le peuple saoudien représente l'avenir du Moyen-Orient et je me sens honoré de jouer ne serait-ce qu'un petit rôle dans ce voyage.»
«Avec une vision claire et des objectifs ambitieux, je vois le Royaume non seulement remodeler son propre avenir, mais aussi se positionner en tant que leader mondial dans plusieurs secteurs.»
M. Talbot a attribué une grande partie du succès du pays à la Vision 2030, qu'il a qualifiée de «l'une des stratégies nationales les plus ambitieuses de notre époque».
M. Talbot a déclaré que la proximité de la mer Rouge était l'un des aspects les plus intéressants de son installation en Arabie saoudite.
«Le calme et les paysages naturels ont apporté des moments de tranquillité et de repos à ma famille, qu'il s'agisse d'un pique-nique au coucher du soleil ou simplement d'une soirée tranquille sous les étoiles près de notre maison. La mer Rouge, avec ses eaux claires et sa vie marine animée, a été rafraîchissante.»
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
Des palmiers en fonte décoratifs ornent une terrasse du Palais du Festival surplombant le "Vieux Port de Cannes" à la veille de la 78e édition du Festival de Cannes à Cannes, dans le sud de la France, le 12 mai 2025. (AFP)
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AFP
Publié le 13 mai 2025
Avec son cortège de stars, à commencer par Robert De Niro, le Festival de Cannes ouvre mardi dans un monde déchiré par les conflits, de l'Ukraine à Gaza
Publié le Mardi 13 mai 2025
AFP
13 mai 2025
CANNES: Avec son cortège de stars, à commencer par Robert De Niro, le Festival de Cannes ouvre mardi dans un monde déchiré par les conflits, de l'Ukraine à Gaza, au cœur d'une tribune signée par des dizaines de personnalités du cinéma.
"Nous artistes et acteur.ice.s de la culture, nous ne pouvons rester silencieux.se.s tandis qu'un génocide est en cours à Gaza", clament le réalisateur espagnol Pedro Almodovar, les acteurs américains Susan Sarandon ou Richard Gere dans le quotidien français Libération mardi.
Un texte hautement symbolique à quelques heures de la soirée d'ouverture du plus grand festival de cinéma du monde, qui doit être marquée par la Palme d'or d'honneur remise à Robert de Niro, légende du cinéma - et opposant déclaré au président américain Donald Trump.
Le texte rend également hommage à la photojournaliste palestinienne Fatima Hassouna, tuée dans un bombardement israélien mi-avril et protagoniste principale d'un documentaire programmé dans une section parallèle à Cannes.
"A quoi servent nos métiers si ce n'est à tirer des leçons de l'Histoire, des films engagés, si nous ne sommes pas présent.e.s pour protéger les voix opprimées?", demandent les 380 signataires de cet appel, qui devait aussi paraître dans Variety, la bible américaine du cinéma.
Ils exhortent à agir "pour toutes celles et ceux qui meurent dans l'indifférence". "Le cinéma se doit de porter leurs messages", écrivent-ils encore.
Selon l'un des collectifs à l'origine de la tribune, sollicité par l'AFP, la présidente du jury cannois, l'actrice Juliette Binoche, faisait initialement partie des signataires mais son nom ne figurait pas parmi les 34 cités dans un premier temps par Libération.
- De Niro honoré -
C'est à une autre guerre, celle menée par la Russie en Ukraine, que le Festival a consacré lundi sa journée de veille d'ouverture, avec la projection de trois documentaires.
Un autre événement extérieur au Festival pourrait également créer des remous mardi: hasard du calendrier, la cérémonie d'ouverture de cette 78e édition se tiendra quelques heures après le délibéré du procès à Paris de Gérard Depardieu pour des agressions sexuelles lors d'un tournage.
Très attendu, ce jugement devrait trouver un écho à Cannes, où se retrouvent les plus grands noms d'une industrie du cinéma en première ligne depuis l'affaire Weinstein et le début du mouvement #MeToo.
A 19H15 (17H15 GMT), place à la cérémonie d'ouverture. Elle sera marquée par la remise d'une Palme d'or d'honneur, pour l'ensemble de sa carrière, à Robert De Niro, âgé de 81 ans.
L'acteur de "Taxi Driver" n'a jamais épargné Donald Trump. Son discours sera écouté avec attention par un monde du cinéma inquiet de la montée des régimes autoritaires et plongé dans l'expectative depuis que le président américain a menacé d'imposer une taxe de 100% sur les films étrangers.
- Glamour -
La cérémonie réservera aussi une surprise, signée Mylène Farmer. La chanteuse, cinéphile et ancienne membre du jury, doit monter sur scène et pourrait interpréter un titre inédit.
Elle cédera ensuite la place à l'écran à une autre chanteuse française, Juliette Armanet. L'interprète du "Dernier jour du disco" sera la vedette du film d'ouverture, "Partir un jour", un premier long-métrage signé Amélie Bonnin qui sort en même temps en salles en France.
C'est la première fois qu'un premier long-métrage lance l'événement. "C'est la troisième fois seulement après Diane Kurys et Maïwenn qu'une réalisatrice ouvre le Festival de Cannes. C'est une comédie musicale et un film très très réussi", a souligné le délégué général du Festival, Thierry Frémaux, devant la presse lundi.
De films en tapis rouges, Cannes, fort du succès de ses longs-métrages l'an dernier aux Oscars, fera une large place au glamour et attirera des nuées de stars : de Tom Cruise à Nicole Kidman et Denzel Washington, en passant Jennifer Lawrence ou Robert Pattinson.
Juliette Binoche a dîné lundi soir, pour la première fois, avec les membres de son jury, dont les acteurs Jeremy Strong et Halle Berry ou la romancière Leïla Slimani. Ils ont la lourde tâche de désigner, le 24 mai, la Palme d'or parmi les 22 films en compétition.