Algérie, le rendement agricole affecté par le changement climatique

Récolte de céréales dans un champ de la wilaya de Batna, située dans l'Est algérien. (Photo fournie).
Récolte de céréales dans un champ de la wilaya de Batna, située dans l'Est algérien. (Photo fournie).
Short Url
Publié le Vendredi 18 août 2023

Algérie, le rendement agricole affecté par le changement climatique

  • À l’instar des autres pays de la région de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient (Mena), l’Algérie fait face à de nombreux défis dans le secteur agricole
  • Pour faire face au déficit en eau provoqué par la sécheresse et aggravé par le changement climatique, Brahim Mouhouche plaide pour l’adoption de nouvelles techniques

PARIS: À l’instar des autres pays de la région de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient (Mena), l’Algérie fait face à de nombreux défis dans le secteur agricole, qui doit à la fois s’adapter aux risques du changement climatique, s’assurer de la disponibilité des produits alimentaires en quantité suffisante et soutenir les ménages les plus vulnérables touchés de plein fouet par les effets de l’inflation.

Canicule, inondations, sécheresse: les aléas climatiques ont touché de nombreuses wilayas à travers le pays. Selon les informations que nous avons recueillies auprès du ministère de l’Agriculture et du Développement rural, ces catastrophes naturelles, et plus particulièrement la sécheresse, ont causé des pertes importantes aux agriculteurs. Selon la même source, une opération de recensement a été effectuée afin d’accompagner et de dédommager les sinistrés. «Nous avons formulé plusieurs propositions pour dédommager [les agriculteurs] dans les meilleurs délais afin de leur permettre d’entamer la prochaine saison dans de bonnes conditions», confirme Mohamed Abdelhafid Hani, le ministre de tutelle, lors de la visite de travail qu’il a effectuée à Médéa le 22 juillet dernier.

Brahim Mouhouche, professeur de l’École nationale supérieure d’agronomie (Ensa), affirme à la radio nationale que «le manque de pluviométrie a eu un effet négatif sur la croissance des grandes cultures annuelles, dont la culture céréalière». Selon lui, cette dernière, très gourmande en eau, devrait être réorientée vers le sud du pays.

Quelles mesures face aux défis de la sécheresse?

Pour faire face au déficit en eau provoqué par la sécheresse et aggravé par le changement climatique, Brahim Mouhouche plaide pour l’adoption de nouvelles techniques et de technologies innovantes qui permettraient d’optimiser l’utilisation des ressources hydriques. Selon lui, les pays à faible pluviométrie comme l’Algérie devraient développer des variétés de céréales plus résistantes au stress hydrique et investir dans des techniques d’irrigation automatisée qui permettraient de rationaliser la gestion de l’eau.

Mohamed Abdelhafid Hani rappelle que l’État a mis en place de nombreuses mesures destinées à renforcer le partenariat public-privé dans les différentes filières agricoles.

«Nous sommes confrontés sur le continent à des défis majeurs tels que les problématiques climatiques et la sécheresse récurrente dans de nombreuses zones», affirme de son côté le ministre de l’Agriculture et du Développement rural. Ce dernier précise que «le cap est mis dans ce cadre sur les régions du sud à travers le développement de la culture saharienne et l’optimisation des rendements de toutes les parcelles arables à l'échelle nationale». Pour lui, il est «impératif d’introduire des changements dans le mode d’organisation, de gestion et de fonctionnement des exploitations agricoles». Il propose donc «l’introduction des exploitations de références modernes, performantes et qui sont en mesure d’apporter une plus-value au secteur agricole et à l’économie du pays». Mohamed Abdelhafid Hani rappelle que l’État a mis en place de nombreuses mesures destinées à renforcer le partenariat public-privé dans les différentes filières agricoles, notamment dans le Grand Sud du pays.

Cultures stratégiques dans le sud du pays

Pour assurer sa sécurité alimentaire et réduire la facture des importations, l’État algérien mise sur le développement des cultures stratégiques dans le sud du pays. «L’agriculture saharienne est un choix stratégique pour le pays», confirme le ministre de tutelle, qui affirme que, à ce jour, plus de quatre mille demandes d’investissements ont été enregistrées par son département ministériel.

La création de l’Office de développement de l’industrie agricole en terres sahariennes (Odas), qui mise sur développement des cultures stratégiques (maïs, oléagineux, fourrage et sucre), et l’octroi de deux cent mille hectares par l’Office national des terres agricoles (Onta) aux investisseurs dans les wilayas du sud (Adrar, El Menia, Timimoun, Ouargla, Illizi et Djanet) vont-ils permettre de stimuler la production des cultures stratégiques? Au sujet de la culture fourragère, l’expert agricole Laâla Boukhalfa se dit confiant. «La culture du triticale résiste à la sécheresse, à la salinité, et elle s'adapte au climat et au sol», assure-t-il, précisant que «toutes les conditions sont réunies dans le Grand Sud pour développer cette culture qui constitue une véritable alternative à l'importation de céréales».


La Sdaia présente les progrès de l’IA lors d’une conférence à Singapour

L’Autorité saoudienne des données et de l'intelligence artificielle (Sdaia) a participé à la Conférence 2023 sur les méthodes empiriques dans le traitement du langage naturel à Singapour, mettant en avant ses avancées révolutionnaires dans le développement de grands modèles de langage. (X/@SDAIA_SA)
L’Autorité saoudienne des données et de l'intelligence artificielle (Sdaia) a participé à la Conférence 2023 sur les méthodes empiriques dans le traitement du langage naturel à Singapour, mettant en avant ses avancées révolutionnaires dans le développement de grands modèles de langage. (X/@SDAIA_SA)
Short Url
  • Areeb al-Owisheq, conseillère en IA représentant la Sdaia, a participé à un atelier intitulé «Modèles de langage en arabe : Défis et possibilités»
  • La participation de la Sdaia à la conférence reflète son engagement à présenter les avancées de l’Arabie saoudite en matière de données et d’intelligence artificielle

RIYAD: L’Autorité saoudienne des données et de l'intelligence artificielle (Sdaia) a participé à la Conférence 2023 sur les méthodes empiriques dans le traitement du langage naturel à Singapour, mettant en avant ses avancées révolutionnaires dans le développement de grands modèles de langage.

Areeb al-Owisheq, conseillère en IA représentant la Sdaia, a participé à un atelier intitulé «Modèles de langage en arabe : Défis et possibilités» pendant la conférence de cinq jours qui se tient jusqu’au 10 décembre.

Elle a présenté les initiatives ambitieuses de l’autorité, notamment la construction de modèles de langage complets, la conservation de vastes bases de données en arabe et le développement de modèles de langage adaptés à la langue arabe.

Mme Al-Owisheq a mis l’accent sur le rôle central des mesures de sécurité dans le développement de ces modèles d’IA et a noté que «les grands modèles de langage sont des constructions sophistiquées d’apprentissage en profondeur formées sur de vastes bases de données. Le traitement du langage naturel, un aspect essentiel de l’intelligence artificielle, permet aux ordinateurs de comprendre, de générer et de traiter le langage humain, ce qui rend possible la requête efficace des données à l’aide d’un texte ou d’un discours en langage naturel.»

La participation de la Sdaia à la conférence reflète son engagement à présenter les avancées de l’Arabie saoudite en matière de données et d’intelligence artificielle. L’autorité cherche à se positionner comme un chef de file mondial dans ce type de technologies de pointe.

Ces efforts s’alignent sur les initiatives de la Sdaia visant à transférer, localiser et générer des connaissances dans le domaine de l’intelligence artificielle, et à les intégrer dans les efforts de transformation numérique du Royaume énoncés dans la Vision 2030 de l’Arabie saoudite.

La Sdaia a également dévoilé le système Sawtak (Ta voix) au cours de l’événement. Sawtak utilise des techniques d’IA générative pour convertir la parole en texte et, selon l’autorité, «se caractérise par une précision inégalée dans la reconnaissance des différents dialectes locaux, surpassant les applications existantes sur le marché».

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


Le président sud-coréen aux Pays-Bas pour «renforcer» la coopération dans les semi-conducteurs

Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol avec son épouse Kim Keon Hee, après sa cérémonie d'investiture devant l'Assemblée nationale à Séoul, le 10 mai 2022. Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol se rendra aux Pays-Bas le 11 décembre 2023 pour un voyage axé sur le renforcement de la coopération cruciale en matière de semi-conducteurs entre les deux puissances mondiales dans le domaine des puces. (Photo Anthony Wallace AFP)
Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol avec son épouse Kim Keon Hee, après sa cérémonie d'investiture devant l'Assemblée nationale à Séoul, le 10 mai 2022. Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol se rendra aux Pays-Bas le 11 décembre 2023 pour un voyage axé sur le renforcement de la coopération cruciale en matière de semi-conducteurs entre les deux puissances mondiales dans le domaine des puces. (Photo Anthony Wallace AFP)
Short Url
  • Séoul envisage de «renforcer considérablement la coopération dans le domaine des semi-conducteurs avec des pays aussi importants que les Pays-Bas, les Etats-Unis et le Japon», a annoncé le président Yoon avant sa visite d'Etat
  • «L'environnement mondial autour de l'industrie des semi-conducteurs évolue rapidement, parallèlement à la concurrence pour la suprématie technologique et à la restructuration de la chaîne d'approvisionnement», rappelle M. Yoon

SÉOUL, Corée Du Sud : Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol se rend lundi aux Pays-Bas pour une visite d'Etat qui, a-t-il déclaré à l'AFP, vise à intensifier la coopération entre les deux pays, grands producteurs de semi-conducteurs, au moment où des restrictions visent à empêcher la Chine d'accéder aux technologies de pointe.

Séoul envisage de «renforcer considérablement la coopération dans le domaine des semi-conducteurs avec des pays aussi importants que les Pays-Bas, les Etats-Unis et le Japon», a annoncé le président Yoon à l'AFP avant sa visite d'Etat.

Utilisées dans tout, des armes aux voitures en passant par les réfrigérateurs, les puces électroniques alimentent l'économie mondiale moderne, la puissance électronique sud-coréenne représentant environ 60% de l'approvisionnement mondial, souligne M. Yoon dans un entretien écrit à l'AFP.

La Corée du Sud est un allié régional clé de Washington et, plus tôt ce mois-ci, la secrétaire américaine au Commerce, Gina Raimondo, a exhorté les alliés des Etats-Unis à empêcher la Chine d'obtenir des semi-conducteurs et des technologies de pointe essentielles à la sécurité nationale.

«L'environnement mondial autour de l'industrie des semi-conducteurs évolue rapidement, parallèlement à la concurrence pour la suprématie technologique et à la restructuration de la chaîne d'approvisionnement», rappelle M. Yoon.

- «Des actifs stratégiques» -

Il est clair qu'au fur et à mesure «que les semi-conducteurs deviennent des actifs stratégiques en matière d'industrie, de technologie et de sécurité, les risques géopolitiques entourant les chaînes d'approvisionnement mondiales augmentent», dit-il.

Selon lui, sa visite de trois jours aux Pays-Bas aidera les deux pays à «établir un cadre institutionnel bien organisé qui s'attaquera intensivement aux chaînes d'approvisionnement mondiales en semi-conducteurs».

La Corée du Sud et les Pays-Bas qui abritent ASML, l'un des leaders mondiaux de la fabrication de machines de photolithographie pour l'industrie des semi-conducteurs, travaillent ensemble «de manière exemplaire» depuis des années, affirme M. Yoon, «contribuant à la stabilité des chaînes d'approvisionnement mondiales en semi-conducteurs».

Les Etats-Unis tentent depuis des mois de limiter l'accès des entreprises chinoises aux technologies de pointe, avec des restrictions à l'exportation de semi-conducteurs et de machines utilisées pour leur fabrication vers les géants asiatiques.

Les restrictions ont encore été renforcées le 17 octobre, les contrôles étant étendus à des dizaines de pays en relation commerciale avec la Chine.

Les Pays-Bas se sont récemment joints aux Etats-Unis et au Japon pour imposer des limites à l'exportation concernant les équipements de pointe de fabrication de puces, visant à empêcher Pékin d'acquérir les puces les plus avancées susceptibles d'être utilisées dans des armes et les hautes technologies.

Ces restrictions ont suscité la colère de la Chine, qui a accusé Washington de «terrorisme technologique».

- «Un tournant crucial» -

«Les semi-conducteurs sont le pilier de la coopération entre la Corée et les Pays-Bas», fait valoir M. Yoon.

«La croissance stable et durable de l'industrie mondiale des semi-conducteurs est dans l'intérêt fondamental des deux pays», ajoute-t-il.

ASML fournit les principaux fabricants de puces sud-coréens, Samsung Electronics et SK Hynix.

Au cours de sa visite d'Etat, le président sud-coréen visitera ASML et sera le premier dirigeant étranger à pénétrer dans ses salles blanches, des environnements hautement contrôlés.

Cela «marquera un tournant crucial dans +l'alliance des semi-conducteurs Corée-Pays-Bas+», se félicite M. Yoon, ajoutant que les discussions sur les puces sont la «priorité absolue» de ce voyage, le premier d'un chef d'Etat sud-coréen depuis l'établissement des relations bilatérales en 1961.

Lors de la visite d'Etat, Séoul souhaite instaurer une «alliance» dans le domaine des puces électroniques avec Amsterdam, impliquant leurs entreprises, universités et gouvernements respectifs, a indiqué le bureau de M. Yoon la semaine dernière.


La France réitère son soutien à la modernisation du secteur de la santé en Arabie saoudite

Le CAFS en collaboration avec ESL & Network, pionnier de l’information économique a organisé le 4 décembre la Journée française de la santé au sein de la Fédération des chambres de commerce saoudiennes à Riyad (Photo, Samia Hanifi).
Le CAFS en collaboration avec ESL & Network, pionnier de l’information économique a organisé le 4 décembre la Journée française de la santé au sein de la Fédération des chambres de commerce saoudiennes à Riyad (Photo, Samia Hanifi).
Short Url
  • ben Laden, président de la CAFS a déclaré que cet événement vise à développer la coopération économique
  • Le ministère de la Santé a lancé de nombreux projets visant à fournir des solutions de santé en ligne

Riyad : Le Conseil d’affaires franco-saoudien (CAFS) en collaboration avec ESL & Network, pionnier de l’information économique a organisé le 4 décembre la Journée française de la santé au sein de la Fédération des chambres de commerce saoudiennes à Riyad.

Cet événement a été organisé avec le soutien du Parlement français, de l’Ambassade de France accréditée en Arabie Saoudite, Business France, BPI France, Revington et Medef International.    

La délégation française comprenant des élus du Parlement français et une quarantaine d’entreprises françaises actives dans le secteur de la santé a rencontré des représentants du ministère saoudien de la Santé, de l’ambassade de France et plus de cinquante membres du Conseil d’affaires franco-saoudien. 

Cette journée consacrée exclusivement au secteur de la santé a été inaugurée par M. Ben Laden, Président de la CAFS. Lors de son intervention, il a déclaré que cet événement vise à développer la coopération économique, favoriser les échanges entre les entreprises françaises et saoudiennes en santé, secteur prioritaire du partenariat stratégique franco-saoudien lancé en 2020, pour signer de nouveaux partenariats.

ds
Le CAFS en collaboration avec ESL & Network, pionnier de l’information économique a organisé le 4 décembre la Journée française de la santé au sein de la Fédération des chambres de commerce saoudiennes à Riyad (Photo, Samia Hanifi).

L’ambassadeur de France a déclaré que la France a reconnu des capacités d’innovation et d’excellence dans de nombreuses spécialités : santé numérique et télémédecine, financement de la santé, services d’imagerie et biologie médicale, cancer, maladies métaboliques et cardiovasculaires, vieillissement, santé mentale, génétique et maladies rares. 

Amelia Lakrafi, Présidente du Groupe d’amitié franco-Le Parlement français a réitéré le soutien du gouvernement et du parlement pour accompagner le Royaume dans la réalisation des objectifs de la Vision 2030 pour moderniser le secteur de la santé. 

Parmi les représentants des organes du gouvernement saoudien présents à la réunion figuraient le Dr Ibrahim AlOmar, sous-ministre adjoint de la Transformation, et le Dr Adel Munshi, porte-parole du ministère saoudien de la Santé pour « Investir dans les soins de santé en Arabie saoudite », a mis en avant les projets déjà réalisés, leurs stratégies et leurs attentes auprès de leurs homologues français.    

Ils ont également discuté des ambitions et des stratégies pour les années à venir concernant la privatisation du système de santé, la e-santé et le lieu de production des vaccins et des médicaments, ainsi que de la pertinence de l’expertise française sur ces sujets.

Ibionext, présent à cette rencontre, est un constructeur d’entreprise ou Company Builder, dédié à la création, au développement et au financement de start-ups innovantes en Health Tech à la convergence des disciplines scientifiques.

Ibionext illustre le pouvoir et le potentiel de la convergence des disciplines scientifiques pour produire des innovations révolutionnaires. Avec l’intégration de l’ingénierie, de la physique, de l’informatique et des sciences de la vie, les innovations perturbatrices ont la capacité d’améliorer la santé et la qualité des soins.

De son côté, Dedalus, leader européen des logiciels de santé, accompagne la transformation numérique de 6300 établissements de santé publics et privés et 5700 laboratoires et centres de diagnostic dans le monde, soit plus de 540 millions de personnes touchées par ses solutions.

L’offre de Dedalus soutient l’ensemble du continuum de soins, offrant des solutions basées sur des normes ouvertes au service de chaque acteur de l’écosystème de la santé pour fournir de meilleurs soins sur une planète plus saine.

ds
Cet événement a été organisé avec le soutien du Parlement français, de l’Ambassade de France accréditée en Arabie Saoudite, Business France, BPI France, Revington et Medef International (Photo, Samia Hanifi).
Sanofi

Sanofi, leader pharmaceutique mondial, est présent depuis longtemps dans le Royaume. Elle compte plus de trois cent quatre-vingt employés en Arabie saoudite, dont deux cent sept Saoudiens ou 50% de son personnel répartis en plusieurs départements. 

Sanofi soutient fermement l’initiative 2030 en travaillant en étroite collaboration avec le ministère saoudien de la Santé et en offrant aux professionnels de la santé un large éventail de programmes d’éducation et de formation.  Au cours des cinq dernières années, il a offert des programmes éducatifs et de la formation à des milliers de professionnels de la santé de la région, dont de nombreux Saoudiens.

Sanofi a pour objectif de réduire le fardeau des médicaments importés, de créer des emplois hautement qualifiés, d’assurer la sécurité pharmaceutique nationale, d’augmenter les investissements directs étrangers et de contribuer à positionner le Royaume en tant que centre régional pour la pharmacie biologique et la fabrication de vaccins. 

Les dirigeants du Royaume attachent une grande importance à la numérisation. À cette fin, le ministère de la Santé a lancé de nombreux projets visant à fournir des solutions de santé en ligne. 

Il est vrai que les services de santé numériques ont déjà un impact dans le Royaume et aident à connecter plus facilement les patients et les fournisseurs. Ces dernières années, le gouvernement saoudien a mis en place un système de pointe dans les hôpitaux pour améliorer l’efficacité des soins et fournir aux patients des traitements médicaux hautement qualifiés.