Après ces critiques, Le Monde a publié vendredi après-midi sur son site une explication plus développée
«Le Monde présente ses excuses à ses lectrices et lecteurs, ainsi qu'au président de la République», écrivait le journal à la fin de cette première mise au point, vite suivie de critiques.
S'exprimant en arabe par l'intermédiaire d'un interprète, l'imam algérien avait assuré qu'il «n'invitait pas les musulmans à combattre les juifs ou les Israéliens» mais, bien au contraire
Ce prêche avait été prononcé dans un contexte de tensions entre Palestiniens et Israéliens, après l'annonce par l'ancien président américain Donald Trump de son intention de transférer l'ambassade des États-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem