Une 13e session du dialogue stratégique EAU-France pour renforcer les partenariats

Le dialogue stratégique EAU-France est une réunion annuelle qui vise à renforcer les relations bilatérales entre les deux pays. Photo fournie.
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Publié le Mercredi 30 juin 2021

Une 13e session du dialogue stratégique EAU-France pour renforcer les partenariats

  • Le dialogue stratégique EAU-France est une réunion annuelle qui vise à renforcer les relations bilatérales entre les deux pays
  • Cela complète la feuille de route bilatérale décennale du partenariat stratégique EAU-France (2020-2030) adoptée en juin 2020

ABOU DHABI : La 13e session du Dialogue stratégique EAU-France, coprésidée par Khaldoun Khalifa Al Mubarak, président de l'Autorité des affaires exécutives d'Abou Dhabi, et François Delattre, secrétaire général du ministère français pour l'Europe et les Affaires étrangères, s'est déroulée virtuellement le mardi 29 juin 2021. La réunion a suivi les directives énoncées par le Cheikh Mohamed ben Zayed Al Nahyan, prince héritier d'Abou Dhabi et commandant suprême adjoint des forces armées des Émirats arabes unis, et Emmanuel Macron, président de la République française.

Parmi les participants des Émirats arabes unis figuraient le Cheikh Shakhbout bin Nahyan Al Nahyan, ministre d'État, Ahmed Ali Al Sayegh, ministre d'État et président du marché mondial d'Abu Dhabi (ADGM) et Anwar Gargash, conseiller diplomatique du Cheikh Khalifa bin Zayed Al Nahyan. Les délégations comprenaient également des ambassadeurs des deux pays, ainsi que des présidents, des sous-secrétaires et des directeurs généraux d'entités clés représentant les secteurs prioritaires des deux parties.

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Le dialogue stratégique EAU-France est une réunion annuelle qui vise à renforcer les relations bilatérales entre les deux pays. Photo fournie

Le dialogue stratégique EAU-France est une réunion annuelle qui vise à renforcer les relations bilatérales entre les deux pays, à identifier les opportunités de partenariat et de coordination potentiels ; et pour faciliter la collaboration continue sur des projets et initiatives individuelles.

La réunion de haut niveau a permis la tenue de discussions sur des secteurs clés de la coopération bilatérale, tels que l'économie, le commerce et l'investissement, le pétrole et le gaz, l'hydrogène, les énergies nucléaires et renouvelables, l'éducation, la culture, la santé, l'intelligence artificielle, la sécurité alimentaire, la fintech, les droits de propriété intellectuelle, les politiques de lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme, l'espace et la sécurité. Après les réalisations majeures de la dernière décennie, telles que le Louvre Abu Dhabi, l'Université de la Sorbonne Abu Dhabi et l'Accord de défense commune de 2009, les deux parties ont partagé l'ambition de renforcer les relations bilatérales et les développements mutuels, en fixant de nouveaux objectifs et initiatives communes.

Au cours de la session, les Émirats arabes unis et la France ont discuté des moyens de faire progresser la coopération bilatérale avec les partenaires africains sur le continent. Les deux parties se sont également félicitées de l'annonce d'un nouveau partenariat de co-investissement dédié à l'Afrique entre Bpifrance et Mubadala Investment Company.

Cela complète la feuille de route bilatérale décennale du partenariat stratégique EAU-France (2020-2030) adoptée en juin 2020.

Au cours de la réunion, les deux parties ont également discuté d'autres domaines de coopération tels que le changement climatique avec la perspective d'organiser un événement « One Planet Sovereign Wealth Fund » aux Émirats arabes unis en octobre 2021 avec un segment spécifique sur la construction de l'ambition climatique pour la COP26 et au-delà. Les deux parties ont salué les liens forts noués avec l'ADGM, au niveau institutionnel et au niveau des entreprises, qui seront encore renforcés à travers deux initiatives : dans le domaine de l'innovation, un accord a été signé avec Bpifrance, et dans le domaine de la finance verte, des échanges sur l'émission d'obligations seront organisés.

Les Émirats arabes unis et la France ont également salué l'étape franchie dans le programme d'énergie nucléaire pacifique des Émirats arabes unis, avec l'exploitation commerciale de la première unité de la centrale nucléaire de Barakah. Les deux pays ont exprimé leur satisfaction quant aux progrès et au niveau de coopération dans le domaine nucléaire, en particulier la signature récente d'un accord stratégique de maintenance et d'ingénierie entre Framatome et la filiale JV d'Emirates Nuclear Energy Corporation, Nawah Energy Company.

Propriété intellectuelle

Des représentants des Émirats arabes unis et de la France ont également discuté des efforts en cours concernant les droits de propriété intellectuelle et ont pris note des mesures continues prises par les autorités des Émirats arabes unis pour renforcer davantage les politiques du pays en matière de lutte contre le blanchiment d'argent et de financement du terrorisme.

Les deux pays ont poursuivi en saluant les efforts conjoints réalisés pour surmonter la pandémie de Covid-19 et ont convenu de renforcer leur partenariat dans le secteur de la santé grâce à une coopération scientifique et médicale. Ils ont également salué le succès continu du programme bilatéral de résidence et de bourse, permettant aux médecins émiratis d'obtenir des diplômes de spécialisation en France. Les Émiratis ont également exprimé le souhait d'attirer des médecins français pour aux EAU par des bourses.

Les deux parties ont salué les réalisations du partenariat dans le domaine stratégique de l'intelligence artificielle, à la suite de la déclaration d'intention « Une vision pour un 21e siècle numérique » signée en février 2019 par le ministre français de l'Économie et des Finances, Bruno Le Maire, et le ministre d'État des Émirats arabes unis chargé de l'intelligence artificielle, Omar Al Olama.

Francophonie

Dans un effort pour soutenir l'échange éducatif et de connaissances, les deux pays ont célébré le lancement de 42 Abu Dhabi en collaboration avec l'Ecole 42 et le début officiel de la première évaluation des candidats en mai 2021. Les deux parties ont également poursuivi les discussions en cours sur l’établissement de campus délocalisés d'établissements d'enseignement français et le lancement de nouveaux programmes éducatifs en collaboration avec des partenaires français aux Émirats arabes unis dans les domaines du jeu, de la mode, des affaires et de l'agriculture. En outre, les deux parties ont confirmé les efforts en cours pour reconnaître mutuellement les diplômes afin de promouvoir la mobilité des étudiants et de la main-d'œuvre. De plus, dans le cadre de la coopération universitaire et scientifique franco-émirienne (pour le développement des capacités, les programmes de formation, l’obtention d’un emploi ou d’un stage pour les ressortissants émiratis, etc.), les deux parties ont reconnu les efforts des Français dans la réalisation de collaborations avec les établissements d'enseignement supérieur émiriens.

Les deux Etats se sont félicités du développement continu de la francophonie aux EAU, avec l'extension de l'accord bilatéral sur l'enseignement de la langue française dans les écoles publiques émiraties. Ils ont également salué le projet d'ouverture d'une troisième succursale de l'Alliance Française à Sharjah et se sont félicités de la signature prochaine d'un accord entre l'Institut du Monde Arabe et le Centre de la langue arabe pour collaborer à la promotion de la langue arabe.

La France a réitéré ses félicitations aux Émirats arabes unis pour leur élection en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité des Nations Unies pour la mandature 2022-2023. Cette étape permettra aux deux pays d'approfondir leur engagement commun en faveur de la paix et de la sécurité en travaillant main dans la main sur les questions mondiales et régionales, notamment l'Afrique et le Moyen-Orient.

Enfin, les deux parties considèrent les célébrations du jubilé d'or des Émirats arabes unis et la prochaine Expo 2020 Dubaï comme des jalons essentiels qui permettront de développer davantage le partenariat Émirats arabes unis-France.


Le système de santé à Gaza à «un point de rupture» en raison du manque de carburant, alerte l'OMS

L'OMS a plaidé mardi pour que du carburant soit autorisé à entrer dans Gaza pour permettre aux derniers hôpitaux de fonctionner, affirmant que le système de santé du territoire palestinien était à "un point de rupture". (AFP)
L'OMS a plaidé mardi pour que du carburant soit autorisé à entrer dans Gaza pour permettre aux derniers hôpitaux de fonctionner, affirmant que le système de santé du territoire palestinien était à "un point de rupture". (AFP)
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  • À Rafah, dans le sud de Gaza, les services de santé sont assurés par l'hôpital de campagne de la Croix-Rouge et par deux sites médicaux partiellement fonctionnels
  • "Sans carburant, tous les niveaux de soins cesseront, entraînant davantage de décès évitables et de souffrances"

GENEVE: L'OMS a plaidé mardi pour que du carburant soit autorisé à entrer dans Gaza pour permettre aux derniers hôpitaux de fonctionner, affirmant que le système de santé du territoire palestinien était à "un point de rupture".

"Depuis plus de 100 jours, aucun carburant n'est entré à Gaza et les tentatives de récupérer des stocks dans les zones d'évacuation ont été refusées", a déclaré Rik Peeperkorn, le représentant de l'Organisation mondiale de la santé dans les territoires palestiniens.

"Combiné à des pénuries d'approvisionnement critiques, cela pousse le système de santé encore plus près de l'effondrement", a-t-il ajouté, s'exprimant depuis Jérusalem.

Selon M. Peeperkorn, seuls 17 des 36 hôpitaux de Gaza fonctionnent actuellement, a minima ou partiellement. Ils disposent d'un total d'environ 1.500 lits, soit environ 45% de moins qu'avant le début du conflit.

Tous les hôpitaux et centres de santé dans le nord de Gaza sont actuellement hors service, a-t-il ajouté.

À Rafah, dans le sud de Gaza, les services de santé sont assurés par l'hôpital de campagne de la Croix-Rouge et par deux sites médicaux partiellement fonctionnels.

M. Peeperkorn a précisé que les 17 hôpitaux partiellement fonctionnels et sept hôpitaux de campagne fonctionnaient à peine avec une quantité minimale de carburant quotidien et qu'ils n'en auront "bientôt plus du tout".

"Sans carburant, tous les niveaux de soins cesseront, entraînant davantage de décès évitables et de souffrances", a-t-il alerté.

Les hôpitaux alternaient déjà entre générateurs et batteries pour alimenter les ventilateurs, les appareils de dialyse et les incubateurs, a-t-il expliqué. Sans carburant, les ambulances ne peuvent pas fonctionner et l'approvisionnement ne peut pas être livré aux hôpitaux, a-t-il poursuivi.

Les hôpitaux de campagne dépendent par ailleurs entièrement des générateurs, et, sans électricité, la chaîne du froid pour conserver les vaccins serait rompue.

L'attaque du 7 octobre 2023 a entraîné du côté israélien la mort de 1.219 personnes, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles.

L'offensive israélienne menée en représailles a fait 55.493 morts à Gaza, selon le ministère de la Santé du Hamas, dont les chiffres sont jugés fiables par l'ONU.

 


Sixième nuit de confrontation entre Israël et l'Iran, Trump appelle à la reddition « inconditionnelle » de Téhéran

Aux premières heures de mercredi, les forces israéliennes ont déclenché temporairement une alerte aérienne après avoir détecté des projectiles iraniens en vol. Environ 10 missiles balistiques ont été lancés depuis l'Iran et la plupart ont été interceptés, a déclaré un responsable militaire. (AFP)
Aux premières heures de mercredi, les forces israéliennes ont déclenché temporairement une alerte aérienne après avoir détecté des projectiles iraniens en vol. Environ 10 missiles balistiques ont été lancés depuis l'Iran et la plupart ont été interceptés, a déclaré un responsable militaire. (AFP)
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  • Dans un communiqué, l'armée israélienne a affirmé que "plus de 50 avions" avaient frappé dans la nuit "une installation de production de centrifugeuses à Téhéran" ainsi que "plusieurs sites de fabrication d'armes (...) "
  • L'agence de presse iranienne Mehr a publié sur X une vidéo montrant de nombreuses traînées rouges et des explosions dans le ciel nocturne de la capitale

TEHERAN: Israël a frappé l'Iran pour la sixième nuit consécutive mercredi, quelques heures après l'appel de Donald Trump à une "capitulation sans conditions" de Téhéran.

Le dirigeant iranien Ali Khamenei a promis dans la nuit de mardi à mercredi sur X une "réponse forte au régime terroriste sioniste", soulignant que celle-ci serait "sans pitié".

Dans un communiqué, l'armée israélienne a affirmé que "plus de 50 avions" avaient frappé dans la nuit "une installation de production de centrifugeuses à Téhéran" ainsi que "plusieurs sites de fabrication d'armes (...) notamment des installations de production de matières premières et de composants utilisés pour assembler des missiles sol-sol".

L'agence de presse iranienne Mehr a publié sur X une vidéo montrant de nombreuses traînées rouges et des explosions dans le ciel nocturne de la capitale.

Pour sa part, l'Iran a annoncé mardi soir des attaques "punitives" imminentes contre Israël, appelant les habitants des grandes villes Haïfa et Tel-Aviv à évacuer.

Aux premières heures de mercredi, les forces israéliennes ont déclenché temporairement une alerte aérienne après avoir détecté des projectiles iraniens en vol. Environ 10 missiles balistiques ont été lancés depuis l'Iran et la plupart ont été interceptés, a déclaré un responsable militaire.

L'armée israélienne a aussi annoncé avoir intercepté deux drones dans la région de la mer Morte, tôt mercredi.

Les Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de la République islamique, ont dit avoir tiré des missiles balistiques hypersoniques de portée intermédiaire Fattah-1, d'après la télévision d'Etat.

Mardi, le président américain Donald Trump a assuré que son pays pouvait aisément tuer le guide suprême iranien, au moment où les spéculations s'intensifient sur une éventuelle participation directe des Etats-Unis au conflit, ouvert vendredi par Israël avec l'objectif affiché d'empêcher l'Iran de se doter de l'arme nucléaire.

"Capitulation sans conditions" 

M. Trump, qui avait relancé en avril des négociations avec Téhéran sur son programme nucléaire avant de hausser le ton, a réuni mardi son conseil de sécurité.

Les Etats-Unis, alliés d'Israël, "savent exactement où se cache le soi-disant +guide suprême+" iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, mais ne comptent pas "l'éliminer (le tuer!), du moins pour le moment", a-t-il écrit sur son réseau Truth Social, se prévalant du contrôle total de l'espace aérien iranien.

"CAPITULATION SANS CONDITIONS", a-t-il aussi lancé, dans un message télégraphique

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a assuré que tuer l'ayatollah Khamenei mettrait "fin au conflit", et appelé les Iraniens à se soulever, quand le président français, Emmanuel Macron, a jugé qu'un "changement de régime" en Iran serait synonyme de "chaos".

Après le lancement de l'attaque israélienne, vendredi, les Etats-Unis ont dit renforcer leur "dispositif défensif" au Moyen-Orient, et y envoyer leur porte-avions Nimitz.

Ils ont annoncé mardi la fermeture de leur ambassade de Jérusalem pour des raisons de sécurité jusqu'à vendredi, et demandé à tous les employés du gouvernement américain et leurs familles de se mettre à l'abri.

Les Etats-Unis ont aussi dit mettre en place une "task force" pour aider les ressortissants américains au Moyen-Orient.

Autre commandant iranien tué 

L'Iran a juré de bombarder Israël sans relâche pour mettre fin à l'attaque israélienne d'une ampleur sans précédent lancée vendredi.

Israël et les Occidentaux accusent l'Iran de chercher à se doter de la bombe atomique, ce que Téhéran dément, défendant son droit à un programme nucléaire civil.

Si Donald Trump choisissait d'engager son pays dans le conflit, une puissante bombe anti-bunker américaine, la GBU-57, la seule à même de détruire les installations nucléaires iraniennes profondément enfouies, pourrait constituer une arme stratégique de choix .

Depuis vendredi, l'aviation israélienne a visé des centaines de sites militaires et nucléaires, tué les principaux hauts gradés iraniens et des scientifiques du nucléaire. Mardi, l'armée a annoncé avoir encore tué un important commandant militaire iranien, Ali Shadmani, à Téhéran.

Les bombardements ont aussi tué des civils des deux côtés dans des zones urbaines: 224 en Iran, selon le dernier bilan officiel de dimanche, et 24 jusqu'à présent en Israël, selon le gouvernement.

Mardi, de longues files d'attente s'étiraient devant les boulangeries et stations-service de la capitale iranienne, où les magasins de proximité restent ouverts, mais pas le Grand Bazar, le principal marché.

"Je voulais quitter la ville, mais j'ai plusieurs chats et ne peux pas les abandonner", confie à l'AFP Mina, une informaticienne de 37 ans habitant l'ouest de Téhéran.

Une cyberattaque a paralysé mardi la banque Sepah, l'une des principales d'Iran, selon l'agence de presse Fars. Les médias iraniens ont ensuite fait état d'une perturbation généralisée d'internet, sans en préciser l'origine.

 

 


L'Institut Prince Saoud Al-Faisal pour les études diplomatiques met en lumière le rôle des femmes

L'Institut Prince Saud Al-Faisal pour les études diplomatiques à Riyad a organisé un symposium pour marquer la prochaine Journée internationale des femmes dans la diplomatie. (SPA)
L'Institut Prince Saud Al-Faisal pour les études diplomatiques à Riyad a organisé un symposium pour marquer la prochaine Journée internationale des femmes dans la diplomatie. (SPA)
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  • Le discours a souligné les progrès réalisés sous le règne du roi Salmane et du prince héritier Mohammed ben Salmane.
  • M. Elkhereiji a souligné que les femmes saoudiennes occupent désormais des postes d'ambassadrices, de dirigeantes et de négociatrices sur la scène internationale.

RIYAD : L'Institut Prince Saoud Al-Faisal pour les études diplomatiques de Riyad a organisé un symposium pour marquer la prochaine Journée internationale des femmes dans la diplomatie. Le vice-ministre des Affaires étrangères, Waleed Elkhereiji, ainsi que des femmes diplomates de haut rang et des ambassadeurs accrédités auprès du Royaume y ont participé.

M. Elkhereiji a évoqué l'importance de l'autonomisation des femmes dans la diplomatie, citant les progrès réalisés sous la direction du roi Salmane et du pri nce héritier Mohammed ben Salmane à la lumière du plan de réforme Vision 2030.

Il a souligné que les femmes saoudiennes occupent désormais des postes d'ambassadrices, de dirigeantes et de négociatrices sur la scène internationale, a rapporté l'agence de presse saoudienne.

Le symposium a abordé les efforts visant à soutenir les carrières diplomatiques des femmes, le rôle des hommes dans la promotion du changement et la contribution unique des femmes à la diplomatie.

Parmi les autres thèmes abordés figuraient l'essor mondial des femmes dans la diplomatie, leur impact sur la politique étrangère et intérieure, ainsi que les moyens de renforcer leur participation aux forums multilatéraux afin de relever les défis futurs.