Des concerts aux festivals d’art et de bien-être, AlUla Moments dévoile son calendrier 2023/24

Du 17 novembre au 3 décembre, le Festival des anciens royaumes reviendra pour sa deuxième édition. (Photo, fournie)
Du 17 novembre au 3 décembre, le Festival des anciens royaumes reviendra pour sa deuxième édition. (Photo, fournie)
Des DJ régionaux se produiront au festival de musique Azimuth d’AlUla pendant le week-end de la Fête nationale saoudienne. (Photo, fournie)
Des DJ régionaux se produiront au festival de musique Azimuth d’AlUla pendant le week-end de la Fête nationale saoudienne. (Photo, fournie)
Le Festival Winter at Tantora sera de retour du 21 décembre au 21 janvier, permettant aux visiteurs de découvrir AlUla au cours de quatre week-ends thématiques. (Photo, fournie)
Le Festival Winter at Tantora sera de retour du 21 décembre au 21 janvier, permettant aux visiteurs de découvrir AlUla au cours de quatre week-ends thématiques. (Photo, fournie)
Le Festival du bien-être d’AlUla se déroulera du 19 octobre au 5 novembre, réunissant des adeptes du yoga, de la méditation et d’autres disciplines, ainsi que des talents locaux. (Photo, fournie)
Le Festival du bien-être d’AlUla se déroulera du 19 octobre au 5 novembre, réunissant des adeptes du yoga, de la méditation et d’autres disciplines, ainsi que des talents locaux. (Photo, fournie)
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Publié le Jeudi 24 août 2023

Des concerts aux festivals d’art et de bien-être, AlUla Moments dévoile son calendrier 2023/24

  • L’événement AlUla Immersive, qui s’est tenu à Dubaï le 24 août, a présenté les différents temps forts de la prochaine édition 2023/2024 d’AlUla Moments
  • Le premier des nombreux événements prévus pour AlUla Moments est Azimuth, un festival de musique et de divertissement qui donnera le coup d’envoi de la nouvelle saison

DUBAÏ: Les visiteurs ont pu avoir un aperçu de la prochaine édition 2023/2024 d’AlUla Moments, le calendrier des événements et festivals de l’antique ville saoudienne, grâce à l’événement AlUla Immersive, qui s’est tenu au Theatre of Digital Art de Dubaï le 24 août.

Cette expérience immersive a présenté la gamme d’événements et de festivals qui auront lieu dans le cadre d’AlUla Moments, avec en toile de fond des visuels interactifs dynamiques et des concerts donnés par des DJ régionaux de MDLbeast qui se produiront lors du festival de musique Azimuth, à AlUla, pendant le week-end de la Fête nationale saoudienne.

«Nous sommes ravis de dévoiler notre calendrier AlUla Moments et de présenter la riche mosaïque d’expériences authentiques à venir cette année et l’année prochaine. La diversité de nos offres consolide la position d’AlUla comme destination de classe mondiale, ouverte toute l’année, où les visiteurs sont captivés par des paysages impressionnants, un patrimoine ancien et une scène artistique et culturelle florissante», a déclaré Rami al-Mouallim, vice-président de la gestion des destinations et du marketing à la Commission royale pour AlUla, dans un communiqué.

«AlUla redevient rapidement le centre dynamique de rencontres créatives et immersives qu’il était il y a des milliers d’années. Des merveilles anciennes aux festivals et événements contemporains, la prochaine saison à AlUla propose un voyage transformateur qui laissera une impression durable sur tous les visiteurs», a-t-il poursuivi.

Le premier des nombreux événements prévus pour AlUla Moments est Azimuth, un festival de musique et de divertissement qui donnera le coup d’envoi de la nouvelle saison le 21 septembre, coïncidant avec la Fête nationale saoudienne.

Le festival accueillera des artistes régionaux et des stars internationales, dont Jorja Smith, Shkoon Live, Thievery Corporation, Âme et Dixon, Tinariwen, Chet Faker et Dope Lemon.

Après Azimuth, le Festival du bien-être d’AlUla se déroulera du 19 octobre au 5 novembre, réunissant des adeptes du yoga, de la méditation et d’autres disciplines, ainsi que des talents locaux, afin de créer une expérience de bien-être complète.

Du 17 novembre au 3 décembre, le Festival des anciens royaumes reviendra pour sa deuxième édition et proposera un voyage dans le temps,  avec des activités allant des immersions expérientielles nocturnes à des activités pratiques pour les familles.

Lors de la prochaine édition, Hégra sera au centre des festivités pour célébrer son 15e anniversaire en tant que premier site du patrimoine mondial de l’Unesco en Arabie saoudite. Le site historique accueillera des spectacles spéciaux, des visites et des programmes de découverte.

Combinant musique, art, sport et festivités culturelles, le Festival Winter at Tantora sera de retour du 21 décembre au 21 janvier, permettant aux visiteurs de découvrir AlUla au cours de quatre week-ends thématiques.

Parmi les événements phares, citons également le Festival des agrumes, qui aura lieu au plus fort de la saison des récoltes, ainsi que des événements sportifs comme la course AlUla Trail Race, à laquelle sont invités à participer les athlètes, les coureurs amateurs et les enfants.

L’événement Richard Mille AlUla Desert Polo reviendra à AlUla du 17 au 20 janvier, avec des équipes internationales telles que St. Tropez et La Dolfina qui démontreront leur savoir-faire équestre.

En 2024, le Festival des arts d’AlUla, qui se tiendra du 8 février au 2 mars, comprendra des œuvres d’art visuel et public contemporaines, du design, du cinéma, des visites artistiques et des résidences d’artistes.

De retour pour une troisième édition en 2024, l’exposition d’art internationale Désert X AlUla présentera des œuvres à grande échelle avec le paysage d’AlUla pour toile de fond. En outre, une nouvelle exposition d’art contemporain organisée pour Maraya sera lancée pendant l’édition 2024 du Festival des arts d’AlUla.

La cinquième édition de la Coupe d’endurance du Gardien des Deux Saintes Mosquées, un rendez-vous incontournable de la scène équestre mondiale, se déroulera en février 2024. Les meilleurs cavaliers d’endurance du monde s’affronteront lors de ce défi équestre qui s’étend sur 120 km.

Pendant la saison hivernale, le festival AlUla Skies permettra aux visiteurs de contempler l’ancienne ville saoudienne d’en haut, avec des activités telles que des tours en montgolfière ou en hélicoptère, des spectacles de drones et l’observation des étoiles.

L’AlUla Camel Cup a établi une nouvelle norme pour les courses de chameaux dans la région avec son premier événement en mars 2023. La deuxième édition de la Coupe devrait se dérouler en avril 2024.

Enfin, Desert Blaze sera de retour en 2024.  Avec des courses de 5 km, 10 km, 21 km et 42 km, l’événement comprendra des itinéraires passant par les monuments anciens et les canyons de grès d’AlUla.

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L'Arabie saoudite annonce la Semaine de la mode de la mer Rouge

Parmi les moments forts, notons la participation de cent marques saoudiennes, une initiative lancée par la Commission de la mode afin de soutenir et de promouvoir les talents locaux émergents. (Photo Arab News).
Parmi les moments forts, notons la participation de cent marques saoudiennes, une initiative lancée par la Commission de la mode afin de soutenir et de promouvoir les talents locaux émergents. (Photo Arab News).
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  • Organisé par la Commission saoudienne de la mode, cet événement mettra en vedette des créateurs locaux et internationaux
  • L’Arabie saoudite avait accueilli sa première semaine de la mode en 2023 à Riyad

DUBAÏ: Le Royaume s’apprête à accueillir la toute première Semaine de la mode de la mer Rouge. Prévu en bord de mer sur l'île d'Ummahat, cet événement glamour se déroulera du 16 au 18 mai au St. Regis Red Sea Resort. Organisé par la Commission saoudienne de la mode, cet événement mettra en vedette des créateurs locaux et internationaux. Son objectif est de célébrer la fusion entre l'esthétique traditionnelle saoudienne et le design contemporain de pointe.

Parmi les moments forts, notons la participation de cent marques saoudiennes, une initiative lancée par la Commission de la mode afin de soutenir et de promouvoir les talents locaux émergents.

Rappelons que l'Arabie saoudite avait accueilli sa première semaine de la mode en 2023 à Riyad. L'événement, qui s’était déroulé dans le quartier financier du roi Abdallah du 20 au 23 octobre, a jeté les bases de la nouvelle capitale de la mode au Moyen-Orient.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


La rappeuse afghane Sonita Alizada, voix des jeunes filles pour la liberté

Sonita Alizada elle-même a failli être vendue à un homme vers l'âge de 10 ans, puis à 14 ans pour 9.000 dollars. (AFP).
Sonita Alizada elle-même a failli être vendue à un homme vers l'âge de 10 ans, puis à 14 ans pour 9.000 dollars. (AFP).
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  • Non au travail des enfants, aux mariages forcés, au renoncement à ses rêves: à travers le rap, Sonita Alizada (ou Alizadeh) a trouvé un médium parfait pour crier ses combats et raconter son histoire démarrée sous le régime taliban
  • Postée sur internet, la vidéo est vue plus de 8.000 fois le premier jour, tant les mariages forcés sont répandus dans le monde avec 12 millions de mineures mariées chaque année, selon l'Unicef

ARROMANCHES-LES-BAINS: Non au travail des enfants, aux mariages forcés, au renoncement à ses rêves: à travers le rap, Sonita Alizada (ou Alizadeh) a trouvé un médium parfait pour crier ses combats et raconter son histoire démarrée sous le régime taliban.

"Comme toutes les filles, je suis en cage, je ne suis qu'un mouton qu'on élève pour le dévorer", chante-t-elle, en 2014 en Iran, dans "Brides for sale" (Mariées à vendre), en robe de mariée, code-barre et ecchymoses sur le visage. "Relis le Coran! Il ne dit pas que les femmes sont à vendre."

Postée sur internet, la vidéo est vue plus de 8.000 fois le premier jour, tant les mariages forcés sont répandus dans le monde avec 12 millions de mineures mariées chaque année, selon l'Unicef.

Sonita Alizada elle-même a failli être vendue à un homme vers l'âge de 10 ans, puis à 14 ans pour 9.000 dollars.

Repérée par la documentariste iranienne Rokhsareh Ghaem Maghami qui verse 2.000 dollars, elle a droit à six mois de sursis et saisit sa chance lorsqu'une ONG américaine lui propose d'étudier aux Etats-Unis.

Dans l'Utah, les débuts sont difficiles pour celle qui ne sait dire en anglais que "salut, je suis une rappeuse". Elle découvre aussi qu'aux Etats-Unis les mariages de mineures existent.

Elle décide de raconter son histoire dans les écoles, jusqu'au très prisé festival américain du film de Sundance où le documentaire qui lui est consacré, "Sonita", remporte en 2016 le prix du jury.

Ses jeunes années sont marquées par la peur des Talibans et la faim. Née à Herat en 1996, elle a environ cinq ans lorsqu'elle fuit avec ses parents et ses sept frères et sœurs, sans papiers, vers l'Iran.

"On pensait que la vie y serait plus facile, sans guerre mais c'était très difficile de se faire accepter à cause de l'image des Afghans", se rappelle Sonita Alizada, 27 ans, dans un entretien avec l'AFP.

Là aussi, interdiction d'aller à l'école: "Je cirais des chaussures avec mes frères puis je vendais des fleurs." Sa première bonne étoile est une femme qui apprend clandestinement aux filles à lire et à écrire dans une mosquée.

« Toujours en colère »

De retour en Afghanistan, son père, malade, meurt. Son mariage est planifié puis annulé lorsqu'elle retourne en Iran. Sonita y rencontre une association qui lui permet de prendre des cours de guitare en secret... et l'encourage à écrire après avoir remporté un prix de poésie.

Un jour l'artiste en devenir entend le rappeur star Eminem et, sans comprendre les paroles, pense que c'est "probablement la meilleure façon de partager une histoire".

La jeune fille écrit "Brides for sale" même si sa mère, mariée à 12 ans et illettrée, lui interdit de faire du rap. C'est le succès et le départ vers les Etats-Unis.

Devenue sa plus grande admiratrice, sa mère apparaît dans son clip "Run Boy", qui parle des Talibans essayant d'empêcher la scolarisation des filles.

Le 4 juin, elle sera à Caen, dans le nord-ouest de la France, pour le prix Liberté, qu'elle a remporté en 2021. La jeune artiste chantera "Stand up" avec des locaux et le clip de la chanson, filmé sur les plages du Débarquement, sera diffusé devant des vétérans de la Seconde Guerre mondiale.

"Toujours en colère", elle continue de défendre avec le rap et sur les réseaux sociaux la liberté sous toutes ses formes: à l'éducation, à s'exprimer, à choisir son partenaire. Elle a aussi mis en place deux projets en Afghanistan pour aider les enfants et les femmes.

Diplômée l'année dernière en droits humains et en musique à New York, Sonita Alizada veut maintenant étudier la politique à Oxford.

"L'art et la politique vont ensemble. Toute ma musique parle de politique, de faire la différence, de donner de l'espoir, de prendre conscience. Alors j'essaye d'éveiller les consciences à travers la musique", souligne celle qui espère, un jour, pouvoir prendre une part active dans l'avenir de son pays.


Des artistes français présentent une expérience artistique envoûtante à Djeddah

Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
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  • «C’est un réel plaisir d’être ici, en particulier à Hayy Jameel, où nous mêlons l’art et la science pour créer une expérience sensorielle sans équivalent»
  • «Nous abordons les données non comme de simples codes, mais comme des sensations, ce qui nous permet de caractériser l’expérience et de la partager»

DJEDDAH: L’artiste Paul Marlier et la danseuse Jeanne Morel présentent une exposition d’art numérique interactive baptisée «ETH3R» au centre culturel de Djeddah, Hayy Jameel.

Les deux créateurs français exposent des œuvres immersives réalisées à partir des données biométriques de Jeanne Morel recueillies pendant qu’elle effectue des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur.

Ce mélange unique de technologie et de créativité a captivé le public en raison de la réflexion qu’il offre sur la réalité et du contraste saisissant qu’il présente avec la nature souvent banale de la vie quotidienne.

Dans une interview accordée à Arab News, Paul Marlier évoque le processus créatif qui est à l’origine de cette œuvre numérique. Il explique également comment ces productions sont inspirées par les données humaines et scientifiques qu’il a recueillies.

«C’est un réel plaisir d’être ici, en particulier à Hayy Jameel, où nous mêlons l’art et la science pour créer une expérience sensorielle sans équivalent», déclare-t-il. «Cette expérience représente l’ADN du monde, la danse de nos âmes.»

«ETH3R présente des tableaux, mais aussi des installations dynamiques qui sont dérivées des données biométriques de ma femme, Jeanne Morel, qui danse dans des environnements divers et extrêmes, des profondeurs de l’océan jusque dans les hautes altitudes où s’entraînent les astronautes», poursuit-il.

Paul Marlier a fusionné ces données scientifiques sur la physiologie humaine avec d’autres informations comme la qualité de l’air, l’imagerie satellite et même des faits relatifs à la mer Rouge. «Ces œuvres d’art sont des empreintes émotionnelles qui rappellent des moments de grâce. Il s’agit d’un véritable travail de collaboration.»

Expliquant le processus, il précise: «Jeanne, équipée de capteurs semblables à un pinceau, est le catalyseur. Ses émotions lorsqu’elle danse sont traduites grâce à des codes en art numérique tel qu’on peut le voir dans les peintures. Nous explorons les thèmes de la fragilité, de la spiritualité et de l’unité inhérente entre l’homme et la nature – la danse universelle.»

«Nous abordons les données non comme de simples codes, mais comme des sensations, ce qui nous permet de caractériser l’expérience et de la partager. En recueillant une multitude d’informations de cette danseuse singulière, nous nous efforçons de matérialiser l’essence de la grâce», souligne Paul Marlier.

«La danse est le moyen d’exprimer ses émotions les plus profondes, de manière parfois plus simple qu’avec des mots», explique pour sa part Jeanne Morel.

«C’est l’allégorie de la vie. Elle me permet de rester vivante, connectée aux mouvements du monde. Nos corps sont constamment en train de danser, de bouger, sur cette terre qui elle-même danse autour du soleil et reste en équilibre grâce à la gravité», ajoute la danseuse.

À propos de leur première visite dans le Royaume, Paul Marlier livre cette observation: «Les gens sont très accueillants ici. La spiritualité et la poésie sont très présentes.»

«Nous admirons la spiritualité et l’ouverture d’esprit de ce pays pour tout ce qui touche l’art, notamment l’art numérique», ajoute son épouse.

«Observer des œuvres d’art qui dépassent les frontières a été un voyage envoûtant qui a captivé nos sens et a suscité l’émerveillement face à la fusion de l’art et de la technologie. Les démonstrations en direct et la danse ont été incroyablement relaxantes. Cela nous a permis de nous évader sereinement dans un autre monde, imaginaire», confie Walid Harthi, un passionné d’art.

L’exposition se tient jusqu’au 11 mai.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com