De nouvelles études révèlent l’horrible vérité sur les «cerfs-volants du désert» d’AlUla

Parrainée par la Commission royale pour AlUla (RCU), l’étude révèle des preuves fascinantes sur les méthodes innovantes et collaboratives que les populations locales utilisaient il y a des milliers d’années pour chasser les animaux sauvages. (Photo fournie)
Parrainée par la Commission royale pour AlUla (RCU), l’étude révèle des preuves fascinantes sur les méthodes innovantes et collaboratives que les populations locales utilisaient il y a des milliers d’années pour chasser les animaux sauvages. (Photo fournie)
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Parrainée par la Commission royale pour AlUla (RCU), l’étude révèle des preuves fascinantes sur les méthodes innovantes et collaboratives que les populations locales utilisaient il y a des milliers d’années pour chasser les animaux sauvages. (Photo fournie)
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Publié le Mardi 25 octobre 2022

De nouvelles études révèlent l’horrible vérité sur les «cerfs-volants du désert» d’AlUla

  • Les anciennes structures en pierre étaient utilisées pour rassembler et tuer les proies
  • Les études «s’appuient sur nos découvertes antérieures portant sur la période néolithique», selon une archéologue

DJEDDAH: Une nouvelle recherche met en lumière les origines et l’évolution d’une série de «cerfs-volants du désert» (pièges de chasse antiques construits en pierre) à AlUla.

Parrainée par la Commission royale pour AlUla (RCU), l’étude révèle des preuves fascinantes sur les méthodes innovantes et collaboratives que les populations locales utilisaient il y a des milliers d’années pour chasser les animaux sauvages.

D’après un article publié par le Journal of Archaeological Science, les pièges en pierre ont été nommés par des pilotes qui avaient survolé la région dans les années 1920 et avaient remarqué que leur forme ressemblait à celle d’un cerf-volant pour enfants avec des banderoles.

Selon le Dr Rémy Crassard, expert en matière de cerfs-volants du désert, ces pièges sont parmi les plus grandes structures de leur époque, les plus anciens exemples se trouvant au sud de la Jordanie et datant de l’an 7000 avant J.-C.

Bien que l’âge exact de ces pièges récemment découverts dans le nord-ouest de l’Arabie soit encore en cours de calcul, ils semblent être à cheval sur la transition entre le Néolithique récent et l’âge du bronze (5000 – 2000 av. J.-C.).

Le Dr Crassard, qui est affilié au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et qui occupe le poste de codirecteur du projet archéologique Khaybar Longue Durée, parrainé par la RCU et son partenaire stratégique Afalula (l’Agence française pour le développement d’AlUla), estime qu’il y a environ 6 500 cerfs-volants dans la région. Ce chiffre est en augmentation par rapport aux 700 à 800 sites connus depuis vingt ans.

Au cours de leurs recherches en Arabie saoudite, en Jordanie, en Arménie et au Kazakhstan, le Dr Crassard et son équipe ont déterminé que les cerfs-volants étaient spécifiquement utilisés pour la chasse aux animaux sauvages, plutôt que pour l’élevage.

Le développement de ces pièges massifs a eu un impact spectaculaire sur le paysage, explique-t-il, car ils auraient obligé les animaux migrateurs, comme les gazelles, à modifier leurs itinéraires et auraient même pu être responsables de l’extinction de certaines espèces.

En Arabie saoudite, des recherches menées par une équipe de l’université d’Australie-Occidentale et parrainées par le RCU ont permis de découvrir 207 cerfs-volants à AlUla et dans la zone voisine du volcan éteint de Harrat Uwayrid.

La plupart des cerfs-volants de la région sont formés de murets de pierre conçus pour attirer les proies vers un piège, comme une fosse ou un précipice. S’il existe différentes formes de cerfs-volants, ceux découverts par l’équipe australienne, dirigée par Rebecca Repper, étaient pour la plupart en forme de «V».

Les lignes principales des cerfs-volants d’AlUla mesurent environ 200 mètres de long, mais des structures similaires dans d’autres régions s’étendent sur des kilomètres. Selon les chercheurs, leur emplacement suggère que les chasseurs avaient une connaissance approfondie des mouvements des animaux.

Selon le Dr Rebecca Foote, directrice de la recherche sur l’archéologie et le patrimoine culturel à la RCU, ces études contribuent à une meilleure compréhension du riche patrimoine culturel des peuples du nord-ouest de l’Arabie.

«Les études récentes s’appuient sur nos découvertes antérieures portant sur la période néolithique dans la région, notamment la construction de structures rituelles à grande échelle», indique-t-elle.

«Sous le parrainage de la RCU, et alors que nous entamons la saison de l’automne, nous nous attendons à de nombreuses autres découvertes perspicaces en coopération avec des équipes internationales d’Arabie saoudite, de France, d’Australie, d’Allemagne et d’autres pays.»

Ces collaborations s’inscrivent dans le cadre du projet de la RCU visant à créer un centre mondial de recherche archéologique et de conservation à AlUla. Au cœur de ce projet se trouve le Kingdoms Institute, situé au milieu des ruines de l’ancien royaume de Dadan, en Arabie du Nord, et consacré à l’étude de l’histoire et de la préhistoire de la péninsule Arabique.

Le Dr Ingrid Périssé Valéro, directrice de l’archéologie et du patrimoine à Afalula, affirme que les cerfs-volants nouvellement découverts à AlUla et Khaybar ouvrent des perspectives importantes sur leurs origines et leur développement. Cela constitue une étape déterminante dans l’histoire de l’évolution humaine et de la relation de l’homme avec l’environnement naturel.

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Le premier sac Birkin d'Hermès vendu près de 8,6 millions d'euros à Paris

(AFP)
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  • Le premier sac Birkin d'Hermès, conçu spécialement pour Jane Birkin en 1984, a été vendu aux enchères, jeudi à Paris, pour 8,582 millions d'euros
  • Ce grand fourre-tout en cuir noir est le premier exemplaire de ce qui est devenu l'un des sacs les plus célèbres et les plus chers au monde

PARIS: Le premier sac Birkin d'Hermès, conçu spécialement pour Jane Birkin en 1984, a été vendu aux enchères, jeudi à Paris, pour 8,582 millions d'euros frais inclus, a indiqué la maison d'enchères Sotheby's.

Ce grand fourre-tout en cuir noir est le premier exemplaire de ce qui est devenu l'un des sacs les plus célèbres et les plus chers au monde.

Jusqu'à présent, le sac le plus cher jamais vendu aux enchères était un Kelly Hermès en crocodile, serti de diamants et rehaussé d'or blanc, ajdugé à plus de 513.000 dollars (438.000 euros), selon Sotheby's.

Ce "prototype historique réalisé à la main", gravé des initiales J.B., se distingue par plusieurs particularités qui en font une pièce unique, notamment sa taille, ses anneaux métalliques fermés, sa bandoulière non-détachable ou encore la présence d'un coupe-ongles intégré. Des traces d'autocollants sont aussi visibles sur le cuir patiné.

Icône de mode au look effortless chic (presque sans effort, ndlr), Jane Birkin privilégiait le côté pratique des choses.

Lors d'un vol Paris-Londres, la chanteuse et actrice anglaise, décédée en 2023, se plaint à son voisin de ne pas trouver un sac adapté à ses besoins de jeune maman.

Ce dernier n'est autre que Jean-Louis Dumas, gérant d'Hermès de l'époque. Un fourre-tout avec un espace dédié aux biberons voit ainsi le jour en 1984 et porte le nom Birkin.

Quarante ans plus tard, ce sac à main en cuir est devenu le produit emblématique du sellier-maroquinier. Produit en très petite quantité, il cultive une image d'exclusivité, avec un prix pouvant varier grandement, de quelques milliers d'euros pour les modèles les plus simples, jusqu'à plusieurs centaines de milliers d'euros pour les plus luxueux.

Outre le sac Birkin, la vente "Fashion Icons" de Sotheby's proposait des pièces emblématiques issues de défilés de créateurs tels que Christian Dior, John Galliano, Thierry Mugler ou encore Alexander McQueen.


Le musée de Djeddah expose 1 000 objets rares retraçant l’histoire de l'islam

La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
La Maison des Arts Islamiques présente une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique. (SPA)
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  • La première galerie retrace l'évolution de la céramique et de la verrerie du Ier au Xe siècle de l'Hégire (du VIIe au XVIe siècle)
  • La deuxième galerie met en lumière le travail des métaux islamiques, avec des objets décorés de manière complexe et des récipients d'usage quotidien

DJEDDAH : La Maison des Arts Islamiques, le premier musée du Royaume entièrement dédié à l’art islamique, abrite une collection couvrant plusieurs époques de la civilisation islamique.

Situé dans le parc de Djeddah, le musée expose plus de 1 000 objets qui donnent un aperçu des valeurs islamiques et du patrimoine culturel et historique de la région, a rapporté l'Agence de presse saoudienne (SPA).

Le musée comprend six galeries, chacune explorant une facette distincte du patrimoine islamique.

La première galerie retrace l'évolution de la céramique et de la verrerie du Ier au Xe siècle de l'Hégire (du VIIe au XVIe siècle), mettant en valeur la poterie, un artisanat de l'Antiquité qui a connu un développement majeur sous l'impulsion des artisans musulmans.

La deuxième galerie met en lumière le travail du métal islamique, avec des objets décorés de manière complexe et des récipients d'usage quotidien.

La troisième galerie présente 500 pièces de monnaie de l'époque du prophète Mahomet à l'époque moderne, offrant un aperçu de l'histoire économique du monde musulman.

La quatrième galerie se concentre sur l'influence de l'art islamique sur les autres civilisations et sur la manière dont les cultures européennes se sont engagées dans les traditions artistiques islamiques.

La cinquième galerie présente des manuscrits coraniques rares, des pièces de calligraphie arabe et des tablettes de bois utilisées pour la mémorisation du Coran.

La dernière galerie présente des textiles islamiques, notamment des pièces provenant des revêtements intérieurs et extérieurs de la sainte Kaaba et un rare rideau de la porte Shammi de la mosquée du Prophète à Médine, fabriqué à l'époque ottomane au XIIIe siècle de l'ère chrétienne.

La visite du musée s'achève à la bibliothèque, qui propose une large sélection de livres en arabe et en anglais sur l'histoire, la culture et la littérature islamiques.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Le musée national Zayed explore l'histoire des Émirats arabes unis

Situé sur l'île de Saadiyat, le musée national Zayed explorera les premiers établissements humains datant de 300 000 ans, ainsi que la langue, les traditions, la flore et la faune de la région. (Fourni)
Situé sur l'île de Saadiyat, le musée national Zayed explorera les premiers établissements humains datant de 300 000 ans, ainsi que la langue, les traditions, la flore et la faune de la région. (Fourni)
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  • Situé sur l'île de Saadiyat, le musée national Zayed a d'illustres voisins, dont le Louvre Abu Dhabi, le Guggenheim Abu Dhabi, le musée d'histoire naturelle et le teamLab Phenomena

DUBAI : Alors que le musée national Zayed ("Zayed National Museum") s'apprête à ouvrir ses portes dans la capitale des Émirats arabes unis, Arab News s'est entretenu avec le directeur Peter Magee au sujet des objectifs du musée et de ce à quoi les visiteurs peuvent s'attendre.

La date d'ouverture n'a pas encore été annoncée, mais le centre se concentrera sur l'histoire des Émirats arabes unis et plus particulièrement sur le cheikh Zayed bin Sultan Al Nahyan. Il explorera les premiers établissements humains datant de 300 000 ans, ainsi que la langue, les traditions, la flore et la faune de la région.

"L'histoire du musée est guidée par les valeurs durables du père fondateur des Émirats arabes unis, le cheikh Zayed bin Sultan Al-Nahyan", a expliqué M. Magee. "Nous examinons ces valeurs et la manière dont elles l'ont guidé, mais aussi la manière dont elles reflètent les valeurs sociales qui existent dans les Émirats arabes unis, tant dans le passé que dans le présent - et dans l'avenir.

"C'est un musée national centré sur les Émirats arabes unis, mais il s'intéresse bien sûr aux liens régionaux qui existaient avec d'autres pays du golfe Persique, de l'océan Indien et même d'autres régions.

L'une des pièces maîtresses est la reconstitution grandeur nature d'un bateau Magan de l'âge du bronze, construit avec des roseaux et des cordes en fibre de palmier. Magee et son équipe ont navigué à bord de ce bateau pendant deux jours sur les eaux du golfe Persique.

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Situé sur l'île de Saadiyat, le musée national Zayed a d'illustres voisins, dont le Louvre Abu Dhabi, le Guggenheim Abu Dhabi, le musée d'histoire naturelle et le teamLab Phenomena. (Fourni)

Situé sur l'île de Saadiyat, le musée national Zayed a pour voisins illustres le Louvre Abu Dhabi, le Guggenheim Abu Dhabi, le musée d'histoire naturelle et le teamLab Phenomena.

"J'aime à penser que chacun de ces musées et institutions est sa propre étoile et qu'en les combinant, ils forment une constellation qui peut être lue de manière cohérente aussi bien ensemble qu'individuellement", a déclaré M. Magee.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com