L’Oréal monte sur scène lors de VivaTech, l'événement phare de la technologie et des start-ups

Cette année marquait la 7e édition de VivaTech, qui s'est déroulé du 14 au 17 juin à Paris et a accueilli plus de 150 000 visiteurs. (Photo, fournie)
Cette année marquait la 7e édition de VivaTech, qui s'est déroulé du 14 au 17 juin à Paris et a accueilli plus de 150 000 visiteurs. (Photo, fournie)
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Publié le Dimanche 18 juin 2023

L’Oréal monte sur scène lors de VivaTech, l'événement phare de la technologie et des start-ups

  • VivaTech s’est déroulé du 14 au 17 juin à Paris et a accueilli plus de 150 000 visiteurs
  • Pour Asmita Dubey, directrice générale digital chez L'Oréal, « l'avenir de la beauté est physique, numérique et virtuel »

PARIS : « La représentation des femmes dans le secteur de la technologie est inférieure à 20 % dans le monde, ce qui est difficile à accepter », a déclaré Deborah Lavernos, directrice générale de la Recherche, de l'Innovation et des Technologies, chez L'Oréal, lors d'un panel à VivaTech, l'événement phare de la technologie et des start-ups.

Cette année marquait la 7e édition de l'événement, qui s'est déroulé du 14 au 17 juin à Paris et a accueilli plus de 150 000 visiteurs.

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L'Oréal, qui participait à l'événement, attire à la fois des visiteurs adeptes de la technologie et des consommateurs, grâce à ses produits et expériences personnalisés, ce que la marque appelle « Beauty for each ». (Photo, fournie)

La technologie développée avec une faible représentation des femmes risque non seulement d'être moins représentative des besoins des femmes, mais elle risque également de manquer d'une plus grande diversité d'idées et de perspectives en termes de résolution de problèmes.

L'Oréal, qui participait à l'événement, attire à la fois des visiteurs adeptes de la technologie et des consommateurs, grâce à ses produits et expériences personnalisés, ce que la marque appelle « Beauty for each ».

Derrière la technologie, le groupe français démontre son engagement en faveur de l'égalité femmes-hommes, et de l'autonomisation des femmes, qui fait partie de la culture de l'organisation, en plus de la recherche et de la technologie.

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Avoir accès à la plus grande base de données de l'industrie, couvrant les ingrédients, la science des cheveux et de la peau, les routines de beauté et les insights consommateurs depuis la création du groupe il y a plus d'un siècle, permet à L'Oréal de tirer parti de ces données. (Photo, fournie)

« 69 % de nos scientifiques chez L'Oréal et 30 % de nos talents en technologie (“tech talents“) sont des femmes. Nous nous engageons dans cette croisade technologique féminine avec un esprit combatif et enthousiaste, et nous remettons déjà en question le statu quo du marché. Avec 48 % de femmes recrutées dans la technologie chez L'Oréal en 2022, nous visons à atteindre à terme une représentation de 50 % », a ajouté Mme Lavernos.

Avoir accès à la plus grande base de données de l'industrie, couvrant les ingrédients, la science des cheveux et de la peau, les routines de beauté et les insights consommateurs depuis la création du groupe il y a plus d'un siècle, permet à L'Oréal de tirer parti de ces données, grâce à l'intelligence artificielle, pour créer la « beauté du futur » et des solutions consommateurs sur mesure.

Pour Asmita Dubey, directrice générale digital chez L'Oréal, « l'avenir de la beauté est physique, numérique et virtuel ».

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La collaboration entre Maybelline et Microsoft Teams, qui sera lancée en juillet 2023, permettra aux trois cents millions d'utilisateurs de Microsoft Teams d'utiliser un maquillage virtuel durant leurs Teams meetings. (Photo, fournie)

La collaboration entre Maybelline et Microsoft Teams, qui sera lancée en juillet 2023, permettra aux trois cents millions d'utilisateurs de Microsoft Teams d'utiliser un maquillage virtuel durant leurs Teams meetings.

« Cette innovation donne à chacun accès à une trousse de maquillage numérique sur Microsoft Teams avec douze looks différents », a-t-elle ajouté.

Passant du maquillage virtuel à une innovation qui relie les expériences de beauté physiques et numériques, Shu Uemera est une technologie inspirée de la calligraphie japonaise.

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Shu Uemera est une technologie inspirée de la calligraphie japonaise. (Photo, fournie)

Chaque sticker Shu Uemera est un accessoire disponible pour les utilisateurs, ce qui permet la numérisation du visage. Les utilisateurs sont redirigés vers Snapchat, où ils peuvent vivre une expérience de réalité augmentée en fonction de leurs préférences.

« Les consommateurs de la génération Z cherchent à exprimer leur créativité et leur personnalité dans les mondes numériques et virtuels. Nous introduisons donc de nouveaux codes de beauté sur les plateformes communautaires [jeux en lignes] », a ajouté Asmita.

Le conseil personnalisé, le diagnostic et le traitement de La Roche-Posay, présentés par le biais d'une analyse et d'une consultation en ligne, donnent accès à des conseils dermatologiques, les rendant disponibles à un public plus large.

« Nous croyons vraiment que l'avenir de la beauté se situe à l'intersection de la science, de la créativité et de la technologie. Nous pensons que les tendances technologiques ouvrent de nouvelles frontières de la beauté, avec un accent particulier sur la beauté de précision, qui consiste à offrir à chaque personne le bon produit adapté à sa biologie et aux diagnostics disponibles », a déclaré Guive Balooch, directeur Monde du Tech Incubateur de Recherche et d’Innovation de L'Oréal.

Un exemple de solution technologique de beauté inclusive est HAPTA de Lancôme, conçu pour permettre aux personnes ayant des limitations physiques d'appliquer du maquillage.

« Quinze millions de personnes aux États-Unis vivent aujourd'hui avec un handicap moteur, trente millions ont des problèmes de mobilité des mains rien qu'aux États-Unis. Cela représente une personne sur dix. Ce n'est pas un marché de niche. C'est un milliard de personnes dans le monde », a ajouté M. Balooch.

Un autre projet dévoilé à VivaTech est le Meta Profiler de Georgio Armani, un appareil personnel de soins de la peau fonctionnant avec plusieurs capteurs pour fournir des diagnostics précis qui permettent aux consommateurs de comprendre les signes de vieillissement de leur peau, des dommages causés par les UV à l'hydratation, entre autres.

Le projet devrait être lancé à Paris, à Hong Kong et en Chine pendant l'été 2023, avant son déploiement mondial.

« La technologie redéfinit notre proposition de valeur vis-à-vis des consommateurs et des coiffeurs, de la conception des produits à l'expérience client, de la gestion des coiffeurs à la satisfaction des clients », a confirmé Omar Hajeri, directeur général de la division Produits Professionnels du groupe L'Oréal.

« Avec K-scan de Kérastase, nous réinventons les traitements professionnels et proposons des solutions de beauté plus personnalisées dans les salons en utilisant l'intelligence artificielle pour le diagnostic. K-Scan offre une meilleure compréhension des cheveux et du cuir chevelu grâce à des images microscopiques et à une analyse alimentée par l'IA », a-t-il ajouté.

Les innovations ouvertes sont un thème récurrent. VivaTech est une opportunité d'échange et une démonstration de partenariats, y compris le partenariat de L'Oréal avec la start-up suisse Gjoza pour développer la « L'Oréal Professional Water Saver », en exploitant la technologie brevetée de fragmentation de l'eau pour économiser jusqu'à 69 % d'eau, par rapport à la consommation d'eau moyenne dans les salons de coiffure, un autre engagement du Groupe envers la beauté durable et un impact environnemental réduit.


Le FMI relève ses prévisions de croissance pour l'Arabie saoudite en 2025 à 3,6 %

La croissance du Royaume devrait dépasser la moyenne mondiale de 3 % l'année prochaine et dépasser celle de la plupart des États voisins du Golfe. (Shutterstock)
La croissance du Royaume devrait dépasser la moyenne mondiale de 3 % l'année prochaine et dépasser celle de la plupart des États voisins du Golfe. (Shutterstock)
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  • Le Fonds monétaire international (FMI) a relevé sa prévision de croissance économique pour l’Arabie saoudite en 2025 à 3,6 %, contre 3 % en avril
  • Le FMI indique que cette révision reflète une expansion plus soutenue que prévu du secteur non pétrolier

RIYAD : Le Fonds monétaire international (FMI) a relevé sa prévision de croissance économique pour l’Arabie saoudite en 2025 à 3,6 %, contre 3 % en avril, soulignant la vigueur du secteur hors pétrole et la levée attendue des coupes de production de l’OPEP+.

Dans sa dernière mise à jour du World Economic Outlook, le FMI indique que cette révision reflète une expansion plus soutenue que prévu du secteur non pétrolier. La croissance du Royaume devrait ainsi dépasser la moyenne mondiale (3 %) l’an prochain, se hissant au-dessus de celle de la plupart des pays du Golfe voisins.

À moyen terme, le FMI anticipe une hausse de la croissance à 3,9 % en 2026, avant une stabilisation autour de 3,5 %.

Le PIB hors pétrole est estimé en croissance de 3,4 % en 2025, légèrement en retrait par rapport aux 4,2 % enregistrés en 2024. Toutefois, les perspectives à moyen terme restent solides, avec une progression approchant 4 % en 2027, pour atteindre environ 3,5 % à la fin de la décennie.

Les conditions sur le marché du travail se sont également améliorées : le taux de chômage des Saoudiens a atteint un niveau record de 7 % en 2024, selon le FMI.

L’inflation demeure maîtrisée—le taux global devrait rester proche de 2 %, grâce à l’ancrage au dollar et au cadre des subventions en vigueur.

Sur le plan budgétaire, le FMI estime que l’augmentation des dépenses publiques en 2025—entraînant un déficit plus élevé que prévu—reste justifiée. Il met en garde contre de nouvelles coupes liées à la baisse des prix du pétrole, qui risqueraient de peser sur la croissance en rendant la politique budgétaire procyclique.

Le Fonds recommande une consolidation budgétaire progressive à moyen terme, notamment via l’augmentation des recettes non pétrolières, la suppression progressive des subventions énergétiques et la rationalisation des dépenses publiques.

Malgré certaines pressions liées à la forte croissance du crédit et aux coûts de financement, le secteur bancaire saoudien demeure résilient, selon le FMI. La Banque centrale saoudienne a introduit un coussin de capital contracyclique et continue de renforcer le cadre réglementaire.

Le rapport souligne l’importance de poursuivre les réformes structurelles pour soutenir la diversification de l’économie hors pétrole. Il appelle à avancer sur la gouvernance, le développement du capital humain, l’accès aux services financiers, la numérisation et le développement des marchés de capitaux — indépendamment des fluctuations des prix du pétrole.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Déjà confronté à des "vents de face", le luxe affronte désormais les droits de douane américains

Le dirigeant du conglomérat de luxe LVMH Bernard Arnault prononce un discours lors de la présentation des résultats financiers 2024 du conglomérat de luxe français LVMH dans le cadre d'une assemblée générale des actionnaires à Paris, le 17 avril 2025. (AFP)
Le dirigeant du conglomérat de luxe LVMH Bernard Arnault prononce un discours lors de la présentation des résultats financiers 2024 du conglomérat de luxe français LVMH dans le cadre d'une assemblée générale des actionnaires à Paris, le 17 avril 2025. (AFP)
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  • Mauvaise passe pour le luxe: déjà confronté à une baisse de la consommation de sacs à mains chics, parfums et tenues de grandes marques, le secteur doit désormais faire face aux droits de douane sur ses exportations vers les Etats-Unis
  • Désormais se greffe aussi la question des droits de douane de 15% sur les exportations vers les Etats-Unis, selon un accord passé dimanche entre le président américain Donald Trump et la présidente de la Commission européenne

PARIS: Mauvaise passe pour le luxe: déjà confronté à une baisse de la consommation de sacs à mains chics, parfums et tenues de grandes marques, le secteur doit désormais faire face aux droits de douane sur ses exportations vers les Etats-Unis, un de ses principaux marchés.

"Nous affrontons des vents de face, avec les difficultés conjoncturelles de l'économie mondiale", a déclaré Bernard Arnault, le PDG du numéro un mondial LVMH. "S'ajoutent des difficultés géopolitiques et la diminution des voyages touristiques en Europe et aux États-Unis", a-t-il souligné.

Le bénéfice net de LVMH (Louis Vuitton, Dior, Celine...) a chuté au premier semestre de 22% à 5,7 milliards d'euros et les ventes ont reculé de 4% à 39,8 milliards.

Désormais se greffe aussi la question des droits de douane de 15% sur les exportations vers les Etats-Unis, selon un accord passé dimanche entre le président américain Donald Trump et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.

Un accord pas "parfait" mais "nécessaire" dans le "contexte actuel", a défendu Bernard Arnault mardi. Donald Trump avait menacé l'UE de droits de douane de 30%.

Le marché américain représente 25% des ventes de LVMH, qui ouvrira aux Etats-Unis un nouvel atelier Louis Vuitton, sa marque phare, à Dallas fin 2026 ou début 2027. Le groupe possède déjà aux Etats-Unis trois ateliers Louis Vuitton.

Beaucoup de groupes de luxe considèrent que des droits de douane de 15% restent acceptables. C'est "gérable", selon le mot de Kering, qui malgré ses difficultés pour redresser sa marque phare Gucci estime pouvoir augmenter les prix sur "certaines marques" pour compenser, selon sa directrice financière Armelle Poulou.

- Baisse du dollar -

Contrairement à LVMH, le groupe de François-Henri Pinault, propriétaire de Gucci, Yves Saint Laurent, Balenciaga et Bottega Veneta, ne possède pas d'atelier en Amérique du Nord, où il réalise 24% de ses ventes.

"On vend de la culture française, on vend de la culture italienne. Ça n'aurait pas de sens pour moi d'avoir des sacs Gucci italiens fabriqués au Texas", estimait récemment François-Henri Pinault.

Prudent, le gérant de Hermès Axel Dumas préfère "attendre les règles du jeu précises". "Les dernières annonces ont besoin d'être affinées", a-t-il dit, soulignant que les droits de douane étaient à 4,7% en début d'année, auxquels se sont ajoutés en avril de nouveaux "frais d'approche" comme Hermès appelle la surtaxe de 10%.

"Si les 15% c'est les 10% plus les 5% qui existaient, il n'y a pas de raison d'augmenter les prix", estime Axel Dumas. A la suite des droits de douane de 10% imposés en avril, le groupe a relevé sa grille aux Etats-Unis de 5% ce qui n'a pas freiné ses ventes dans la zone "Amériques", en hausse de 6,3% au deuxième trimestre.

Hermès, qui lui semble ne pas rencontrer de "vents de face", a annoncé mercredi des ventes en hausse de 7,1% au premier semestre.

Le britannique Burberry ne se montre pas inquiet non plus. Au premier trimestre de son exercice décalé, il a vu ses ventes dans la région "Amériques" augmenter de 4%. La Grande-Bretagne a négocié des droits de douane de 10% pour les produits exportés aux Etats-Unis.

"Évidemment, 19% de notre chiffre d'affaires provient des États-Unis. Certes, cela représente toujours un obstacle, mais 81% de notre activité n'est pas touchée", a estimé lors d'un échange avec les analystes la directrice financière Kate Ferry.

Au-delà de l'impact comptable, les droits de douane pourraient aussi toucher "la confiance des consommateurs (de luxe) à l'échelle mondiale, en particulier dans les importants marchés chinois (environ un tiers des ventes) et américain (environ 25% des ventes)", estime la banque UBS dans une note.

Ils devraient aussi pousser les amateurs américains de luxe à acheter à l'étranger en raison des différences de prix selon les pays, qui peuvent être "de l'ordre de 10%, en plus du remboursement de la TVA en Europe", selon UBS.

La question des changes est majeure, soulignait Axel Dumas: "On a un dollar qui a beaucoup baissé, ça a autant d'impact, si ce n'est plus, que les droits de douane."


L’aéroport international de Dubaï bat un record avec 46 millions de passagers au premier semestre

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  • Le trafic mensuel moyen au cours du premier semestre s'est élevé à 7,7 millions de passagers
  • DXB a accueilli 222 000 vols et traité 41,8 millions de bagages au cours du premier semestre

RIYAD : L'aéroport international de Dubaï a accueilli 46 millions de passagers au cours du premier semestre 2025, marquant sa période de six mois la plus active jamais enregistrée malgré les perturbations de l'espace aérien régional et les vents contraires mondiaux.

Dans un communiqué de presse, l'opérateur Dubai Airports a déclaré que l'augmentation de 2,3 % en glissement annuel souligne la force continue du secteur de l'aviation de l'émirat et la résilience opérationnelle du terminal.

La croissance s'est produite malgré les restrictions temporaires de l'espace aérien en mai et juin, qui ont forcé plusieurs transporteurs du Golfe à réacheminer des vols et à ajuster les horaires en raison de l'intensification de l'activité militaire et des déclarations de zones d'exclusion aérienne dans certaines parties du Moyen-Orient.

Paul Griffiths, PDG de Dubai Airports, a déclaré : "La croissance continue de DXB au cours d'une période de défis régionaux met en évidence la force de Dubaï et des EAU, la souplesse de nos opérations et l'engagement de notre communauté aéroportuaire."

Au cours du seul deuxième trimestre, l'aéroport a accueilli 22,5 millions de passagers, soit une augmentation de 3,1 % par rapport à la même période l'année dernière. Le mois d'avril a été le plus chargé du trimestre et le plus actif jamais enregistré, avec 8 millions de voyageurs.

Le trafic mensuel moyen au cours du premier semestre s'est élevé à 7,7 millions de passagers, avec des volumes quotidiens de 254 000 en moyenne. Janvier a été le mois le plus chargé, établissant un nouveau record mensuel avec 8,5 millions de passagers.

DXB a également assuré 222 000 vols et traité 41,8 millions de bagages au cours du premier semestre, 91 % d'entre eux étant livrés dans les 45 minutes suivant leur arrivée. Le taux de bagages mal traités était de 2 bagages pour 1 000 passagers, bien en dessous de la moyenne de l'industrie qui est de 6,3, ajoute le communiqué.

"Alors que nous entrons dans la seconde moitié de l'année, l'activité de voyage devrait s'accélérer, en commençant par le pic de la fin de l'été et en menant à une saison d'hiver remplie d'événements de haut niveau dans les domaines du divertissement, du sport et des affaires", a déclaré M. Griffiths.

Il a ajouté que le salon aéronautique de Dubaï 2025 serait un événement exceptionnel, prêt à battre les records précédents et à mettre en lumière la vision audacieuse qui guide l'avenir de l'aviation et de l'aérospatiale.

"Sur la base de nos performances à ce jour et de nos perspectives positives, nous prévoyons que le trafic annuel atteindra 96 millions cette année, ce qui nous rapprochera de la barre symbolique des 100 millions", a ajouté M. Griffiths.

L'Inde est restée le premier marché de DXB au premier semestre, avec 5,9 millions de passagers, suivie par l'Arabie saoudite avec 3,6 millions. Le Royaume-Uni a accueilli 3 millions de passagers, tandis que le Pakistan et les États-Unis ont enregistré respectivement 2,1 millions et 1,6 million de passagers.

Londres a été la ville de destination la plus fréquentée avec 1,8 million de passagers, suivie par Riyad, Mumbai, Jeddah, New Delhi et Istanbul.

DXB a également traité plus d'un million de tonnes de fret au cours du premier semestre 2025, soit une augmentation de 0,1 pour cent par rapport à la même période l'année dernière. L'aéroport est relié à plus de 269 destinations dans plus de 107 pays et est desservi par 92 compagnies aériennes internationales.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com