Le Boulevard World, un ensemble d'activités pour satisfaire tous les goûts

La Boulevard World Zone, organisée dans le cadre de Riyadh Saison, réunit les cultures de dix pays. (Photo fournie)
La Boulevard World Zone, organisée dans le cadre de Riyadh Saison, réunit les cultures de dix pays. (Photo fournie)
La Boulevard World Zone, organisée dans le cadre de Riyadh Saison, réunit les cultures de dix pays. (Photo fournie)
La Boulevard World Zone, organisée dans le cadre de Riyadh Saison, réunit les cultures de dix pays. (Photo fournie)
La Boulevard World Zone, organisée dans le cadre de Riyadh Saison, réunit les cultures de dix pays. (Photo fournie)
La Boulevard World Zone, organisée dans le cadre de Riyadh Saison, réunit les cultures de dix pays. (Photo fournie)
La Boulevard World Zone, organisée dans le cadre de Riyadh Saison, réunit les cultures de dix pays. (Photo fournie)
La Boulevard World Zone, organisée dans le cadre de Riyadh Saison, réunit les cultures de dix pays. (Photo fournie)
La Boulevard World Zone, organisée dans le cadre de Riyadh Saison, réunit les cultures de dix pays. (Photo fournie)
La Boulevard World Zone, organisée dans le cadre de Riyadh Saison, réunit les cultures de dix pays. (Photo fournie)
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La Boulevard World Zone, organisée dans le cadre de Riyadh Saison, réunit les cultures de dix pays. (Photo fournie)
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Publié le Mardi 03 janvier 2023

Le Boulevard World, un ensemble d'activités pour satisfaire tous les goûts

  • Anime-verse Street, Tokyo Real Nakamise, Neo-Scramble Square et Festival Garden donneront l'impression de vous promener dans les rues colorées et animées du Japon
  • Les trois salles de cinéma d'Anime Town Japan proposent onze expositions de dessins animés et plus de trois cent cinquante spectacles de divertissement

RIYAD: Dans le cadre des activités de la Riyadh Saison, la Boulevard World Zone a été inaugurée cette semaine. Elle rassemble en un seul lieu les cultures et les traditions de dix pays autour d'un lac artificiel, l'un des plus grands du monde.

Les visiteurs peuvent désormais parcourir les magasins et les restaurants présents dans cette zone – mais ce n'est pas tout. Tous les types de divertissements sont au rendez-vous. En voici quelques-uns.

Le village de combat

Cette zone est réservée aux amateurs de jeux militaires. Dans un village fictif, ces derniers peuvent tirer à balles réelles sous la supervision d'experts. Ils ont également la possibilité de se livrer à des jeux de guerre virtuels, en solo ou en équipe. Des spectacles médiévaux, un musée d'armes saoudiennes, des défis virtuels, des combats de style western et bien d'autres attractions sont également proposées.

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Ninja Warrior

Il s’agit d’un programme de télé-réalité dans lequel les participants doivent franchir un parcours semé d'obstacles pour se muer en ninjas. Des assistants-ninjas enseigneront aux enfants et à leurs parents des techniques de combat intellectuelles et physiques.

Zone 15

L'expérience intitulée «Portal» vous propose une série d'activités parmi lesquelles un musée d'art abritant plus de trois cents œuvres inspirées du peintre Vincent Van Gogh, ainsi que des espaces dans lesquels les visiteurs ont l’occasion de regarder des matchs de football grâce à une technologie à 360 degrés, ayant ainsi l'impression d'être présents dans le stade.

Anime Town Japan

Si vous êtes fan de dessins animés, cet endroit est conçu pour vous. «Incroyable, c'est comme si je me trouvais au Japon!», s’est exclamé sur Instagram le DJ japonais Steve Aoki lors de sa visite. Anime-verse Street, Tokyo Real Nakamise, Neo-Scramble Square, Festival Garden et bien d'autres rues de la ville vous donneront l'impression de vous promener dans les rues colorées et animées du Japon.

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FAITS MARQUANTS

- Une émission de télé-réalité propose à ses participants de franchir un parcours semé d'obstacles pour se muer en ninjas. Des assistants-ninjas enseigneront aux enfants et à leurs parents des techniques de combat intellectuelles et physiques.

- Onze expositions de dessins animés sont présentées dans les trois théâtres d'Anime Town Japan, ainsi que plus de trois cent cinquante spectacles de divertissement.

- Les visiteurs peuvent tirer à balles réelles sous la supervision d'experts. Ils peuvent également se livrer à des jeux de guerre virtuels, en solo ou en équipe.

Les trois salles de cinéma d'Anime Town Japan proposent onze expositions de dessins animés et plus de trois cent cinquante spectacles de divertissement.

Un sous-marin, des téléphériques et une promenade en bateau

Le Boulevard World propose des attractions pour tous les goûts, dans les airs ou sous l'eau.

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Les visiteurs peuvent faire un tour en téléphérique. Ils survoleront alors des répliques de sites historiques mondiaux. La cabine rallie le Boulevard World et le Boulevard Riyadh City à travers un voyage qui permet de découvrir les cultures de différents pays comme l'Italie, la Grèce, la France, le Maroc, la Chine, le Japon, l'Amérique, l'Inde, l'Espagne et le Mexique.

Un sous-marin permet en outre aux visiteurs d’admirer les merveilles que recèle l'un des plus grands lacs artificiels du monde. La promenade en bateau emmènera les passagers faire un tour entre les zones inspirées des dix pays mentionnés plus haut.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Des stars au dîner de Women in Motion à Cannes

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  • L'actrice britannique Jameela Jamil et la présidente de la Red Sea Film Foundation d'Arabie saoudite Jomana Al-Rashid étaient présentes
  • L'événement a eu lieu après que la Red Sea Film Foundation d'Arabie saoudite se soit associée à Kering pour organiser une conversation avec quatre des lauréates saoudiennes du programme "Women in Cinema"

DUBAI/ CANNES : L'actrice britannique Jameela Jamil et la présidente de la Red Sea Film Foundation d'Arabie saoudite Jomana Al-Rashid étaient présentes alors que la star australienne Nicole Kidman s'est engagée à continuer à promouvoir l'égalité des sexes dans le cinéma lors d'une soirée exclusive en marge du Festival de Cannes en France dimanche.

"Je suis juste une avocate et je veux continuer à aller de l'avant, avec mon engagement de 2017, donc ce n'est pas fini", a déclaré l'actrice oscarisée lors du dîner Women in Motion à Cannes, qui fait partie d'un programme mis en place par le groupe de luxe Kering en 2015.

L'événement a eu lieu après que la Red Sea Film Foundation d'Arabie saoudite se soit associée à Kering pour organiser une conversation avec quatre des lauréates saoudiennes du programme "Women in Cinema", à savoir Amina Khalil, Gaya Jiji, Rungano Nyoni et Sarah Taibah, le 16 mai.

Mme Kidman, qui a remporté un Oscar pour son interprétation de Virginia Woolf dans "The Hours" en 2002, a travaillé avec de nombreux réalisateurs masculins de sa génération, mais elle s'est engagée en 2017 à tourner avec une réalisatrice tous les 18 mois.

Elle a déclaré aux journalistes de la station balnéaire de la Côte d'Azur plus tôt dimanche qu'au cours des huit années qui se sont écoulées depuis, elle a travaillé avec 27 réalisatrices, y compris pour des projets en cours de développement.

"Il s'agit en partie de protéger et d'entourer les femmes avec presque un champ de force de protection et de soutien", a-t-elle dit.

Dakota Johnson et Julianne Moore, ainsi que Patrick Schwarzenegger de "The White Lotus", étaient également présents au dîner. Le réalisateur Guillermo del Toro faisait aussi partie de la soirée.

La réalisatrice brésilienne Marianna Brennand a reçu le prix de l'initiative pour les nouveaux talents, qui comprend une bourse de 55 920 dollars pour travailler sur un deuxième projet de long métrage.

Selon les organisateurs de Women in Motion, la part des femmes réalisatrices est passée de 7,5 % à 13,6 % parmi les 100 films les plus vendus aux États-Unis entre 2015 et 2024.

Sept des 22 films en compétition cette année ont été réalisés par des femmes, dont un film de Julia Ducournau, l'une des trois seules femmes à avoir jamais remporté la Palme d'or.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Wojciech Waleczek, honore la musique européenne à Riyad

Le Récital européen de piano » au Saudi Music Hub de Riyad. (Photo Fournie)
Le Récital européen de piano » au Saudi Music Hub de Riyad. (Photo Fournie)
Christophe Farnaud,l’ambassadeur de l’Union européenne en Arabie saoudite (Photo Fournie)
Christophe Farnaud,l’ambassadeur de l’Union européenne en Arabie saoudite (Photo Fournie)
Wojciech Waleczek, un pianiste virtuose polonais reconnu internationalement pour son exigence artistique et son engagement dans la diffusion de la musique classique (Photo Fournie)
Wojciech Waleczek, un pianiste virtuose polonais reconnu internationalement pour son exigence artistique et son engagement dans la diffusion de la musique classique (Photo Fournie)
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  • L’ambassadeur de l’Union européenne a déclaré : « L'Arabie saoudite est un allié proche avec lequel nous entretenons des relations étroites. Je ne souhaite qu'une chose : que la musique serve à construire des ponts et à rapprocher nos peuples »
  • Durant ce récital exclusif, le pianiste a fait voyager le public à travers les 27 pays de l’Union européenne en interprétant des œuvres classiques emblématiques qui mettent en valeur la diversité culturelle du continent.

RIYAD : Dans le cadre du dialogue culturel entre l’Union européenne et l’Arabie saoudite, l’ambassade de l’Union européenne en Arabie saoudite a organisé une soirée musicale exceptionnelle intitulée « The European Piano Récital » ou « Le Récital européen de piano » au Saudi Music Hub de Riyad.

Lors de son allocution, Christophe Farnaud,l’ambassadeur de l’Union européenne a déclaré : « L'Arabie saoudite est un allié proche avec lequel nous entretenons des relations étroites. Je ne souhaite qu'une chose : que la musique serve à construire des ponts et à rapprocher nos artistes et nos peuples. »

Né le 8 mars 1980 à Pyskowice, en Silésie en Pologne, Wojciech Waleczek est un pianiste virtuose polonais reconnu internationalement pour son exigence artistique et son engagement dans la diffusion de la musique classique à travers le monde. Il est également professeur d’arts musicaux à l’université de Silésie à Katowice.

En 2014, Wojciech Waleczek obtient un doctorat en arts musicaux, puis son habilitation à diriger des recherches en 2017 à l’Académie de musique de Bydgoszcz. En 2022, il est nommé professeur d’arts musicaux par le président de la République de Pologne. Il remporte plusieurs concours internationaux, dont le Concours Franz Liszt à Parme en2000 et le Concours Seiler à Palerme en2005.

Durant ce récital exclusif, le pianiste a fait voyager le public à travers les 27 pays de l’Union européenne en interprétant des œuvres classiques emblématiques qui mettent en valeur la diversité culturelle du continent.

Wojciech Waleczek a confié à Arab News : « Il s'agissait d'œuvres de compositeurs de tous les pays de l'Union européenne. Nous avons demandé à des compositeurs de chaque pays de l'UE d'écrire une pièce, que nous avons présenté ce soir ».

«Je pense qu'il s'agit d'un événement très important, car nous pouvons échanger nos cultures. Par exemple, en Europe, nous pouvons écouter de la musique venue d'autres continents. De la même manière qu'en Europe, nous pouvons écouter de la musique provenant d'autres continents. Nous pouvons donc apporter la culture européenne à d'autres pays. C'est la raison pour laquelle je le fais. J'ai découvert la culture polonaise et j'aimerais maintenant la partager avec le public saoudien. » a-il ajouté.

Wojciech Waleczek mène une carr.ière internationale très active. Il se produit en récital solo, en musique de chambre ou en tant que soliste avec orchestre dans plus de 40 pays, notamment en Europe, au Moyen-Orient, en Amérique et en Asie, et collabore avec de nombreux orchestres prestigieux.

Il a clôturé son récital en interprétant Le poème « Ode à la joie » de Schiller, qui exprime la vision idéaliste d'une fraternité humaine, vision partagée par Beethoven. En 1972, le Conseil de l'Europe a adopté le thème de l'Ode à la joie de Beethoven comme hymne, puis en 1985, les dirigeants de l'Union européenne l'ont adopté comme hymne officiel.

L’artiste polonais a confié à Arab News : « J'ai joué l'Ode à la joie, c'est l'hymne de l'Union européenne, et ce morceau est très spécial. Je pense que, dans le monde d'aujourd'hui, nous devons toujours garder à l'esprit que nous sommes les gardiens de la paix. »

Spécialiste du répertoire de Franz Liszt, il enregistre notamment : Grandes études de Paganini (2017), Harmonies poétiques et religieuses en 2019, Weihnachtsbaum en2024. Il interprète également des œuvres de Franz Schubert, comme Rarities and Short Piano Works en 2021.

En parallèle de sa carrière artistique, il enseigne à l’Institut des arts musicaux de l’Université de Silésie. Il est aussi vice-président de l’association SIGNUM, qui promeut la musique classique en Pologne et à l’étranger.

Ce concert renforce les liens culturels entre l’Europe et l’Arabie saoudite et accompagne la transformation artistique et culturelle du Royaume portée par Vision 2030.


Festival de Fès 2025: consolidation du lien entre tradition, spiritualité et modernité

Durant neuf jours, plus de 200 artistes issus de 15 pays, dont la France, la Turquie, l’Italie, la Suisse, le Sultanat d’Oman, le Sénégal, la Côte d’Ivoire ou encore le Ghana se produisent dans les hauts lieux patrimoniaux de la ville. (Photo Arlette Khouri))
Durant neuf jours, plus de 200 artistes issus de 15 pays, dont la France, la Turquie, l’Italie, la Suisse, le Sultanat d’Oman, le Sénégal, la Côte d’Ivoire ou encore le Ghana se produisent dans les hauts lieux patrimoniaux de la ville. (Photo Arlette Khouri))
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  • Entre concerts, rencontres intellectuelles et hommages aux patrimoines vivants, le festival confirme son rôle de trait d’union entre les cultures et de laboratoire de paix par l’art
  • Le choix du thème « Renaissances » s’inscrit pleinement dans l’identité historique et spirituelle de Fès

FES: Du 16 au 24 mai, la ville de Fès située au nord du Maroc est à la fête, à l’occasion de la 28ᵉ édition du Festival des Musiques Sacrées du Monde, organisé cette année sous le thème évocateur de « Renaissances ». 

Entre concerts, rencontres intellectuelles et hommages aux patrimoines vivants, le festival confirme son rôle de trait d’union entre les cultures et de laboratoire de paix par l’art.

Vendredi 16 mai, au cœur de la majestueuse place Bab Al Makina, la Princesse Lalla Hasnaa (sœur du roi du Maroc Mohamed VI) a présidé la cérémonie d’ouverture de l'événement qui s’inscrit dans une tradition désormais bien établie, faire de Fès, cité millénaire et carrefour des spiritualités, un haut lieu de dialogue entre les civilisations.

Le concert d’ouverture, intitulé « Renaissances, de la Nature au Sacré – Création », a donné le ton d’une édition ambitieuse et profondément enracinée dans les valeurs du festival. 

Dans une scénographie spectaculaire portée par le producteur artistique français Alain Weber, alliant sons, lumières et chorégraphies, le public est convié à un voyage sensoriel et symbolique célébrant la beauté du monde, ses métamorphoses et ses mémoires.

De la danse mystique du Sama de Meknès aux Tambours du Burundi, en passant par les femmes de Mayotte perpétuant le rituel soufi du Deba, l’ensemble Areej du Sultanat d’Oman ou encore la mezzo-soprano Battista Acquaviva, les artistes ont incarné la diversité des expressions du sacré et l’énergie créatrice de l’Afrique. 

À l’issue de la soirée, la Princesse Lalla Hasnaa a remis le Prix Jeunes Talents Esprit de Fès aux lauréats du Conservatoire de musique de la ville, un geste symbolique fort en faveur de la relève artistique marocaine.

Président de la Fondation Esprit de Fès, Abderrafih Zouitene, (depuis 2013) incarne la vision portée par le festival dont il est l’architecte en chef.

Pour lui, le choix du thème « Renaissances » s’inscrit pleinement dans l’identité historique et spirituelle de la ville, et traduit un moment particulier de renouveau culturel au Maroc.

Le pays connaît aujourd’hui une dynamique culturelle remarquable portée par une série d’initiatives majeures telles que la rénovation des médinas, au premier rang desquelles celle de Fès, inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO.

Dans le même esprit, Zouitene souligne que la création de musées couvrant de nombreuses thématiques témoigne aussi de la vitalité culturelle, que l’on retrouve à l’échelle du continent africain auquel est ancré le Maroc.

Sur la thématique de la Renaissance, Zouitene souligne le lien naturel avec l’Italie, berceau du renouveau culturel au XVI siècle, rappelant que Fès est jumelée avec Florence, la capitale toscane, ce qui confère une dimension symbolique forte à cette édition. 

Durant neuf jours, plus de 200 artistes issus de 15 pays, dont la France, la Turquie, l’Italie, la Suisse, le Sultanat d’Oman, le Sénégal, la Côte d’Ivoire ou encore le Ghana se produisent dans les hauts lieux patrimoniaux de la ville. 

Bab Al Makina, ancien arsenal construit par les italiens au XIX siècle, les jardins de Jnan Sbil, la cour de la Quaraouiyine ou encore Bab Boujloud deviennent les théâtres d’un dialogue musical universel.

La programmation alterne entre spiritualité, création contemporaine et festivités populaires, parmi les temps forts figurent le Concerto pour Sokou, les Master Musicians of Jajouka, et une grande création andalouse le 22 mai, réunissant 44 musiciens pour célébrer les 44 ans de l’inscription de la médina de Fès au patrimoine mondial de l’UNESCO.

En marge des concerts, le Forum de Fès, organisé le 17 mai, s’est imposé comme un espace de réflexion incontournable. Deux thématiques majeures y ont été débattues :

« Cultures et patrimoines : quelles expressions des renaissances ? », avec des interventions de spécialistes des civilisations africaines comme Jillali El Adnani ou Youssef Bokbot ;

« Intelligence artificielle et transmission patrimoniale », réunissant des figures du monde académique et politique, telles qu’Amal El Fallah Seghrouchni, ministre déléguée chargée de la Transition numérique, et Mohammed Benlahsen, président de l’université de Picardie Jules Verne.

Ce croisement entre traditions et technologies illustre l’un des objectifs clés du festival : faire dialoguer les temps, les savoirs et les territoires dans une dynamique de transmission vivante.

Fidèle à la vision du Roi Mohammed VI, le Festival de Fès des Musiques Sacrées du Monde s’inscrit dans une politique de rayonnement culturel fondée sur le respect de l’altérité, le dialogue interreligieux et la valorisation du patrimoine immatériel.

 Il est devenu, au fil des éditions, une plateforme reconnue mondialement pour la coopération Sud-Sud et la diplomatie culturelle.

En cette année 2025, où le monde questionne ses repères, Fès réaffirme son rôle d’espace de jonction entre passé et futur, entre Afrique et Méditerranée, entre sacré et création.