En signe de recueillement, la présidence a placé un drapeau britannique sur le perron de l'Elysée et mettra les drapeaux en berne vendredi et le jour des obsèques
Depuis son élection en 2017, Emmanuel Macron n'a pas eu l'opportunité d'accueillir Elizabeth II à l’Élysée mais il l'a saluée à trois reprises au Royaume-Uni:
Après ces critiques, Le Monde a publié vendredi après-midi sur son site une explication plus développée
«Le Monde présente ses excuses à ses lectrices et lecteurs, ainsi qu'au président de la République», écrivait le journal à la fin de cette première mise au point, vite suivie de critiques.
Lors de la précédente livraison de ce sondage, début août, la cote du président était en hausse de sept points parmi les électeurs de Jean-Luc Mélenchon (25%)
Le sondage a été réalisé du 29 au 30 août auprès d'un échantillon de 1 001 personnes, représentatif de la population française selon la méthode des quotas, avec une marge d'erreur comprise entre 1,4 et 3,1 points
La France et l'Europe doivent bâtir une « indépendance géopolitique» par rapport au « duopole» sino-américain, a observé le chef d'Etat français
Concernant les Etats-Unis, M. Macron a souligné la « forte» convergence de valeurs avec Washington. Mais « nous n'avons jamais été ni aligné ni vassalisé derrière quelque puissance que ce soit»
Dans un discours de deux heures tenu devant les ambassadeurs français réunis à l'Elysée, le chef de l'Etat a prévenu que « d'immenses travaux» attendaient la diplomatie française
Se posant une nouvelle fois en diplomate en chef pour les cinq années à venir, après un premier mandat où il a été très actif sur la scène mondiale, M. Macron a dressé un constat sombre
Dressant le bilan du premier quinquennat, Emmanuel Macron a affirmé avoir réussi à faire "du renforcement de la souveraineté européenne une réalité tangible"
«Nous avons posé le cadre et j'ai plaisir à constater que ce cadre s'est généralisé»