Covid: Véran envisage la fin du masque en intérieur à la mi-mars

Le ministre français de la santé, Olivier Veran. Paris, France. (AFP).
Le ministre français de la santé, Olivier Veran. Paris, France. (AFP).
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Publié le Mercredi 16 février 2022

Covid: Véran envisage la fin du masque en intérieur à la mi-mars

  • Le ministre de la Santé envisage la fin du port du masque en intérieur pour les adultes et les enfants ainsi qu'un allègement du pass vaccinal « à la mi-mars »
  • « La dynamique de circulation du virus s'affaiblit très fort et si on continue sur cette dynamique-là, on pourra sortir totalement de la vague d'ici à quelques semaines », affirme Véran

PARIS: Le ministre de la Santé, Olivier Véran, a envisagé mercredi la fin du port du masque en intérieur pour les adultes et les enfants "à la mi-mars", ainsi qu'un allègement du pass vaccinal à cette date, si la circulation du virus est "très faible".

"A la mi-mars, si les hôpitaux sont en état normal de fonctionnement, et si la circulation du virus est très faible, nous pourrons enlever les masques pour les adultes et pour les enfants, pour tout ou partie des lieux fermés, y compris sans pass", a déclaré Olivier Véran, interrogé sur Franceinfo.

"Nous pourrons commencer à alléger fortement le dispositif du pass vaccinal, peut-être pas tout en bloc, peut-être qu'on gardera des mesures pour la fin mars début avril", a-t-il poursuivi.

Le ministre a envisagé la perspective de "conserver (le masque) dans les endroits qui sont très à risque, comme par exemple les discothèques, et là ce serait jusque fin mars, début avril".

Le Covid-19 "n'est pas derrière nous mais ça s'améliore nettement partout (...), donc c'est une nouvelle rassurante", s'est félicité le ministre, rappelant toutefois qu'"il y a encore beaucoup de malades à l'hôpital, en réanimation et encore beaucoup trop de morts au quotidien".

Selon les chiffres officiels diffusés mardi soir, le nombre de personnes hospitalisées s'élève à 31.091, les services de soins critiques comptent 3.235 malades, et 304 personnes sont mortes à l'hôpital avec un diagnostic Covid en 24 heures.

"La dynamique de circulation du virus s'affaiblit très fort et si on continue sur cette dynamique-là, on pourra sortir totalement de la vague d'ici à quelques semaines", a affirmé Olivier Véran. Selon lui, "la stratégie d'allègements progressifs proportionnée à la charge virale était la bonne".

Interrogé sur la faible vaccination des enfants en France (4,4% des 5-11 ans avaient reçu au moins une injection au 8 février), le ministre a assuré qu'il ne s'agissait "pas d'échec".

"Je prends mon bâton de pèlerin (...) pour dire et redire aux parents que vacciner son enfant, c'est ne pas prendre le risque qu'il fasse partie de ces centaines d'enfants qui sont hospitalisés pour une forme grave de Covid", a dit Olivier Véran.

"On atteint jusqu'à 500 enfants hospitalisés sur une semaine", a-t-il détaillé.

Le ministre a aussi regretté que "30% des femmes enceintes" ne soient pas vaccinées. "Si une femme enceinte n'est pas vaccinée, le risque d'accouchement prématuré est multiplié par 20", a-t-il souligné.

La fin des restrictions se rapproche

La quasi totalité des restrictions sanitaires encore en vigueur en France pourraient être levées d'ici quelques semaines, si l'amélioration sur le front de l'épidémie de Covid se confirme, laisse désormais espérer le gouvernement.

  • Les discothèques rouvrent ce mercredi 

Comme promis, les boîtes de nuit, qui ont été parmi les plus pénalisées avec 18 mois de fermeture sur deux ans de crise, rouvrent leurs portes.

"Alors on danse !", a lancé auprès de l'AFP le ministre délégué au Tourisme Jean-Baptiste Lemoyne, citant Stromae. Il a salué le "professionnalisme et le sérieux du monde de la nuit (...) pionnier dans le contrôle du pass sanitaire et le rapprochement avec la pièce d'identité du porteur du pass".

Manger du pop corn dans une salle de cinéma, un sandwich dans un stade ou un train, boire un verre debout au comptoir d'un bar ou assister à un concert est également de nouveau possible.

  • Protocole allégé à l'école à partir du 21 février

Grâce à une situation sanitaire "en très nette amélioration", le gouvernement a annoncé que le protocole sanitaire repasserait du niveau 3 au niveau 2 dans les écoles primaires au retour des vacances d'hiver des différentes zones, soit du 21 février pour la zone B au 7 mars pour la zone C.

Cela signifiera la fin du port du masque dans la cour de récréation dans les écoles élémentaires et un allègement des règles de brassage des élèves.

  • Plus de masque en lieu clos le 28 février

A partir de cette date, le masque ne sera plus obligatoire dans les lieux clos soumis au pass vaccinal, transports exceptés.

Les règles seront aussi assouplies pour les tests: à partir du 28 février, les élèves cas contact ne devront plus en faire trois mais un seul au bout de deux jours (J2). Cet assouplissement concernera l'ensemble des cas contacts dans la population.

  • Vers la fin du masque à la mi-mars

Le ministre de la Santé, Olivier Véran, a envisagé mercredi sur France Info la fin du port du masque en intérieur pour les adultes et les enfants "à la mi-mars", ainsi qu'un allègement du pass vaccinal à cette date, si la circulation du virus est "très faible".

Le ministre a évoqué la perspective de "conserver (le masque) dans les endroits qui sont très à risque, comme par exemple les discothèques, et là ce serait jusque fin mars, début avril".

"Nous pourrons commencer à alléger fortement le dispositif du pass vaccinal, peut-être pas tout en bloc, peut-être qu'on gardera des mesures pour la fin mars début avril", a-t-il poursuivi.

Des annonces qui ne rassurent pas certains spécialistes. "Encore préoccupé", Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses à l'hôpital parisien Tenon, a ainsi jugé mercredi sur BFMTV/RMC que "tout ça va extrêmement vite" et qu'"il n'y a pas de critère en face". "On est un peu surpris scientifiquement que ces mesures ne tiennent pas compte des taux d'occupation et du nombre d'hospitalisations", a renchéri sur RTL Benjamin Davido, infectiologue à l'hôpital Raymond-Poincaré de Garches (Hauts-de-Seine). 

  • Une levée totale du passe fin mars ou début avril ?

Après Israël, l'Angleterre, le Danemark, qui ont supprimé leur pass vaccinal ou sanitaire, la France devrait à son tour renoncer à ce dispositif contesté, à l'approche de la présidentielle.

Une levée du pass vaccinal est envisageable "d'ici la fin mars", début "avril", avait estimé la semaine dernière Alain Fischer, le "Monsieur vaccin" du gouvernement. 

Si, et seulement si, plusieurs conditions sont au rendez-vous: un taux d'incidence "10 ou 20 fois moindre" qu'actuellement, la fin de la surcharge hospitalière et une très forte proportion de vaccinés, avait-il ajouté.

"Il y a des raisons d'espérer qu'à cet horizon de temps la situation se sera suffisamment améliorée pour que nous soyons en mesure de lever ces ultimes mesure", avait abondé le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal.

Le Covid-19 "n'est pas derrière nous mais ça s'améliore nettement partout (...), donc c'est une nouvelle rassurante", s'est félicité le ministre, rappelant toutefois qu'"il y a encore beaucoup de malades à l'hôpital, en réanimation et encore beaucoup trop de morts au quotidien".

Selon les chiffres officiels diffusés mardi soir, le nombre de personnes hospitalisées s'élève à 31.091, les services de soins critiques comptent 3.235 malades, et 304 personnes sont mortes à l'hôpital avec un diagnostic Covid en 24 heures.

"La dynamique de circulation du virus s'affaiblit très fort et si on continue sur cette dynamique-là, on pourra sortir totalement de la vague d'ici à quelques semaines", a affirmé Olivier Véran. Selon lui, "la stratégie d'allègements progressifs proportionnée à la charge virale était la bonne".

Interrogé sur la faible vaccination des enfants en France (4,4% des 5-11 ans avaient reçu au moins une injection au 8 février), le ministre a assuré qu'il ne s'agissait "pas d'échec".

"Je prends mon bâton de pèlerin (...) pour dire et redire aux parents que vacciner son enfant, c'est ne pas prendre le risque qu'il fasse partie de ces centaines d'enfants qui sont hospitalisés pour une forme grave de Covid", a dit Olivier Véran.

"On atteint jusqu'à 500 enfants hospitalisés sur une semaine", a-t-il détaillé.

Le ministre a aussi regretté que "30% des femmes enceintes" ne soient pas vaccinées. "Si une femme enceinte n'est pas vaccinée, le risque d'accouchement prématuré est multiplié par 20", a-t-il souligné.


Lyon affiche son soutien à la reconnaissance de l'État palestinien

L'archevêque de Lyon, Mgr Olivier de Germay (au centre), se tient debout devant le cercueil de l'ancien maire de Lyon et ancien ministre de l'Intérieur Gérard Collomb, alors que celui-ci quitte la cathédrale Saint-Jean de Lyon, dans le centre-est de la France, le 29 novembre 2023,  (Photo : Olivier CHASSIGNOLE / AFP)
L'archevêque de Lyon, Mgr Olivier de Germay (au centre), se tient debout devant le cercueil de l'ancien maire de Lyon et ancien ministre de l'Intérieur Gérard Collomb, alors que celui-ci quitte la cathédrale Saint-Jean de Lyon, dans le centre-est de la France, le 29 novembre 2023, (Photo : Olivier CHASSIGNOLE / AFP)
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  • Une bâche violette a été déployée sur une grille de la mairie avec les messages « Cessez-le-feu immédiat à Gaza », « Libération des otages », « Respect du droit international » et « Reconnaissance de l'État de Palestine ».
  • M. Doucet lui apporte « le soutien résolu de la Ville de Lyon » pour que la démarche soit engagée sans tarder. « Il est temps pour la France d'écrire une page juste, forte et à la hauteur de ses valeurs », écrit le maire.

LYON : Le maire écologiste de Lyon, Grégory Doucet, a appelé mardi Emmanuel Macron à « reconnaître officiellement l'État de Palestine », un message affiché en parallèle à l'entrée de l'hôtel de ville.

Une bâche violette a été déployée sur une grille de la mairie avec les messages « Cessez-le-feu immédiat à Gaza », « Libération des otages », « Respect du droit international » et « Reconnaissance de l'État de Palestine ».

Dans le même temps, Grégory Doucet a écrit au président pour lui faire part de sa « profonde inquiétude » concernant le report d'une conférence internationale à l'ONU sur une solution « à deux États », qu'Emmanuel Macron devait coprésider mercredi avec l'Arabie saoudite.

« Ce rendez-vous était attendu comme un tournant historique », écrit le maire de Lyon, pour qui reconnaître la souveraineté palestinienne serait une « étape incontournable vers une solution politique au conflit ». 

M. Macron avait annoncé que la France pourrait rejoindre, en juin, près de 150 pays ayant déjà reconnu l'État palestinien, dont des pays européens comme l'Espagne, l'Irlande ou la Norvège. Depuis, il a envoyé des signaux contradictoires quant à sa volonté de franchir le pas.

Vendredi, alors qu'Israël entamait des frappes sur l'Iran, il a annoncé le report de la conférence de New York « pour des raisons logistiques et sécuritaires », tout en promettant qu'elle aurait « lieu au plus vite ».

Dans sa lettre, M. Doucet lui apporte « le soutien résolu de la Ville de Lyon » pour que la démarche soit engagée sans tarder. « Il est temps pour la France d'écrire une page juste, forte et à la hauteur de ses valeurs », écrit le maire.

« La situation à Gaza atteint chaque jour de nouveaux sommets de dévastation humaine », regrette-t-il, en mentionnant les 14 500 enfants tués à Gaza depuis le début de la guerre.


En 2024, les Français continuent d'acheter toujours plus de vêtements neufs

Des personnes assistent à l'ouverture d'un pop-up store de la marque de mode chinoise Shein à Paris, le 4 mai 2023. (Photo, AFP)
Des personnes assistent à l'ouverture d'un pop-up store de la marque de mode chinoise Shein à Paris, le 4 mai 2023. (Photo, AFP)
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  • L’an dernier, chaque Français a en moyenne ajouté 42 articles neufs à sa garde-robe, soit un de plus qu’en 2023
  • Sur ces 3,5 milliards de pièces neuves, 2,9 milliards concernent l’habillement, 259 millions les chaussures et 362 millions le linge de maison.

PARIS : Les Français n’ont jamais autant acheté de vêtements neufs. En 2024, un nouveau record a été franchi, alors même qu’une proposition de loi visant à encadrer la mode éphémère vient d’être adoptée par le Sénat, et que les associations continuent de tirer la sonnette d’alarme sur le coût environnemental de l’industrie textile.

L’an dernier, chaque Français a en moyenne ajouté 42 articles neufs à sa garde-robe, soit un de plus qu’en 2023. Au total, 3,5 milliards de pièces ont été achetées en France, un chiffre inédit qui représente environ 10 millions d’articles écoulés chaque jour, selon Vanessa Gutierrez, responsable d'études chez Refashion, l’éco-organisme mandaté par l’État pour accompagner le secteur vers une économie plus circulaire.

Ces données, publiées mardi, proviennent des quelque 10 000 marques ayant l’obligation de déclarer leurs ventes à Refashion. Cela inclut également les plateformes asiatiques comme Shein ou Temu.

Sur ces 3,5 milliards de pièces neuves, 2,9 milliards concernent l’habillement, 259 millions les chaussures et 362 millions le linge de maison. Les rayons femme et homme enregistrent des hausses respectives de 5 % et 3,6 %. Mais c’est le linge de maison qui connaît la plus forte progression (+9,3 %), un phénomène que Vanessa Gutierrez attribue à « l’arrivée sur le marché d’acteurs aux prix accessibles ».

En revanche, les vêtements pour enfants et bébés sont en recul, avec des baisses de 0,6 % et 5,4 %, un repli qui s’explique notamment par la baisse de la natalité et l’essor du marché de la seconde main dans ce secteur.

La distribution en ligne tire largement son épingle du jeu. Les enseignes exclusivement présentes sur internet, telles que Shein, Temu ou Zalando, voient leurs ventes bondir de 29,9 %. Les soldeurs et déstockeurs enregistrent également une progression notable (+10,3 %). « Si l’on excluait ces deux catégories, le marché serait relativement stable », nuance Vanessa Gutierrez, soulignant l’influence considérable du e-commerce sur la dynamique du secteur.

À l’inverse, les grandes surfaces alimentaires accusent un recul de 5,1 % sur les ventes de textiles. En revanche, les enseignes de centre-ville et les centres commerciaux affichent une croissance de 2,8 %, illustrant un certain regain d’intérêt pour les points de vente physiques plus spécialisés.

Un autre enseignement de ce baromètre révèle que les consommateurs privilégient les prix accessibles, 71 % des articles achetés appartiennent à l’entrée de gamme. En moyenne, chaque Français a dépensé 15,6 euros par article neuf.

L’impact environnemental de cette consommation n’est pas négligeable. Selon le ministère de la Transition écologique, l’industrie textile figure parmi les plus polluantes au monde. Elle est responsable de près de 10 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, un chiffre supérieur à celui généré par l’ensemble des vols internationaux et du trafic maritime, et utilise 4 % de l’eau potable disponible sur la planète.

Ces dernières années, la situation s’est aggravée avec l’essor de l’ultra fast fashion, un modèle qui propose une multitude de références à des prix dérisoires. Symbole de cette démesure, l’entreprise Shein, fondée en Chine en 2012 et aujourd’hui basée à Singapour, met à disposition pas moins de 470 000 modèles en temps réel, selon l’ONG Les Amis de la Terre, et ses produits sont expédiés à 99,8 % par avion.

Face à cette course effrénée à la consommation, les ONG multiplient les alertes sur le coût social et environnemental de la mode. Décharges de vêtements occidentaux polluant le désert d’Atacama au Chili, effondrement du Rana Plaza au Bangladesh ayant causé la mort de plus d’un millier d’ouvriers, les actions coups de poing et les campagnes de sensibilisation pointent des symptômes devenus alarmants.

Les pouvoirs publics commencent à réagir. En France, les parlementaires se sont saisis du sujet, une proposition de loi visant à freiner l’essor de la fast fashion a été adoptée en juin par le Sénat.


Une vaste opération de contrôle aux frontières sera menée dans les gares et les bus mercredi et jeudi

Une opération nationale de contrôles dans les gares, les trains et les bus visant à lutter contre « l'immigration irrégulière » sera menée mercredi et jeudi. (Photo AFP)
Une opération nationale de contrôles dans les gares, les trains et les bus visant à lutter contre « l'immigration irrégulière » sera menée mercredi et jeudi. (Photo AFP)
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  • Une opération nationale de contrôles dans les gares, les trains et les bus visant à lutter contre « l'immigration irrégulière » sera menée mercredi et jeudi, selon une note d'instruction du ministère de l'Intérieur.
  • le ministre se félicite d'une « augmentation conséquente du nombre d'interceptions d'étrangers en situation irrégulière ces dernières semaines.

PARIS : Une opération nationale de contrôles dans les gares, les trains et les bus visant à lutter contre « l'immigration irrégulière » sera menée mercredi et jeudi, selon une note d'instruction du ministère de l'Intérieur adressée notamment aux préfets et consultée par l'AFP.

« En complément du réseau routier, le réseau ferroviaire international et national semble constituer un vecteur essentiel de transit pour les clandestins depuis l'étranger et en interne entre les régions, en particulier vers la zone Nord », peut-on lire dans ce document daté du 12 juin, adressé notamment au général d'armée, aux préfets, aux directions de la gendarmerie, de la police ainsi que des douanes.

« Vous veillerez à prioriser les contrôles des trains à destination des pays voisins et des grandes métropoles françaises, en arrivée comme en départ, dans toutes les gares ferroviaires. Les trains régionaux, en particulier dans les zones frontalières, pourront utilement faire l'objet de contrôles après sensibilisation des instances régionales concernées », donne pour instruction le ministre de l'Intérieur qui a fait de la lutte contre l'immigration son thème de prédilection. 

Dans cette note, le ministre, chef de file du parti Les Républicains, se félicite d'une « augmentation conséquente du nombre d'interceptions d'étrangers en situation irrégulière ces dernières semaines (+28 %) » et d'une « opération nationale de contrôle des flux » menée les 20 et 21 mai dernier au cours de laquelle plus de 750 personnes ont été interpellées.

« Les forces de sécurité intérieure organiseront des contrôles à bord des trains », et, en complément, « ils pourront également les opérer sur les départs et arrivées de bus en gare ».

Ces opérations seront menées en continu du mercredi 18 juin à 8 heures au jeudi 19 juin 20 heures, en lien avec les services de la SNCF qui ont été préalablement sensibilisés à cette opération nationale.

Il est demandé d'apporter une attention toute particulière à la « fraude documentaire ».