Les premiers championnats Gamers8 impressionnent les spectateurs à Riyad

Les premiers championnats Gamers8 ont laissé les foules stupéfaites par la production soignée et l’enthousiasme suscité par les jeux. (Saad Soud Aldossari)
Les premiers championnats Gamers8 ont laissé les foules stupéfaites par la production soignée et l’enthousiasme suscité par les jeux. (Saad Soud Aldossari)
Les premiers championnats Gamers8 ont laissé les foules stupéfaites par la production soignée et l’enthousiasme suscité par les jeux. (Saad Soud Aldossari)
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Publié le Lundi 18 juillet 2022

Les premiers championnats Gamers8 impressionnent les spectateurs à Riyad

Les premiers championnats Gamers8 ont laissé les foules stupéfaites par la production soignée et l’enthousiasme suscité par les jeux. (Saad Soud Aldossari)
Les premiers championnats Gamers8 ont laissé les foules stupéfaites par la production soignée et l’enthousiasme suscité par les jeux. (Saad Soud Aldossari)
  • Les fans et les joueurs ont été époustouflés par la technologie avancée entourant l’arène de jeu
  • Gamers8 se poursuivra pendant huit semaines et prendra fin le 8 septembre

RIYAD: Les premiers championnats Gamers8 ont impressionné les spectateurs par la production soignée et l’enthousiasme suscité par les jeux.

Ces championnats ont accueilli les meilleures équipes de «Rocket League» au monde. Elles se sont affrontées pendant trois jours pour désigner le vainqueur du prix en espèces de la cagnotte de 2 millions de dollars (un dollar = 0,98 euros).

Les joueurs brésiliens CaioTG1, Caard, Yanxnz et leur entraîneur Kairos ont remporté le match final après une forte compétition contre Guild Esports, avec un total de quatre victoires à zéro.

L’équipe Furia a raflé le prix de 500 000 dollars, qui représente la plus grande part de la cagnotte de 2 millions de dollars du tournoi. L’équipe classée deuxième, Guild Esports, a reçu 300 000 dollars.

Tout au long du match, les acclamations du public ont résonné dans le stade tandis que les lumières et les effets de feu ont accueilli les concurrents sur la scène. Les fans et les joueurs ont été époustouflés par la technologie avancée entourant l’arène de jeu.

«Je ne m’attendais à rien de tout cela. Je pensais que cela allait être comme n’importe quel autre événement auquel nous avons assisté à Londres ou dans d’autres villes, mais quand je suis arrivé ici, la production était hors du commun, et il y avait plein de caméras, de spectateurs. C’était une expérience incroyable», raconte Mohammed Bandar Almoutairi, un fan de jeux vidéo de 21 ans originaire de Riyad.

Le jeune homme a assisté aux championnats dès le premier jour avec ses amis, mais ne s’attendait pas à un tel niveau d’enthousiasme dans l’arène. «La voix des spectateurs en Arabie saoudite était incroyable à entendre», dit-il à Arab News.

Lors du deuxième match des demi-finales, l’équipe des Faucons saoudiens a affronté l’équipe brésilienne Furia. «Les supporters saoudiens sont géniaux. Je voulais que les Faucons gagnent  le tournoi. Ils ont réalisé une excellente performance dans l’ensemble, ils ont gagné trois matchs, et ils n’avaient besoin que d’un seul match supplémentaire pour gagner», explique Almoutairi.

Bien que l’équipe saoudienne n’ait pas réussi à se qualifier pour la finale, le public a applaudi et chanté jusqu’à la toute dernière seconde du match. Des fans et des grands noms du streaming de jeux vidéo des quatre coins du monde étaient présents à la finale, notamment le streamer néerlandais Jess, qui a assisté à l’événement vêtu d’une tenue traditionnelle saoudienne et le gamer Kyle Roberts.

«J’aime beaucoup cet événement. La scène et l’installation sont incroyables, et les gens sont très sympathiques, gentils et amicaux», indique Jess à Arab News. «La scène est vraiment géniale, et elle offre un vrai spectacle. J’aime aussi les vêtements. Ils sont magnifiques, très élégants», ajoute-t-il.

De son côté, le gamer Kyle Roberts a assisté à la finale depuis l’Écosse pour afficher son soutien aux équipes en compétition. «L’événement est fantastique, et je me régale vraiment. Je me sens vraiment bien. J’aime le pays, j’aime la ville, et le show est formidable», affirme Roberts.

Après la cérémonie de clôture, l’équipe gagnante de Furia a partagé son expérience de la compétition dans une arène de jeu à Riyadh Boulevard City. «C’était vraiment formidable. Ce que j’ai le plus apprécié, contrairement aux autres arènes, c’est le mur de lumières. C’était dingue», déclare l’entraîneur de Furia pour Rocket League, Kairos Silva, à Arab News. Autour de l’arène de jeu se dresse un mur de lumières allant du sol au plafond et changeant continuellement pour reproduire les actions qui se déroulent lors de chaque match.

Le public saoudien était ravi de voir un événement d’une telle envergure organisé dans le Royaume. De nombreux fans ont partagé leur enthousiasme. «Ce genre d’événements suivis par le monde entier est une très bonne chose pour l’Arabie saoudite», souligne Almoutairi.

Gamers8 se poursuivra pendant huit semaines et prendra fin le 8 septembre avec une cérémonie de clôture proposant une variété de matchs et de concerts.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Première du dernier film de Dina Shihabi au Tribeca Film Festival de New York

Dina Shihabi a un grand nombre de projets et une première prévue pour cet été (Getty Images).
Dina Shihabi a un grand nombre de projets et une première prévue pour cet été (Getty Images).
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  • La première de Catching Dust, dans lequel elle joue, sera présentée au Tribeca Film Festival de New York, le 11 juin
  • Un été chargé attend l’actrice née à Riyad, avec la diffusion de sa nouvelle série, Painkiller, sur Netflix le 10 août

DUBAÏ: L'actrice Dina Shihabi, en partie Saoudienne, a fait la promotion sur les réseaux sociaux de son dernier film, Catching Dust, dont la première sera présentée au Tribeca Film Festival de New York, le 11 juin.

Ce long métrage de quatre-vingt seize minutes a été réalisé par Stuart Gatt: Geena, une artiste et peintre qui rêve grand, est fatiguée de vivre dans le désert avec son partenaire dominateur. À bout de patience, Geena s'apprête à partir lorsqu'apparaît un nouveau couple de New York dans une caravane, désireux de se refaire une nouvelle vie loin de la ville. Les choses deviennent dangereuses pour les deux couples lorsque les tensions s’aggravent et que les ego atteignent leur paroxysme, alors que les tentatives de connexion laissent tout le monde à vif et au bord de la catastrophe.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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Dina Shihabi joue aux côtés de l'actrice américaine Erin Moriarty, qui tient le rôle de Geena, et des vedettes australiennes Jai Courtney et Ryan Corr. 

Un été chargé l’attend, sa dernière série, Painkiller, devant être diffusée sur Netflix le 10 août.

L'actrice, née à Riyad, s'est dernièrement manifestée sur Instagram pour présenter toute une gamme d’images de la minisérie, qui se concentre sur les origines et les conséquences du fléau des opioïdes aux États-Unis.

«C’est l'une des plus belles expériences de ma vie, avec un groupe de personnes parmi les plus talentueuses, que j'aimerai pour toujours. J'ai hâte que vous la regardiez», a-t-elle confié à ses fans.

Dina Shihabi y joue aux côtés des acteurs américains Matthew Broderick et Uzo Aduba, ainsi que de l'acteur canadien Taylor Kitsch.

Painkiller est basé sur le livre Pain Killer: An Empire of Deceit and the Origin of America's Opioid Epidemic, de Barry Meier, et un article du New Yorker, The Family That Built an Empire of Pain, écrit par Patrick Radden Keefe.

La série a été créée par le scénariste américain Micah Fitzerman-Blue et l'acteur et écrivain Noah Harpster, avec les cinéastes américains Eric Newman, Peter Berg et Alex Gibney comme producteurs exécutifs.

Dina Shihabi a passé une partie de son enfance à Dubaï. Son père est le journaliste saoudo-norvégien Ali Shihabi, et sa mère Nadia est mi-palestinienne et mi-allemande haïtienne.

Elle s’est établie aux États-Unis en 2007 et a été la première femme née au Moyen-Orient à être acceptée au sein du programme du diplôme d’interprétation de la Juilliard School et de l'Université de New York. Elle a commencé à apparaître dans des courts métrages en 2010, mais a surtout effectué une grande percée en 2017 avec le rôle de Hanin dans la série Tom Clancy's Jack Ryan.

Dina Shihabi s'est déjà entretenue avec Arab News pour présenter ses conseils aux futurs acteurs. «Regardez autour de vous les gens qui vous entourent en ce moment et commencez à créer des choses. La concentration, le travail acharné, la détermination, la passion sont importants. Ce sont des choses réelles», a-t-elle affirmé.

«Je travaille toujours très dur pour réaliser ce que je veux, et je ne pense pas que cela se terminera un jour. Si vous choisissez cette vie, vous choisissez une vie où vous devez vraiment travailler dur.»

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

 


Inauguration de la 2e exposition du Collectors’ Circle à la galerie ATHR à Djeddah

La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Instagram/athart)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Instagram/athart)
Fortitude de Sarah Abu Abdallah, une œuvre d'art de 2020 réalisée avec des graines de tomate et de la résine. (Photo Fournie)
Fortitude de Sarah Abu Abdallah, une œuvre d'art de 2020 réalisée avec des graines de tomate et de la résine. (Photo Fournie)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Photo AN)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Photo AN)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Photo AN)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Photo AN)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Photo AN)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Photo AN)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Photo AN)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Photo AN)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Photo AN)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Photo AN)
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  • Présentant des artistes saoudiens et arabes de renom, le Collectors’ Circle vise à faire évoluer la culture du mécénat dans la région
  • Le Collectors’ Circle organise diverses expositions, événements et séminaires offrant aux amateurs d'art la possibilité de communiquer avec des artistes sur les réseaux sociaux

DJEDDAH: Le 2e Collectors’ Circle de la galerie ATHR pour 2023 a ouvert ses portes au public à Djeddah, avec des œuvres d'art de certaines des signatures les plus renommées de la région.

S’étendant sur un vaste espace, l'exposition est une collection vibrante et élégante, qui fascine autant les collectionneurs d'art que les amateurs. Les œuvres alternent au sein de la collection permanente pour créer un parcours à travers le centre d’exposition.

La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Instagram/athart)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Instagram/athart)

Parmi les artistes qui exposent leurs œuvres figurent notamment Sara Abdu, Ahmed Mater, Sarah Abu Abdallah, Ahaad al-Amoudi, Mohammed al-Faraj, Reem al-Nasser, Dana Awartani et Ayman Yosri Daydban.

Le Collectors’ Circle vise à faire évoluer la culture du mécénat d’art au sein de la scène artistique saoudienne et à mettre en lumière les œuvres qui ont été exposées dans des institutions prestigieuses.

L'exposition, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet.

And Make Me Light, 2023, Farah Behbehani. (Photo Fournie)
And Make Me Light, 2023, Farah Behbehani. (Photo Fournie)

Solafa Rawas, également conseillère artistique spécialisée dans l'art contemporain saoudien, indique à Arab News que le Collectors’ Circle, en plus de mettre en valeur des artistes, visait à engager un dialogue.

«C'est une exposition éducative destinée à la jeune génération. Dans cette exposition, nous avons rassemblé des artistes essentiels qui ont exposé leur art localement et internationalement», souligne Mme Rawas.


Le Louvre accueille des oeuvres ukrainiennes pour les protéger

Des visiteurs traversent le passage Richelieu en direction de la pyramide du Louvre à Paris le 13 janvier 2023. (Photo ALAIN JOCARD / AFP)
Des visiteurs traversent le passage Richelieu en direction de la pyramide du Louvre à Paris le 13 janvier 2023. (Photo ALAIN JOCARD / AFP)
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  • Parmi ces oeuvres, dont le plus grand musée du monde a piloté l'évacuation: cinq icônes byzantines provenant du musée Bohdan et Varvara Khanenko, musée national des arts de Kiev
  • Onze autres oeuvres, «parmi les plus emblématiques et les plus fragiles» du musée ukrainien, sélectionnées en vue d'une collaboration scientifique sur la restauration des oeuvres au Louvre, seront hébergées dans les réserves

PARIS: Le musée du Louvre accueille 16 oeuvres d'art, dont de précieuses icônes byzantines en provenance de Kiev, afin de les protéger de la guerre en Ukraine, a-t-on appris mercredi auprès de sa présidente.

"Dès le début de la guerre, comme d'autres grandes institutions muséales, notre préoccupation a été de voir comment apporter notre soutien à nos confrères ukrainiens. A l'automne, face à l'intensité du conflit, nous avons décidé de ce sauvetage", a précisé à l'AFP Laurence des Cars, confirmant une information du journal Le Monde.

"C'est peu de choses dans un océan de tristesse et de désolation mais c'est tout un symbole", a-t-elle ajouté, "consciente de l'importance de sauver ce patrimoine millénaire au coeur de l'Europe et de la nécessité de le transmettre".

Parmi ces oeuvres, dont le plus grand musée du monde a piloté l'évacuation: cinq icônes byzantines provenant du musée Bohdan et Varvara Khanenko, musée national des arts de Kiev. Elles seront exposées au public à partir du 14 juin et jusqu'au 6 novembre, a précisé à l'AFP Mme des Cars.

240 sites endommagés par la guerre

Onze autres oeuvres, "parmi les plus emblématiques et les plus fragiles" du musée ukrainien, sélectionnées en vue d'une collaboration scientifique sur la restauration des oeuvres au Louvre, seront hébergées dans les réserves, a détaillé le Louvre.

Fin octobre 2022, Mme des Cars avait reçu une délégation ukrainienne de représentants des musées, dont la directrice du musée Khanenko, au moment où l'Unesco avait identifié 240 sites endommagés par la guerre. L'inventaire du ministère de la Culture ukrainien faisait alors état de 468 sites culturels endommagés, détruits ou abîmés, dont 35 musées.

Une roquette était tombée début octobre près du musée Khanenko, soufflant les fenêtres. A l'exception de grands tableaux, les oeuvres d'art avaient pour la majorité été "déplacées dans les réserves, où elles sont soumises à des variations de température et à des coupures d'électricité, qui inquiètent nos homologues", a raconté Mme des Cars.

Opération de sauvetage

L'opération de sauvetage des 16 oeuvres sélectionnées, soutenue financièrement par l'Alliance internationale pour la protection du patrimoine dans les zones en conflit, a été actée officiellement lors d'un déplacement en Ukraine de la ministre de la Culture, Rima Abdul Malak, en février et les oeuvres ont été escortées militairement via la Pologne et l'Allemagne début mai.

Intitulée "Aux origines de l'image sacrée", l'exposition des icônes byzantines préfigurera l'ouverture en 2027 d'un nouveau département des Arts de Byzance et des Chrétientés en Orient.