Le président américain, avec la vice-présidente Kamala Harris, ont choisi cet Etat du sud emblématique de la lutte passée pour les droits civiques, mais aussi des déchirements politiques d'aujourd'hui
«Nous devons être fermes, résolus et inflexibles dans notre défense du droit de vote et du droit à ce que chaque vote compte», a tweeté Biden
Les manifestants, qui ont défilé à travers la capitale géorgienne avant de se rassembler devant le Parlement, brandissaient des drapeaux géorgiens et des pancartes «Libérez Saakachvili !»
Arrêté le 1er octobre à son retour de huit ans d'exil en Ukraine, Saakachvili a refusé de s'alimenter pendant 50 jours, afin de protester contre son incarcération
Arrêté le 1er octobre à son retour de huit ans d'exil en Ukraine, Saakachvili a refusé de s'alimenter pendant 50 jours afin de protester contre son incarcération
Pour Amnesty International, le traitement infligé à l'ancien président relève «non pas seulement de la justice sélective mais de la vengeance politique selon toute apparence»
L’ancien chef de l’Etat géorgien emprisonné et en grève de la faim affirme craindre pour sa vie et déclare être maltraité physiquement par ses gardiens
L’ex-président pro-occidental de 2004 à 2013 et maintenant considéré comme le chef de l'opposition, est retourné en Géorgie après un exil de huit ans
Les manifestants, qui scandaient le nom de Saakachvili, se sont rassemblés devant la prison où il est détenu
Ils se sont engagés à manifester d'une manière permanente tant que Saakachvili n'aura pas été transféré dans un hôpital comme le recommandent les médecins
Mikheïl Saakachvili, président pro-occidental de ce pays du Caucase de 2004 à 2013 et maintenant considéré comme le chef de l'opposition, a été emprisonné début octobre
L'OSCE avait fait part de sa préoccupation par des cas «d'intimidation, d'achat de votes et de pressions sur les candidats et les électeurs»
«Je veux vous demander à tous d'aller voter afin que pas une seule voix ne soit perdue», a tweeté samedi M. Saakachvili depuis sa prison
Le gouvernement l'avait averti qu'il serait immédiatement interpellé s'il revenait, étant recherché pour «abus de pouvoir», une affaire qu'il juge politique et pour laquelle il a été condamné par contumace à six ans de prison en 2018