Le ministère saoudien de la culture ouvre le centre Fenaa Alawwal pour encourager les échanges culturels mondiaux

Le ministère de la Culture inaugure son premier centre culturel, Fenaa Alawwal, à Riyad. (Photo AN par Hameed Alharbi)
Le ministère de la Culture inaugure son premier centre culturel, Fenaa Alawwal, à Riyad. (Photo AN par Hameed Alharbi)
Le ministère de la Culture inaugure son premier centre culturel, Fenaa Alawwal, à Riyad. (Photo AN par Hameed Alharbi)
Le ministère de la Culture inaugure son premier centre culturel, Fenaa Alawwal, à Riyad. (Photo AN par Hameed Alharbi)
Centre culturel Fenaa Alawwal, Riyad. (Photo AN par Hameed Alharbi)
Centre culturel Fenaa Alawwal, Riyad. (Photo AN par Hameed Alharbi)
Des visiteurs à la bibliothèque du centre Fenaa Alawwal à Riyad. (Photo AN par Hameed Alharbi)
Des visiteurs à la bibliothèque du centre Fenaa Alawwal à Riyad. (Photo AN par Hameed Alharbi)
Des visiteurs à la bibliothèque du centre Fenaa Alawwal à Riyad. (Photo AN par Hameed Alharbi)
Des visiteurs à la bibliothèque du centre Fenaa Alawwal à Riyad. (Photo AN par Hameed Alharbi)
Le ministère de la Culture inaugure son premier centre culturel, Fenaa Alawwal, à Riyad. (Photo AN par Hameed Alharbi)
Le ministère de la Culture inaugure son premier centre culturel, Fenaa Alawwal, à Riyad. (Photo AN par Hameed Alharbi)
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Publié le Samedi 17 décembre 2022

Le ministère saoudien de la culture ouvre le centre Fenaa Alawwal pour encourager les échanges culturels mondiaux

  • Le nouveau centre artistique et culturel est situé dans l'ancien siège de la première banque commerciale du Royaume - Alawwal Bank - dans le quartier diplomatique de la capitale saoudienne
  • La directrice Rola Alghrair a déclaré à Arab News que « Fenaa Alawwal rassemblera des esprits divers dans un espace unique qui inspire l'exploration et la découverte culturelles à travers des activités créatives et artistiques. »

RIYAD : Le ministère saoudien de la culture a ouvert son premier centre culturel, Fenaa Alawwal, jeudi à Riyad.

Le nouveau centre artistique et culturel est situé dans l'ancien siège de la première banque commerciale du Royaume - Alawwal Bank - dans le quartier diplomatique de la capitale saoudienne. Il s'agit de l'un des points de repère les plus reconnaissables de Riyad, avec des motifs géométriques traditionnels typiques de l'Arabie saoudite autour de son édifice cylindrique.

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Des visiteurs à la bibliothèque du centre Fenaa Alawwal à Riyadh. (Photo AN par Hameed Alharbi)

Le ministre de la Culture, le prince Badr ben Abdallah ben Farhane, et plusieurs autres dignitaires des secteurs culturel et diplomatique ont assisté à la cérémonie d'ouverture, qui a été marquée par un spectacle de lumières.

Le ministère a créé Fenaa Alawwal dans le cadre de ses efforts pour atteindre les objectifs de la Vision saoudienne 2030 et pour « encourager le mode de vie culturel ». Il se veut un centre culturel et créatif qui proposera un large éventail d'activités, notamment des expositions et des ateliers, et rassemblera une communauté diversifiée de penseurs, de créateurs et de talents de premier plan.

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Des visiteurs à la bibliothèque du centre Fenaa Alawwal à Riyadh. (Photo AN par Hameed Alharbi)

Le centre comprend une bibliothèque de livres d'art, ainsi qu'un restaurant et un café appelés Circle 3 by Acoustic.

La directrice Rola Alghrair a déclaré à Arab News que la mission de « Fenaa Alawwal sera de rassembler des esprits différents dans un espace unique qui inspire l'exploration et la découverte culturelles à travers des activités créatives et artistiques. »

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Des visiteurs à la bibliothèque du centre Fenaa Alawwal à Riyadh. (Photo AN par Hameed Alharb

Elle a ajouté : « À partir de l'année prochaine, nos programmes viseront à impliquer directement les ambassades ; de la conception à la mise en œuvre, toutes les activités seront le produit d'une collaboration et d'un échange interculturels. »

L'exposition inaugurale du centre, intitulée « The Memory Deposit », se tiendra jusqu'au 28 février. L'entrée est gratuite du lundi au samedi, de 9 heures à 22 heures.

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Des visiteurs à la bibliothèque du centre Fenaa Alawwal à Riyadh. (Photo AN par Hameed Alharbi)

Inspirée par l'ancien rôle du bâtiment en tant que banque, l'exposition explore l'histoire de la monnaie saoudienne et présente les œuvres de six artistes contemporains basées sur des jalons du patrimoine, de l'identité et de la culture saoudiens représentés sur les pièces et les billets de banque du Royaume.

L'artiste saoudien Saddek Wassel, dont les œuvres font partie de l'exposition, a déclaré à Arab News : « Mon œuvre montre un homme assis sur un rocher, contemplant la nature (et son environnement). Cette œuvre est en dialogue étroit avec la profondeur historique du lieu qui l'accueille - le jardin de sculptures du centre culturel Fenaa Alawwal - car ce centre a une histoire. Il s'agit également d'un homme qui contemple l'histoire et le passé de son peuple et de son pays. »

L'artiste argentine Carola Zech a contribué à l'exposition avec une œuvre en miroir intitulée « Nous ». « Elle est destinée à être une œuvre interactive », a-t-elle déclaré. « Les gens peuvent se déplacer à travers la plupart des parties et peuvent ensuite construire différents espaces, mais ce sont des espaces sociaux collectifs parce que lorsque vous interagissez avec l'un d'eux, d'autres personnes peuvent interagir avec vous. C'est une œuvre sans limites strictes. Vous la délimitez. » 

Le bâtiment emblématique qu'est aujourd'hui le Fenaa Alawwal a ouvert pour la première fois en 1988 et a récemment été placé sous la garde de la Commission royale pour la ville de Riyad, conformément au programme de transformation nationale de Saudi Vision 2030, dont la culture est une composante essentielle.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com

 


La mairie de Venise balaie les critiques visant le mariage de Bezos

Venise a instauré en 2024 un système d'entrée payante à 5 euros pour visiter la ville à la journée. L'an dernier 29 jours de grande affluence, entre avril et juillet, étaient concernés par cette taxe, mais en 2025 ce sont 54 jours qui sont prévus. (AFP)
Venise a instauré en 2024 un système d'entrée payante à 5 euros pour visiter la ville à la journée. L'an dernier 29 jours de grande affluence, entre avril et juillet, étaient concernés par cette taxe, mais en 2025 ce sont 54 jours qui sont prévus. (AFP)
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  • Ce mariage, en présence d'environ 200 invités triés sur le volet, est "l'un des nombreux mariages" que la ville abrite chaque jour et il n'y aura "aucune privatisation ni fermeture d'espaces publics", a assuré à l'AFP l'adjoint au tourisme de la mairie
  • "C'est l'un des nombreux mariages que la ville accueille quotidiennement. Il est également relativement restreint en terme de nombre de personnes impliquées", souligne M. Venturini

VENISE: La mairie de Venise balaie les critiques des habitants craignant une "privatisation" de la Cité des Doges avant le mariage cette semaine du milliardaire Jeff Bezos, patron d'Amazon, avec la journaliste Lauren Sanchez, affirmant se préparer sereinement.

Ce mariage, en présence d'environ 200 invités triés sur le volet, est "l'un des nombreux mariages" que la ville abrite chaque jour et il n'y aura "aucune privatisation ni fermeture d'espaces publics", a assuré à l'AFP l'adjoint au tourisme de la mairie, Simone Venturini.

"C'est l'un des nombreux mariages que la ville accueille quotidiennement. Il est également relativement restreint en terme de nombre de personnes impliquées", souligne M. Venturini.

"La notoriété des personnes impliquées exige évidemment une attention particulière, notamment en terme de sécurité et de confidentialité", reconnaît-il, rappelant cependant que la ville a une longue tradition d'organisation "d'événements beaucoup plus exigeants, problématiques et complexes", comme une visite du pape ou une réunion du G7.

"Il n'y aura aucun impact sur le centre historique, aucune privatisation ni fermeture d'espaces publics n'est prévue", assure le responsable.

"Tout se déroulera dans des lieux privés, des hôtels privés, et il n'y aura donc aucune interférence avec les espaces publics ni la circulation nautique de la ville", promet-il.

Critiques et manifestations 

Le responsable balaye les objections des opposants à ce mariage qui veulent organiser des manifestations pour protester contre l'événement.

"Ils représentent 150 personnes, ce sont les mêmes qui, depuis vingt ans, font de la protestation leur métier et leur raison d'être. Il y a vingt ans, des manifestations ont eu lieu contre Mose", Moïse en italien, un système de digues artificielles protégeant Venise des marées hautes, "et aujourd'hui Mose fonctionne", rappelle M. Venturini.

Il pense que les protestations pourraient également intervenir "en raison du rapprochement politique de Bezos avec les milieux conservateurs américains".

"Nous faisons appel au bon sens: comme cet événement ne prévoit aucun impact négatif sur la ville, nous espérons que ce ne sont pas les manifestations qui engendreront des désagréments et des blocages de circulation", a-t-il mis en garde.

Bezos, Venise et le surtourisme 

"Le mariage de Bezos n'a aucun lien logique avec la question du surtourisme. Il s'agit d'un mariage de très grande qualité, un événement pour 200 invités organisé de manière très restrictive, avec une liste d'invités extrêmement restreinte, sans aucun impact sur la ville", assure M. Venturini.

Il rappelle que "Venise a été la première ville depuis 60 ans à réagir à la problématique du surtourisme en mettant en place une série de mesures (...) visant précisément à limiter le tourisme de masse et à promouvoir un tourisme de (...) qualité".

Venise a instauré en 2024 un système d'entrée payante à 5 euros pour visiter la ville à la journée. L'an dernier 29 jours de grande affluence, entre avril et juillet, étaient concernés par cette taxe, mais en 2025 ce sont 54 jours qui sont prévus.

"Tous les types de tourisme ne se valent pas (...) le tourisme de jour est celui qui génère le plus de stress pour la ville et qui a les répercussions les moins positives sur la ville elle-même", conclut-il.


Saint Laurent et Louis Vuitton lancent la Fashion Week masculine de Paris

Le créateur de mode Jonathan Anderson assiste à une répétition avant le défilé JW Anderson printemps/été 2025 lors de la Fashion Week de Londres, à Londres, le 15 septembre 2024. (Photo de BENJAMIN CREMEL / AFP)
Le créateur de mode Jonathan Anderson assiste à une répétition avant le défilé JW Anderson printemps/été 2025 lors de la Fashion Week de Londres, à Londres, le 15 septembre 2024. (Photo de BENJAMIN CREMEL / AFP)
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  • Saint Laurent signe à cette occasion son retour au calendrier officiel de la Semaine de la mode masculine, déserté depuis janvier 2023.
  • Le plus attendu est celui de Dior Homme, vendredi, pour la première de Jonathan Anderson. 

PARIS : Les ténors du luxe français Louis Vuitton et Saint Laurent ouvrent mardi le bal de la Fashion Week masculine de Paris, une nouvelle édition toujours agitée par la valse des directeurs artistiques et qui verra les premiers pas de Jonathan Anderson chez Dior.

Saint Laurent signe à cette occasion son retour au calendrier officiel de la Semaine de la mode masculine, déserté depuis janvier 2023.

Cette réintégration « est plutôt une bonne chose pour reprendre une parole forte sur l'homme Saint Laurent », a estimé auprès de l'AFP Alice Feillard, directrice des achats pour l'homme aux Galeries Lafayette.

La nouvelle collection d'Anthony Vaccarello sera dévoilée à 17 heures, quelques heures avant celle de Pharrell Williams pour Louis Vuitton.

Après un défilé en janvier au Louvre, l'artiste touche-à-tout, célèbre pour ses tubes Happy ou Get Lucky aux côtés de Daft Punk, pose cette fois ses mallettes sur le parvis du Centre Pompidou et a soigné ses invitations.

Après l'harmonica et la carte métallique dans une pochette en cuir, elles prennent cette fois la forme de quatre dés, rangés dans un porte-clés en cuir, indiquant l'heure et le lieu du rendez-vous. 

L'événement devrait attirer une nouvelle fois un parterre de stars du rap, du cinéma et du sport, dont les basketteurs américains LeBron James et Victor Wembanyama, ainsi que le nageur star des derniers JO, Léon Marchand, qui sont égéries de la marque.

En attendant, Pharrell Williams a dévoilé dimanche sur Instagram un aperçu de sa prochaine collection : un jean et une veste droite en « denim brun grain de café tissé - non teinté - » sur une chemise blanche et un t-shirt rayé en maille. 

Mardi après-midi, le défilé des élèves de l'Institut français de la mode lancera officiellement la Fashion Week masculine, présentant les tendances de l'été prochain.

Cette première journée sera également marquée par les défilés de la marque parisienne Etudes Studio et de la maison japonaise Auralee.

Alors que Londres a annulé l'événement et que Milan a proposé une version allégée, l'édition parisienne « va dérouler un calendrier assez dense, avec des têtes d'affiche importantes, comme Jonathan Anderson chez Dior », souligne Adrien Communier, chef de rubrique mode pour GQ France.

De mardi à dimanche, pas moins de 70 maisons dévoileront leur collection lors de 30 présentations et 40 défilés.

Le plus attendu est celui de Dior Homme, vendredi, pour la première de Jonathan Anderson. 

Nommé début juin à la tête des collections Femme quelques semaines après son arrivée chez l'Homme, le Nord-Irlandais est ainsi devenu le premier styliste depuis Christian Dior à superviser les deux lignes de la maison phare de LVMH, ainsi que la haute couture.

Le premier défilé masculin de Julian Klausner chez Dries Van Noten, mercredi midi, devrait également susciter beaucoup d'intérêt.

Les maisons historiques, comme Hermès, Kenzo et Issey Miyake, seront également de la partie, aux côtés des griffes AMI, Comme des Garçons, Egonlab., Rick Owens ou encore Willy Chavarria, de retour à Paris après un premier défilé en janvier.

La maison Jacquemus clôturera l'événement.

Côté vestiaire, à quoi faut-il s'attendre ? Alice Feillard prédit un style qui reste « casual mais très élégant », dans la continuité des dernières années, un peu plus formel et « preppy » (BCBG, NDLR), le tout dans des matières très légères et techniques comme le nylon.

« À Milan, on a vu beaucoup de rayures et je pense que ça va continuer », avance Adrien Communier. Mais face à une « mode un peu terne » ces dernières années, « ce dont on a besoin, c'est d'être vraiment surpris, d'en avoir plein les yeux », ajoute-t-il.


Orabella, la marque de Bella Hadid, lance une nouvelle collaboration

Le top model américano-palestinien Bella Hadid étend sa marque de beauté, Orebella, au monde des accessoires. (Instagram)
Le top model américano-palestinien Bella Hadid étend sa marque de beauté, Orebella, au monde des accessoires. (Instagram)
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  • Hadid a fait équipe avec les cofondateurs de Wildflower Cases, Sydney et Devon Lee Carlson, pour lancer une collaboration en édition limitée comprenant deux nouveaux produits de rêve : un étui pour iPhone et un "bracelet parfumable". 
  • L'étui pour iPhone est orné d'un motif de ciel céleste et d'un délicat croissant de lune, reprenant l'esthétique mystique propre à Hadid.

DUBAI : Le top model américano-néerlando-palestinien Bella Hadid étend sa marque de beauté, Orebella, au monde des accessoires - et elle le fait avec un peu d'aide de ses amis proches.

Hadid a fait équipe avec les cofondateurs de Wildflower Cases, Sydney et Devon Lee Carlson, pour lancer une collaboration en édition limitée comprenant deux nouveaux produits de rêve : un étui pour iPhone et un "bracelet parfumable". 

Bella Hadid s'est associée à Sydney et Devon Lee Carlson, cofondateurs de Wildflower Cases, pour lancer une collaboration en édition limitée comprenant deux nouveaux produits de rêve : un étui pour iPhone et un "Scentable Wristlet". (Instagram)
Bella Hadid s'est associée à Sydney et Devon Lee Carlson, cofondateurs de Wildflower Cases, pour lancer une collaboration en édition limitée comprenant deux nouveaux produits de rêve : un étui pour iPhone et un "Scentable Wristlet". (Instagram)

Hadid s'est rendue sur Instagram pour annoncer le lancement, en écrivant : "Je me sens comme la fille la plus chanceuse du monde de pouvoir être créative avec mes sœurs patronnes de la beauté. La vie est belle lorsque nous avons l'opportunité de voir nos amis gagner. Je suis si fière de vous deux. Si fières de nos équipes. Si fiers de nous. Je vous aime tous - merci d'avoir donné vie à cette vision.

"Cases ANDDDD nos bracelets parfumés les plus spéciaux pour garder le parfum orebella de votre choix sur vous à tout moment ! Je voulais fabriquer cet accessoire depuis un moment, j'ai eu l'idée de bracelets parfumés et de bracelets, et mes sœurs ont tout mis en œuvre pour nous. Je vous aime tellement", a-t-elle ajouté.

Dévoilée plus tôt sur Instagram par des photos de la campagne en coulisses, la collaboration associe l'éthique d'Orebella en matière de parfums au style unique de Wildflower en matière d'accessoires de téléphone.

L'étui pour iPhone est orné d'un motif de ciel céleste et d'un délicat croissant de lune, reprenant l'esthétique mystique propre à Hadid. Il fait partie de ce que le trio appelle une "collection de filles", célébrant l'amitié entre Bella, Devon et Sydney.

Le bracelet Scentable, quant à lui, apporte une touche fonctionnelle et parfumée. Conçu pour contenir une petite fiole du parfum emblématique d'Orebella, le bracelet permet aux utilisateurs d'emporter leur fragrance préférée partout où ils vont, fusionnant de manière transparente le style et l'expression sensorielle. 

Orebella, qui a été lancée en mai de l'année dernière avec une ligne de brumes de parfum propres qui a fait salle comble, est née de l'amour de Mme Hadid pour la superposition des parfums, la spiritualité et les rituels de beauté.

À l'époque, Mme Hadid avait écrit sur son site web : "Pour moi, le parfum a toujours été une source d'inspiration : "Pour moi, le parfum a toujours été au centre de ma vie, m'aidant à me sentir responsable de ce que je suis et de ce qui m'entoure. De ma maison aux souvenirs nostalgiques, en passant par ma propre énergie et ma connexion avec les autres, le parfum a été un exutoire pour moi. Il m'a permis de me sentir en sécurité dans mon propre monde".

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com