Avant l'interruption des marches hebdomadaires du Hirak il y a un an, en raison de la pandémie de Covid-19, les étudiants avaient pour habitude de défiler chaque mardi
Dès les premières heures de la matinée, des camions de la police avaient pris position à proximité des principales places du centre de la capitale, notamment la place des Martyrs, au pied de la célèbre Casbah
La libération des prisonniers est un geste politique pour essayer de sortir de la crise et calmer le Hirak souligne Dalia Ghanem, chercheuse au Carnegie Middle East Center
Avec la reprise du Hirak, je crains que la situation sociale devienne très importante, ajoute-t-elle
Des barrages de police ont été mis en place sur plusieurs axes routiers menant à la capitale
Ce mouvement continue de réclamer le démantèlement du «système» en place depuis l'indépendance en 1962, synonyme à ses yeux d'autoritarisme et de corruption