La Turquie, accusée d'avoir "franchi une ligne rouge" avec l'envoi de "jihadistes" en soutien à l'Azerbaïdjan
La Russie entretient des relations cordiales avec les deux anciennes républiques soviétiques, mais elle est plus proche de l'Arménie qui appartient à une alliance militaire dominée par Moscou
"J'affirme que Poutine est derrière cet acte, je ne vois pas d'autres explications", a déclaré Navalny à l'hebdomadaire allemand Der Spiegel
Selon l'hebdomadaire allemand, il confirme aussi dans l'interview, dont l'intégralité doit être diffusée plus tard dans la journée, son intention de revenir en Russie une fois guéri
Les présidents russe Vladimir Poutine et français Emmanuel Macron ont appelé mercredi à un arrêt "complet" des combats au Karabakh et se sont dits prêts à intensifier les efforts diplomatiques pour contribuer à la résolution du conflit
Selon l'Elysée, les deux chefs d'Etat "partagent une préoccupation sur l'envoi de mercenaires syriens par la Turquie au Haut-Karabagh"
« Vladimir Poutine et Emmanuel Macron ont appelé les parties au conflit à cesser complètement le feu et, dès que possible, à faire redescendre les tensions et à montrer le maximum de retenue »
Le Premier ministre arménien Nikol Pachinian avait quant à lui fermé la porte à des négociations dans la matinée, jugeant « inapproprié » un éventuel sommet de la paix « alors que des combats intenses sont en cours »
«Nous allons soutenir nos frères azerbaïdjanais avec tous nos moyens dans leur lutte pour protéger leur intégrité territoriale»
Depuis Dimanche, les forces azerbaïdjanaises et les séparatistes de la région du Nagorny Karabakh soutenus par l'Arménie s'affrontent dans de violents combats
De violents combats ont éclaté dimanche entre les forces azerbaïdjanaises et les séparatistes de la région du Nagorny Karabakh soutenus par l'Arménie
L'Azerbaïdjan peut compter sur le soutien sans faille du président turc Recep Tayyip Erdogan, qui accuse régulièrement l'Arménie d'être une menace pour la stabilité du Caucase
Après l’achat et le déploiement par Ankara du système de défense antimissile russe S-400 l’année dernière, l’usage intensif d’équipements chinois a augmenté la méfiance de Washington
«Ce n'est pas un avertissement symbolique pour Erdogan et les dirigeants turcs à Ankara, ils devront prendre au sérieux les préoccupations et les avertissements du secrétaire d'État Pompeo»