Gamers8: L’épicentre du monde des jeux vidéo

Un concert s’est tenu lors de la troisième semaine de l’événement avec des artistes de renommée mondiale comme Afrojack, Wegz, Moayad Alnefaie et Dafencii, dans la salle spécialement construite à cet effet à Boulevard Riyadh City. (Photos AN)
Un concert s’est tenu lors de la troisième semaine de l’événement avec des artistes de renommée mondiale comme Afrojack, Wegz, Moayad Alnefaie et Dafencii, dans la salle spécialement construite à cet effet à Boulevard Riyadh City. (Photos AN)
Un concert s’est tenu lors de la troisième semaine de l’événement avec des artistes de renommée mondiale comme Afrojack, Wegz, Moayad Alnefaie et Dafencii, dans la salle spécialement construite à cet effet à Boulevard Riyadh City. (Photos AN)
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Un concert s’est tenu lors de la troisième semaine de l’événement avec des artistes de renommée mondiale comme Afrojack, Wegz, Moayad Alnefaie et Dafencii, dans la salle spécialement construite à cet effet à Boulevard Riyadh City. (Photos AN)
Un concert s’est tenu lors de la troisième semaine de l’événement avec des artistes de renommée mondiale comme Afrojack, Wegz, Moayad Alnefaie et Dafencii, dans la salle spécialement construite à cet effet à Boulevard Riyadh City. (Photos AN)
Un concert s’est tenu lors de la troisième semaine de l’événement avec des artistes de renommée mondiale comme Afrojack, Wegz, Moayad Alnefaie et Dafencii, dans la salle spécialement construite à cet effet à Boulevard Riyadh City. (Photos AN)
Un concert s’est tenu lors de la troisième semaine de l’événement avec des artistes de renommée mondiale comme Afrojack, Wegz, Moayad Alnefaie et Dafencii, dans la salle spécialement construite à cet effet à Boulevard Riyadh City. (Photos AN)
Un concert s’est tenu lors de la troisième semaine de l’événement avec des artistes de renommée mondiale comme Afrojack, Wegz, Moayad Alnefaie et Dafencii, dans la salle spécialement construite à cet effet à Boulevard Riyadh City. (Photos AN)
Un concert s’est tenu lors de la troisième semaine de l’événement avec des artistes de renommée mondiale comme Afrojack, Wegz, Moayad Alnefaie et Dafencii, dans la salle spécialement construite à cet effet à Boulevard Riyadh City. (Photos AN)
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Publié le Lundi 24 juillet 2023

Gamers8: L’épicentre du monde des jeux vidéo

  • Anwar Jibawi, la star américano-palestinienne des réseaux sociaux, est arrivé au Royaume avec sa mère, qui est la vedette de plusieurs de ses vidéos
  • L’acteur, humoriste et influenceur sur les réseaux sociaux, Adam Waheed, soutient que l’événement Gamers8 est exceptionnel, le décrivant comme «le paradis des joueurs»

RIYAD: Gamers8 à Riyad attire des passionnés de jeux en provenance du monde entier, dont l’entrepreneur américain Dhar Mann et les comédiens Anwar Jibawi et Adam Waheed, qui ont visité le Royaume pour la première fois en vue d’assister au plus grand événement de ce genre.
Ils ont assisté au concert qui s’est tenu lors de la troisième semaine de l’événement. Des artistes de renommée mondiale comme Afrojack, Wegz, Moayad Alnefaie et Dafencii se sont produits sur la scène de la salle prévue à cet effet à Boulevard Riyadh City.
M. Mann, un réalisateur particulièrement connu pour ses productions YouTube, se déclare émerveillé par la communauté locale de joueurs.
Il ajoute: «Je n’arrive pas à croire à quel point la communauté de joueurs est devenue importante. Il y a tant de gens qui jouent à un si grand nombre de jeux… L’Arabie saoudite est devenue en quelque sorte l’épicentre. Pas seulement des jeux, mais du sport en général et de tout le reste.»
Gamers8 propose plusieurs sites de jeux aux adultes et aux enfants.
Dhar Mann affirme qu’il est tombé, à l'occasion de cet événement, sur des jeux classiques qui ont bercé son enfance. Il indique: «Je suis fan de jeux classiques. J’adore les anciens Super Mario, comme Smash Brothers et Mario Kart. J’ai vu qu’ils avaient ça ici.»
M. Mann espère voir plus d’initiatives au sein du pays à l’avenir.
Il déclare: «Je veux vraiment participer à l’action et j’ai l’impression que nous n’en sommes qu’au commencement.»
«J’ai entendu dire qu’ils avaient organisé tout cela en très peu de temps et le niveau de qualité de l’événement est incroyable. Donc, je veux vraiment revenir. Je veux explorer la ville.»
Anwar Jibawi, la star américano-palestinienne des réseaux sociaux, est arrivé au Royaume avec sa mère, qui est la vedette de plusieurs de ses vidéos.
Il déclare: «Gamers8 est indéniablement l'un des événements les plus passionnants auxquels j'ai eu l'occasion de participer, et pourtant, j'ai assisté à de nombreux événements à travers le monde, par exemple à New York ou Los Angeles.»
«Quand je suis entré pour la première fois, j’étais impressionné. Je ne m’attendais pas à voir cela. Je pensais que ce serait comme un congrès. Il y a tellement de choses à faire que j’ai même envie de prolonger mon séjour.»
L’acteur, humoriste et influenceur sur les réseaux sociaux, Adam Waheed, soutient que l’événement Gamers8 est exceptionnel, le décrivant comme «le paradis des joueurs».
Il poursuit: «C’est le plus grand événement de jeu au monde. Je ne pouvais pas rater ça.»
Il est enthousiaste à l’idée de voir Afrojack se produire: «C’est ma première vraie journée ici et c’est vraiment incroyable.»
«Je suis allé au centre commercial, qui est si beau. Bien sûr, nous avons participé à Gamers8. Il y a tant d’expositions différentes et de choses à faire. C’est vraiment exceptionnel. Je me suis beaucoup amusé.»
M. Waheed prévoit également de revenir pour explorer le Royaume.
Il conclut en déclarant: «Oui, je reviendrai! J’ai vraiment l’intention de revenir et de passer plus de temps ici.»

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Le prince héritier saoudien rencontre le chef du conseil de transition soudanais pour discuter de la sécurité et de la stabilité

Le prince héritier d'Arabie saoudite Mohammed bin Salman a rencontré lundi à Riyad Abdel Fattah Al-Burhan pour discuter des derniers développements au Soudan et des efforts visant à rétablir la sécurité et la stabilité dans le pays. (SPA)
Le prince héritier d'Arabie saoudite Mohammed bin Salman a rencontré lundi à Riyad Abdel Fattah Al-Burhan pour discuter des derniers développements au Soudan et des efforts visant à rétablir la sécurité et la stabilité dans le pays. (SPA)
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  • La réunion a eu lieu au palais Al-Yamamah, où le prince héritier s'est entretenu avec le président du Conseil de souveraineté transitoire du Soudan et sa délégation
  • Au cours des entretiens, les deux parties ont passé en revue la situation au Soudan, ses implications régionales et les efforts visant à assurer la sécurité et la stabilité dans le contexte de la crise persistante que traverse le pays

RIYADH : Le prince héritier d'Arabie saoudite Mohammed ben Salmane a rencontré Abdel Fattah Al-Burhan à Riyad lundi pour discuter des derniers développements au Soudan et des efforts visant à restaurer la sécurité et la stabilité dans le pays, a rapporté l'Agence de presse saoudienne.

La réunion a eu lieu au palais Al-Yamamah, où le prince héritier s'est entretenu avec le président du Conseil de souveraineté transitoire du Soudan et sa délégation.

Au cours des entretiens, les deux parties ont passé en revue la situation au Soudan, ses implications régionales et les efforts visant à assurer la sécurité et la stabilité dans le contexte de la crise persistante que traverse le pays, a ajouté SPA.

Le ministre saoudien de la défense, le prince Khalid ben Salmane, le ministre des affaires étrangères, le prince Faisal bin Farhan, le ministre d'État et conseiller à la sécurité nationale, Musaed bin Mohammed Al-Aiban, le ministre des finances, Mohammed Al-Jadaan, et l'ambassadeur saoudien au Soudan, Ali Hassan Jaafar, ont également assisté à la réunion.


Cisjordanie: 25 immeubles d'habitation menacés de destruction dans un camp de réfugiés

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  • "Nous avons été informés par la coordination militaire et civile que l'occupation (Israël, NDLR) procédera à la démolition de 25 bâtiments le jeudi 18 décembre"
  • "Il n'y a aucune nécessité militaire à mener ces démolitions", a affirmé à l'AFP Roland Friedrich, responsable de l'agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) en Cisjordanie

TULKAREM: L'armée israélienne va démolir 25 immeubles d'habitation du camp de réfugiés de Nour Chams, dans le nord de la Cisjordanie, ont indiqué lundi à l'AFP des responsables locaux.

Abdallah Kamil, le gouverneur de Tulkarem où se situe le camp, a déclaré à l'AFP avoir été informé par le Cogat --l'organisme du ministère de la Défense israélien supervisant les activités civiles dans les Territoires palestiniens-- que les démolitions interviendraient d'ici la fin de la semaine.

"Nous avons été informés par la coordination militaire et civile que l'occupation (Israël, NDLR) procédera à la démolition de 25 bâtiments le jeudi 18 décembre", a indiqué à l'AFP Faisal Salama, responsable du comité populaire du camp de Tulkarem, proche de celui de Nour Chams, précisant qu'une centaine de familles seraient affectées.

Le Cogat n'a pas répondu dans l'immédiat aux sollicitations de l'AFP, l'armée israélienne indiquant se renseigner.

"Il n'y a aucune nécessité militaire à mener ces démolitions", a affirmé à l'AFP Roland Friedrich, responsable de l'agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) en Cisjordanie.

Il estime qu'elles s'inscrivent "dans une stratégie plus large visant à modifier la géographie sur le terrain", qualifiant la situation de "tout simplement inacceptable".

"Crise" 

La Cisjordanie est occupée par Israël depuis 1967.

Début 2025, l'armée israélienne y a lancé une vaste opération militaire visant selon elle à éradiquer des groupes armés palestiniens, en particulier dans les camps de réfugiés du nord, comme ceux de Jénine, Tulkarem et Nour Chams.

Au cours de cette opération, l'armée a détruit des centaines de maisons dans les camps, officiellement pour faciliter le passage des troupes.

Selon M. Friedrich, environ 1.600 habitations ont été totalement ou partiellement détruites dans les camps de la région de Tulkarem, entraînant "la crise de déplacement la plus grave que la Cisjordanie ait connue depuis 1967".

Lundi, une vingtaine de résidents de Nour Chams, tous déplacés, ont manifesté devant des véhicules militaires blindés bloquant l'accès au camp, dénonçant les ordres de démolition et réclamant le droit de rentrer chez eux.

"Toutes les maisons de mes frères doivent être détruites, toutes! Et mes frères sont déjà à la rue", a témoigné Siham Hamayed, une habitante.

"Personne n'est venu nous voir ni ne s'est inquiété de notre sort", a déclaré à l'AFP Aïcha Dama, une autre résidente dont la maison familiale de quatre étages, abritant environ 30 personnes, figure parmi les bâtiments menacés.

Disparaître 

Fin novembre, l'ONG Human Rights Watch a indiqué qu'au moins 32.000 personnes étaient toujours déplacées de chez elles dans le cadre de cette opération.

Comme des dizaines d'autres, le camp de Nour Chams a été établi au début des années 1950, peu après la création d'Israël en 1948, lorsque des centaines de milliers de Palestiniens ont fui ou été expulsés de leurs foyers.

Avec le temps, ces camps se sont transformés en quartiers densément peuplés, où le statut de réfugié se transmet de génération en génération.

De nombreux habitants ont affirmé à l'AFP ces derniers mois qu'Israël cherchait à faire disparaître les camps, en les transformant en quartiers des villes qu'ils jouxtent, afin d'éliminer la question des réfugiés.

Nour Chams a longtemps été un lieu relativement paisible où vivaient dans des maisons parfois coquettes des familles soudées entre elles.

Mais depuis quelques années, des mouvements armés s'y sont implantés sur fond de flambées de violence entre Palestiniens et Israéliens et de précarité économique.

 


L'armée israélienne dit avoir tué trois membres du Hezbollah dans le sud du Liban

Samedi, l'armée israélienne avait indiqué avoir suspendu "temporairement" une frappe prévue sur un bâtiment de la région méridionale de Yanouh, qu'elle avait décrit comme une infrastructure du Hezbollah. (AFP)
Samedi, l'armée israélienne avait indiqué avoir suspendu "temporairement" une frappe prévue sur un bâtiment de la région méridionale de Yanouh, qu'elle avait décrit comme une infrastructure du Hezbollah. (AFP)
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  • "Les terroristes ont participé à des tentatives visant à rétablir les infrastructures" du mouvement libanais, en violation de l'accord de cessez-le-feu de novembre 2024
  • Puis dans un autre communiqué, l'armée a précisé avoir tué "un terroriste" dans la région de Jwaya, qui avait "activé des agents (du Hezbollah) au sein des services de sécurité libanais".

JERUSALEM: L'armée israélienne a déclaré avoir tué dimanche trois membres du Hezbollah dans le sud du Liban, Beyrouth faisant état également de trois morts dans des frappes israéliennes dans la région.

"Depuis ce matin (dimanche), l'armée a frappé trois terroristes du Hezbollah dans plusieurs zones du sud du Liban", a précisé l'armée israélienne dans un communiqué.

"Les terroristes ont participé à des tentatives visant à rétablir les infrastructures" du mouvement libanais, en violation de l'accord de cessez-le-feu de novembre 2024, a-t-elle ajouté.

L'armée a ensuite affirmé avoir "éliminé" deux d'entre eux "en moins d'une heure", dans les régions de Yater et Bint Jbeil (sud du Liban).

Puis dans un autre communiqué, l'armée a précisé avoir tué "un terroriste" dans la région de Jwaya, qui avait "activé des agents (du Hezbollah) au sein des services de sécurité libanais".

Le ministère libanais de la Santé avait auparavant fait état de trois morts dans des frappes israéliennes à Yater, Safad Al-Battikh et Jwaya.

Un cessez-le-feu est en vigueur depuis novembre 2024 après plus d'un an d'hostilités entre Israël et le mouvement islamiste libanais, en marge de la guerre à Gaza.

Malgré cette trêve, Israël mène régulièrement des frappes au Liban, notamment dans le sud, bastion du Hezbollah, affirmant viser des membres et des infrastructures du mouvement libanais pour l'empêcher de se réarmer.

Samedi, l'armée israélienne avait indiqué avoir suspendu "temporairement" une frappe prévue sur un bâtiment de la région méridionale de Yanouh, qu'elle avait décrit comme une infrastructure du Hezbollah.

L'armée libanaise est censée achever d'ici la fin de l'année le démantèlement, prévu par l'accord de cessez-le-feu, des infrastructures militaires du Hezbollah entre la frontière israélienne et le fleuve Litani, situé à une trentaine de km plus au nord.

Depuis, les Etats-Unis ont accru la pression sur les autorités libanaises pour désarmer le groupe pro-iranien, et tarir les sources de financement de la formation islamiste.

Israël maintient cinq positions dans la zone, malgré son retrait du territoire libanais prévu par l'accord de cessez-le-feu.

Dans un discours samedi, le chef du Hezbollah, Naim Qassem, qui a rejeté à plusieurs reprises la perspective d'un désarmement du mouvement, a déclaré que celui-ci "ne permettra pas à Israël d'atteindre son objectif" de mettre fin à la résistance, "même si le monde entier s'unit contre le Liban".