Les senteurs sont à la fête à Paris avec Parfums d’Orient, l’exposition événement de l’IMA

Programmée jusqu’au 17 mars 2024, l’exposition propose plus de deux cents œuvres. On y trouve manuscrits, peintures, photographies, textiles ainsi que des dispositifs odorants, des vidéos, des miniatures et des installations. (Photo fournie).
Programmée jusqu’au 17 mars 2024, l’exposition propose plus de deux cents œuvres. On y trouve manuscrits, peintures, photographies, textiles ainsi que des dispositifs odorants, des vidéos, des miniatures et des installations. (Photo fournie).
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Programmée jusqu’au 17 mars 2024, l’exposition propose plus de deux cents œuvres. On y trouve manuscrits, peintures, photographies, textiles ainsi que des dispositifs odorants, des vidéos, des miniatures et des installations. (Photo fournie).
Programmée jusqu’au 17 mars 2024, l’exposition propose plus de deux cents œuvres. On y trouve manuscrits, peintures, photographies, textiles ainsi que des dispositifs odorants, des vidéos, des miniatures et des installations. (Photo fournie).
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Publié le Mercredi 27 septembre 2023

Les senteurs sont à la fête à Paris avec Parfums d’Orient, l’exposition événement de l’IMA

  • L’exposition appelle les visiteurs au voyage et à la découverte des parfums d’Orient – de Mascate, du Caire, de Tunis ou de Djeddah
  • Tout au long du parcours, le visiteur sera enivré par les senteurs de jasmin, de rose, de narcisse, de fleur d’oranger, d’encens, d’ambre ou encore de cannelle, de menthe et de safran

PARIS: L’exposition Parfums d’Orient envoûte nos sens et éveille des envies de fleurs, de parfums et de mets épicés qui chatouillent nos papilles gustatives. Elle a été inaugurée le 26 septembre à l’Institut du monde arabe (IMA), à Paris. Cet événement culturel historique, proposé par Hanna Boghanim et Agnès Carayon, est unique et inédit. Il appelle les visiteurs au voyage et à la découverte des parfums d’Orient – de Mascate, du Caire, de Tunis ou de Djeddah.

Programmée jusqu’au 17 mars 2024, l’exposition propose plus de deux cents œuvres. On y trouve manuscrits, peintures, photographies, textiles ainsi que des dispositifs odorants, des vidéos, des miniatures et des installations. Il y est question de l’histoire des parfums et des huiles, de la fabrication des fragrances, des eaux florales, des baumes et de leurs usages dans la vie quotidienne ou lors des célébrations. Tout au long du parcours, le visiteur sera enivré par les senteurs de jasmin, de rose, de narcisse, de fleur d’oranger, d’encens, d’ambre ou encore de cannelle, de menthe et de safran. Il découvrira les us et coutumes des pays arabes dans l’utilisation des parfums, des aromates et des épices à travers des millénaires.

 

La culture du parfum selon Jack Lang

 

«La culture du parfum en terres arabes est sensible, poétique et fait appel à tous les sens. C’est un art de vivre qui s’expérimente culturellement et convivialement.»

Jack Lang, président de l’IMA

 

 

«Je rêve depuis longtemps d’une telle exposition. La civilisation arabo-musulmane est très liée aux senteurs, aux parfums, aux épices, aussi bien dans la vie courante, dans la vie intime, la vie rituelle et les grands événements. La civilisation arabe a été capable de transfigurer les senteurs pour leur donner leur éclat, leur force magique», souligne Jack Lang à Arab News en français. Il précise que cette exposition couvrira un vaste territoire de l’Euphrate jusqu’au Haut Atlas du Maroc.

«Avant même qu’elle ne soit ouverte, l’exposition suscite dans les pays arabes et ailleurs un immense enthousiasme», nous révèle le président de l’IMA, qui annonce que cette exposition sera présentée en Arabie saoudite. «Après Paris, Parfums d’Orient sera programmée, d’abord, au musée national de Riyad», précise-t-il.

 

Le monde arabe et les parfums, une histoire millénaire

«Cette exposition retrace la longue histoire qui lie le monde arabe et les parfums, une histoire millénaire qui traverse les siècles et qui est encore très présente aujourd’hui», explique Agnès Carayon, l’une des commissaires de l’exposition. «Nous voulons montrer que le monde arabe est le berceau de la civilisation des parfums […]. Nous avons voulu mettre en odeur l’exposition en proposant un parcours olfactif», ajoute-t-elle, rappelant que «c’est la première fois qu’une exposition temporaire met en avant l’olfaction dans une exposition».

 

Avec son œuvre BeitiMa maison»), l’artiste plasticien et cinéaste Laurent Mareschal, qui expose ses créations dans des musées internationaux comme le Victoria and Albert Museum, à Londres, et le Grand Palais, à Paris, présente une prouesse technique composée d’épices  utilisées dans la cuisine arabe: zaatar sumac, curcuma, gingembre et poivre blanc. «Cette œuvre, Beiti, qui veut dire «ma maison» en hébreu et en arabe, est entièrement réalisée en épices. Elle représente le plan de sol d’une maison palestinienne», nous explique l’artiste. «Je voulais parler à la fois de la mémoire sensible que j’avais de Jérusalem, où j’ai vécu quatre ans et de la mémoire de la cuisine qui habite et qui embaume cette maison.»

Rim al-Nasser, une artiste saoudienne née en 1987 à Djeddah, en Arabie saoudite, explique quant à elle que ses créations sont inspirées de ses expériences personnelles et de ses observations des comportements religieux, sociaux et culturels de son pays.

Avec son installation Full rassas (Arabian Jasmine bullets), elle présente un costume traditionnel de mariée entièrement confectionné, peu de temps avec l’exposition, en boutons de jasmin. Les ornements floraux ont été tissés par des artisans yéménites dans la ville de Jizan, où la culture du jasmin est très présente.


Quand Pompidou "copie" le Louvre: 100 artistes exposent à Metz

Centre Pompidou (Photo AFP)
Centre Pompidou (Photo AFP)
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  • À partir de samedi, des « copistes » exposent au Centre Pompidou-Metz leur réinterprétation de classiques de l'art qu'ils « réactivent ».
  • Toutes ces œuvres, produites à partir d'autres œuvres, ont été créées spécialement pour cette exposition.

METZ, FRANCE : Faire revivre des œuvres du Louvre à travers le regard de 100 artistes : à partir de samedi, des « copistes » exposent au Centre Pompidou-Metz leur réinterprétation de classiques de l'art qu'ils « réactivent ».

Les commissaires de l'exposition, Donatien Grau, conseiller pour les programmes contemporains du musée du Louvre, et Chiara Parisi, directrice du Centre Pompidou-Metz, ont voulu en faire « une radioscopie de l'art contemporain et une exposition pour les amoureux de l'histoire de l'art ».

L'exposition est le résultat d'une « invitation envoyée à 100 artistes, non copistes a priori, à réactiver des œuvres du patrimoine », résume Donatien Grau.

Ici, une sculpture romaine recouverte de ballons métalliques colorés attire l'œil du visiteur : il s'agit d'une copie réalisée par l'artiste américain Jeff Koons de L'Hermaphrodite endormi, une sculpture antique dont on ignore l'auteur.

Un peu plus loin, plusieurs artistes ont fait le choix de créer leur interprétation de La Liberté guidant le peuple (1830) d'Eugène Delacroix : c'est le cas de Bertrand Lavier avec Aux armes citoyens (2025), dans lequel il se concentre sur les armes et le drapeau peints dans la version originale.

« La Vierge et l'Enfant au chancelier Rolin » (XVe siècle), peint par Jan Van Eyck, a aussi été en partie copié par l'Irano-Américain Y.Z. L'artiste Kami, quant à lui, a décidé de s'emparer d'un petit détail de l'œuvre originale, les mains, qu'il a reproduit comme un symbole. 

On peut aussi découvrir « la Joconde » copiée par le collectif Claire Fontaine, qui a camouflé son visage d'une tache noire, lui ôtant son sourire énigmatique.

Toutes ces œuvres, produites à partir d'autres œuvres, ont été créées spécialement pour cette exposition.

Giulia Andreani a réalisé trois portraits de femmes, a aimé « se heurter à des œuvres du Louvre », « détourner la technique » et « exploser le format ».

Chiara Parisi note que certaines copies sont réalisées presque à l'identique : « On est un peu déstabilisés » dans un premier temps en les regardant, puis « après on reconnaît la patte de l'artiste ».

D'autres, au contraire, ont détourné les originaux pour en faire des créations où « les œuvres ne sont pas là pour être reconnues », précise-t-elle. 

L'artiste Neila Czermak Ichti a détourné le tableau Roger délivrant Angélique (1819) de Jean-Auguste-Dominique Ingres. Dans sa version, « tout le monde a un peu changé de place. Le défi consistait à ce que le monstre n'ait pas la même place sans pour autant devenir une victime comme Angélique dans la version originale.

Donatien Grau a également mis en garde : « Le sujet de l'exposition n'est pas la copie, mais la pluralité des copistes. » « Copier, aujourd'hui, ce n'est pas se mettre face au tableau et le dupliquer. C'est mille autres choses » illustrées dans l'exposition.

Cela met aussi en valeur le patrimoine, qui « n'existe que quand on le recrée, qu'on le fait vivre, quand on l'habite », selon Donatien Grau.

Les œuvres originales n'ont pas été transportées à Metz : le visiteur peut les retrouver reproduites dans le catalogue d'exposition (25 euros) qui, selon Mme Parisi, « prolonge la visite ».

L'exposition « Copistes. En collaboration exceptionnelle avec le musée du Louvre » est visible jusqu'au 2 février 2026.


«Fever Dream» avec Fatima Al-Banawi débarque sur Netflix

Le film est sorti sur Netflix cette semaine. (Instagram)
Le film est sorti sur Netflix cette semaine. (Instagram)
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  • Soutenu par le Fonds de la mer Rouge, le film, qui explore les thèmes de la manipulation des médias, de l'identité numérique et du coût de la célébrité à l'ère de l'influence en ligne, a été présenté au Festival international du film de la mer Rouge 2023
  • Il raconte l'histoire de Samado, une star du football à la retraite qui, accablé par la surveillance des médias et la notoriété publique, trouve une chance de reprendre le contrôle

DUBAI : Le dernier long métrage du cinéaste saoudien Faris Godus, "Fever Dream", est désormais disponible en streaming sur Netflix, réunissant un casting local étoilé comprenant Fatima Al-Banawi, Sohayb Godus, Najm, Hakeem Jomah et Nour Al-Khadra.

Soutenu par le Fonds de la mer Rouge, le film, qui explore les thèmes de la manipulation des médias, de l'identité numérique et du coût de la célébrité à l'ère de l'influence en ligne, a été présenté en première mondiale au Festival international du film de la mer Rouge 2023.

Il raconte l'histoire de Samado, une star du football à la retraite qui, accablé par la surveillance des médias et la notoriété publique, trouve une chance de reprendre le contrôle. Avec sa fille, il entreprend de se venger d'un puissant portail de médias sociaux. Mais à mesure qu'ils s'enfoncent dans leur quête de célébrité et de rédemption numérique, la frontière entre l'ambition et l'obsession commence à s'estomper.


Najm joue le rôle d'Ahlam, la fille de Samado, tandis que Jomah apparaît dans le rôle de Hakeem, un agent de relations publiques engagé pour aider à restaurer l'image publique de Samado. Al-Banawi joue le rôle d'Alaa, un autre agent de relations publiques qui travaille aux côtés de Hakeem.

Godus est célèbre pour son œuvre "Shams Alma'arif" (Le livre du soleil), également diffusée sur Netflix, et "Predicament in Sight".

Il a précédemment déclaré dans une interview accordée à Arab News : "(En Arabie saoudite), nous disposons d'un sol riche pour créer du contenu et nous avons tant d'histoires à raconter. Je pense qu'aujourd'hui, le soutien apporté par notre pays est tout simplement formidable. Les gens ont tellement de chances de créer des films aujourd'hui".

Mme Al-Banawi est connue pour ses rôles dans "Barakah Meets Barakah" et dans le thriller saoudien "Route 10".

Elle a fait ses débuts de réalisatrice avec "Basma", dans lequel elle joue également le rôle-titre - une jeune femme saoudienne qui revient dans sa ville natale de Jeddah après avoir étudié aux États-Unis. De retour chez elle, elle est confrontée à la maladie mentale de son père, à des liens familiaux tendus et au défi de renouer avec une vie passée qui ne lui semble plus familière.

"Je me suis vraiment lancée dans le cinéma - en 2015 avec mon premier long métrage en tant qu'actrice - avec une intention : combler le fossé entre les arts, l'impact social et la psychologie", avait-elle déclaré à Arab News. "Et j'ai pu me rapprocher de cette union lorsque je me suis positionnée en tant qu'auteur-réalisateur, plus qu'en tant qu'acteur."


Nintendo écoule 3,5 millions de consoles Switch 2 en 4 jours, un record

Cette photo d'archive prise le 5 juin 2025 montre un client (à droite) achetant une Nintendo Switch 2 dans un magasin d'électronique à Tokyo.(Photo de Kazuhiro NOGI / AFP)
Cette photo d'archive prise le 5 juin 2025 montre un client (à droite) achetant une Nintendo Switch 2 dans un magasin d'électronique à Tokyo.(Photo de Kazuhiro NOGI / AFP)
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  • « Il s'agit d'un record pour une console Nintendo sur les quatre premiers jours » de sa commercialisation, a indiqué le groupe dans un communiqué.
  • L'enjeu est énorme pour Nintendo : même s'il se diversifie dans les parcs à thème et les films à succès, environ 90 % de ses revenus proviennent de l'activité liée à sa console vedette.

TOKYO : Le géant japonais du jeu vidéo Nintendo a affirmé mercredi avoir vendu 3,5 millions d'unités de sa nouvelle console hybride Switch 2 à travers le monde en l'espace de quatre jours, établissant un nouveau record dans l'industrie.

« Il s'agit d'un record pour une console Nintendo sur les quatre premiers jours » de sa commercialisation, a indiqué le groupe dans un communiqué.

Selon plusieurs analystes, elle a également battu des records de ventes pour une console de salon, devançant la première Switch et la PlayStation 5 de Sony, respectivement vendues à 2,7 et 3,4 millions d'unités au cours de leur premier mois de commercialisation.

La Playstation 2, la console la plus vendue de tous les temps, n'avait franchi la barre des 2 millions de ventes qu'après deux semaines.

La Switch 2 avait fait l'objet d'une importante vague de précommandes, avec 2,2 millions de demandes sur la boutique en ligne Nintendo pour le seul Japon avant son lancement. 

Le géant japonais du jeu vidéo Nintendo a affirmé mercredi avoir vendu 3,5 millions d'unités de sa nouvelle console hybride Switch 2 à travers le monde en l'espace de quatre jours, établissant un nouveau record dans l'industrie.

« Il s'agit d'un record pour une console Nintendo sur les quatre premiers jours » de sa commercialisation, a-t-il indiqué dans un communiqué.

Selon plusieurs analystes, elle a également battu des records de ventes pour une console de salon, devançant la première Switch et la PlayStation 5 de Sony, respectivement vendues à 2,7 et 3,4 millions d'unités au cours de leur premier mois de commercialisation.

La Playstation 2, la console la plus vendue de tous les temps, n'avait franchi la barre des 2 millions de ventes qu'après deux semaines.

La Switch 2 avait fait l'objet d'une importante vague de précommandes, avec 2,2 millions de demandes sur la boutique en ligne Nintendo pour le seul Japon avant son lancement. 

« Le coffret Mario Kart World pour Switch 2 comprend une console Switch 2 en japonais (disponible au Japon uniquement) et une version numérique de Mario Kart World sortie le même jour. Il s'agit d'une offre à prix abordable », s'est défendu Nintendo mercredi.

Le géant japonais du jeu vidéo espère égaler le succès fulgurant de la Switch : sortie en mars 2017, elle s'est écoulée à plus de 154 millions d'exemplaires depuis, ce qui en fait la troisième console la plus vendue de tous les temps derrière la PlayStation 2 de Sony et la Nintendo DS.

Mais après huit ans, les ventes s'étaient essoufflées (elles ont plongé de 22 % en 2024-2025), laissant place à la lassitude des consommateurs qui attendaient la sortie d'une nouvelle version.

L'enjeu est énorme pour Nintendo : même s'il se diversifie dans les parcs à thème et les films à succès, environ 90 % de ses revenus proviennent de l'activité liée à sa console vedette.

Comme la Switch originale, la nouvelle version est une console hybride qui peut être utilisée en déplacement ou connectée à un téléviseur, mais elle dispose d'un écran plus grand, d'une mémoire huit fois supérieure et d'un micro intégré. 

De nouvelles fonctionnalités permettent aux utilisateurs de discuter en ligne et de partager temporairement une partie avec des amis, atout jugé crucial pour séduire des consommateurs habitués à regarder des jeux en streaming.