Cette visite intervient dans un contexte troublé en Afrique de l'Ouest, avec le renversement du président malien Ibrahim Boubacar Keïta le 18 août
Ils « échangeront sur la situation au Sahel, et en particulier au Mali, où la France appuie les efforts en cours de la Cédéao en vue d'une transition pacifique et d'un retour à un pouvoir civil »
« Pour surmonter la crise sanitaire, nous devons apprendre à vivre avec le virus ; il n'y a pas de fatalité : si nous faisons preuve d'unité et de sens des responsabilités, nous réussirons » , a assuré Emmanuel Macron
Le président et les ministres ont fait le point sur les protocoles sanitaires alors que le port du masque sera obligatoire dans les entreprises, les collèges et les lycées à partir du 1er septembre
Sous le soleil de la Côte d'Azur, l'accueil s'annonce détendu pour la chancelière allemande, qui découvrira à 16H00 pour la première fois la résidence estivale des présidents français, à Bormes-les-Mimosas
Sur tous ces dossiers, Berlin et Paris partagent un "fort niveau de convergence", assure-t-on dans l'entourage du président, en se félicitant de "la vigueur" retrouvée du "couple franco-allemand"
Si certains ont trop vite jugé la visite de Macron comme un signe de réhabilitation internationale de la classe dirigeante libanaise, il n’en était rien : les Libanais ont compris qu’il venait pour eux
Le président Macron a l’ambition de mener un processus ouvert et rassembleur pour aboutir à « un agenda clair de restauration d’un Liban fier, libre et souverain et soutenu par un maximum de partenaires »
Le Président participait comme chaque année depuis trois ans, à la cérémonie d'anniversaire de la libération de Bormes-les-Mimosas (Var), la commune sur laquelle se trouve le fort de Brégançon, la propriété de l'Etat où il passe ses vacances.
« Nous aurons, dans les prochaines semaines, à continuer à affronter une crise sanitaire qui prend une forme différente ; le virus réaccélère, donc il faut beaucoup de vigilance » a-t-il prévenu
Emmanuel Macron s'est entretenu dimanche avec le président palestinien Mahmoud Abbas, à qui il a affirmé que la reprise des négociations de paix au Proche-Orient restait « une priorité »
Emmanuel Macron avait déjà salué vendredi « la décision courageuse des Émirats arabes unis », au lendemain de l'accord de normalisation, en souhaitant « qu'elle contribue à l'établissement d'une paix juste et durable entre Israéliens et Palestiniens »