La princesse Rajwa al-Hussein dévoile une robe surprise de Dolce & Gabbana lors de sa réception de mariage

Les jeunes mariés avec leurs parents respectifs lors de la réception officielle. (Cour royale hachémite)
Les jeunes mariés avec leurs parents respectifs lors de la réception officielle. (Cour royale hachémite)
Short Url
Publié le Vendredi 02 juin 2023

La princesse Rajwa al-Hussein dévoile une robe surprise de Dolce & Gabbana lors de sa réception de mariage

  • La mariée a accueilli les invités dans une robe de bal décolletée blanche à manches courtes, ornée de motifs tourbillonnants, de la marque italienne de luxe Dolce & Gabbana
  • La reine Rania, qui avait opté pour un look chic de la marque française Dior lors de la cérémonie de mariage, a enfilé une robe crème et or du couturier libanais Élie Saab pour le dîner de réception

DUBAÏ: La nouvelle princesse de Jordanie, Rajwa al-Hussein, originaire d’Arabie saoudite, est apparue dans un second look surprise lors de la réception officielle qui a suivi son mariage avec le prince héritier Hussein ben Abdallah II, jeudi.

La mariée a accueilli les dignitaires et membres de familles royales dans une robe de bal décolletée blanche à manches courtes, ornée de motifs tourbillonnants, de la marque italienne de luxe Dolce & Gabbana. Elle a toutefois gardé le délicat diadème en diamant, conçu par Yan Sicard de Fred Jewelry, et les boucles d’oreilles assorties qu’elle avait portés plus tôt dans la journée.

img 1
La famille royale jordanienne accueille les invités lors de la réception officielle. (Cour royale hachémite)

Quant à la reine Rania, qui avait opté pour un look chic de la marque française Dior lors de la cérémonie de mariage, elle a enfilé une robe crème et or du couturier libanais Élie Saab pour le dîner de réception.

Parmi les invités figuraient des dignitaires et des membres de familles royales du monde entier, notamment le prince et la princesse de Galles, William et Kate Middleton, la première dame des États-Unis, Jill Biden, la cheikha Moza bent Nasser du Qatar, le roi et la reine de Malaisie, le roi et la reine des Pays-Bas, le roi Juan Carlos I et la reine Sofía d’Espagne, le prince Sébastien du Luxembourg, le prince héritier Frederik et la princesse héritière Mary du Danemark, la princesse héritière Victoria de Suède et le prince Daniel, duc de Västergötland, le prince héritier de Norvège, Haakon, la princesse Hisako de Takamado et sa fille, ainsi que la princesse Tsuguko de Takamado du Japon, entre autres.

img 1
La princesse de Galles, Kate Middleton (extrême droite) a assisté à la réception officielle. (Cour royale hachémite)

La princesse de Galles arborait une robe de la créatrice britannique Jenny Packham, tandis que la première dame des États-Unis, Jill Biden, était vêtue d’une robe lilas ornée de broderies florales et accompagnée d’un châle rose pâle.

La princesse britannique Beatrice et son mari, Edoardo Mapelli Mozzi, étaient également présents. S’il s’agissait de la deuxième fois que la princesse Beatrice, âgée de 34 ans, portait un diadème en public, c’était la première fois qu’elle portait le diadème d’York. Cette coiffe spéciale a été achetée par la reine Elizabeth pour sa mère, Sarah Ferguson, et portée par cette dernière lors de son mariage en 1986 avec le prince Andrew.

img 1
S’il s’agissait de la deuxième fois que la princesse Beatrice, âgée de 34 ans, portait un diadème en public, c’était la première fois qu’elle portait le diadème d’York. (Cour royale hachémite)

Plus tôt dans la journée, la princesse Rajwa avait dévoilé sa robe de mariée lors de son union avec le prince héritier Hussein ben Abdallah II à Amman.

La mariée, précédemment Rajwa al-Saïf, portait une robe blanche classique du célèbre couturier libanais Élie Saab, apprécié des célébrités, pour les noces et la réception publique qui a suivi. La robe simple à manches longues, plissée sur l'avant et au col asymétrique, comportait un splendide voile et une traîne de plusieurs mètres.

Elle portait un superbe diadème et des boucles d'oreilles en diamant assorties ainsi que des chaussures à lanières blanches, et tenait à la main un bouquet de fleurs blanches. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

 


Les astronomes profitent de deux événements rares : les taches solaires et le «point rouge» de Mars

De grandes taches solaires ont été observées sur la planète ardente depuis le nord de l'Arabie saoudite. (SPA)
De grandes taches solaires ont été observées sur la planète ardente depuis le nord de l'Arabie saoudite. (SPA)
Short Url
  • Des taches solaires ont été observées sur la surface du soleil mardi, apparaissant sombres mais affichant une brillance rayonnante
  • Selon les astronomes, l'étude de ces taches est essentielle pour comprendre le cycle de 11 ans du soleil, qui régule l'activité solaire

RIYAD : La région de la frontière nord a été témoin de deux événements astronomiques majeurs mardi soir - une conjonction frappante de la Lune avec Mars et l'étoile Chi Virginis, et l'apparition de taches solaires massives.

La première était visible pour les visiteurs et offrait des conditions idéales pour les astrophotographes, avec Mars identifiable par sa teinte rouge-orange.

Adnan Khalifah, membre du club d'astronomie et d'espace, a déclaré que la lune semblait alignée avec Mars, visible au-dessus de l'étoile Chi Virginis dans la constellation de la Vierge.

Par ailleurs, plusieurs taches solaires ont été observées à la surface du soleil mardi, apparaissant sombres mais affichant une brillance rayonnante. Ces taches sont parmi les plus grandes enregistrées cette année, chacune s'étendant sur des dizaines de milliers de kilomètres et étant visible à l'aide de petits télescopes.

Selon les astronomes, l'étude de ces taches est essentielle pour comprendre le cycle de 11 ans du soleil, qui régule l'activité solaire. Les taches solaires peuvent déclencher des éruptions solaires ou des tempêtes géomagnétiques susceptibles d'affecter les systèmes de navigation et de communication par satellite.


Le savoir-faire des artisans du Qassim mis à l’honneur

La région de Qassim est réputée pour son artisanat traditionnel, notamment dans l'industrie de l'osier de palme. (SPA)
La région de Qassim est réputée pour son artisanat traditionnel, notamment dans l'industrie de l'osier de palme. (SPA)
Short Url
  • Un art transmis de génération en génération continue de prospérer, alors que les artisans mêlent patrimoine culturel et créativité au Festival des dattes de Buraidah
  • Le tressage de palmes remonte à l’Antiquité, servant à l’origine aux besoins essentiels du foyer

RIYAD : La région de Qassim est réputée pour son artisanat traditionnel, en particulier dans le domaine du tressage de palmes. Cet art ancestral, transmis de génération en génération, continue de prospérer grâce aux artisans qui allient patrimoine culturel et créativité lors du Festival des dattes de Buraidah.

L'artisane Umm Abdullah a démontré le processus minutieux du tressage de palmes : les feuilles sont d’abord trempées et séchées, puis habilement transformées en divers objets comme des paniers, des nattes ou des sets de table.

Elle a expliqué que l’abondance de palmiers dans la région a fait de cet artisanat une source de revenus essentielle pour de nombreuses familles travaillant dans l’industrie artisanale locale, selon l’Agence de presse saoudienne.

Umm Abdullah a ajouté que les objets en feuilles de palmier sont très recherchés pour leur valeur culturelle et leur lien précieux avec le patrimoine.

Remontant à l’Antiquité, le tressage de palmes répondait aux besoins domestiques du quotidien. Avec le temps, l’innovation a permis de diversifier les produits et les designs, affirmant cet artisanat comme un véritable pilier du patrimoine.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


De Cannes au Casino du Liban, le flûtiste Daniel Alhaiby revient au Liban

Ce spectacle fait suite à ses années d'expérience dans des lieux et événements prestigieux, notamment le Festival de Cannes, où il a partagé sa musique avec un public international. (Fichier/ Fourni)
Ce spectacle fait suite à ses années d'expérience dans des lieux et événements prestigieux, notamment le Festival de Cannes, où il a partagé sa musique avec un public international. (Fichier/ Fourni)
Short Url
  • "Se produire au Liban, c'est comme boucler la boucle pour moi. C'est là que tout a commencé, et c'est tellement important", a-t-il déclaré
  • "Partager ma musique dans mon pays d'origine est comme une célébration de mon voyage, de Paris à la scène mondiale et de retour à la maison

DUBAI : Flûte en main, Daniel Alhaiby, profondément attaché à l'Orient et à l'Occident, se prépare à donner son premier concert solo au Casino du Liban le 10 septembre.

Ce concert fait suite à ses années d'expérience dans des lieux et événements prestigieux, notamment le Festival de Cannes, où il a partagé sa musique avec un public international.
"Cannes, c'est de la magie à l'état pur. Chaque fois que je joue, j'ai l'impression de représenter non seulement moi-même, mais aussi toute une culture, toute une histoire", a déclaré M. Alhaiby à Arab News.

Le retour au Liban pour son concert solo est un moment profondément personnel pour Alhaiby.

"Se produire au Liban, c'est comme boucler la boucle pour moi. C'est là que tout a commencé, et c'est tellement important", a-t-il déclaré.


"Partager ma musique dans mon pays d'origine est comme une célébration de mon voyage, de Paris à la scène mondiale et de retour à la maison.

"Le Casino du Liban a toujours été un lieu de rêve pour moi... Le public peut s'attendre à une expérience vraiment spéciale. J'ai soigneusement élaboré la liste des morceaux pour les emmener dans un voyage musical qui mêle mes compositions originales à des classiques revisités."

Les influences musicales d'Alhaiby sont diverses, allant de Piazzolla et Rimsky-Korsakov à Fairuz, Hans Zimmer, Pink Floyd et Bach.

"Je suis plus influencé par l'émotion que par le genre. Tout ce qui me touche, qu'il s'agisse d'une partita de Bach ou d'une improvisation orientale, se retrouve dans ma musique", a-t-il déclaré.

Le musicien a expliqué qu'il avait été attiré par la flûte dès son "plus jeune âge" : "Sa sonorité a toujours été proche de mon âme, il y a quelque chose dans son souffle, dans sa tonalité expressive, qui se connecte profondément à mes émotions. Au fil du temps, elle est devenue plus qu'un simple instrument ; elle est devenue ma voix, ma façon d'exprimer tout ce que les mots ne peuvent pas exprimer".