La dernière fois qu'un parti arabe israélien avait soutenu -sans toutefois y participer- un gouvernement remonte à 1992, à l'époque du gouvernement du travailliste Yitzhak Rabin
Le soutien de Mansour Abbas au gouvernement lui a permis d'obtenir des promesses de milliards de dollars pour l'importante minorité arabe d'Israël, composée des descendants de Palestiniens restés sur leurs terres à la création de l'État israélien en 1948
«J'espère arriver à réunir autour de moi le maximum de formations, mettre fin au joug politique de Netanyahu et former un gouvernement sans se reposer sur les extrêmes», a déclaré Benny Gantz
Ce fils d'immigrants roumain et hongrois rescapés de la Shoah soigne aussi son image de faucon
Porté par les factions pro-iraniennes qui dominent le Parlement, M. Soudani affirme «ne pas vouloir adopter la politique des axes». Il promet de lutter contre la corruption et d'améliorer les services de base
Mais dans un Irak ultra-polarisé où les fruits de la mirobolante manne pétrolière ne bénéficient guère aux infrastructures et aux services publics, les analystes ne prédisent pas de sortie de crise avant longtemps
«Le comptage de contrôle a confirmé (…) que le candidat Milorad Dodik, représentant le peuple serbe, et qui était en tête (...), l'est resté, avec le plus grand nombre de voix remportées», a déclaré Suad Arnautovic
Milorad Dodik, qui domine depuis plus de 15 ans la scène politique des Serbes de Bosnie, est frappé par des sanctions américaines et britanniques après avoir multiplié ces derniers mois les menaces séparatistes en qualifiant la Bosnie de pays «impossible»
Sur le marché central, plusieurs électeurs interrogés par l'AFP n'arrivent pas à nommer un candidat ou parti en lice pour les cinquièmes législatives en trois ans et demi
En cause? Un sentiment de désaffection et un taux de participation en règle générale très en deçà de la moyenne nationale, soulignent les analystes
Donald Trump a rompu avec la tradition diplomatique américaine en exprimant son admiration pour Vladimir Poutine
Certains républicains pro-Trump ont critiqué l'assistance militaire à l'Ukraine, qui englobe une première enveloppe de 40 milliards de dollars approuvée en mai