Le rapport d'une commission de l'ONU a conclu qu'Israël a commis quatre actes génocidaires à Gaza en vertu de la Convention sur le génocide de 1948
Israël a rejeté le rapport en le qualifiant de "déformé et faux", tandis que les Palestiniens l'ont salué comme une preuve de destruction systématique et d'intention génocidaire
« La reprise de la conférence constitue un engagement substantiel de la communauté internationale à agir avec détermination, cohérence et responsabilité », déclare l’envoyé saoudien
Israël et les États-Unis rejettent la décision, qualifiant l’initiative de politiquement motivée et nuisible aux efforts de paix
Après avoir passé 9 jours dans le territoire, une fonctionnaire de l'UNICEF met en garde contre les déplacements répétés, les enfants séparés de leurs parents, les mères pleurant leurs enfants morts de faim
Elle parle de jeunes mutilés par des éclats d'obus qu'elle a rencontrés dans les hôpitaux et met en garde : L'impensable n'est pas à venir, il est déjà là
Alice Jill Edwards dénonce une privation prolongée de nourriture entraînant malnutrition, défaillances d’organes et décès, notamment chez les nourrissons et femmes enceintes
« Des règles changeantes, une distribution militarisée et l’incertitude permanente sur l’accès aux besoins de base provoquent désespoir, stress et traumatismes », alerte-t-elle
Ils appellent à la réunification de Gaza et de la Cisjordanie sous le contrôle de l’Autorité palestinienne, et à ce que le Hamas abandonne le pouvoir à Gaza et rende ses armes
Ils évoquent l’idée d’une future « Journée de la paix » pour marquer la fin officielle du conflit et le lancement d’une coopération régionale dans le commerce, l’énergie et les infrastructures
Antonio Guterres exhorte les dirigeants mondiaux à ne pas laisser la conférence devenir "un autre exercice de rhétorique bien intentionné, mais un tournant décisif sur la voie de la création d'un État palestinien".
Rien ne peut justifier l'anéantissement de Gaza qui s'est déroulé sous les yeux du monde entier", souligne le Secrétaire général de l'ONU.
Alors que le Pakistan assume la présidence tournante du Conseil de sécurité, son représentant permanent dénonce l'incapacité de la communauté internationale à faire pression sur Israël.
Il considère la prochaine conférence sur la solution à deux États, dirigée par la France et l'Arabie saoudite, comme "une nouvelle occasion en or... de réaffirmer son soutien à la cause palestinienne".
Interrogé sur l'avenir du Hezbollah, les dynamiques sectaires et l'effondrement économique du Liban, il décrit une voie délicate à suivre pour un pays longtemps paralysé par la politique des factions
Je pense que ce gouvernement est prêt... Nous disons : "Vous voulez notre aide ? La voici. Nous n'allons pas vous dicter notre conduite. Si vous n'en voulez pas, pas de problème, nous rentrerons chez nous", ajoute-t-il