L’été du Fibda d’Alger, un prélude à la 13e édition du Festival international de la bande dessinée

L'affiche du festival de la bande dessinée qui s'est tenu du 25 au 27 juin 2021 à Alger. (Photo fournie)
L'affiche du festival de la bande dessinée qui s'est tenu du 25 au 27 juin 2021 à Alger. (Photo fournie)
Des jeunes femmes adeptes de mangas à Alger. (Photo fournie)
Des jeunes femmes adeptes de mangas à Alger. (Photo fournie)
Des jeunes femmes adeptes de mangas à Alger. (Photo fournie)
Des jeunes femmes adeptes de mangas à Alger. (Photo fournie)
Des enfants autour d'un atelier organisé pendant le festival de la BD à Alger. (Photo fournie)
Des enfants autour d'un atelier organisé pendant le festival de la BD à Alger. (Photo fournie)
Des jeunes femmes adeptes de bande-dessinées à Alger. (Photo fournie)
Des jeunes femmes adeptes de bande-dessinées à Alger. (Photo fournie)
Une jeune algérienne feuilletant une bande-dessinée au festival à Alger. (Photo fournie)
Une jeune algérienne feuilletant une bande-dessinée au festival à Alger. (Photo fournie)
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Publié le Jeudi 08 juillet 2021

L’été du Fibda d’Alger, un prélude à la 13e édition du Festival international de la bande dessinée

  • Privés de leur public pendant de longs mois, les éditeurs, les artistes et les amoureux du 9e art se sont retrouvés, du 25 au 27 juin à Riadh El Feth
  • Placée sous l’égide du ministère de la Culture et des Arts, cette importante manifestation national a été initiée par Salim Brahimi, connu sous le pseudonyme de «Sayan»

PARIS: Privés de leur public pendant de longs mois, les éditeurs (Anep, Enag, Dalimen, Z-Link, la revue pour enfants Roumaida, Crom Maison, El Kalima, HB Manga Kissa et Pins), les artistes (Abderrahmane Kahlane, Omar Khiter et Walid Tighiouart) et les amoureux du 9e art se sont retrouvés, du 25 au 27 juin à Riadh El Feth pour célébrer la bande dessinée algérienne. «L’été du Fibda» (Festival international de la bande dessinée), le rendez-vous réclamé par tous les amoureux des bulles, a rencontré un franc succès. «Cet événement a été lancé dans la perspective d’octroyer aux éditeurs un espace pour qu’ils puissent exposer et vendre leurs travaux et organiser des ventes-dédicaces», expliquent ses organisateurs.

Placée sous l’égide du ministère de la Culture et des Arts, cette importante manifestation national a été initiée par Salim Brahimi, connu sous le pseudonyme de «Sayan» et qui a récemment pris la tête du commissariat du Fibda, conjointement avec l’Office Riadh El Feth (Oref) et en partenariat avec l’Agence nationale du rayonnement culturel (Aarc) et l’Office national des droits d’auteur et des droits voisins (Onda). En marge des expositions, des ateliers pédagogiques animés par les auteurs Hanane Benmediouni et Togui ont été organisés à destination des enfants et des jeunes adultes afin de révéler les secrets du 9e art au grand public. Des prix ont été remis aux meilleurs travaux des bédéphiles en présence de leurs parents.

Salim Brahimi, nouveau commissaire du Fibda, est un journaliste culturel et un éditeur de mangas. Il répond aux questions d’Arab News en français.

Le 9e art a de nombreux adeptes en Algérie. Pourriez-vous évoquer pour nous son évolution et ses perspectives?

Le 9e art possède une longue histoire en Algérie. Elle remonte à l’ère de la colonisation, voire plus loin encore, avant même qu’il n’existe à proprement parler: nos ancêtres racontaient leur quotidien à travers les gravures rupestres du Tassili n’Ajjer [massif de montagnes algérien situé au centre du Sahara, NDLR], par exemple; ces gravures remontent à des milliers d’années.

Lors de la colonisation, l’Algérie était sous administration coloniale française. Certains artistes voyaient leurs productions publiées dans les colonnes de quotidiens français de l’époque. C’est le cas de M. Saïd Zanoun, par exemple. À travers ses dessins de presse, il dessinait des personnages algériens et non européens. Il véhiculait parfois des messages cachés, comme l’étoile et le croisant du drapeau algérien que l’on voyait apparaître à travers un tatouage discret sur le bras de ses héros, sans que nul ne l’aperçoive. M. Saïd Zanoun est toujours en vie: il vous en parlera mieux que moi! Toutefois, à cette époque, si j’en crois mes recherches, les artistes algériens de BD étaient fort peu nombreux.

Ce n’est qu’après l’indépendance de l’Algérie que cette forme artistique a connu une véritable explosion. Une génération d’auteurs algériens a créé une authentique BD algérienne. Son ossature s’inspire de l’école franco-belge, mais elle parvient à l’adapter à des histoires locales qui racontent l’identité algérienne. En 1969, la revue M'Quidech fait découvrir au public les travaux de la première génération des auteurs de BD algérienne: Ahmed Haroun, Said Ali Melouah, Slim, Maz, parmi tant d’autres artistes, sont les dignes représentants de cette première génération qu’on appelle aujourd’hui «les pères de la BD algérienne».

Après la triste période de la «décennie noire», l’Algérie a renoué avec la bande dessinée grâce à une nouvelle génération d’auteurs d’inspirations multiples portée par Internet et les réseaux sociaux. Elle a réussi à créer une nouvelle BD algérienne, sans limite ni frontière, proposant des mangas, des comics ou des BD classiques made in Algeria. Dans le monde arabe et en Afrique, l’Algérie est l’un des pays leaders en matière de BD.

L’édition des mangas connaît une forte croissance et une adhésion fulgurante de la jeunesse à l’échelle mondiale. Qu’en est-il en Algérie?

Comme partout au monde, le manga a réussi à séduire, en Algérie, une jeunesse avide d’histoires qui incitent au rêve, à la réflexion, à la contemplation et à l’aventure. La jeunesse algérienne, ou du moins une bonne partie d’entre elle, lit des mangas via les réseaux sociaux ou regarde des dessins animés adaptés de mangas japonais. Ce phénomène ne date pas d’hier: dans les années 1980, la télévision publique algérienne diffusait déjà des séries japonaises traduites en arabe.

Dès 2006 ou 2007, une nouvelle génération d’auteurs algériens, dont je fais partie, a émergé. Elle ne se contentait pas d’être amatrice de BD japonaises: elle voulait participer à la création de BD qui ressemblent aux Algériens. En ce qui me concerne, j’ai lancé le format «DZ-Manga»: un manga qui raconte, à travers l’humour, des histoires algériennes. Sans que nous nous y attendions, car nous le produisions d’une manière artisanale, le DZ-Manga a littéralement explosé. Nous avons été invités un peu partout dans le monde: aux États-Unis, la Dr Alexandra Gueydan-Turek a consacré trois thèses au DZ-Manga au Swarthmore College (université d’arts libéraux américaine située près de Philadelphie). D’autres travaux ont été menés au Japon, à l’université de Tsukuba de Tokyo, sous la direction de la Dr Aoyagi Etsuko, professeure en littérature de l’art, pour laquelle j’ai animé une conférence sur la BD algérienne devant des étudiants japonais.

Une convention a été signée entre le Fibda et l’École supérieure des beaux-arts d’Alger. En quoi consiste-t-elle?

En effet, avant le début de mon travail de commissaire du Fibda, j’avais initié un travail de fond avec les autorités compétentes du ministère de la Culture pour que les métiers de la bande dessinée soient reconnus. Ce travail est en bonne voie et nous aurons bientôt de bonnes nouvelles à vous annoncer à ce sujet.

Il me paraissait nécessaire d’inclure la BD parmi les disciplines enseignées à l’École supérieure des beaux-arts d’Alger (Esba). J’ai donc contacté M. Djamel Larouk, son directeur, qui partage cet objectif. Ensemble, avons concrétisé ce projet par la signature d’une convention entre le Fibda et l’Esba. Grâce à cet accord, les étudiants de l’Esba pourront bénéficier de tarifs réduits au Fibda. Par ailleurs, nous allons organiser des master classes, des workshops, des ateliers et des conférences au sein de l’Esba. Enfin, des travaux artistiques seront réalisés à l’École supérieures des beaux-arts d’Alger: planches de BD, peintures, gravures, installations et sculptures autour du 9e art. Cet été, une BD en forme de fresque sera élaborée sur le thème de la lutte contre la Covid-19. L’œuvre sera dévoilée au mois d’octobre prochain.

Cette convention prévoit en outre l’ouverture d’un module de bande dessinée à l’Esba. Il s’agit d’un premier pas vers l’ouverture d’une spécialisation «BD» dans cette institution. Les demandes d’inscription dans cette filière sont déjà très élevées. Notre premier objectif est que le 9e art occupe en Algérie la place qu’il mérite et qu’il se développe le plus possible.


AlUla célèbre la Journée internationale de la montagne des Nations unies

À l'occasion de la Journée internationale de la montagne, les chaînes de montagnes du gouvernorat d'AlUla sont à l'honneur.(SPA)
À l'occasion de la Journée internationale de la montagne, les chaînes de montagnes du gouvernorat d'AlUla sont à l'honneur.(SPA)
Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com
Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com
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  • L'événement met l'accent sur l'importance du terrain pour la biodiversité et le patrimoine culturel
  • AlUla abrite des sommets montagneux à couper le souffle qui témoignent de la beauté naturelle et de l'histoire riche du Royaume

RIYADH : Les majestueuses chaînes de montagnes d'Arabie saoudite, dans le gouvernorat historique d'AlUla, sont célébrées mercredi à l'occasion de la Journée internationale de la montagne.

Situé dans le nord-ouest de l'Arabie saoudite, dans la région de Hijaz, AlUla abrite des sommets montagneux à couper le souffle qui témoignent de la beauté naturelle et de l'histoire riche du Royaume, a rapporté l'agence de presse saoudienne.

Instaurée par les Nations unies en 2003, la Journée internationale de la montagne vise à souligner l'importance des terrains montagneux en tant que paysages naturels époustouflants et sources de biodiversité et de patrimoine culturel.

AlUla est ainsi devenu un site incontournable pour les dirigeants du monde entier lors de leur visite de l'Arabie saoudite. C'est également une destination attrayante pour les touristes et les amoureux de la nature qui souhaitent explorer ses montagnes de grès sculptées par le vent et ses mausolées.

Les montagnes d'AlUla présentent des formations géologiques particulières qui recèlent des mystères du passé et promettent des expériences visuelles et culturelles riches, a ajouté la SPA.

Attirer les touristes fait partie intégrante de la Vision 2030 de l'Arabie saoudite, tout comme la préservation de la région qui raconte l'histoire des anciennes civilisations qui y ont prospéré.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


Riyad Mahrez déclare que l'organisation de la Coupe du monde 2034 serait une « merveilleuse opportunité » pour l'Arabie saoudite de montrer son hospitalité

L'attaquant algérien, numéro 7, Riyad Mahrez contrôle le ballon lors du match de football du groupe D de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) 2024 entre la Mauritanie et l'Algérie au Stade de la Paix à Bouaké, le 23 janvier 2024. (AFP)
L'attaquant algérien, numéro 7, Riyad Mahrez contrôle le ballon lors du match de football du groupe D de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) 2024 entre la Mauritanie et l'Algérie au Stade de la Paix à Bouaké, le 23 janvier 2024. (AFP)
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  • La star algérienne d'Al-Ahli s'exprimait lors d'un rassemblement de la Fédération saoudienne de football, à la veille de l'annonce par la FIFA du choix du pays hôte.
  • « L'organisation de la Coupe du monde représente une merveilleuse occasion pour le monde de découvrir la gentillesse et l'hospitalité du peuple saoudien », a déclaré M. Mahrez.

DJEDDAH : L'attaquant international algérien d'Al-Ahli, Riyad Mahrez, a déclaré que l'organisation de la Coupe du monde 2034 en Arabie saoudite serait une « merveilleuse opportunité » pour le monde de découvrir l'hospitalité du Royaume.

La star de la Saudi Pro League s'est exprimée lors d'une réunion de la Fédération saoudienne de football à Jeddah mardi, où il a rencontré des joueurs en herbe des centres de formation régionaux.

Ces commentaires interviennent à la veille de l'annonce par la FIFA du pays hôte de la Coupe du monde 2034.

« L'organisation de la Coupe du monde représente une merveilleuse occasion pour le monde de découvrir la gentillesse et l'hospitalité du peuple saoudien », a déclaré M. Mahrez.

Les deux prochaines Coupes du monde seront organisées par plusieurs pays. En 2026, ce sont les États-Unis, le Mexique et le Canada qui organisent la compétition, et en 2030, le Maroc, l'Espagne et le Portugal.

« La Coupe du monde en Arabie saoudite réunira le monde dans un seul pays », a ajouté M. Mahrez. L'Arabie saoudite est un grand pays capable d'accueillir tout le monde et de proposer une expérience merveilleuse.

« J'imagine que dans dix ans, ce sera extraordinaire pour le monde entier. Je suis très enthousiaste et j'ai hâte de voir tous les projets à venir. »

L'ancienne star de Manchester City, âgée de 33 ans, a également souligné la passion pour le football et la beauté naturelle du pays.

« Je ne pense pas que les gens se rendent compte de la passion que suscite le football en Arabie saoudite. Il y a beaucoup de grands clubs et de nombreux supporters », a-t-il déclaré. « Vous ne pourrez pas imaginer la beauté de l'Arabie saoudite tant que vous ne serez pas venu ici et que vous n'aurez pas vu par vous-même.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


Les Music Cities Awards sont à l'honneur dans le cadre de la Semaine de la musique de Riyad

La cinquième édition des Music Cities Awards s'est tenue pour la première fois au Moyen-Orient le 8 décembre au Mayadeen Village de Riyad. (Photo Fournie)
La cinquième édition des Music Cities Awards s'est tenue pour la première fois au Moyen-Orient le 8 décembre au Mayadeen Village de Riyad. (Photo Fournie)
La cinquième édition des Music Cities Awards s'est tenue pour la première fois au Moyen-Orient le 8 décembre au Mayadeen Village de Riyad. (Photo Fournie)
La cinquième édition des Music Cities Awards s'est tenue pour la première fois au Moyen-Orient le 8 décembre au Mayadeen Village de Riyad. (Photo Fournie)
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  • Un certain nombre d'initiatives et de fondations du monde entier ont été récompensées pour leur travail de transformation des communautés par la musique.
  • La scène musicale brésilienne a connu une soirée réussie en remportant deux prix.

RIYAD : Les festivités de la Semaine de la musique de Riyad se poursuivent dans la capitale, où la cinquième édition des Music Cities Awards a été organisée pour la première fois au Moyen-Orient le 8 décembre au Mayadeen Village.

Un certain nombre d'initiatives et de fondations du monde entier ont été récompensées pour leur travail de transformation des communautés par la musique.

La soirée, animée par l'acteur saoudien Hakeem Jumuah, a débuté par les discours d'ouverture de Paul Pacifico, directeur général de la Commission de la musique, et de Luke Jones, directeur général de Sound Diplomacy Music Events and Education.

Luke Jones a déclaré à Arab News : « Les Music Cities Awards sont la plus grande plateforme au monde. Je pense qu'ils récompensent les personnes qui font un travail politique fantastique et important dans le développement de Music City, des stratégies, de l'économie nocturne et de tout ce qui est nécessaire pour que la musique, le divertissement et la culture fonctionnent de manière économiquement viable et durable dans le monde entier. »

« À Riyad, c'est exactement ce que nous essayons de construire. C'est un véritable privilège et un plaisir pour nous d'accueillir cette importante cérémonie de remise des prix, alors que nous bâtissons notre ville en gardant à l'esprit ces principes essentiels. »

Avec plus de 300 candidatures provenant de 19 pays répartis sur six continents, le concours de cette année met en lumière le rôle essentiel que joue la musique dans la formation du tissu culturel, économique et social des villes.

Il a déclaré à l'intention des nominés et des candidats de cette année : « Vos projets novateurs et votre engagement sans faille en faveur de la musique sont une source d'inspiration. »

Ils enrichissent les communautés, favorisent la créativité et nous rappellent le pouvoir de la musique à créer des liens. Nous vous encourageons tous à continuer de poser votre candidature pour les prix. Il ne s'agit pas seulement d'un concours, mais d'une base de données croissante d'inspiration et de célébration de ce qui est possible lorsque la musique devient un outil de transformation.

Le processus de sélection a été mené par un jury international de haut niveau composé de dix experts œuvrant à l'avant-garde de la musique et du développement des villes, dont Helen Glengarry, responsable de l'industrie musicale de la ville de Gold Coast, en Australie. Khadija El-Bennaoui, responsable des arts du spectacle au ministère de la Culture et du Tourisme d'Abou Dhabi ; Lawrence « Boo » Mitchell, ingénieur, producteur et compositeur lauréat d'un Grammy et propriétaire des Royal Studios ; et Nada Alhelabi, directrice générale de la fondation MDLBEAST en Arabie saoudite.

La scène musicale brésilienne a connu une soirée réussie en remportant deux prix. La ville de Salvador, désignée ville créative de la musique par l'UNESCO en raison de ses riches influences culturelles afro-brésiliennes, a remporté le prix de la meilleure ville mondiale de la musique, tandis que la Fondation de l'orchestre symphonique brésilien a remporté le prix de la meilleure initiative en faveur de l'éducation musicale et de l'évolution des carrières.

Les entités australiennes ont également remporté de grands succès. Le Queensland Music Festival a reçu le prix de la meilleure initiative de tourisme musical pour son événement phare, Queensland Music Trails, tandis que Music Victoria, une organisation de premier plan connue pour ses activités de défense, de recherche et de développement professionnel dans l'industrie musicale, a remporté le prix de la meilleure organisation ou personne soutenant la musique dans la ville.

Le prix de la meilleure initiative en faveur de la diversité et de l'inclusion dans la musique a été attribué au Miami Music Project, Inc., tandis que Central Florida Community Arts a remporté le prix de la meilleure initiative utilisant la musique pour améliorer la santé et le bien-être.

La French Bye Bye Plastic Foundation, une organisation à but non lucratif dirigée par des femmes et axée sur l'élimination des plastiques à usage unique dans l'industrie musicale, a remporté le prix de la meilleure initiative utilisant la musique pour soutenir la durabilité environnementale. Le prix de la meilleure initiative en faveur du développement économique, social ou communautaire a été décerné au Viña del Mar International Song Festival. Enfin, le prix de la meilleure initiative en faveur de l'économie nocturne a été remporté par Bristol Nights, un projet de partenariat lancé par le conseil municipal de Bristol pour soutenir la vie nocturne de la ville et les personnes qui travaillent de 18 heures à 6 heures du matin.

Le prix de la meilleure utilisation de la musique dans l'immobilier ou la planification urbaine a été décerné à Main Stage Rehearsal Studios, situé à Toronto et à Hamilton (Canada), tandis que le prix de la meilleure innovation numérique pour soutenir les musiciens ou la musique dans les villes a été attribué à Opulous, qui a développé des produits transformant la manière dont les utilisateurs s'engagent dans l'industrie de la musique.

La cérémonie de remise des prix a marqué le début de la convention Music Cities, qui s'est déroulée sur deux jours, les 9 et 10 décembre, et qui comprenait un certain nombre de tables rondes et d'ateliers consacrés à la création de bases solides pour une industrie musicale prospère.

Les festivités ont été organisées par Music Cities Events, qui fait partie des événements de la diplomatie sonore et de l'éducation.

« Cet événement est une occasion rare de mettre les politiques en scène aux côtés d'événements tels que le festival Soundstorm et XP, afin de leur accorder l'importance qu'elles méritent en tant que fondement de tout ce dont nous avons besoin pour avoir des carrières créatives et des environnements prospères », a déclaré M. Pacifico.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com