Après la bipolarité, Ghada Aboud se questionne à présent sur l’identité

Ghada Aboud interviendra sur Instagram mardi soir pour briser les tabous et les idées reçues sur la santé mentale, lors d'une conférence sur l’identité. Un thème sur lequel elle travaille actuellement dans le cadre de son nouvel ouvrage.
Ghada Aboud interviendra sur Instagram mardi soir pour briser les tabous et les idées reçues sur la santé mentale, lors d'une conférence sur l’identité. Un thème sur lequel elle travaille actuellement dans le cadre de son nouvel ouvrage.
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Après la bipolarité, Ghada Aboud se questionne à présent sur l’identité

  • En 2018, elle publie son tout premier roman arabe intitulé «Bipolaire» dans lequel elle explore le thème de la bipolarité
  • Ghada Aboud veut que les personnes qui souffrent de bipolarité puissent s'aider «elles-mêmes»

BEYROUTH : Diplômée en journalisme audiovisuel avec une option en philosophie, Ghada Aboud est auteure, journaliste et présentatrice d'une émission de télévision axée sur la promotion des artistes saoudiennes.

Aboud interviendra sur Instagram mardi soir pour briser les tabous et les idées reçues sur la santé mentale, lors d'une conférence sur l’identité. Un thème sur lequel elle travaille actuellement dans le cadre de son nouvel ouvrage.

En 2018, elle publie son tout premier roman arabe intitulé Bipolaire dans lequel elle explore le thème de la bipolarité et la manière dont cette maladie est traitée dans les médias. Ce livre permet aux souffrants de déculpabiliser et il tente de les sortir de leur isolement. Il a ainsi pour objectif de sensibiliser la société moyen-orientale à ces thématiques sur la santé mentale. Un problème de santé pas comme les autres dans les pays arabes, car très tabou dans cette région du monde.

La protagoniste de son roman est une thérapeute diagnostiquée bipolaire. «Il est très facile de s’asseoir et de faire la leçon aux gens. Il est très rare que nous puissions nous aider nous-mêmes et nous sortir de notre propre situation», souligne dans ce contexte Ghada Aboud.

«Nous sommes tous bipolaires d’une manière ou d’une autre. Il est normal de passer par des hauts et des bas. Nous devons donc assumer nos diversités, nos contradictions, nos échecs, nos victoires, apprécier ce que la vie nous offre et être capables d’accepter les autres au-delà de nos différences.» Tel est le message de l’ouvrage d’Aboud.

Statistiquement, une personne sur quatre souffrira de troubles psychiques au cours de sa vie. Et pourtant, les maladies mentales souffrent encore de préjugés auprès du grand public. Pour Ghada, en Arabie saoudite, mais aussi ailleurs au Moyen-Orient, le terme «bipolaire» est souvent employé inconsidérément.

Aboud travaille à présent à l'écriture d’un nouveau roman qui se penche sur la notion d’identité.


« I like it hot ! » : J. Lo fait sensation à Abou Dhabi

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  • Jennifer Lopez, 56 ans, prouve qu’elle reste l’une des artistes les plus enflammées au monde

ABOU DHABI: De retour à Abou Dhabi après son spectacle magistral en février, Jennifer Lopez a dansé toute la soirée mardi à l’Etihad Arena sur l’île de Yas dans le cadre de sa tournée mondiale « Up All Night ».

En interprétant ses tubes cultes comme « On the Floor », « Ain’t Your Mama » et « Dance Again », Lopez a fait monter la température avec son énergie débordante et ses chorégraphies percutantes.

Même si j’ai regretté que « Jenny From the Block » n’ait pas bénéficié d’un moment à elle, Lopez l’a tout de même interprétée en medley avec « We Will Rock You » de Queen.

Pour célébrer ses 56 ans, elle a chanté « Birthday », le single sorti le 24 juillet, très applaudi par le public.

La superstar a remercié ses fans et les a encouragés à s’aimer les uns les autres et à suivre ce qu’ils aiment.

Elle a également plaisanté sur la chaleur intense des Émirats. « I like it hot ! », a-t-elle lancé en se ventilant.

Avec plusieurs changements de tenues et des plages musicales bien calibrées, le show a alterné entre titres dynamiques, ballades lentes et medleys.

Lopez a rendu hommage à sa culture latino en interprétant quelques-uns de ses succès en espagnol, notamment « Qué Hiciste » et « Si Una Vez ».

Elle a chanté en dansant le flamenco, vêtue d’une tenue inspirée du traje de flamenca, la robe traditionnelle des femmes aux festivals andalous.

L’artiste n’est pas étrangère au Golfe : elle avait déjà fait sensation en avril lors du Grand Prix d’Arabie saoudite de F1 à Djeddah, puis en novembre dernier à Riyad pour l’événement « 1001 Seasons of Elie Saab ».

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’artiste saoudienne met en lumière le riche paysage culturel de l’Asir à travers ses œuvres

L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
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  • Arafat Al-Asimi a surmonté de nombreux défis pour s’imposer comme artiste en tant que femme

MAKKAH : Les montagnes verdoyantes de la région d’Asir en Arabie saoudite ont nourri la vision artistique d’Arafat Al-Asimi.

En évoquant ses débuts, Al-Asimi confie qu’elle aime utiliser des couleurs pastel pour représenter des paysages naturels et patrimoniaux. Les montagnes, les vallées, les nuances des forêts et le climat unique de la région ont nourri son imagination artistique.

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L’artiste Arafat Al-Asimi affirme se sentir chez elle au cœur de la nature et des paysages traditionnels. (Fournie)

Elle explique se sentir profondément liée à la nature et aux dessins de paysages traditionnels, en particulier ceux inspirés de l’Asir, car ils traduisent son fort sentiment d’appartenance et lui procurent un équilibre et un confort psychologique.

Elle partage également sa passion pour l’intégration de la calligraphie arabe dans ses œuvres, soulignant combien cette pratique allie esthétique visuelle et identité culturelle.


Le programme Saudi Game Champions soutient les talents locaux pour une portée mondiale

Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
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  • Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux
  • L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme

RIYAD : Le Centre de l'entrepreneuriat numérique du ministère des communications et des technologies de l'information a conclu le programme Saudi Game Champions, une initiative de neuf mois visant à soutenir la croissance des studios de développement du pays.

Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux.

L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme.

Elle a offert plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux d'Arabie saoudite.

Lors de la cérémonie de clôture, Hussain Al-Safwan de LIMELESS Studio a remporté le prix du changement audacieux, tandis que Fahad Al-Jumaan de Hero Galaxy Studio a reçu le prix de l'inspiration.

Mostafa Fares a reçu le prix de la créativité et son collègue Ali Aseeri le prix du choix du public, tous deux représentant SYMMETRIC STUDIO.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre des efforts plus vastes déployés par le centre pour renforcer le rôle du Royaume dans l'industrie mondiale du jeu.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com