Le premier modèle d'ordinateur Apple, en bois, aux enchères en Californie

Un Apple-1 en bois, premier modèle d'ordinateur jamais commercialisé par la firme à la pomme à partir de 1976 (Photo, AFP).
Un Apple-1 en bois, premier modèle d'ordinateur jamais commercialisé par la firme à la pomme à partir de 1976 (Photo, AFP).
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Publié le Mardi 09 novembre 2021

Le premier modèle d'ordinateur Apple, en bois, aux enchères en Californie

  • La société fondée par Steve Wozniak et Steve Jobs n'a construit au total que 200 Apple-1, tous assemblés à la main chez Jobs
  • Un Apple-1 en état de marche avait été vendu plus de 900 000 dollars en 2014 par la maison Bonhams

LOS ANGELES: Un Apple-1 en bois, premier modèle d'ordinateur jamais commercialisé par la firme à la pomme à partir de 1976, est mis aux enchères mardi dans le sud de la Californie et pourrait partir à plus d'un million de dollars.

La société fondée par Steve Wozniak et Steve Jobs n'a construit au total que 200 Apple-1, tous assemblés à la main chez Jobs, dont la plupart s'étaient vendus à l'époque pour la somme de 666,66 dollars.

L'exemplaire mis aux enchères par la maison de ventes John Moran à Monrovia, près de Los Angeles, est estimé entre 400.000 et 600.000 dollars, mais pourrait s'arracher encore bien plus, estiment les spécialistes.

Un Apple-1 en état de marche avait été vendu plus de 900.000 dollars en 2014 par la maison Bonhams.

Selon l'expert Corey Cohen, interrogé par le journal Los Angeles Times, 60 Apple-1 sont recensés à ce jour mais seuls 20 d'entre eux, dont celui vendu par la maison John Moran, fonctionnent toujours.

L'exemplaire est d'autant plus original qu'il est doté d'un boîtier en bois exotique, le koa, originaire des îles Hawaï, une rareté qui lui vaut de figurer dans une vente autrement consacrée à l'art et au design contemporains. 

Il n'existe que six exemplaires connus d'Apple-1 avec boîtier en koa, selon le catalogue de la maison John Moran.

En 1976, les Apple-1 étaient parmi les premiers modèles d'ordinateurs personnels déjà assemblés (avec les composants déjà soudés sur la carte-mère en particulier) mais ils se vendaient souvent sans boîtier ni clavier.

L'exemplaire acheté à l'époque par un professeur du Chaffey College, mis en vente mardi, "est un peu le Saint Graal pour les collectionneurs d'électronique et d'ordinateurs vintage", assure Corey Cohen.

Ce professeur l'avait revendu en 1977 à l'un de ses étudiants, qui l'a conservé jusqu'à ce jour et a choisi de rester anonyme.


« I like it hot ! » : J. Lo fait sensation à Abou Dhabi

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  • Jennifer Lopez, 56 ans, prouve qu’elle reste l’une des artistes les plus enflammées au monde

ABOU DHABI: De retour à Abou Dhabi après son spectacle magistral en février, Jennifer Lopez a dansé toute la soirée mardi à l’Etihad Arena sur l’île de Yas dans le cadre de sa tournée mondiale « Up All Night ».

En interprétant ses tubes cultes comme « On the Floor », « Ain’t Your Mama » et « Dance Again », Lopez a fait monter la température avec son énergie débordante et ses chorégraphies percutantes.

Même si j’ai regretté que « Jenny From the Block » n’ait pas bénéficié d’un moment à elle, Lopez l’a tout de même interprétée en medley avec « We Will Rock You » de Queen.

Pour célébrer ses 56 ans, elle a chanté « Birthday », le single sorti le 24 juillet, très applaudi par le public.

La superstar a remercié ses fans et les a encouragés à s’aimer les uns les autres et à suivre ce qu’ils aiment.

Elle a également plaisanté sur la chaleur intense des Émirats. « I like it hot ! », a-t-elle lancé en se ventilant.

Avec plusieurs changements de tenues et des plages musicales bien calibrées, le show a alterné entre titres dynamiques, ballades lentes et medleys.

Lopez a rendu hommage à sa culture latino en interprétant quelques-uns de ses succès en espagnol, notamment « Qué Hiciste » et « Si Una Vez ».

Elle a chanté en dansant le flamenco, vêtue d’une tenue inspirée du traje de flamenca, la robe traditionnelle des femmes aux festivals andalous.

L’artiste n’est pas étrangère au Golfe : elle avait déjà fait sensation en avril lors du Grand Prix d’Arabie saoudite de F1 à Djeddah, puis en novembre dernier à Riyad pour l’événement « 1001 Seasons of Elie Saab ».

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’artiste saoudienne met en lumière le riche paysage culturel de l’Asir à travers ses œuvres

L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
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  • Arafat Al-Asimi a surmonté de nombreux défis pour s’imposer comme artiste en tant que femme

MAKKAH : Les montagnes verdoyantes de la région d’Asir en Arabie saoudite ont nourri la vision artistique d’Arafat Al-Asimi.

En évoquant ses débuts, Al-Asimi confie qu’elle aime utiliser des couleurs pastel pour représenter des paysages naturels et patrimoniaux. Les montagnes, les vallées, les nuances des forêts et le climat unique de la région ont nourri son imagination artistique.

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L’artiste Arafat Al-Asimi affirme se sentir chez elle au cœur de la nature et des paysages traditionnels. (Fournie)

Elle explique se sentir profondément liée à la nature et aux dessins de paysages traditionnels, en particulier ceux inspirés de l’Asir, car ils traduisent son fort sentiment d’appartenance et lui procurent un équilibre et un confort psychologique.

Elle partage également sa passion pour l’intégration de la calligraphie arabe dans ses œuvres, soulignant combien cette pratique allie esthétique visuelle et identité culturelle.


Le programme Saudi Game Champions soutient les talents locaux pour une portée mondiale

Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
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  • Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux
  • L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme

RIYAD : Le Centre de l'entrepreneuriat numérique du ministère des communications et des technologies de l'information a conclu le programme Saudi Game Champions, une initiative de neuf mois visant à soutenir la croissance des studios de développement du pays.

Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux.

L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme.

Elle a offert plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux d'Arabie saoudite.

Lors de la cérémonie de clôture, Hussain Al-Safwan de LIMELESS Studio a remporté le prix du changement audacieux, tandis que Fahad Al-Jumaan de Hero Galaxy Studio a reçu le prix de l'inspiration.

Mostafa Fares a reçu le prix de la créativité et son collègue Ali Aseeri le prix du choix du public, tous deux représentant SYMMETRIC STUDIO.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre des efforts plus vastes déployés par le centre pour renforcer le rôle du Royaume dans l'industrie mondiale du jeu.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com