Guide «AlUla Ever»: Explorez le patrimoine culturel et historique de l'Arabie saoudite

Au cœur d'AlUla se trouve le site d'Hegra, classé au patrimoine mondial de l'Unesco, où les Nabatéens enterraient leurs morts dans des tombes élaborées, taillées dans le grès (Photo, Alamy).
Au cœur d'AlUla se trouve le site d'Hegra, classé au patrimoine mondial de l'Unesco, où les Nabatéens enterraient leurs morts dans des tombes élaborées, taillées dans le grès (Photo, Alamy).
Une vue de la salle de concert Maraya, le plus grand bâtiment en miroir du monde, dans les ruines d'Al-Ula, un site du patrimoine mondial de l'Unesco dans le nord-ouest de l'Arabie saoudite, le 19 février 2023 (Photo, AFP via Getty Images).
Une vue de la salle de concert Maraya, le plus grand bâtiment en miroir du monde, dans les ruines d'Al-Ula, un site du patrimoine mondial de l'Unesco dans le nord-ouest de l'Arabie saoudite, le 19 février 2023 (Photo, AFP via Getty Images).
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Publié le Vendredi 11 août 2023

Guide «AlUla Ever»: Explorez le patrimoine culturel et historique de l'Arabie saoudite

  • La maison d'édition Assouline, basée à New York, a publié une nouvelle collection d'essais et de photographies célébrant AlUla
  • La principale attraction culturelle d’Arabie saoudite est en train d'être transformée en un «musée vivant et ouvert» avec des hôtels de luxe

LONDRES : Lorsque la chanteuse américaine Alicia Keys a donné un concert en Arabie saoudite en février, elle était la dernière d'une série de stars internationales à se produire dans la spectaculaire salle de concert aux murs miroirs de Maraya, à AlUla.

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Alicia Keys se produit à AlUla en février 2023 (Photo, Instagram).

Mais c'est le moment où elle a été rejointe sur scène par le groupe traditionnel Dar AlUla, pour une interprétation unique de son succès «Girl on Fire», qui a parfaitement résumé la réputation rapidement émergente d'AlUla en tant que destination culturelle internationale aussi tournée vers l'avenir que fermement ancrée dans le passé.

Après avoir visité les alentours historiques de la vallée d'AlUla, rencontré la population locale et participé à une table ronde «Women to Women» («De femmes à femmes») au centre de villégiature de Wadi Ashar, Keys a fait part de ses impressions sur sa visite.

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Une troupe traditionnelle se produit à AlUla (Photo, Kleinjan Groenewald).

«La beauté et l'enchantement d'AlUla sont indéniables», a-t-elle déclaré. «J'ai toujours été une exploratrice et j'adore découvrir des lieux anciens et ce qui a été laissé derrière nous à une époque révolue.

«J'ai visité une école de musique pour femmes dans la vieille ville et j'ai pu constater de mes propres yeux que les traditions artisanales intemporelles se perpétuent ici. Je sens l'avenir émerger d'une manière dont je n'avais jamais eu conscience auparavant», a-t-elle ajouté.

«En tant qu'artiste, je ressens un sentiment d'appartenance et de lien – avec la nature, avec l'humanité, avec la magie de cet endroit spécial», a révélé Keys.

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Une page du livre «AlUla Ever» («AlUla pour toujours»), contenant les impressions de l'auteure-compositrice-interprète américaine Alicia Keys lors de sa visite à AlUla (Photo fournie).

Aujourd'hui, les mots de Keys ont trouvé leur place dans un nouveau livre, dont la publication représente un autre moment important dans l'émergence de l'Arabie saoudite en général, et d'Al-Ula en particulier, en tant que destination culturelle mondiale.

Le livre «AlUla Ever», publié par la maison d'édition de luxe Assouline, basée à New York et spécialisée dans les voyages et la culture, est le dernier d'une série rendant hommage aux principales destinations de voyage dans le monde.

Assouline, qui se spécialise dans les livres de haute qualité sur les voyages, l'art, le design et la culture, a été fondée à Paris en 1994 par Prosper et Martine Assouline, et possède aujourd'hui des magasins dans le monde entier, notamment à Doha et à Dubaï.

Son dernier carnet de voyage est en excellente compagnie.

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Le livre est photographié au Harrat d'AlUla (Photo fournie).

Le livre relié de 288 pages rend hommage à AlUla et présente plus de 200 images, dont beaucoup ont été prises par des photographes de renommée internationale. Il s'ajoute à une collection de livres de voyage dédiés à des destinations emblématiques, telles que Mykonos, le lac de Côme, Ibiza, Miami, Gstaad et Saint-Tropez.

Seules deux autres destinations arabes ont été présentées jusqu'à présent dans la série : «Dubaï Wonder», publié en 2021, et «Red Sea: The Saudi Coast», publié l'année dernière.

«AlUla Ever» présente un essai du journaliste et auteur français Jérôme Garcin, rédacteur en chef adjoint et responsable de la rubrique culturelle de l'hebdomadaire français «L'Obs», anciennement connu sous le nom de «Le Nouvel Observateur».

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Jérôme Garcin (Photo fournie).

Garcin a décrit AlUla comme «une destination de voyage unique, une oasis à couper le souffle en Arabie saoudite où les sites anciens sont mis en relation avec le progrès moderne».

«Chef-d'œuvre culturel et historique exceptionnellement préservé, AlUla existe depuis des millénaires et n'a été ouverte que récemment aux voyageurs internationaux. De la vieille ville à la faune rare, cette destination offre une pléthore de merveilles à découvrir», a-t-il ajouté.

Garcin a déclaré à Arab News : «J'ai eu le grand plaisir de découvrir AlUla en février 2020 et j'ai eu la chance d'y retourner avant la période de confinement en France. Pendant deux mois, alors que nous ne pouvions pas quitter notre maison, j'ai vécu dans les lieux lumineux et magiques d'AlUla.

«J'ai pris beaucoup de plaisir à écrire ce livre... Tout ce qui se trouve à AlUla m'a inspiré, mais c'est le trésor de Jabal Ikmah qui m'a le plus étonné», a-t-il indiqué.

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Une page du livre contenant une photo d'anciennes inscriptions rupestres à Jabal Ikmah est exposée dans la montagne, située à 5 km au nord d'AlUla (Photo fournie).

Jabal Ikmah est une montagne située à 5 km au nord d'AlUla, où d'anciens voyageurs ont laissé des milliers d'inscriptions gravées dans les roches, datant du premier millénaire avant J.-C. et écrites dans plusieurs langues antérieures à l'arabe moderne.

«Toutes ces inscriptions en plusieurs langues, laissées sur la montagne par les caravaniers il y a trois mille ans, forment une grande poésie», a décrit Garcin.

Au cœur de la vallée d'AlUla se trouve Hegra, une ancienne cité creusée dans le spectaculaire terrain rocheux du Hejaz par les Nabatéens, un peuple dont l'empire commercial a dominé le nord-ouest de l'Arabie saoudite et au-delà il y a plus de deux mille ans.

En 2008, Hegra, la capitale méridionale du peuple qui a construit Pétra, dans l'actuelle Jordanie, est devenue le premier lieu d'Arabie saoudite à être inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco, en tant que site d'une valeur universelle exceptionnelle.

EN BREF

«AlUla Ever» est publié par la maison d'édition de luxe Assouline, basée à New York, spécialisée dans les voyages et la culture.

Ce livre relié de 288 pages présente plus de 200 images, dont beaucoup ont été prises par des photographes de renom.

Cette distinction est intervenue après des décennies de travaux archéologiques qui ont permis de découvrir une grande partie des secrets de l'ancienne cité et de sa collection de 111 tombes, taillées dans le grès, dont beaucoup présentent des façades décorées et des inscriptions gravées de manière complexe.

En plus d'être un témoignage muet de la civilisation nabatéenne, qui a prospérée entre les deuxième et troisième siècles avant J.-C. et le premier siècle, selon les termes de la proposition d'inscription de l'Unesco, Hegra est un «témoin exceptionnel d'importants échanges culturels dans les domaines de l'architecture, de la décoration, de l'utilisation de la langue et du commerce caravanier».

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Une illustration du livre AlUla Ever, qui présente plus de 200 images, dont beaucoup ont été prises par des photographes de renommée internationale (Photo fournie).

Bien que la cité nabatéenne ait été abandonnée pendant la période préislamique, la route qui la traverse du nord au sud continue d'être parcourue par des caravanes commerciales puis, après l'avènement de l'Islam, par des caravanes de chameaux transportant les pèlerins vers La Mecque.

Avant la Première Guerre mondiale, AlUla était un arrêt du nouveau chemin de fer du Hejaz, qui amenait les pèlerins – et les troupes ottomanes – de Damas à Médine. La gare, qui a survécu à un bombardement de l'armée de l'air britannique pendant la guerre, est aujourd'hui transformée en luxueux hôtel boutique.

Le Chedi Hegra intégrera plusieurs structures existantes, dont la gare, un ancien fort ottoman et un certain nombre de murs historiques en briques de terre, qui sont préservés et intégrés à l'architecture moderne.

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Dans l'oasis d'AlUla (Photo fournie).

Comme l'indique la liste de l'Unesco, Hegra se trouvait «à un point de rencontre entre diverses civilisations de l'Antiquité tardive, sur une route commerciale entre la péninsule arabique, le monde méditerranéen et l'Asie».

Aujourd'hui, la magnifique vallée est à nouveau un point de rencontre pour les cultures internationales, car la Commission royale pour AlUla poursuit sa mission de la transformer en un «musée vivant et ouvert», doté d'un réseau unique de musées, de sites archéologiques et d'hôtels de luxe.

D'ici à 2035, AlUla devrait attirer plus de 2 millions de visiteurs par an, créer 35 000 emplois pour la population locale et, ce faisant, renforcer la réputation de l'Arabie saoudite en tant que destination culturelle de premier plan.

«AlUla Ever», qui mesure 25×35 cm et comprend plus de 200 photographies et illustrations, est publié en lin et disponible dans certains magasins et sur Assouline.com au prix de 105 dollars (1 dollar américain = 0,91 euro).

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

 


Victoires de la musique : le grand rendez-vous de la chanson française fête ses 40 ans

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  • Le record de nominations revient à Santa, citée à quatre reprises, notamment pour son premier album "Recommence-moi", où sa voix puissante se mêle au piano
  • Les cérémonies d'ouverture et de clôture des Jeux olympiques de Paris, avec Thomas Jolly et Victor le Masne à la baguette, font figure d'invitées surprises dans la catégorie "concert" et partent favorites, selon des observateurs

PARIS: Les Victoires de la musique, grand-messe de la chanson française qui célèbre cette année ses 40 ans , ont choisi la Saint-Valentin pour décerner vendredi leurs coups de cœur de l'année, lors d'une cérémonie sur laquelle flottera le parfum des JO-2024.

Les paris semblent plus ouverts pour cette édition que la précédente, quand l'ouragan Zaho de Sagazan, cette fois en lice pour l'artiste féminine de l'année et pour ses concerts qui l'ont menée jusqu'à New York, avait raflé quatre trophées sur cinq nominations.

Parmi les 18 nommés cette année, dix sont présents dans deux catégories ou plus, à l'image du duo électro Justice, sur un nuage depuis la sortie d'"Hyperdrama" et un troisième Grammy Awards glané début février.

Le record de nominations revient à Santa, citée à quatre reprises, notamment pour son premier album "Recommence-moi", où sa voix puissante se mêle au piano.

Les cérémonies d'ouverture et de clôture des Jeux olympiques de Paris, avec Thomas Jolly et Victor le Masne à la baguette, font figure d'invitées surprises dans la catégorie "concert" et partent favorites, selon des observateurs.

La magie des compétitions estivales flotte sur cette édition : les nommés Lucky Love, Zaho de Sagazan, Yseult, Philippe Katerine et Santa ont en commun d'avoir participé à cet événement planétaire.

Une autre originalité s'est glissée côté "création audiovisuelle" : la série documentaire "DJ Mehdi : Made in France", réalisée par Thibaut de Longeville, retrace le parcours éclair du compositeur, décédé accidentellement en 2011 à 34 ans et qui a contribué à l'émergence des scènes rap et électro.

Face à elle, le clip du morceau "La Grâce" d'Alain Chamfort met en scène de grands noms de la chanson en prise avec le processus créatif. Le dandy de 75 ans est aussi nommé pour son album "L'Impermanence", annoncé comme son ultime opus.

La cérémonie sera présidée par Alain Souchon, figure coutumière des Victoires, notamment grâce à son tube "Foule sentimentale".

Grand-messe qui promeut la diversité dans la chanson française depuis ses débuts en 1985 au Moulin rouge, les Victoires ont été accusées d'entre-soi et d'un manque de représentativité, en particulier du hip-hop.

En réponse, le système de vote a été refondu depuis 2024, avec désormais deux tours, dont un second réunissant un jury de 32 personnes, sans les labels.

L'édition 2025 fait plus pâle figure, avec trois rappeurs pour quatre nominations : le jeune prodige de la mélodie Tiakola, le poids lourd Gims et Shay, performeuse hors pair.

Même imparfaites, les Victoires demeurent une vitrine de la variété française et constituent pour les artistes une reconnaissance ou une rampe de lancement.


Les trésors naturels et historiques des villages du patrimoine d'Al-Baha

 Abritant des monuments historiques datant de plusieurs siècles, les villages d'Al-Baha présentent une architecture traditionnelle construite en pierre et en argile. (SPA)
Abritant des monuments historiques datant de plusieurs siècles, les villages d'Al-Baha présentent une architecture traditionnelle construite en pierre et en argile. (SPA)
 Abritant des monuments vieux de plusieurs siècles, les villages présentent des bâtiments construits en pierre et en argile. (SPA)
Abritant des monuments vieux de plusieurs siècles, les villages présentent des bâtiments construits en pierre et en argile. (SPA)
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  • Abritant des monuments historiques datant de plusieurs siècles, les villages d'Al-Baha présentent une architecture traditionnelle construite en pierre et en argile
  • Pendant le festival d'hiver d'Al-Baha, le village de Thee Ain s'anime avec des événements culturels qui reflètent le patrimoine local

AL-BAHA : La région d'Al-Baha est une destination touristique unique grâce à son patrimoine culturel riche et diversifié, a récemment rapporté l'Agence de presse saoudienne.

Abritant des monuments vieux de plusieurs siècles, les villages ont des bâtiments construits en pierre et en argile dans des styles architecturaux traditionnels.

Deux des villages patrimoniaux les plus remarquables sont Thee Ain et Al-Mousa, qui sont appréciés des visiteurs locaux et internationaux.

Pendant le festival d'hiver d'Al-Baha, le village de Thee Ain s'anime avec des événements culturels qui reflètent le patrimoine local.

Le village fournit des informations complètes sur son histoire et sur la région d'Al-Baha.

Le patrimoine immatériel de la région comprend les aliments traditionnels, l'artisanat et les arts du spectacle.

Pour les enfants, des peintures murales et des expositions sont proposées afin d'offrir une expérience d'apprentissage attrayante.
 


Nuit hijazi saoudienne au consulat de France à Djeddah

Le Consulat général de France à Jeddah a organisé un dîner spécial Hijazi suivi d'une soirée musicale. (AN Photo/Nada Hameed)
Le Consulat général de France à Jeddah a organisé un dîner spécial Hijazi suivi d'une soirée musicale. (AN Photo/Nada Hameed)
Le Consulat général de France à Jeddah a organisé un dîner spécial Hijazi suivi d'une soirée musicale. (AN Photo/Nada Hameed)
Le Consulat général de France à Jeddah a organisé un dîner spécial Hijazi suivi d'une soirée musicale. (AN Photo/Nada Hameed)
Le Consulat général de France à Jeddah a organisé un dîner spécial Hijazi suivi d'une soirée musicale. (AN Photo/Nada Hameed)
Le Consulat général de France à Jeddah a organisé un dîner spécial Hijazi suivi d'une soirée musicale. (AN Photo/Nada Hameed)
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  • L'événement a réuni des personnalités de premier plan pour célébrer les échanges culturels et les liens étroits entre la France et l'Arabie saoudite
  • La musique saoudienne et hijazi a fait revivre au public saoudien la richesse de l'histoire, la profondeur des émotions et la beauté de la culture

JEDDAH : Le Consulat général de France à Jeddah a organisé mercredi un dîner hijazi spécial suivi d'une soirée musicale.

L'événement a rassemblé d'éminentes personnalités pour célébrer les échanges culturels et les liens étroits entre la France et l'Arabie saoudite. Des artistes saoudiens, dont Abdullah Rashad, Al-Aidrous, Mohammed Hashem et Mohammed Hamdi, ont offert une performance captivante mêlant l'authenticité hijazi à la créativité artistique.

La musique saoudienne et hijazi a fait revivre au public saoudien la richesse de l'histoire, la profondeur des émotions et la beauté de la culture. "Ya Musafir Wahdak", chantée pour la première fois par Mohamed Abdel Wahab, est une chanson classique qui raconte les adieux d'un voyageur à un être cher. "Layla Ya Layla", interprétée par Al-Aidrous et chantée à l'origine par Mohamed Abdu, est une chanson bien-aimée qui reflète les traditions musicales hijazies. "Mudhilla", interprétée par Mohamed Abdu, est connue pour la beauté de ses paroles et de sa mélodie.

"Ya Mustajeeb Lil-Da'i", une chanson traditionnelle hijazi, également chantée à l'origine par Mohamed Abdu, est profondément liée à l'héritage saoudien. Enfin, "Al-Khayzarana", interprétée par Abdullah Rashad, évoque l'esprit vivant du folklore hijazi.

Les invités se sont régalés d'un authentique festin hijazi, mettant en valeur les riches saveurs de la cuisine traditionnelle. Les plats vedettes comprenaient le mutabaq, le kibdah (foie), le mantu, le farmoza et le kabab miro, ainsi qu'une variété de spécialités grillées qui ont mis en évidence la profondeur de l'héritage culinaire de la région.

Dans son allocution, le consul général de France à Djeddah, Mohamed Nehad, a souligné la force des relations bilatérales entre la France et l'Arabie saoudite, saluant le partenariat stratégique et la collaboration dans divers domaines, en particulier la culture et les arts.

M. Nehad a déclaré à Arab News : "Cette soirée rassemble des artistes saoudiens qui interprètent des chansons intemporelles issues du riche patrimoine du pays. L'événement est une célébration de l'échange culturel et de la camaraderie, réunissant des amis à Djeddah pour une nuit musicale mémorable. À l'approche du mois sacré du Ramadan, les invités peuvent se plonger dans l'esprit de la tradition et de l'appréciation commune de l'art et de la musique.

À l'approche du Ramadan, l'événement a pris une signification supplémentaire, offrant une plateforme de dialogue culturel et renforçant les liens entre les participants dans une atmosphère de chaleur et de camaraderie.

À travers cette rencontre, le consulat a réaffirmé son engagement à promouvoir le dialogue culturel et à favoriser une coopération plus profonde et une meilleure compréhension mutuelle entre les communautés saoudienne et française.