L'Arabie saoudite prévoit d'investir 2,8 milliards d’euros pour le tourisme en montagne

Soudah Development, fondée en février 2021, est un membre affilié de l'Organisation mondiale du tourisme de l'ONU (Photo fournie/SDC).
Soudah Development, fondée en février 2021, est un membre affilié de l'Organisation mondiale du tourisme de l'ONU (Photo fournie/SDC).
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Publié le Vendredi 18 novembre 2022

L'Arabie saoudite prévoit d'investir 2,8 milliards d’euros pour le tourisme en montagne

  • Soudah Development a déclaré que ses plans s'étendent sur 627 km² dans les montagnes de Sarwat, dans le sud-ouest de la région d'Asir, qui abrite 90% de la verdure et de la vie végétale du Royaume
  • En protégeant la biodiversité, renforçant la couverture végétale et réorganisant de vastes étendues de terrain, nous voulons créer un avenir plus vert qui libère le potentiel du tourisme durable», a déclaré l’entreprise

CHARM EL-CHEIKH: Dans le cadre des plans d'action environnementaux d'envergure du Royaume, Soudah Development, une société détenue par le Fonds d'investissement public saoudien, a déclaré qu'elle prévoyait d'investir plus de 2,8 milliards d’euros pour lancer une nouvelle ère de tourisme de montagne durable.
Son projet s'étend sur une zone de 627 km2 qui comprend le mont Soudah et le village de montagne de Rijal Alma, dans les montagnes de Sarwat, dans la région d'Asir, au sud-ouest du pays, qui abrite 90% de la verdure et de la végétation du Royaume.
«Soudah et Rijal Almaa constituent un écosystème unique au niveau national et biologiquement diversifié, vulnérable au changement climatique», a révélé l'entreprise. «En protégeant la biodiversité, stimulant la couverture végétale et ré-ensauvageant de vastes étendues de terrain, nous voulons créer un avenir plus vert qui libère le potentiel du tourisme durable.»
Haut de 3 015 mètres, Soudah est le plus haut sommet d'Arabie saoudite.
«Nous prévoyons de construire 2 700 chambres d'hôtel, 1 300 unités résidentielles et 30 attractions .
«Nous prévoyons également de jouer un rôle clé dans la diversification du pays en attirant plus de 2 millions de visiteurs tout au long de l'année, en créant 8 000 emplois et en ajoutant 7,4 milliards d’euros cumulés au produit intérieur brut du Royaume d'ici 2030.»
La société Soudah Development, une entreprise de développement immobilier par actions fermée lancée l'année dernière par le prince héritier, Mohammed Ben Salmane, a participé au deuxième forum de l'initiative verte saoudienne, qui s'est tenu la semaine dernière en marge de la conférence des Nations unies sur le changement climatique, la COP27, à Charm el-Cheikh. Elle a donné des détails sur trois de ses initiatives phares en matière de développement durable, notamment son projet de planter commerciales et de divertissement afin de créer une destination de tourisme de montagne de luxe au-dessus des nuages, et jusqu'à 770 millions d’euros seront consacrés à des améliorations importantes des infrastructures qui apporteront des dividendes sociaux et économiques à la communauté locale», a indiqué Soudah Development plus d'un million d'arbres d'ici 2030.
«Outre notre campagne de reboisement en cours, nous avons utilisé cette plate-forme afin de mettre en avant deux autres projets environnementaux: des plans visant à réintroduire dans leur habitat d'origine des espèces sauvages menacées, telles que le bouquetin des montagnes et la gazelle, ainsi qu'une initiative de grande envergure visant à réimplanter des zones protégées afin de préserver la biodiversité et de rétablir l'équilibre écologique.»
Soudah Development, qui a été fondée en février 2021 et est un membre affilié de l'Organisation mondiale du tourisme des Nations unies, a déclaré que son principal engagement est de protéger Soudah, mais qu'elle vise également à promouvoir la région en tant que destination touristique de luxe mondiale, tout en contribuant à la lutte contre le changement climatique, conformément aux objectifs de l’Initiative verte saoudienne. Cela se traduit, selon la société, par des projets tels que son projet de planter un million d'arbres pour soutenir l'objectif ambitieux de l’Initiative verte saoudienne de planter 10 milliards d'arbres d'ici 2030.
«Jusqu'à 25 tonnes de dioxyde de carbone seront séquestrées par la forêt dans le cadre de cette initiative, contribuant ainsi à l'objectif du Royaume d'atteindre la neutralité carbone d'ici 2060, de réduire les émissions de carbone de quatre pour cent et de porter les zones protégées à plus de 30% de la superficie totale du pays», a signalé la société.
L’entreprise Soudah a ajouté qu'elle en est aux «étapes préliminaires du travail de planification et de développement», conformément aux meilleures pratiques en matière de tourisme durable, et qu'elle s'associe à des organisations nationales et multilatérales afin d’atteindre ses objectifs.
Elle a signé quatre accords avec des institutions nationales sous l'égide du ministère de l'Environnement, notamment le Centre national pour la couverture végétale et la lutte contre la désertification, le Centre national pour le respect de l'environnement, le Centre national pour le développement de la faune sauvage et le Centre national pour la gestion des déchets.
La compagnie a également formé des partenariats avec la Commission nationale saoudienne du patrimoine et la Fondation du roi Abdelaziz de manière à identifier et mener des recherches sur les biens archéologiques et étudier le patrimoine culturel immatériel de la région.
Soudah Development est également le seul membre de la région à faire partie du Partenariat des Nations unies pour la montagne. Ses plans pour Soudah et Rijal Almaa, ainsi que ses efforts pour promouvoir la durabilité, ont été fortement soutenus et reconnus par l'Assemblée générale des Nations unies.
«Ce que cela signifie pour nous – et pour le Royaume – c'est que nos efforts pour promouvoir des actions significatives pour lutter contre le changement climatique et atteindre les 17 objectifs de développement durable des Nations unies reçoivent la reconnaissance mondiale qu'ils méritent», a soutenu la société.


Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Cate Blanchett sera à l’honneur au Festival du film d’El Gouna

Cate Blanchett sera l'invitée d'honneur de cette année et recevra le prix Champion de l'humanité. (Getty Images)
Cate Blanchett sera l'invitée d'honneur de cette année et recevra le prix Champion de l'humanité. (Getty Images)
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  • L’actrice australienne sera l’invitée d’honneur du festival égyptien et recevra le Champion of Humanity Award pour son engagement humanitaire auprès des réfugiés en tant qu’ambassadrice du HCR
  • Reconnue pour ses rôles marquants au cinéma et son implication sur scène, Blanchett est aussi saluée pour son action sur le terrain dans des camps de réfugiés, incarnant la vision du festival : le cinéma au service de l’humanité

DUBAÏ : L’actrice et productrice australienne Cate Blanchett sera mise à l’honneur lors de la 8e édition du Festival du film d’El Gouna, en Égypte, qui se tiendra du 16 au 24 octobre.

Elle sera l’invitée d’honneur de cette édition et recevra le Champion of Humanity Award (Prix de la Championne de l’Humanité).

« De ses rôles emblématiques dans Elizabeth, Blue Jasmine et TÁR, à ses collaborations remarquables avec les plus grands réalisateurs, Cate Blanchett a laissé une empreinte indélébile sur le cinéma mondial », a publié le festival sur Instagram.

« Au-delà de son art, elle continue de défendre des causes humanitaires urgentes en tant qu’ambassadrice de bonne volonté mondiale pour le HCR, reflétant ainsi la vision du festival : le cinéma au service de l’humanité », ajoute le communiqué. « Pour saluer son engagement en faveur des réfugiés et des personnes déplacées de force, Cate Blanchett recevra le Champion of Humanity Award du Festival du film d’El Gouna. »

Cate Blanchett est également connue pour son travail sur scène, ayant été co-directrice artistique de la Sydney Theatre Company. Elle est aussi cofondatrice de Dirty Films, une société de production à l’origine de nombreux films et séries récompensés.

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Depuis 2016, elle occupe le rôle d’ambassadrice de bonne volonté pour le HCR, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés. À ce titre, elle utilise sa notoriété pour sensibiliser à la cause des réfugiés et encourager le soutien international. Elle a visité des camps de réfugiés et des communautés hôtes dans des pays comme la Jordanie, le Liban, le Bangladesh, le Soudan du Sud, le Niger et le Brésil.

En 2018, elle a reçu le Crystal Award lors du Forum économique mondial en reconnaissance de son engagement humanitaire.

Amr Mansi, fondateur et directeur exécutif du Festival d’El Gouna, a déclaré : « C’est un immense honneur d’accueillir une artiste du calibre de Cate Blanchett. Son talent exceptionnel fascine le public depuis des décennies, et son engagement humanitaire à travers le HCR est véritablement inspirant.

Ce partenariat avec le HCR et la Fondation Sawiris, ainsi que sa venue, illustrent parfaitement la mission essentielle de notre festival : utiliser la force du cinéma pour promouvoir un changement positif et soutenir l’humanité. »

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Quatre chanteuses pour une diva: Céline Dion au coeur d'un nouveau spectacle hommage

Céline Dion se bat depuis 2022 contre le syndrome de la personne raide, une maladie neurologique incurable.  Après quatre ans sans se produire en public, elle était réapparue à la tour Eiffel lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, pour interpréter en mondovision l'intemporel "Hymne à l'amour" d'Édith Piaf. (AFP)
Céline Dion se bat depuis 2022 contre le syndrome de la personne raide, une maladie neurologique incurable. Après quatre ans sans se produire en public, elle était réapparue à la tour Eiffel lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, pour interpréter en mondovision l'intemporel "Hymne à l'amour" d'Édith Piaf. (AFP)
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  • Pour interpréter les plus grands tubes de Céline Dion, dont les fans espèrent le retour, quatre chanteuses se partagent l'affiche de "Génération Céline", spectacle hommage piloté par Erick Benzi, fidèle arrangeur de la star québécoise
  • Pour "Génération Céline", qui démarre vendredi à Beauvais (Oise) avant Paris ce week-end puis une tournée en 2026, il a écouté les maquettes de plus de 200 chanteuses avant de retenir une vingtaine de candidates pour les castings

PARIS: Pour interpréter les plus grands tubes de Céline Dion, dont les fans espèrent le retour, quatre chanteuses se partagent l'affiche de "Génération Céline", spectacle hommage piloté par Erick Benzi, fidèle arrangeur de la star québécoise.

"Il y a une vraie attente de se retrouver tous ensemble, de chanter, de danser sur les chansons qu'on connaît. Et je pense que Céline, elle incarne ça", s'enthousiasme Erick Benzi, aux manettes de ce "tribute", ou spectacle hommage, un format qui rencontre un vif succès en France comme à l'étranger.

Pour "Génération Céline", qui démarre vendredi à Beauvais (Oise) avant Paris ce week-end puis une tournée en 2026, il a écouté les maquettes de plus de 200 chanteuses avant de retenir une vingtaine de candidates pour les castings.

"D'abord, est-ce qu'on est capable de chanter +All by myself+ ? Il y a des chansons comme ça qui sont des espèces de couperets", lance Benzi, en référence au standard d'Eric Carmen repris par Céline Dion en 1996.

Quatre chanteuses ont été sélectionnées pour interpréter des tubes en français et en anglais, tels que "On ne change pas", "I'm alive" ou "My heart will go on", le thème du "Titanic" de James Cameron. Catherine Pearson - chanteuse québecoise qui officie déjà dans le spectacle "Passion Céline" au Canada -, Magali Ponsada, Chiara Nova et Virginie Rohart unissent leurs voix, aux ressemblances troublantes avec celle de leur idole.

Plutôt que de faire incarner la star par une seule artiste, il a préféré opter pour "le fun d'une soirée" où "on raconte sa vie musicale" comme "un groupe de fans", explique le directeur de ce show produit par Richard Walter, l'un des spécialistes des "tributes" (Queen, Pink Floyd).

"Populaire" 

"Je connais bien Céline, parce que j'ai fait quatre albums avec elle, donc je sais un peu comment raconter cette histoire-là sans la trahir, sans mettre quoi que ce soit en péril", assure Erick Benzi, qui a notamment œuvré sur son album culte "D'Eux", avec Jean-Jacques Goldman.

Mais "il faut être bien conscient qu'on ne peut pas remplacer Céline: ce n'est pas qu'une des cinq meilleures chanteuses du monde - déjà ça, c'est difficile à trouver - mais c'est aussi une icône de mode, un conte de fées", s'exalte celui qui fut aussi proche de son mari et mentor René Angélil, décédé en 2016.

Céline Dion se bat depuis 2022 contre le syndrome de la personne raide, une maladie neurologique incurable.

Après quatre ans sans se produire en public, elle était réapparue à la tour Eiffel lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, pour interpréter en mondovision l'intemporel "Hymne à l'amour" d'Édith Piaf.

L'amour du public tient en partie à sa musique, "à la fois très exigeante au niveau vocal et en même temps très populaire", relève Erick Benzi.

"Tribute to Céline Dion", "Entre-D'eux", "Destin": les spectacles-hommages à la star sont légion, portés par un répertoire qui reste une valeur sûre et la demande d'un public jamais rassasié.

D'autant que son éventuel retour, en concert ou à travers un nouvel album studio, alimente les rumeurs mais reste hypothétique à ce stade.

Les fans se consolent avec l'anniversaire de l'album "D'eux", sorti il y a 30 ans avec des chansons ("Pour que tu m'aimes encore", "Je sais pas") écrites par Goldman et devenues cultes. Il est encore le disque francophone le plus vendu au monde, à environ 10 millions d'exemplaires.

"Quand je serai plus là", déclarait la chanteuse de 57 ans dans un documentaire diffusé fin août sur M6, "je pense sincèrement qu'il sera encore joué et qu'il sera encore chanté".

 


Diriyah: écrin d’histoire, une exposition qui transporte les parisiens au cœur de l’Arabie Saoudite

D’emblée, l’exposition plonge le public dans une expérience multisensorielle. Les projections géantes des portes sculptées des maisons de la cité, décorées de pigments minéraux aux motifs simples et joyeux, rappellent le raffinement discret de l’architecture locale. (Photo Arlette Khouri)
D’emblée, l’exposition plonge le public dans une expérience multisensorielle. Les projections géantes des portes sculptées des maisons de la cité, décorées de pigments minéraux aux motifs simples et joyeux, rappellent le raffinement discret de l’architecture locale. (Photo Arlette Khouri)
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  • D’emblée, l’exposition plonge le public dans une expérience multisensorielle
  • Les projections géantes des portes sculptées des maisons de la cité, décorées de pigments minéraux aux motifs simples et joyeux, rappellent le raffinement discret de l’architecture locale

PARIS: À peine franchi le seuil du Grand Palais Immersif à Paris, le visiteur de l’exposition « Diriyah : un écrin d’histoire » quitte le tumulte parisien pour se retrouver transporté au cœur de l’Arabie saoudite.
Le parcours débute par un long couloir aux murs sobres, délicatement éclairés, recouverts de tapis tissés artisanalement et ponctués de chants d’oiseaux.
À son terme, une porte massive en bois brut, sculptée selon la tradition ancestrale de Diriyah : l’immersion commence, dans une atmosphère d’apaisement et de sérénité.

D’emblée, l’exposition plonge le public dans une expérience multisensorielle. Les projections géantes des portes sculptées des maisons de la cité, décorées de pigments minéraux aux motifs simples et joyeux, rappellent le raffinement discret de l’architecture locale.
Plus loin, un salon inspiré des habitations traditionnelles accueille les visiteurs. Assis au son apaisant du oud, ils dégustent café et figues, un goûter authentique qui évoque l’hospitalité saoudienne.

L’exposition déroule ensuite une série d’images monumentales retraçant la vie quotidienne d’autrefois : cavalerie, danses, vannerie et artisanats. Mais le point d’orgue du parcours est une immersion totale d’environ quatre minutes dans les rues de Diriyah.
Le spectateur se retrouve au milieu des habitants, partagé entre marchés animés, activités agricoles et scènes de fête : une expérience surprenante, qui donne l’impression de voyager sans quitter Paris.

Diriyah ne se limite pas à son passé. Située aux portes de Riyad, elle est aujourd’hui au cœur de la Vision 2030 de l’Arabie saoudite, un vaste plan de développement qui fait du patrimoine et de la culture des leviers de rayonnement international.

Cette exposition n’est pas seulement une prouesse visuelle : elle incarne l’esprit d’une cité majeure de l’histoire saoudienne. Diriyah, berceau de l’État saoudien, est en effet le lieu où la dynastie Al Saoud a vu le jour au XVIIIᵉ siècle, au sein du site d’At-Turaif.
Inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, At-Turaif est un ensemble exceptionnel de palais et de demeures en briques de terre crue, restaurés avec soin et visités aujourd’hui par des millions de personnes. Il permet de revivre les origines politiques et culturelles du Royaume.

Mais Diriyah ne se limite pas à son passé. Située aux portes de Riyad, elle est aujourd’hui au cœur de la Vision 2030 de l’Arabie saoudite, un vaste plan de développement qui fait du patrimoine et de la culture des leviers de rayonnement international.
Diriyah s’étend sur 11,7 km² et se compose de quartiers mêlant espaces résidentiels, commerciaux et culturels. Le projet de développement prévoit plus de 30 hôtels, des parcs, des zones de loisirs, ainsi que la création de 178 000 emplois.

Depuis son ouverture au public en 2022, Diriyah a déjà attiré plus de trois millions de visiteurs.

Parmi ses joyaux contemporains, les terrasses de Bujairi séduisent par leurs restaurants raffinés et leurs boutiques, tandis que le wadi Hanifa, une vallée verdoyante transformée en oasis moderne, invite à la promenade entre arbres nouvellement plantés, pistes cyclables et sentiers équestres.
Ce mélange de patrimoine et de modernité fait de Diriyah une destination unique, alliant mémoire historique, innovation et respect de l’environnement.

« Nous voulons que les visiteurs s’imprègnent pleinement de la vie de Diriyah, qu’ils ressentent son passé, son présent et son avenir », explique Saeed Abdulrahman Metwali, directeur général de la stratégie d’orientation touristique et du design.
Selon lui, l’expérience immersive proposée à Paris est une manière de donner un avant-goût de la richesse culturelle et humaine que Diriyah réserve à ses visiteurs : « À travers ces images, on découvre les habitants, les marchés, les maisons et l’âme de la cité. L’idée est d’offrir une perception vivante et authentique, qui incite à venir découvrir Diriyah sur place. »

Les chiffres confirment d’ailleurs cet engouement : depuis son ouverture au public en 2022, Diriyah a déjà attiré plus de trois millions de visiteurs.
L’objectif est ambitieux : en accueillir 50 millions d’ici 2030, grâce à une offre hôtelière et culturelle sans cesse enrichie.

L’exposition parisienne, de courte durée (du 12 au 14 septembre), illustre la volonté de Diriyah de s’ouvrir à l’international et témoigne de sa stratégie visant à se positionner comme un lieu mondial du tourisme culturel, où se conjuguent tradition et modernité.