«C’est une belle aventure, à la fois littéraire et humaine, et une belle consécration, d’autant plus qu’elle vient des étudiants, d’une rencontre avec une œuvre»
«C’est absolument fabuleux, j’ai toujours rêvé d’être lu dans le monde entier, afin de prouver bêtement au petit garçon que j’ai été dans ce quartier populaire à Port-au-Prince que rien n’est impossible»
Entre un essayiste qui signait son premier livre et un prix Nobel de littérature, la critique a vite fait son choix, elle a volé au secours de la mémoire d'Albert Camus
Pour Luc Fraisse, professeur de littérature à l'université de Strasbourg, s'attaquer aux statues d'auteurs consacrés est un pari difficile