La mannequin Bella Hadid se confie sur son rôle dans la nouvelle saison de Ramy

Bella Hadid joue dans la série Ramy de Ramy Youssef, nominée aux Emmy Awards. (Getty Images)
Bella Hadid joue dans la série Ramy de Ramy Youssef, nominée aux Emmy Awards. (Getty Images)
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Publié le Mercredi 17 août 2022

La mannequin Bella Hadid se confie sur son rôle dans la nouvelle saison de Ramy

  • La série raconte l’histoire d’un Américain d’origine égyptienne dans le New Jersey, déterminé à devenir un meilleur musulman à l’âge adulte, mais qui se heurte à des obstacles en chemin
  • Le premier jour du tournage de Ramy, dans laquelle la mannequin joue le rôle de la «petite amie bizarre», l’équipe l’a surprise en lui offrant un t-shirt sur lequel il était écrit «Libérez la Palestine»

DUBAÏ: La mannequin palestino-néerlandaise Bella Hadid s’est confiée cette semaine au sujet de son rôle dans la troisième saison de la série Ramy sur Hulu.

Cette série, nominée aux Emmy Awards et mettant en vedette l’humoriste Ramy Youssef, raconte l’histoire d’un Américain d’origine égyptienne vivant dans le New Jersey, déterminé à devenir un meilleur musulman à l’âge adulte, mais qui se heurte souvent à des obstacles en chemin.

Dans une interview accordée au magazine GQ, Hadid, qui joue le rôle de la «petite amie bizarre», se souvient de moments sur le plateau qui lui ont fait chaud au cœur. Le premier jour, l’équipe l’a surprise en lui offrant un t-shirt sur lequel il était écrit «Libérez la Palestine».

«Je n’arrivais plus à gérer mes émotions», dit-elle. «En tant qu’Arabe, c’était la première fois que je me retrouvais avec des personnes qui pensent comme moi. J’étais capable de me voir», raconte-t-elle.

 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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Ramy Youssef et Bella Hadid sont entrés en contact pour la première fois lorsque le lauréat d’un Golden Globe a envoyé un courriel à la star des défilés de mode pour lui demander si elle serait intéressée de jouer dans la série. Après une longue conversation sur Zoom, la jeune femme a accepté.

«Je me suis dit que c’est parfait», indique Hadid. «Nous ne nous étions jamais rencontrés, mais j’avais le sentiment que cette rencontre devait avoir lieu.» La mannequin, qui a toujours exprimé son soutien à la Palestine, mentionne que son amitié avec Youssef s’est consolidée au cours du tournage. «Une fois, pendant le ramadan, Ramy m’a permis de prier avec lui», raconte-t-elle au magazine. «C’était l’un des plus beaux moments de ma vie d’adulte.» 

Hadid, qui est née à Washington, précise que sa famille a déménagé en Californie lorsqu’elle n’était qu’une enfant. «Avant cela, je vivais avec le côté palestinien (de la famille à Washington)», déclare-t-elle.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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Ce déménagement n’a pas été facile pour elle. «J’aurais aimé grandir et voir mon père tous les jours, et j’aurais aimé en savoir plus sur l’islam et le pratiquer, vivre dans une culture musulmane en général», confie-t-elle. «Mais je n’ai pas eu cette chance.» 

«Je parle de tout cela pour les personnes âgées qui vivent encore là-bas et qui n’ont jamais pu voir la Palestine libre, et pour les enfants qui peuvent encore avoir une belle vie à l’avenir», ajoute-t-elle.

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’artiste saoudienne met en lumière le riche paysage culturel de l’Asir à travers ses œuvres

L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
L'artiste Arafat Al-Asimi a déclaré qu'elle se sentait le plus à l'aise dans la nature et les dessins de paysages traditionnels. (Fourni)
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  • Arafat Al-Asimi a surmonté de nombreux défis pour s’imposer comme artiste en tant que femme

MAKKAH : Les montagnes verdoyantes de la région d’Asir en Arabie saoudite ont nourri la vision artistique d’Arafat Al-Asimi.

En évoquant ses débuts, Al-Asimi confie qu’elle aime utiliser des couleurs pastel pour représenter des paysages naturels et patrimoniaux. Les montagnes, les vallées, les nuances des forêts et le climat unique de la région ont nourri son imagination artistique.

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L’artiste Arafat Al-Asimi affirme se sentir chez elle au cœur de la nature et des paysages traditionnels. (Fournie)

Elle explique se sentir profondément liée à la nature et aux dessins de paysages traditionnels, en particulier ceux inspirés de l’Asir, car ils traduisent son fort sentiment d’appartenance et lui procurent un équilibre et un confort psychologique.

Elle partage également sa passion pour l’intégration de la calligraphie arabe dans ses œuvres, soulignant combien cette pratique allie esthétique visuelle et identité culturelle.


Le programme Saudi Game Champions soutient les talents locaux pour une portée mondiale

Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
Le programme a proposé plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux saoudiens. (Fourni)
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  • Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux
  • L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme

RIYAD : Le Centre de l'entrepreneuriat numérique du ministère des communications et des technologies de l'information a conclu le programme Saudi Game Champions, une initiative de neuf mois visant à soutenir la croissance des studios de développement du pays.

Le programme comprenait plusieurs étapes : un Game Jam, des phases d'incubation et d'accélération, et une cérémonie de clôture célébrant les réalisations et les talents locaux.

L'initiative vise à aider les participants à entrer sur le marché avec des normes élevées de qualité et de professionnalisme.

Elle a offert plus de 180 heures d'ateliers spécialisés et plus de 1 500 heures de mentorat, auxquels ont participé 25 studios de jeux d'Arabie saoudite.

Lors de la cérémonie de clôture, Hussain Al-Safwan de LIMELESS Studio a remporté le prix du changement audacieux, tandis que Fahad Al-Jumaan de Hero Galaxy Studio a reçu le prix de l'inspiration.

Mostafa Fares a reçu le prix de la créativité et son collègue Ali Aseeri le prix du choix du public, tous deux représentant SYMMETRIC STUDIO.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre des efforts plus vastes déployés par le centre pour renforcer le rôle du Royaume dans l'industrie mondiale du jeu.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Bella Hadid, nostalgique, plaide la cause de la Palestine

Le top model américano-néerlando-palestinien Bella Hadid a fait vibrer les médias sociaux ce week-end en partageant sur Instagram un carrousel réconfortant de photos d'enfance rares. La jeune femme de 28 ans a ravi ses fans avec des clichés de ses jeunes années. (Getty Images)
Le top model américano-néerlando-palestinien Bella Hadid a fait vibrer les médias sociaux ce week-end en partageant sur Instagram un carrousel réconfortant de photos d'enfance rares. La jeune femme de 28 ans a ravi ses fans avec des clichés de ses jeunes années. (Getty Images)
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  • La mannequin américano-néerlando-palestinienne Bella Hadid a fait sensation ce week-end sur les réseaux sociaux en partageant un carrousel attendrissant de photos d’enfance rares sur Instagram

DUBAI: La mannequin américano-néerlando-palestinienne Bella Hadid a fait sensation ce week-end sur les réseaux sociaux en partageant un carrousel attendrissant de photos d’enfance rares sur Instagram. Âgée de 28 ans, elle a ravi ses fans avec des clichés de ses premières années.

La série commence par une photo de Bella déguisée en cow-girl, coiffée d’un chapeau de paille et chaussée de bottes, lors d’une sortie sur le thème de la ferme.

En légende du carrousel, elle écrit en évoquant sa « petite Bella intérieure » :
« Je la serre dans mes bras aujourd’hui. Une enfant souriante et heureuse. Elle détestait l’appareil photo. Est-ce que ça a changé !? »

Elle ajoute : « Oh et surtout… au cas où vous auriez oublié… LIBÉREZ LA PALESTINE !!!!! Je sais que cette petite boule d’énergie l’aurait crié sur tous les toits. »

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Plus tôt ce mois-ci, Hadid a aussi collaboré avec la maison Chopard, qui a publié de nouvelles images de campagne mettant en vedette la mannequin portant des pièces de haute joaillerie, à l’approche de la Semaine de la couture à Paris.

Dans une photo, elle arbore un collier de diamants orné d’une grande pierre jaune. Sur une autre, elle porte un ensemble assorti composé de boucles d’oreilles pendantes en saphirs et diamants, d’un collier coordonné et d’une bague imposante.

« @BellaHadid incarne l’essence de la haute joaillerie : rayonnante, raffinée, inoubliable. Un hommage à l’élégance intemporelle à l’approche de la Semaine de la Couture à Paris », a écrit Chopard sur Instagram.

Hadid collabore avec la maison suisse depuis 2017, année où elle est devenue l’un des visages de ses collections de haute joaillerie. Elle est depuis apparue dans plusieurs campagnes et a porté leurs créations lors d’événements majeurs comme le Festival de Cannes, le Met Gala ou encore la Fashion Week de Paris.

L’été de Bella Hadid a été bien rempli. En juin, avec l’aide de ses proches, elle a élargi son label de beauté Orebella en lançant une gamme d’accessoires.

La mannequin s’est associée aux fondatrices de Wildflower Cases, Sydney et Devon Lee Carlson, pour une collaboration en édition limitée comprenant deux produits : une coque iPhone et un bracelet parfumé.

Sur Instagram, Hadid a écrit pour l’occasion : « Je me sens comme la fille la plus chanceuse du monde de pouvoir créer avec mes sœurs de la beauté. La vie est belle quand on peut voir ses amies réussir. Tellement fière de vous deux. Tellement fière de nos équipes. Tellement fière de nous. Je vous aime tous — merci d’avoir donné vie à cette vision. »

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com