Le festival « Mille et une nuits » dynamise la scène musicale du Royaume

Des foules venues du monde entier ont assisté à A Thousand and One, le nouveau concept de festival de MDLBEAST, où des musiciens internationaux comme DJ Snake et R3hab sont venus se produire en Arabie saoudite. (AN Photos de Abdulrahman bin Shulhoub)
Des foules venues du monde entier ont assisté à A Thousand and One, le nouveau concept de festival de MDLBEAST, où des musiciens internationaux comme DJ Snake et R3hab sont venus se produire en Arabie saoudite. (AN Photos de Abdulrahman bin Shulhoub)
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Publié le Samedi 26 avril 2025

Le festival « Mille et une nuits » dynamise la scène musicale du Royaume

  • Ce festival de danse et de musique se déroule sur quatre scènes : Sahaab, Bustan, Qafilah et Qasr.
  • Le festival présente également le Bizarre Bazaar, un souk du Moyen-Orient réinventé où la musique, la nourriture, l'art et la culture se rencontrent

RIYAD : Des foules venues du monde entier se sont pressées pour assister à A Thousand and One, le nouveau concept de festival de MDLBEAST, où se sont produits des musiciens internationaux tels que DJ Snake et R3hab en Arabie saoudite.

Le festival de musique est doté de quatre scènes – Sahaab, Bustan, Qafilah et Qasr – chacune conçue avec son propre sous-thème dans le cadre du concept principal, inspiré par le conte folklorique intemporel.

« Je trouve le thème vraiment intelligent. C'est un bon moyen d'attirer les Saoudiens et les expatriés », a déclaré Irma Saric, de Bosnie, à Arab News. 

Des foules venues du monde entier ont assisté à A Thousand and One, le nouveau concept de festival de MDLBEAST, où des musiciens internationaux comme DJ Snake et R3hab sont venus se produire en Arabie saoudite. (AN Photos de Abdulrahman bin Shulhoub)
Des foules venues du monde entier ont assisté à A Thousand and One, le nouveau concept de festival de MDLBEAST, où des musiciens internationaux comme DJ Snake et R3hab sont venus se produire en Arabie saoudite. (AN Photos de Abdulrahman bin Shulhoub)

Elle est venue au festival en compagnie de son amie Ifeta Selimovic. Les deux Bosniaques vivent en Arabie saoudite depuis plusieurs années et étaient ravies de voir Salvatore Ganacci, un DJ de leur pays d'origine, sur scène.

« Ce qui m'a le plus attiré, c'est la diversité de la musique techno et le mélange des cultures, tout en restant si moderne... La scène musicale saoudienne est incroyable. J'aime tout ce qui s'y passe. C'est cette diversité qui me plaît le plus. J'aime la façon dont ils essaient de mêler la musique arabe à des rythmes modernes », a déclaré Saric à Arab News.

Selimovic participe régulièrement aux événements de MDLBEAST, notamment à son festival phare Soundstorm, et était ravi de voir DJ Snake, le DJ turc Mahmut Orhan et Ganacci. 

« J'aime beaucoup les DJ, l'atmosphère, la façon dont ils ont organisé ce concert et tout le reste. J'aime aussi la zone « à nous », parce qu'il n'y a que nous, les filles, qui nous réunissons et nous amusons... On est dans notre propre monde. Vous vous concentrez sur la musique, c'est tout, et il n'y a pas trop de monde », a-t-elle déclaré à Arab News.  

Des foules venues du monde entier ont assisté à A Thousand and One, le nouveau concept de festival de MDLBEAST, où des musiciens internationaux comme DJ Snake et R3hab sont venus se produire en Arabie saoudite. (AN Photos de Abdulrahman bin Shulhoub)
Des foules venues du monde entier ont assisté à A Thousand and One, le nouveau concept de festival de MDLBEAST, où des musiciens internationaux comme DJ Snake et R3hab sont venus se produire en Arabie saoudite. (AN Photos de Abdulrahman bin Shulhoub)

Situées à Banban, où s'est déroulée la section underground de Soundstorm, les quatre scènes se sont transformées en décors magiques et folkloriques. La scène Qasr s'inspire d'un palais de sultan à l'architecture arabe, où les sons électroniques et expérimentaux prennent le dessus ; la scène Qafilah fait écho à l'esprit des caravanes de chameaux et au riche patrimoine commercial de l'Arabie saoudite, avec de la tech house et des rythmes mélodiques. 

La scène Bustan est une expérience de jardin luxuriant et immersif inspiré des anciens contes « Kalila Wa Dimna », avec un mélange varié de genres ; tandis que la scène Sahaab s'inspire du tapis volant d'Aladin.

« Ce genre de festival n'a lieu que tous les trois mois, alors j'aime venir danser et m'amuser », a déclaré Fares Alkudsi, un Saoudien venu spécialement pour voir DJ Snake. 

« La scène musicale a toujours été bonne ici, mais avant 2019, elle ne recevait pas beaucoup d'attention. Maintenant, ils accordent beaucoup d'attention à la jeunesse et aux artistes que nous aimons, alors c'est une bonne chose pour nous. » 

Des foules venues du monde entier ont assisté à A Thousand and One, le nouveau concept de festival de MDLBEAST, où des musiciens internationaux comme DJ Snake et R3hab sont venus se produire en Arabie saoudite. (AN Photos de Abdulrahman bin Shulhoub)
Des foules venues du monde entier ont assisté à A Thousand and One, le nouveau concept de festival de MDLBEAST, où des musiciens internationaux comme DJ Snake et R3hab sont venus se produire en Arabie saoudite. (AN Photos de Abdulrahman bin Shulhoub)

Originaire de Syrie, mais né et élevé en Arabie saoudite, William Shakkour a décidé de se rendre au festival sur un coup de tête et a déclaré qu'il lui rappelait la première édition de Soundstorm. 

« C'était basique, simple et fantastique, et je pense que les prochaines éditions seront meilleures que celle-ci », a-t-il déclaré au journal Arab News.

« L'Arabie saoudite est devenue une icône pour les festivals de musique, pour le festival de la mer Rouge, pour les cinémas, pour tout. Je pense qu'à l'avenir, elle sera l'icône du Moyen-Orient dans différents domaines, comme le cinéma, les festivals de musique et toutes les autres activités de divertissement », a-t-il ajouté.

Vinyl Mode fait partie de la scène musicale underground depuis deux décennies, où de nombreux DJ locaux se réunissent pour l'amour de la musique, et il s'est produit sur d'innombrables scènes au cours de sa carrière. Jeudi, il a clôturé la scène Sahaab avec son set de musique house. *** 

Des foules venues du monde entier ont assisté à A Thousand and One, le nouveau concept de festival de MDLBEAST, où des musiciens internationaux comme DJ Snake et R3hab sont venus se produire en Arabie saoudite. (AN Photos de Abdulrahman bin Shulhoub)
Des foules venues du monde entier ont assisté à A Thousand and One, le nouveau concept de festival de MDLBEAST, où des musiciens internationaux comme DJ Snake et R3hab sont venus se produire en Arabie saoudite. (AN Photos de Abdulrahman bin Shulhoub)

« Je suis très enthousiaste parce que c'est un concept très novateur. Nous sommes habitués aux productions de fin d'année de grande envergure, et j'ai toujours pensé : « Et si nous faisions quelque chose au milieu de l'année ? » C'est ce qui se passe, mais avec style », a-t-il déclaré à Arab News. « Ce qui le rend spécial, c'est qu'il s'agit d'un nouveau moment, d'une nouvelle sensation, d'une nouvelle expérience. 

Les foules saoudiennes survoltées témoignent de la force et de la croissance du paysage musical dans la région. 

« Les gens aiment la musique, ils s'y intéressent davantage, apprennent plus, sont plus éduqués. Je pense donc que nous avons beaucoup de chance de faire partie de ce mouvement. »

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com  


Sur Netflix ou Amazon, Paris capitale des «rom com», au risque des clichés

Après "Emily in Paris" sur Netflix, Paris confirme son statut de capitale de la "rom com" (romantic comedy) avec le carton mondial de "L'été où je suis devenu jolie", dont la troisième saison sur Amazon Prime se dénoue dans une ville de carte postale très éloignée de la réalité. (AFP).
Après "Emily in Paris" sur Netflix, Paris confirme son statut de capitale de la "rom com" (romantic comedy) avec le carton mondial de "L'été où je suis devenu jolie", dont la troisième saison sur Amazon Prime se dénoue dans une ville de carte postale très éloignée de la réalité. (AFP).
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  • "C'est tellement iconique de voir Audrey Hepburn à Paris, trouver sa place et devenir une jeune femme, que je me suis dit que ce serait charmant que Belly suive cette voie", a déclaré Jenny Han au Los Angeles Times
  • Comme pour beaucoup d'autres héroïnes de fiction avant elle, la capitale française devient l'écrin dans lequel "Belly" va renaître dans un Paris stéréotypé: garçons de café atrabilaires, pâtisseries appétissantes et ruelles photogéniques

PARIS: Après "Emily in Paris" sur Netflix, Paris confirme son statut de capitale de la "rom com" (romantic comedy) avec le carton mondial de "L'été où je suis devenu jolie", dont la troisième saison sur Amazon Prime se dénoue dans une ville de carte postale très éloignée de la réalité.

Cette ultime saison, classée première sur Amazon dans 120 pays à son lancement en juillet, s'est achevée fin septembre avec le départ à Paris du personnage principal, l'étudiante américaine Isabel "Belly" Conklin (Lola Tung), qui tente de s'extirper d'un douloureux triangle amoureux.

Comme pour beaucoup d'autres héroïnes de fiction avant elle, la capitale française devient l'écrin dans lequel "Belly" va renaître dans un Paris stéréotypé: garçons de café atrabilaires, pâtisseries appétissantes et ruelles photogéniques.

Jenny Han, l'autrice du roman ayant inspiré la série, rêvait d'un tournage à Paris sur les traces de l'actrice britannique Audrey Hepburn, dont les plus grands rôles dans les années 50-60 se sont déployés dans la capitale française ("Charade", "Drôle de Frimousse", "Comment voler un million de dollars"...).

"C'est tellement iconique de voir Audrey Hepburn à Paris, trouver sa place et devenir une jeune femme, que je me suis dit que ce serait charmant que Belly suive cette voie", a déclaré Jenny Han au Los Angeles Times, ajoutant que la série allait désormais être adaptée sur grand écran.

"Version aseptisée" 

De fait, Paris n'a pas attendu Belly ou Emily our faire briller les feux de l'amour sur grand écran.

Dès 1951, "Un Américain à Paris" de Vincente Minelli mettait en scène les tribulations amoureuses de Gene Kelly et Leslie Caron dans la Ville lumière et ce classique a d'ailleurs droit à un petit clin d'oeil dans l'épisode final de "L'été où je suis devenu jolie".

"Paris incarne l'amour dépassant le monde ordinaire, une transcendance au-delà du temps et de l'espace", analyse Waddick Doyle, professeur de communication internationale à l'American University de Paris.

La série Amazon enferme toutefois la ville dans une vision mythifiée et édulcorée, une critique déjà adressée à "Emily in Paris" où tout le monde vit dans des beaux quartiers.

"Quand des médias étrangers font le portrait de Paris, ils en font une caricature sans aspérités. C'est une tradition bien ancrée qui assigne à Paris un rôle dont elle ne peut pas sortir", dit à l'AFP Lindsey Tramuta, une autrice américaine installée à Paris et dont le nouveau livre ("New Paris") démonte les clichés sur la France.

La plupart des scènes parisiennes de "L'été où je suis devenu belle" ont été tournées dans des quartiers touristiques, dont la butte Montmartre où Belly arrive miraculeusement à louer un grand appartement avec vue sur le Sacré-Coeur alors qu'elle cumule des jobs étudiants.

Au début des années 2000, "le Fabuleux destin d'Amélie Poulain", pourtant pure production française, avait lui aussi été accusé de véhiculer une image proprette de la ville et notamment du quartier Montmartre.

"Il y a des moments où ça peut devenir problématique quand ce qui est montré est une version ripolinée, presque aseptisée de cet endroit qui ne reflète pas la réalité", estime Lindsey Tramuta.

Sans doute pas de quoi dissuader les fans de "L'été où je suis devenu jolie" d'affluer dans la capitale. Une croisière sur La Seine était prévue fin septembre pour naviguer sur les traces de Belly, mais a dû être annulée pour des raisons techniques.

Les fans d'"Emily in Paris" continuent, eux, de se ruer sur le restaurant parisien Terra Nera où se déroulent plusieurs épisodes de cette série qui perpétue une vision idéalisée de la ville.

"Pourquoi ne peut-on pas montrer le vrai Paris et faire en sorte qu'il fasse aussi rêver?", s'interroge Lindsey Tramuta.


Fashion Week: au Louvre, Louis Vuitton célèbre "l'art de s'habiller pour soi"

Un mannequin présente une création de Louis Vuitton pour la collection de prêt-à-porter féminin printemps-été 2026 dans le cadre de la semaine de la mode de Paris, à Paris le 30 septembre 2025. (AFP)
Un mannequin présente une création de Louis Vuitton pour la collection de prêt-à-porter féminin printemps-été 2026 dans le cadre de la semaine de la mode de Paris, à Paris le 30 septembre 2025. (AFP)
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  • Louis Vuitton a dévoilé une collection printemps-été 2026 intime et raffinée au Louvre, inspirée de l'idée de "s'habiller pour soi", avec des silhouettes fluides et confortables
  • La mise en scène immersive et poétique de Nicolas Ghesquière — avec musique, mobilier d'art et lectures de Cate Blanchett — recrée une atmosphère de cocon domestique

PARIS: Louis Vuitton a investi mardi les appartements d'été d'Anne d'Autriche au Louvre pour présenter un vestiaire féminin confortable et élégant, invitant à un voyage au coeur de l'intimité, au deuxième jour de la Fashion Week de Paris.

Des robes légères portées comme des déshabillés, des manteaux noués tels des peignoirs, des tricots et des pantalons fluides ont défilé sous les ors de la galerie récemment rénovée, qui accueillait autrefois la mère de Louis XIV pendant l'été.

Une collection printemps-été 2026 qui célèbre l'art de vivre et l'idée de "s'habiller d'abord pour soi-même", a expliqué à la presse Nicolas Ghesquière, le directeur artistique de la marque au monogramme.

Les écharpes se portent nouées à la taille, tandis que les têtes se parent de turbans, le tout dans des tons pastels très doux, relevé de quelques motifs floraux ou ornements et porté avec des bottines plates rappelant des charentaises.

La scénographie recrée un appartement contemporain mêlant mobilier et créations de différentes époques : œuvres de l'artiste américain contemporain Robert Wilson, meubles du XVIIIe siècle de Georges Jacob, assises Art Déco des années 1930 de Michel Dufet ou encore sculptures du XIXe siècle de Pierre-Adrien Dalpayrat.

La musique, composée par le musicien français Tanguy Destable, reprenait les paroles de "This Must Be the Place" ("Ce doit être l'endroit", en français) du groupe Talking Heads, lues par l'actrice Cate Blanchett, pour donner une sensation de cocon.

"L'atmosphère que je souhaitais partager était vraiment cette sérénité que l'on ressent lorsqu'on est dans le confort de son foyer", a précisé le couturier français.

"C'est comme un voyage dans son appartement", a poursuivi le styliste, assurant qu'"on peut s'habiller avec plaisir et sophistication chez soi."

Le Louvre est un décor familier pour Nicolas Ghesquière, qui y a déjà présenté de nombreuses collections féminines depuis son arrivée à la tête des collections femme de Vuitton en 2013.

Parmi les invités, figuraient la première dame Brigitte Macron – fidèle des défilés Vuitton – ainsi que les actrices Ana de Armas, Zendaya et Emma Stone.

De son côté, Julian Klausner a présenté chez Dries Van Noten une collection aux silhouettes fluides et sophistiquées aux couleurs vives et aux détails pop.

Des vestes bicolores ajustées s'associent à de longues jupes diaphanes transparentes, et les bermudas au-dessus du genou se portent avec des volants sur les hanches.

Chez Courrèges, le Belge Nicolas Di Felice a revisité la mini-jupe, grand classique de la maison popularisée dans les années 1960. En version 2025, elles s'associent à des tops géométriques qui laissent apparaître le dos et les flancs.


Brigitte Bardot se livre dans un «BBcédaire» écrit de sa main

"Mon BBcédaire", qui "a été entièrement rédigé à la main", est présenté par l'éditeur Fayard comme "une immersion dans la personnalité d'une femme qui a marqué son époque par son indépendance, son engagement et son audace". (AFP)
"Mon BBcédaire", qui "a été entièrement rédigé à la main", est présenté par l'éditeur Fayard comme "une immersion dans la personnalité d'une femme qui a marqué son époque par son indépendance, son engagement et son audace". (AFP)
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  • Du A d'abandon au Z de zoo, Brigitte Bardot, 91 ans, écrit quelques lignes, de son écriture ronde, sur des mots choisis et des noms de lieux ou de personnalités qu'elle a connus
  • Elle proclame ainsi son amour pour Jean-Paul Belmondo, "type formidable, acteur génial, rigolo et courageux", mais juge qu'Alain Delon "porte en lui le meilleur et le pire" et que Marcello Mastroianni était, "un bon acteur sans génie"

PARIS: "La liberté, c'est d'être soi, même quand ça dérange", proclame l'actrice française Brigitte Bardot en exergue d'un livre intitulé "Mon BBcédaire" qui paraît mercredi, et dans lequel elle donne son avis souvent incisif sur le monde.

"Mon BBcédaire", qui "a été entièrement rédigé à la main", est présenté par l'éditeur Fayard comme "une immersion dans la personnalité d'une femme qui a marqué son époque par son indépendance, son engagement et son audace".

Du A d'abandon au Z de zoo, Brigitte Bardot, 91 ans, écrit quelques lignes, de son écriture ronde, sur des mots choisis et des noms de lieux ou de personnalités qu'elle a connus.

Elle proclame ainsi son amour pour Jean-Paul Belmondo, "type formidable, acteur génial, rigolo et courageux", mais juge qu'Alain Delon "porte en lui le meilleur et le pire" et que Marcello Mastroianni était, bien que "charmant", "un bon acteur sans génie ni véritable personnalité inoubliable".

Dans l'érotisme, la comédienne révélée par le film "Et Dieu... créa la femme" voit des "jeux d'amour où tout est permis avec imagination, perversité trouble et coquinerie amoureuse".

Évoquant Saint-Tropez, où elle a acheté une maison, "La Madrague", Brigitte Bardot regrette que ce "si joli petit village de pêcheurs" ait laissé place à "une ville de milliardaires où on ne reconnait plus rien de ce qui en faisait le charme".

La militante pour la cause animale juge également que la France est "devenue terne, triste, soumise, malade, abîmée, ravagée, ordinaire, vulgaire...". La droite est le "seul remède urgentissime à l'agonie de la France", ajoute celle qui a revendiqué sa proximité avec Marine Le Pen, du parti Rassemblement national (RN).

Très discrète dans les médias, Brigitte Bardot avait publié en 1996 ses mémoires, "Initiales BB".