Le festival se veut «attentif aux nouvelles tendances cinématographiques en Afrique et dans le monde arabe», selon la brochure de présentation
«C'est un choix éminemment politique de la part du festival, car c'est un film subsaharien, qui parle des droits des femmes, dans les pays arabes et dans le monde entier»
La Haica a indiqué dans un communiqué avoir fait saisir « les équipements de diffusion » de Nessma TV qui émet ses programmes sans licence
L'instance a expliqué aussi cette fermeture par « des suspicions de corruption financière et administrative » et la supervision de cette chaîne par le chef d'un parti politique « ce qui a influencé le contenu de ses émissions »