Aperçu des créations des artistes de la région, dans le cadre de l'exposition Art Dubaï 2021

Afifa Aleiby est une artiste irakienne qui a fait ses études à Moscou (Photo, fournie).
Afifa Aleiby est une artiste irakienne qui a fait ses études à Moscou (Photo, fournie).
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Publié le Dimanche 28 mars 2021

Aperçu des créations des artistes de la région, dans le cadre de l'exposition Art Dubaï 2021

  • Sélection d'œuvres par des artistes, originaires du Moyen-Orient ou qui y sont basés
  • Elles seront présentées cette année dans le cadre de l'exposition qui débutera le 29 mars

AHMED MATER

« Lightning 1 » (ou Éclair 1)

L'artiste saoudien Mater est l'une des figures les plus emblématiques de la scène artistique contemporaine de la région. Cette photo marquante a déjà fait partie de l'exposition « Mitochondria: powerhouses » (Mitochondries : centrales électriques). Selon le communiqué de presse de l'exposition, Mater « passe au crible deux systèmes qui scrutent la géopolitique contemporaine, à savoir la religion et les ressources naturelles ». Cette photo témoigne de l’intérêt que porte Mater à la tension qui existe entre la science et la foi — un sujet qu'il aborde de manière unique dans la mesure où son travail établit un équilibre entre ses objectifs artistiques et sa formation médicale scientifique—.

 

SARAH ABU ABDALLAH

Salad Zone (Zone Salade)

Pour réaliser ses œuvres, l'artiste contemporaine saoudienne Abdallah fait appel aux vidéos, aux installations, à la poésie, aux images et aux conversations. « En faisant référence aux rôles de genre et à l'expérience féminine, elle aborde les questions touchant à la pénombre et aux valeurs, tout en explorant les circonstances sociales et culturelles de l'Arabie saoudite contemporaine », selon la galerie Athr. « Salad Zone » est une projection vidéo monovoie de 20 minutes, à la fois drôle et alarmante. Dans un entretien accordé à Arab News l'année dernière, Abdallah a raconté qu'elle s'était inspirée d'une histoire qu'une amie lui avait racontée à propos d'une dispute chez elle. « Mon amie était si furieuse qu'elle a brisé la télévision avec un bâton », a-t-elle dit. « J'ai trouvé ça drôle, parce que la salle de séjour semble être l'endroit où la colère se manifeste. C'est aussi l'endroit de la maison où les gens se rassemblent le plus souvent ».

 

RADHIKA KHIMJI

‘This House Ties Its Ropes Tight’ (ou Une maison aux cordes bien attachées)

L'artiste originaire d'Oman combine des techniques de peinture, de collage, de sculpture, de dessin et de photographie pour concevoir ses œuvres. Selon sa galerie d'art, Experimenter, « elle puise dans un langage surréaliste pour renverser les stéréotypes culturels et rendre visible un corps filtré par une certaine censure ». Selon la galerie, cette œuvre « propose au spectateur la forme d'une maison recouverte par des interventions du moi - à bien des égards—, elle décortique, contourne et efface les structures de nos identités formulées au fil du temps en ce qui touche au moi et à l'espace ».

 

YAZAN ABOU SALAMEH

« Walled-off View » (ou Une vue encadrée par des murs)

L'œuvre de ce jeune artiste palestinien se concentre essentiellement sur les thèmes du foyer et de la séparation. Au moyen de matériaux tels que le béton, le fil de fer et les Lego, il conçoit des œuvres qui, comme l'explique la biographie de la galerie Zawyeh, « peuvent être perçues comme des cartes géographiques en miniature qui évoquent des souvenirs d'enfance, des barrages en béton et des tours de surveillance, ainsi que des quartiers palestiniens vus à vol d'oiseau. Souvent, il attire l'attention du spectateur sur un point précis de son œuvre en l'entourant d'un cercle. Le cercle agit comme une loupe qui indique son emplacement sur la carte ou peut-être ce qui, pour lui, constitue le point central de la toile, ce que les gens doivent saisir du regard ».

 

LULWAH AL-HOMOUD

The Language of Existence (ou Le langage de l'existence)

Cette œuvre de 2013 illustre le talent de l'artiste saoudienne à créer des œuvres abstraites complexes à partir de lettres arabes, en s'inspirant des styles et des rythmes de la calligraphie. « La manière dont j'utilise la calligraphie n'est pas censée être lue », a-t-elle confié à Arab News l'année dernière. « C’est une écriture indirecte. Elle exige des gens qu'ils regardent plus profondément dans la peinture pour comprendre ce qui est écrit ». Cette œuvre — dont on ne voit ici qu'un élément — provient d'une série dans laquelle l'artiste avait utilisé des carrés mathématiques afin de « composer de nouveaux codes » pour chacune des lettres de l'alphabet arabe - comme elle l'avait expliqué au magazine Islamic Arts. « Au moyen de ces codes, je trace les 99 noms de Dieu. C'est bien Lui... L'Infini, qui brille à travers le fini ».

 

AFIFA ALEIBY

Sunset (Coucher de soleil)

Aleiby est une artiste irakienne qui a fait ses études à Moscou, et a vécu en Italie, au Yémen et aux Pays-Bas. Elle est également illustratrice de livres pour enfants, ce qui a incontestablement influencé le côté légèrement dessin animé de certaines de ses œuvres, notamment cette peinture de 2017. Sa biographie, publiée par la galerie Kristin Hjellegjerde, explique que « son lien avec l'humanité et les cultures diverses a fait de la solidarité, qui transcende les frontières géographiques et culturelles, un thème important dans son travail. Associant différentes influences allant de la peinture de la Renaissance aux icônes religieuses et au réalisme social, elle utilise la figure féminine comme sujet récurrent afin de refléter la beauté, le goût, la politique et la société ».

 

My Son's World (Le monde de mon fils)

Cette pièce est l'une des séries réalisées par l'artiste palestinien qui a placé les jouets de son fils autour d'une sphère. Alhroub a créé auparavant des pièces similaires à partir de jouets. Selon la galerie Zawyeh, cette série « raconte l'histoire d'un monde où son fils rêve de vivre et tente peut-être de prédire l'avenir (ou) de formuler un souhait au vu des guerres et des pandémies qui touchent actuellement le monde».

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com.


Comment Netflix fait voyager l'humour français d'Astérix et d'Alain Chabat

En Allemagne, deuxième marché d'Astérix derrière la France et où l'expression "Die spinnen, die Römer!" ("Ils sont fous ces Romains!") est passée dans le langage courant, les lecteurs du "Combat des Chefs" devraient ainsi s'y retrouver. (AFP)
En Allemagne, deuxième marché d'Astérix derrière la France et où l'expression "Die spinnen, die Römer!" ("Ils sont fous ces Romains!") est passée dans le langage courant, les lecteurs du "Combat des Chefs" devraient ainsi s'y retrouver. (AFP)
"C'est très très important que l'humour voyage": doublée dans près de 40 langues et diffusée dans 190 pays sur Netflix, la série animée du réalisateur français Alain Chabat, tirée d'Astérix, a nécessité "un énorme" travail de traduction, en collaboration avec les éditions Albert René. (AFP)
"C'est très très important que l'humour voyage": doublée dans près de 40 langues et diffusée dans 190 pays sur Netflix, la série animée du réalisateur français Alain Chabat, tirée d'Astérix, a nécessité "un énorme" travail de traduction, en collaboration avec les éditions Albert René. (AFP)
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  • Arabe, coréen, croate, hébreu ou encore mandarin... 38 versions seront proposées aux quelque 300 millions d'abonnés de la plateforme, où débarque mercredi "Astérix et Obélix: le combat des chefs", inspiré de l'album éponyme
  • Netflix a "fait un super boulot" pour ne "pas perdre l'humour à la traduction" et adapter les calembours et références indissociables de la saga

PARIS: "C'est très très important que l'humour voyage": doublée dans près de 40 langues et diffusée dans 190 pays sur Netflix, la série animée du réalisateur français Alain Chabat, tirée d'Astérix, a nécessité "un énorme" travail de traduction, en collaboration avec les éditions Albert René.

Arabe, coréen, croate, hébreu ou encore mandarin... 38 versions seront proposées aux quelque 300 millions d'abonnés de la plateforme, où débarque mercredi "Astérix et Obélix: le combat des chefs", inspiré de l'album éponyme.

Netflix a "fait un super boulot" pour ne "pas perdre l'humour à la traduction" et adapter les calembours et références indissociables de la saga, a assuré à l'AFP Céleste Surugue, le directeur général des Editions Albert René, qui détiennent les droits des albums.

Le géant du streaming, qui n'a pas répondu à l'AFP à ce sujet, s'est notamment appuyé sur les traductions existantes de l’œuvre originale, qui ne manquent pas: avec 120 langues et dialectes au compteur, "Astérix" est la bande dessinée la plus traduite au monde.

"On a travaillé main dans la main, que ce soit sur les noms des personnages (...) certaines phrases célèbres", l'éditeur ayant fait "relire et valider" les scripts avec une société spécialisée partenaire et donné accès à ses traducteurs "quand il y avait des interrogations, des difficultés", selon Céleste Surugue.

En Allemagne, deuxième marché d'Astérix derrière la France et où l'expression "Die spinnen, die Römer!" ("Ils sont fous ces Romains!") est passée dans le langage courant, les lecteurs du "Combat des Chefs" devraient ainsi s'y retrouver.

Fastanfurious 

De même, en anglais, Idéfix s'appelle toujours Dogmatix, comme l'a baptisé la traductrice britannique historique d'Astérix Anthea Bell, tout comme Abraracourcix conserve le nom Vitalstatistix.

Quid des ajouts d'Alain Chabat, connu pour son humour ultra-référencé? Sur "un certain nombre d'endroits", le réalisateur et scénariste "est très fidèle, voire très proche dans les dialogues à ce qu'on a dans l'album" sorti en 1966, souligne Céleste Surugue.

Pour les nouveaux personnages, "des noms fonctionnant dans plein de pays" ont souvent été choisis, comme Metadata, Potus (abréviation de "President of the United States") ou encore Fastanfurious (en référence à la franchise centrée sur les voitures).

Quant aux "références culturelles locales", les traducteurs "ont pris soin d'essayer de trouver des équivalents à chaque fois".

Pour autant, certaines blagues semblent impossibles à transposer, comme une allusion au duo français Omar et Fred (Omar Sy et Fred Testot) impliquant... homard et fraises.

Une "problématique" commune aux albums, relève Céleste Surugue, citant l'exemple des Romains "déplaçant des bornes" dans "Astérix et la Transitalique".

Connu dans le monde entier, avec plus de 400 millions d'exemplaires vendus, Astérix "est particulièrement fort en Europe continentale", et est, en langue anglaise, surtout prisé dans "les pays du Commonwealth" comme l'Afrique du Sud, la Nouvelle-Zélande, l'Australie ou l'Inde, selon M. Surugue.

Son adaptation sur Netflix devrait permettre de le faire découvrir à un public plus large que les films dédiés au cinéma, notamment aux Etats-Unis et en Angleterre, où ses aventures sont généralement cantonnées aux salles d'art et essai, en version originale, d'après M. Surugue.

Succès public en France en 2023 avec 4,6 millions d'entrées, le long-métrage de l'acteur et metteur en scène français Guillaume Canet, "L'empire du milieu", doublé dans "une petite trentaine de langues", avait bénéficié d'une sortie dans plus de 50 pays.


Le prince héritier jordanien célèbre le 31e anniversaire de la princesse Rajwa

Le prince héritier de Jordanie, Hussein ben Abdullah, a adressé lundi ses meilleurs vœux à son épouse d'origine saoudienne, la princesse Rajwa Al-Hussein, à l'occasion de son 31e anniversaire (Instagram).
Le prince héritier de Jordanie, Hussein ben Abdullah, a adressé lundi ses meilleurs vœux à son épouse d'origine saoudienne, la princesse Rajwa Al-Hussein, à l'occasion de son 31e anniversaire (Instagram).
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  • La famille royale partage un nouveau portrait officiel de la princesse.
  • La princesse Rajwa a donné naissance à Iman – la première petite-fille du roi Abdallah II de Jordanie et de la reine Rania – en août de l'année dernière

DUBAI : Le prince héritier de Jordanie, Hussein ben Abdullah, a adressé lundi sur les réseaux sociaux ses meilleurs vœux à son épouse d'origine saoudienne, la princesse Rajwa Al-Hussein, à l'occasion de son 31e anniversaire.

"Joyeux anniversaire Rajwa ! Reconnaissant pour l'amour, la gentillesse et la chaleur que tu apportes dans la vie d'Iman et la mienne", a-t-il écrit, faisant référence à leur petite fille, la Princesse Iman.

La princesse Rajwa a donné naissance à Iman – la première petite-fille du roi Abdallah II de Jordanie et de la reine Rania – en août de l'année dernière.

rajwa
La famille royale jordanienne a partagé un nouveau portrait officiel de la princesse Rajwa pour célébrer son anniversaire (Instagram).

La famille royale jordanienne a partagé un nouveau portrait officiel de la princesse Rajwa pour célébrer son anniversaire. On la voit porter un ensemble composé d'un haut à col bénitier et d'un pantalon à jambe large de la marque Simkhai, basée à Los Angeles. Elle a accessoirisé son look avec le collier lariat two letters de Joy Jewels, qui reprend les premières lettres arabes des noms du prince héritier et de la princesse Rajwa.
 


La musique européenne séduit le public à Riyad

Deuxième édition de la Semaine européenne de la musique Riyad (Photo Huda Bashatah)
Deuxième édition de la Semaine européenne de la musique Riyad (Photo Huda Bashatah)
Deuxième édition de la Semaine européenne de la musique Riyad (Photo Huda Bashatah)
Deuxième édition de la Semaine européenne de la musique Riyad (Photo Huda Bashatah)
Deuxième édition de la Semaine européenne de la musique Riyad (Photo Huda Bashatah)
Deuxième édition de la Semaine européenne de la musique Riyad (Photo Huda Bashatah)
Deuxième édition de la Semaine européenne de la musique Riyad (Photo Huda Bashatah)
Deuxième édition de la Semaine européenne de la musique Riyad (Photo Huda Bashatah)
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  • Cet événement inédit dans le Royaume fait suite au succès de l'édition inaugurale de 2024 et permettra au public de Riyad d'assister à de nombreux concerts d'artistes européens.
  • Le festival se déroulera du 27 avril au 2 mai 2025 au Saudi Music Hub et proposera cinq concerts d'artistes originaires de différents pays européens. L'Italie, l'Autriche, le Portugal, l'Allemagne et la Grèce seront représentés.

RIYAD : En coopération avec les ambassades des États membres de l'UE et la Commission saoudienne de la musique, la délégation de l'Union européenne à Riyad lance la deuxième édition de la Semaine européenne de la musique en Arabie saoudite.

Cet événement inédit dans le Royaume fait suite au succès de l'édition inaugurale de 2024 et permettra au public de Riyad d'assister à de nombreux concerts d'artistes européens, allant du classique au moderne, en passant par le folklore et la musique contemporaine.

Le festival se déroulera du 27 avril au 2 mai 2025 au Saudi Music Hub et proposera cinq concerts d'artistes originaires de différents pays européens. L'Italie, l'Autriche, le Portugal, l'Allemagne et la Grèce seront représentés.

Il y en aura pour tous les goûts musicaux. L'affiche comprend notamment le Quartetto Sincronie, un quatuor à cordes italien de renom, le Duo Sonoma, un duo de sœurs autrichiennes de renommée internationale, ainsi que la célèbre chanteuse grecque Marianna G.

Christophe Farnuad, ambassadeur de l'UE
Christophe Farnuad, ambassadeur de l'UE (Photo Huda Bashatah) 

auprès du Royaume d'Arabie saoudite, a commenté l'événement : « Nous sommes très fiers d'organiser la deuxième Semaine européenne de la musique, après le succès de notre première édition, et de réaffirmer notre engagement à contribuer au paysage culturel dynamique du Royaume. »

La musique est un langage universel puissant qui transcende les frontières et unit des personnes d'horizons différents. Je ne vois donc pas de meilleur moyen, pour l'Europe et l'Arabie saoudite, de renforcer les échanges culturels et le dialogue entre les peuples que par le biais de notre appréciation mutuelle de la musique.

Nous sommes ravis de nous associer une fois de plus au Saudi Music Hub, dont le site exceptionnel est l'hôte idéal pour cet événement culturel. »

Le quatuor Sincronie joue ensemble depuis 2011 et, au fil des ans, a gagné en confiance et en expérience, se faisant connaître du grand public qui a apprécié à maintes reprises la sensibilité et la profondeur d'un programme de concert particulièrement raffiné. À Riyad, ils ont interprété des morceaux de Claudio Monteverdi, Franz Joseph Haydn et Giacomo Puccini. 

Le quatuor Sincronie joue ensemble depuis 2011
Le quatuor Sincronie joue ensemble depuis 2011 (Photo Huda Bashatah) 

Selon l'ambassade d'Italie en Arabie saoudite, les Saoudiens sont curieux et très intéressés par notre musique. Il est donc important de développer le dialogue musical entre les deux pays.

Duo Sonoma, c'est le croisement de nombreux genres mélangés pour créer des mondes sonores stylistiquement libres, expressifs et imaginatifs.

Leur parcours musical a commencé dès l'enfance et s'est développé au cours des vingt dernières années pour donner lieu à une interaction unique. Les deux sœurs ont essayé de nombreux instruments différents durant leur enfance et aiment toujours expérimenter de nouvelles idées.

En 2018, elles ont commencé à présenter leurs compositions originales à un public plus large. Leur premier album, « I », a été largement et favorablement accueilli sur la scène musicale autrichienne au printemps 2021. Leur nouvel album, II, sorti en juillet 2024, renforce encore leur son unique et inimitable. Il marie des instruments classiques à de nouveaux sons et une diversité rythmique.

Marianna G. a représenté la Grèce au Concours Eurovision de la chanson en 1989 avec la chanson To dikó sou astéri et en 1996 avec Emís foráme to himóna anixiátika.

Chanteuse portugaise de renommée internationale, Lara Martins est l'une des plus grandes artistes de son pays. Cette artiste allie l'excellence de son instrument vocal à une grande sensibilité et à un grand talent dans les domaines musical et dramatique.

Cette polyvalence lui permet de briller avec la même maîtrise dans le chant lyrique, l'opéra ou le théâtre musical. Depuis près de dix ans, elle est l'une des principales vedettes de la production du Fantôme de l'Opéra dans le West End de Londres.

Né en 1986 à Alcobaça, Daniel Bernardes commence le piano à l'âge de cinq ans. En 2002, il joue avec Hybrid Jazz Machine. En 2003, il suit les cours de composition d'Emmanuel Nunes et, en 2004, participe au festival de jazz du théâtre.

Daniel a suivi les cours de musique de Stockhausen en Allemagne, puis s'est installé à Paris pour étudier avec Marian Rybicki à l'École normale de musique. Il a également travaillé avec Jean Fassina. En 2005, il a remporté le deuxième prix du concours national de piano du Maroc et a été invité à se produire à la salle Cortot.

Sa polyvalence de pianiste et de compositeur lui vaut plusieurs concerts sur les plus grandes scènes portugaises ainsi que des commandes d'œuvres pour les plus grands solistes. En 2013, il participe aux ateliers de composition de Marc-André Dalbavie et écrit Música para um poema de Mário Cesariny pour orchestre de chambre.

La Semaine européenne de la musique vise à faire découvrir au public local la richesse de la scène musicale européenne, à mettre en lumière la diversité culturelle de l'UE et à tisser des liens entre les professionnels de la musique européens et saoudiens.

Outre des concerts passionnants, la Semaine européenne de la musique comprendra également des rencontres entre les artistes européens invités et les musiciens locaux, afin de favoriser les échanges et le partage d'expériences.

Tous les concerts et ateliers sont gratuits. Pour plus d'informations sur le programme et pour réserver des billets,la délégation de l'Union européenne à Riyad invite le public à consulter ses comptes sur les réseaux sociaux.