Facebook lance la campagne #MonthofGood pour le Ramadan

Facebook lance la campagne #MonthofGood pour le Ramadan
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Publié le Samedi 17 avril 2021

Facebook lance la campagne #MonthofGood pour le Ramadan

  • Instagram a initialement développé sa campagne Ideas of Good, qui en est maintenant à sa troisième année, à la suite d'une information clé
  • «En 2019, nous avons vu des gens poster non seulement sur des activités caritatives, mais aussi trouver du temps pour réfléchir et créer des liens avec leur famille»

Ce Ramadan, Facebook marque le mois sacré avec une campagne mondiale à travers l’ensemble de ses applications. La campagne #MonthofGood, qui rassemble Facebook, Instagram, Messenger et WhatsApp, vise à célébrer la charité, la collaboration et la communauté.

Malgré la distanciation sociale résultant de la pandémie, le Ramadan reste un moment de charité et de célébration. À l'échelle mondiale, en 2020, les collectes de fonds liées au Ramadan sur Facebook et Instagram ont doublé par rapport à 2019. «Nous avons vu nos utilisateurs se rallier à de multiples causes, et obtenir plus de 5 milliards de dollars pour des associations et des causes personnelles grâce à des collectes de fonds sur Facebook et Instagram», déclare Ramez Shehadi, directeur général de Facebook MENA, à Arab News.

Instagram a initialement développé sa campagne Ideas of Good, qui en est maintenant à sa troisième édition, à la suite d'une information clé, dit Shehadi, à savoir que «le Ramadan est la période où les marques de gentillesse sont les plus nombreuses de l'année sur la plate-forme».

«En 2019, nous avons vu des gens poster non seulement sur des activités caritatives, mais aussi trouver du temps pour réfléchir et créer des liens avec leur famille», précise-t-il. Le mot Ramadan a été utilisé  plus de 16 millions de fois et les références au Ramadan ont été relevées 4 millions de fois dans les 30 jours précédant le mois sacré. Il y a eu une augmentation de 40% de l'utilisation du mot «gentillesse» sur Instagram à travers le monde dans les 30 jours précédant le mois sacré.

«L'année dernière a été radicalement différente - nous avons vu des musulmans du monde entier passer leur premier Ramadan en confinement et ce fut une expérience unique d'observer une période connue pour son fort sentiment de solidarité et de collaboration, en isolement», souligne-t-il. Cependant, la communauté musulmane a trouvé de nouvelles façons de rassembler, de faire des dons et de célébrer virtuellement, ce qui a inspiré la campagne initiale d'Instagram.

Dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA) et en Turquie, plus de 6,5 millions de personnes ont rejoint les groupes liés au Ramadan créés en 2020. Par exemple, «LyedFeLyed اليد في اليد» est un groupe créé l'année dernière qui vise à connecter les familles dans le besoin avec les donateurs et les associations. «En mai de l'année dernière, il avait déjà aidé 700 familles, dans la foulée de son ouverture», indique Shehadi. Les autres groupes qui ont vu le jour pendant la pandémie sont «Stop and Help», fondé par Heather Harries, son mari et ses deux fils des Émirats arabes unis, qui vise à remonter le moral de la communauté pendant la pandémie en offrant un soutien aux familles qui ont besoin de produits de base et «UAE Fusion Socialites », fondée par une mère pakistanaise basée à Sharjah, Ayesha Sohail, qui utilise ses compétences en médias sociaux pour aider les familles à faible revenu.

Cette année, Facebook a étendu la campagne à toutes ses plates-formes en tant que #MonthofGood, car c'était une "évidence", selon Shehadi. «En tant que collectif de quatre applications, nous avons l'opportunité d'amplifier cet effet, en fournissant plus de plates-formes et plus d'outils aux organisations et aux individus pour explorer, exprimer et inspirer le bien.»

Facebook organisera diverses activations à travers le monde, notamment en Inde, aux États-Unis, au Royaume-Uni, au Nigéria et dans la région MENA, en se concentrant sur les piliers de la gentillesse, de la communauté et de la charité.

Ceux-ci incluent:

«Ideas of Good», une liste de 30 bonnes actions et de bons moments sur lesquels agir virtuellement.

«Guide to Ramadan» de la créatrice canadienne Sarah Sabry, en collaboration avec ses fidèles musulmans.

Une chaîne de « pay it forward » (entraide) à l'échelle mondiale, qui sera lancée par des créateurs tels que Haifa Beseisso, Nabih Alkayali, Raha Moharrak, Logina Salah et Adel Aladwani dans la région MENA.

Live Suhoor Talks, une série mondiale animée par des créateurs musulmans à travers le Royaume-Uni, l'Asie et la région MENA, présentant des entretiens hebdomadaires sur des sujets allant de la nourriture et du jeûne à la santé mentale et au bien-être.

Série Facebook Watch et IGTV avec des créateurs tels que Khalid Al-Ameri et Manal Al-Alem et les réseaux MBC, TVision et Zee Entertainment.

Une collaboration spécifique à la région MENA avec le réseau de podcast arabe basé en Jordanie, Sowt, qui met en lumière les leaders communautaires inspirants de la diaspora régionale pour parler de la façon dont ils utilisent les applications Facebook pour des actes de gentillesse virtuels pendant le Ramadan.

La mise en lumière d’organisations à but non lucratif éligibles à la zakat telles que Rahma Worldwide, le HCR, Heroic Hearts, Molham Volunteering Team et Zakat Foundation of America avec des collectes de fonds et des campagnes actives pour le Ramadan afin de fournir des caisses alimentaires, des denrées et une aide médicale aux orphelins, aux veuves et aux réfugiés.

De plus, Facebook mettra en avant les petites et moyennes entreprises (PME) qui ont inspiré le bien ce Ramadan. «Ce sont des entreprises qui se sont dépassées pour aider les gens autour d'elles et leurs communautés, avec leurs actes de charité et de gentillesse», signale Shehadi.

L'augmentation du temps passé sur les applications Facebook pendant le mois sacré présente également une opportunité importante pour les annonceurs. «Le Ramadan est l’un des plus grands et plus longs moments festifs. Compte tenu des circonstances actuelles, les gens ont besoin de positivité pendant le mois sacré et, par conséquent, les thèmes du bien-être fonctionnent toujours pendant le Ramadan si vous le faites correctement.

«C’est également efficace si vous pouvez connecter les gens à une opportunité réelle de faire le bien», dit-il. Par exemple, en 2018, Facebook s'est associé à la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR) et à l'agence de création Leo Burnett Beyrouth pour stimuler les dons de sang pendant le Ramadan dans une campagne intitulée «Donner est dans votre sang», qui a touché plus de 28 millions de personnes à travers le Moyen-Orient et a augmenté les dons de sang de 36% en moyenne.

«Nous voyons aussi beaucoup de marques s’adresser aux consommateurs de manière personnalisée et pertinente pendant le Ramadan», a-t-il ajouté. Par exemple, Nestlé MENA a développé un robot bilingue et informatif pour Messenger, en partenariat avec le Creative Shop de Facebook, qui a sensibilisé au contenu et aux services fournis par ses marques pendant le Ramadan et a aidé Nestlé à mieux comprendre les habitudes et préférences alimentaires de ses consommateurs.

Cet article est la traduction d’un article paru sur Arab News


Le FMI relève ses prévisions de croissance pour l'Arabie saoudite en 2025 à 3,6 %

La croissance du Royaume devrait dépasser la moyenne mondiale de 3 % l'année prochaine et dépasser celle de la plupart des États voisins du Golfe. (Shutterstock)
La croissance du Royaume devrait dépasser la moyenne mondiale de 3 % l'année prochaine et dépasser celle de la plupart des États voisins du Golfe. (Shutterstock)
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  • Le Fonds monétaire international (FMI) a relevé sa prévision de croissance économique pour l’Arabie saoudite en 2025 à 3,6 %, contre 3 % en avril
  • Le FMI indique que cette révision reflète une expansion plus soutenue que prévu du secteur non pétrolier

RIYAD : Le Fonds monétaire international (FMI) a relevé sa prévision de croissance économique pour l’Arabie saoudite en 2025 à 3,6 %, contre 3 % en avril, soulignant la vigueur du secteur hors pétrole et la levée attendue des coupes de production de l’OPEP+.

Dans sa dernière mise à jour du World Economic Outlook, le FMI indique que cette révision reflète une expansion plus soutenue que prévu du secteur non pétrolier. La croissance du Royaume devrait ainsi dépasser la moyenne mondiale (3 %) l’an prochain, se hissant au-dessus de celle de la plupart des pays du Golfe voisins.

À moyen terme, le FMI anticipe une hausse de la croissance à 3,9 % en 2026, avant une stabilisation autour de 3,5 %.

Le PIB hors pétrole est estimé en croissance de 3,4 % en 2025, légèrement en retrait par rapport aux 4,2 % enregistrés en 2024. Toutefois, les perspectives à moyen terme restent solides, avec une progression approchant 4 % en 2027, pour atteindre environ 3,5 % à la fin de la décennie.

Les conditions sur le marché du travail se sont également améliorées : le taux de chômage des Saoudiens a atteint un niveau record de 7 % en 2024, selon le FMI.

L’inflation demeure maîtrisée—le taux global devrait rester proche de 2 %, grâce à l’ancrage au dollar et au cadre des subventions en vigueur.

Sur le plan budgétaire, le FMI estime que l’augmentation des dépenses publiques en 2025—entraînant un déficit plus élevé que prévu—reste justifiée. Il met en garde contre de nouvelles coupes liées à la baisse des prix du pétrole, qui risqueraient de peser sur la croissance en rendant la politique budgétaire procyclique.

Le Fonds recommande une consolidation budgétaire progressive à moyen terme, notamment via l’augmentation des recettes non pétrolières, la suppression progressive des subventions énergétiques et la rationalisation des dépenses publiques.

Malgré certaines pressions liées à la forte croissance du crédit et aux coûts de financement, le secteur bancaire saoudien demeure résilient, selon le FMI. La Banque centrale saoudienne a introduit un coussin de capital contracyclique et continue de renforcer le cadre réglementaire.

Le rapport souligne l’importance de poursuivre les réformes structurelles pour soutenir la diversification de l’économie hors pétrole. Il appelle à avancer sur la gouvernance, le développement du capital humain, l’accès aux services financiers, la numérisation et le développement des marchés de capitaux — indépendamment des fluctuations des prix du pétrole.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Déjà confronté à des "vents de face", le luxe affronte désormais les droits de douane américains

Le dirigeant du conglomérat de luxe LVMH Bernard Arnault prononce un discours lors de la présentation des résultats financiers 2024 du conglomérat de luxe français LVMH dans le cadre d'une assemblée générale des actionnaires à Paris, le 17 avril 2025. (AFP)
Le dirigeant du conglomérat de luxe LVMH Bernard Arnault prononce un discours lors de la présentation des résultats financiers 2024 du conglomérat de luxe français LVMH dans le cadre d'une assemblée générale des actionnaires à Paris, le 17 avril 2025. (AFP)
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  • Mauvaise passe pour le luxe: déjà confronté à une baisse de la consommation de sacs à mains chics, parfums et tenues de grandes marques, le secteur doit désormais faire face aux droits de douane sur ses exportations vers les Etats-Unis
  • Désormais se greffe aussi la question des droits de douane de 15% sur les exportations vers les Etats-Unis, selon un accord passé dimanche entre le président américain Donald Trump et la présidente de la Commission européenne

PARIS: Mauvaise passe pour le luxe: déjà confronté à une baisse de la consommation de sacs à mains chics, parfums et tenues de grandes marques, le secteur doit désormais faire face aux droits de douane sur ses exportations vers les Etats-Unis, un de ses principaux marchés.

"Nous affrontons des vents de face, avec les difficultés conjoncturelles de l'économie mondiale", a déclaré Bernard Arnault, le PDG du numéro un mondial LVMH. "S'ajoutent des difficultés géopolitiques et la diminution des voyages touristiques en Europe et aux États-Unis", a-t-il souligné.

Le bénéfice net de LVMH (Louis Vuitton, Dior, Celine...) a chuté au premier semestre de 22% à 5,7 milliards d'euros et les ventes ont reculé de 4% à 39,8 milliards.

Désormais se greffe aussi la question des droits de douane de 15% sur les exportations vers les Etats-Unis, selon un accord passé dimanche entre le président américain Donald Trump et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.

Un accord pas "parfait" mais "nécessaire" dans le "contexte actuel", a défendu Bernard Arnault mardi. Donald Trump avait menacé l'UE de droits de douane de 30%.

Le marché américain représente 25% des ventes de LVMH, qui ouvrira aux Etats-Unis un nouvel atelier Louis Vuitton, sa marque phare, à Dallas fin 2026 ou début 2027. Le groupe possède déjà aux Etats-Unis trois ateliers Louis Vuitton.

Beaucoup de groupes de luxe considèrent que des droits de douane de 15% restent acceptables. C'est "gérable", selon le mot de Kering, qui malgré ses difficultés pour redresser sa marque phare Gucci estime pouvoir augmenter les prix sur "certaines marques" pour compenser, selon sa directrice financière Armelle Poulou.

- Baisse du dollar -

Contrairement à LVMH, le groupe de François-Henri Pinault, propriétaire de Gucci, Yves Saint Laurent, Balenciaga et Bottega Veneta, ne possède pas d'atelier en Amérique du Nord, où il réalise 24% de ses ventes.

"On vend de la culture française, on vend de la culture italienne. Ça n'aurait pas de sens pour moi d'avoir des sacs Gucci italiens fabriqués au Texas", estimait récemment François-Henri Pinault.

Prudent, le gérant de Hermès Axel Dumas préfère "attendre les règles du jeu précises". "Les dernières annonces ont besoin d'être affinées", a-t-il dit, soulignant que les droits de douane étaient à 4,7% en début d'année, auxquels se sont ajoutés en avril de nouveaux "frais d'approche" comme Hermès appelle la surtaxe de 10%.

"Si les 15% c'est les 10% plus les 5% qui existaient, il n'y a pas de raison d'augmenter les prix", estime Axel Dumas. A la suite des droits de douane de 10% imposés en avril, le groupe a relevé sa grille aux Etats-Unis de 5% ce qui n'a pas freiné ses ventes dans la zone "Amériques", en hausse de 6,3% au deuxième trimestre.

Hermès, qui lui semble ne pas rencontrer de "vents de face", a annoncé mercredi des ventes en hausse de 7,1% au premier semestre.

Le britannique Burberry ne se montre pas inquiet non plus. Au premier trimestre de son exercice décalé, il a vu ses ventes dans la région "Amériques" augmenter de 4%. La Grande-Bretagne a négocié des droits de douane de 10% pour les produits exportés aux Etats-Unis.

"Évidemment, 19% de notre chiffre d'affaires provient des États-Unis. Certes, cela représente toujours un obstacle, mais 81% de notre activité n'est pas touchée", a estimé lors d'un échange avec les analystes la directrice financière Kate Ferry.

Au-delà de l'impact comptable, les droits de douane pourraient aussi toucher "la confiance des consommateurs (de luxe) à l'échelle mondiale, en particulier dans les importants marchés chinois (environ un tiers des ventes) et américain (environ 25% des ventes)", estime la banque UBS dans une note.

Ils devraient aussi pousser les amateurs américains de luxe à acheter à l'étranger en raison des différences de prix selon les pays, qui peuvent être "de l'ordre de 10%, en plus du remboursement de la TVA en Europe", selon UBS.

La question des changes est majeure, soulignait Axel Dumas: "On a un dollar qui a beaucoup baissé, ça a autant d'impact, si ce n'est plus, que les droits de douane."


L’aéroport international de Dubaï bat un record avec 46 millions de passagers au premier semestre

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  • Le trafic mensuel moyen au cours du premier semestre s'est élevé à 7,7 millions de passagers
  • DXB a accueilli 222 000 vols et traité 41,8 millions de bagages au cours du premier semestre

RIYAD : L'aéroport international de Dubaï a accueilli 46 millions de passagers au cours du premier semestre 2025, marquant sa période de six mois la plus active jamais enregistrée malgré les perturbations de l'espace aérien régional et les vents contraires mondiaux.

Dans un communiqué de presse, l'opérateur Dubai Airports a déclaré que l'augmentation de 2,3 % en glissement annuel souligne la force continue du secteur de l'aviation de l'émirat et la résilience opérationnelle du terminal.

La croissance s'est produite malgré les restrictions temporaires de l'espace aérien en mai et juin, qui ont forcé plusieurs transporteurs du Golfe à réacheminer des vols et à ajuster les horaires en raison de l'intensification de l'activité militaire et des déclarations de zones d'exclusion aérienne dans certaines parties du Moyen-Orient.

Paul Griffiths, PDG de Dubai Airports, a déclaré : "La croissance continue de DXB au cours d'une période de défis régionaux met en évidence la force de Dubaï et des EAU, la souplesse de nos opérations et l'engagement de notre communauté aéroportuaire."

Au cours du seul deuxième trimestre, l'aéroport a accueilli 22,5 millions de passagers, soit une augmentation de 3,1 % par rapport à la même période l'année dernière. Le mois d'avril a été le plus chargé du trimestre et le plus actif jamais enregistré, avec 8 millions de voyageurs.

Le trafic mensuel moyen au cours du premier semestre s'est élevé à 7,7 millions de passagers, avec des volumes quotidiens de 254 000 en moyenne. Janvier a été le mois le plus chargé, établissant un nouveau record mensuel avec 8,5 millions de passagers.

DXB a également assuré 222 000 vols et traité 41,8 millions de bagages au cours du premier semestre, 91 % d'entre eux étant livrés dans les 45 minutes suivant leur arrivée. Le taux de bagages mal traités était de 2 bagages pour 1 000 passagers, bien en dessous de la moyenne de l'industrie qui est de 6,3, ajoute le communiqué.

"Alors que nous entrons dans la seconde moitié de l'année, l'activité de voyage devrait s'accélérer, en commençant par le pic de la fin de l'été et en menant à une saison d'hiver remplie d'événements de haut niveau dans les domaines du divertissement, du sport et des affaires", a déclaré M. Griffiths.

Il a ajouté que le salon aéronautique de Dubaï 2025 serait un événement exceptionnel, prêt à battre les records précédents et à mettre en lumière la vision audacieuse qui guide l'avenir de l'aviation et de l'aérospatiale.

"Sur la base de nos performances à ce jour et de nos perspectives positives, nous prévoyons que le trafic annuel atteindra 96 millions cette année, ce qui nous rapprochera de la barre symbolique des 100 millions", a ajouté M. Griffiths.

L'Inde est restée le premier marché de DXB au premier semestre, avec 5,9 millions de passagers, suivie par l'Arabie saoudite avec 3,6 millions. Le Royaume-Uni a accueilli 3 millions de passagers, tandis que le Pakistan et les États-Unis ont enregistré respectivement 2,1 millions et 1,6 million de passagers.

Londres a été la ville de destination la plus fréquentée avec 1,8 million de passagers, suivie par Riyad, Mumbai, Jeddah, New Delhi et Istanbul.

DXB a également traité plus d'un million de tonnes de fret au cours du premier semestre 2025, soit une augmentation de 0,1 pour cent par rapport à la même période l'année dernière. L'aéroport est relié à plus de 269 destinations dans plus de 107 pays et est desservi par 92 compagnies aériennes internationales.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com