Le diamant de synthèse fait de l'ombre au diamant naturel

Cette photographie prise le 6 février 2024 montre Kurjibhai, un employé de Greenlab Diamonds inspectant un diamant de synthèse produit dans l'entreprise de fabrication située à la périphérie de Surate (Photo, AFP).
Cette photographie prise le 6 février 2024 montre Kurjibhai, un employé de Greenlab Diamonds inspectant un diamant de synthèse produit dans l'entreprise de fabrication située à la périphérie de Surate (Photo, AFP).
Short Url
Publié le Mardi 20 février 2024

Le diamant de synthèse fait de l'ombre au diamant naturel

  • Ces gemmes de synthèse ont changé la donne pour le marché mondial de la bijouterie diamantaire, pesant désormais 89 milliards de dollars
  • La part de marché mondiale en valeur des diamants synthétiques, passée de 3,5% en 2018 à 18,5% en 2023, dépassera probablement les 20% cette année

SURATE: Le solitaire, d'une pureté cristalline, brille de mille feux au point de tromper les plus fins connaisseurs, pourtant ce diamant n'a pas passé plus d'un milliard d'années dans le ventre de la terre. Loin s'en faut. Flambant neuf, il est né dans un laboratoire indien et vaut moins de la moitié du prix d'un joyau naturel.

Les diamants synthétiques ont été développés pour la première fois au début des années 1950, mais la mise au point d'un processus commercialement viable a moins de dix ans.

Ces gemmes de synthèse ont changé la donne pour le marché mondial de la bijouterie diamantaire, pesant désormais 89 milliards de dollars, en particulier pour la ville indienne de Surate (ouest) où 90% des diamants du monde sont taillés et polis.

Dans le laboratoire de Smit Patel, directeur de Greenlab Diamonds à Surate, des techniciens laissent choir des éclats de diamants, qu'ils appellent "graines", dans des réacteurs qui reproduisent la pression extrême qui règne dans les profondeurs de la terre.

Il faut moins de huit semaines à ses équipes pour produire un diamant synthétique prêt à porter pratiquement indiscernable d'un diamant naturel.

Gaz, chaleur, pression

Les réacteurs de son laboratoire sont remplis de gaz comme le méthane, contenant du carbone, où les "graines" croissent sous l'effet de la chaleur et de la pression.

"C'est le même produit, aux mêmes propriétés chimiques et optiques", assure M. Patel, dont la famille est dans le commerce du diamant depuis trois génération.

Ses diamants synthétiques sont ensuite acheminés vers une autre installation où ils sont taillés et polis par des centaines d'ouvriers.

A Bombay, Lekha Prabhakar, 29 ans, ne le détrompe pas. "Un diamant sorti d'une mine serait cinq fois plus cher", dit-elle, "si vous voulez quelque chose à porter tous les jours (...) un diamant synthétique fait l'affaire. C'est ce qui me séduit le plus".

Les exportations de diamants de synthèse de l'Inde ont triplé en valeur entre 2019 et 2022. En volume, elles ont augmenté de 25% entre avril et octobre 2023, contre 15% sur la même période de 2022, selon les dernières données de l'industrie.

Greenlab Diamonds a "connu une croissance de 400% en volume d'une année sur l'autre", se félicite M. Patel.

La part de marché mondiale en valeur des diamants synthétiques, passée de 3,5% en 2018 à 18,5% en 2023, dépassera probablement les 20% cette année, déclare à l'AFP Paul Zimnisky, analyste de l'industrie basé à New York.

Aux États-Unis, premiers consommateurs de diamants naturels au monde, ils sont maintenant synthétiques sur 37% des bagues de fiançailles, contre 17% en février 2023, selon l'analyste industriel Edahn Golan.

«Une tempête parfaite»

La Chine et l'Inde, deux des plus grands producteurs de diamants synthétiques, y ont contribué.

Les laboratoires indiens ont exporté 4,04 millions de carats entre avril et octobre 2023, une augmentation de 42% en glissement annuel, selon le Conseil indien de promotion des exportations de pierres précieuses et de bijoux (GJEPC). A l'inverse, les exportations de diamants naturels ont baissé de plus de 25%, à 11,3 millions de carats.

Les ventes de diamants naturels avaient pourtant bondi pendant la pandémie de Covid-19, mais la demande a chuté lors de la réouverture des économies. Les grandes entreprises se sont retrouvées avec des stocks excédentaires coûteux.

La pire chute en 30 ans de carrière, déplore Ajesh Mehta dont le groupe D. Navinchandra Exports est l'un des acheteurs agréés du géant mondial du diamant De Beers.

"C'est totalement différent d'une pénurie de demande", précise M. Mehta à l'AFP. Avec le ralentissement économique aux Etats-Unis et en Chine, les sanctions contre les diamants russes, l'offre excédentaire, "tout s'est enchaîné comme une tempête parfaite".

En octobre, l'industrie indienne du diamant naturel a été contrainte d'interdire volontairement l'importation de diamants bruts, ce qui est rare.

Au moins cinq acheteurs agréés indiens ont affirmé à l'AFP que De Beers avait réduit les prix de 10 à 25% de ses diamants pour la première vente de l'année, période de réapprovisionnent après les fêtes aux États-Unis.

Mais le diamant synthétique est lui victime de cette explosion de l'offre. Les prix de gros ont baissé de 58% en 2023, selon M. Golan, et WD Lab Grown Diamonds, deuxième producteur américain, a déposé le bilan en octobre.

Selon des détaillants de Surate, le prix d'un diamant poli d'un carat de moindre qualité est passé de 2.400 dollars en 2022 à quelque 1.000 dollars en 2023.

Pour M. Patel, la baisse des prix stimulera la demande. "Nous savions que les prix baisseraient, car il n'y a pas de monopole dans cette industrie."


L'écosystème saoudien prospère grâce à des financements et des acquisitions

Fondée en 2023 par Akeed Azmi et David Reche, Cercli offre aux entreprises des outils pour réduire les erreurs humaines et les coûts de conformité sur différents marchés. (Fournie)
Fondée en 2023 par Akeed Azmi et David Reche, Cercli offre aux entreprises des outils pour réduire les erreurs humaines et les coûts de conformité sur différents marchés. (Fournie)
Short Url
  • De la fintech à l’auto-tech, ces startups attirent des investissements substantiels, reflétant la confiance croissante dans le paysage entrepreneurial du Royaume.
  • S'adressant à Arab News, Arab a expliqué que l'acquisition ouvrira un éventail de services qui répondront aux besoins des clients.

RIYAD: L'écosystème des startups d'Arabie saoudite continue de prendre de l'ampleur, de nombreuses entreprises de divers secteurs ayant obtenu des financements importants.

De la fintech à l’auto-tech, ces startups attirent des investissements substantiels, reflétant la confiance croissante dans le paysage entrepreneurial du Royaume.

L'une de ces entreprises qui a bénéficié d'investissements est Syarah, une entreprise saoudienne de technologie automobile, qui a obtenu 60 millions de dollars dans le cadre d'un cycle de financement de série C mené par Artal Capital, avec la participation d'Elm, Impact46, Tawuniya et Derayah Ventures.

Ce dernier tour de table porte le total des investissements de la société à plus de 82 millions de dollars.

 

Syarah a été fondée en 2015 par Salah Sharef et Fayez Al-Anazi. (Fournie)
Syarah a été fondée en 2015 par Salah Sharef et Fayez Al-Anazi. (Fournie)

Fondée en 2015 par Salah Sharef et Fayez Al-Anazi, Syarah permet aux clients d'acheter des voitures neuves et d'occasion en ligne et de se les faire livrer à domicile.

La plateforme de l'entreprise propose également des voitures d'occasion avec un rapport d'inspection gratuit, une politique de retour de cinq jours et une garantie d'un an.

Les fonds seront utilisés pour permettre à Syarah de poursuivre son expansion et sa croissance sur le marché automobile saoudien.

La fintech saoudienne Malaa obtient 17,3 millions de dollars en série A

La fintech saoudienne Malaa a bouclé un tour de table de série A de 17,3 millions de dollars, mené par SNB Capital, avec le soutien supplémentaire de Derayah Financial, Khwarizmi Ventures, Impact46 et WKN.

Fondée en 2021 par Ali Al-Oraini et Faisal Al-Qarni, Malaa fournit une plateforme de gestion de patrimoine conçue pour aider les utilisateurs à prendre des décisions financières éclairées grâce à des solutions axées sur les données.

La société prévoit de tirer parti de ce nouveau financement pour lancer une gamme de produits d'investissement et d'épargne, améliorant ainsi son offre de services financiers. Malaa avait déjà levé 1,7 million de dollars lors d'un tour d'amorçage en 2022.

Thakaa Med, basée en Arabie saoudite, obtient un financement d'amorçage pour des solutions de technologie de la santé basées sur l'IA

La startup saoudienne Thakaa Med, spécialisée dans les technologies de la santé, a obtenu un financement d'amorçage d'un montant non divulgué auprès du syndicat Falak Angels.

Fondée en 2022 par Al-Waleed Al-Badr, Thakaa Med est spécialisée dans les technologies de soins de santé basées sur l'IA visant à fournir des solutions médicales prédictives, préventives et personnalisées.

Les fonds soutiendront le développement des modèles d'IA de l'entreprise et le lancement sur le marché de ses principaux produits, Dental IQ et Chest IQ, qui visent à révolutionner les capacités de diagnostic dans les soins de santé.

Tabby acquiert le portefeuille numérique Tweeq

La fintech “achetez maintenant, payez plus tard” Tabby, basée en Arabie saoudite, a finalisé l'acquisition de Tweeq, un portefeuille numérique sous licence de la Banque centrale saoudienne.

Fondée en 2019 par Hosam Arab, Tabby gère un volume de transactions annuel de plus de 6 milliards de dollars.

Tweeq, lancé en 2020 par Saeed Albuhairi et Abdulaziz Almalki, propose un compte de dépenses numérique qui permet aux utilisateurs de gérer efficacement leurs finances.

Cette acquisition permet à Tabby d'élargir sa gamme de produits financiers en ajoutant des portefeuilles numériques, des comptes de dépenses et des outils de gestion de l'argent. Tabby a clôturé une série D de 200 millions de dollars en novembre 2023, franchissant une valorisation de 1,5 milliard de dollars.

S'adressant à Arab News, Arab a expliqué que l'acquisition ouvrira un éventail de services qui répondront aux besoins des clients.

"Nous nous sommes vraiment développés et avons constaté une demande et un appétit extrêmement forts de la part des consommateurs pour ce que nous avons offert. Mais nous pensons que les besoins des consommateurs sont beaucoup plus larges et beaucoup plus vastes", a-t-il déclaré.

"L'acquisition de Tweeq nous aide vraiment à franchir une nouvelle étape dans notre parcours, en commençant à offrir plus qu'une simple solution d'achat immédiat et de paiement ultérieur, et en nous intéressant réellement aux besoins financiers de nos consommateurs quotidiens", a ajouté Arab.

Tarabut renforce sa position avec l'acquisition de Vyne

La plateforme de banque ouverte Tarabut a acquis la fintech londonienne Vyne afin d'étendre sa portée mondiale.

Fondée à Bahreïn en 2019 par Abdulla Al-Moayed, Tarabut connecte les banques et les fintechs par le biais d'une interface de programmation d'applications universelle.

Vyne, créée en 2019, propose des paiements de compte à compte en temps réel pour les entreprises. L'acquisition renforcera la capacité de Tarabut à fournir des services financiers plus rapides et plus interconnectés dans toute la région.

Au début de l'année 2023, Tarabut a levé 32 millions de dollars dans le cadre d'un tour de table de série A mené par Pinnacle Capital.

Dans une entrevue accordée à Arab News, Al-Moayed a expliqué les raisons de cette acquisition.

"La technologie de paiement de compte à compte de Vyne apporte à la région un niveau de profondeur et d'efficacité inégalé par rapport à ce qui existe actuellement", a-t-il déclaré.

"En permettant des transactions plus rapides et en offrant un ensemble complet de technologies, nous ne nous contentons pas d'accélérer les paiements, nous ajoutons une valeur significative grâce à des fonctions telles que le rapprochement transparent. Les paiements seront non seulement plus rapides, mais aussi plus rentables, ce qui établira une nouvelle norme dans le secteur des services financiers au Moyen-Orient, en particulier en Arabie saoudite", a-t-il ajouté.

Wattnow clôture un tour de table de plusieurs millions de dollars

L'entreprise tunisienne de technologies propres Wattnow a bouclé un cycle de financement de plusieurs millions de dollars, mené par Lateral Frontiers et 216 Capital.

Parmi les autres investisseurs figurent Outlierz Ventures, Satgana, Octerra Capital et des anges stratégiques tels que Karim Beguir, fondateur d'InstaDeep, et Guillaume Amblard.

Fondée en 2018 par Issam Smaali, Wattnow aide les entreprises à optimiser leur consommation d'énergie en combinant des solutions matérielles et logicielles.

Les capitaux frais soutiendront l'expansion mondiale de Wattnow et amélioreront son offre technologique. L'entreprise a levé 1,3 million de dollars lors d'un tour de table de pré-série A en 2022.

Cercli lève 4 millions de dollars de fonds d'amorçage

L'entreprise de technologie RH Cercli, basée aux Émirats arabes unis, a levé 4 millions de dollars dans le cadre d'un tour de table de démarrage mené par Afore Capital de la Silicon Valley, avec la participation supplémentaire de COTU Ventures, Y Combinator et Rebel Fund.

Des investisseurs providentiels de renom tels que Karim Atiyeh, Sebastian Mejia et Tony Jamous ont également participé à ce tour de table.

Fondée en 2023 par Akeed Azmi et David Reche, Cercli offre aux entreprises des outils pour réduire les erreurs humaines et les coûts de conformité sur différents marchés. (Fournie)
Fondée en 2023 par Akeed Azmi et David Reche, Cercli offre aux entreprises des outils pour réduire les erreurs humaines et les coûts de conformité sur différents marchés. (Fournie)
 

Fondée en 2023 par Akeed Azmi et David Reche, Cercli offre aux entreprises des outils pour réduire les erreurs humaines et les coûts de conformité sur différents marchés. (Fourni)


Fondée en 2023 par Akeed Azmi et David Reche, Cercli propose aux entreprises des outils permettant de réduire les erreurs humaines et les coûts de mise en conformité sur différents marchés. Le nouveau financement soutiendra la croissance de l'entreprise et l'aidera à attirer des talents de premier plan.

Ce tour de table marque les débuts d'Afore Capital au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, l'objectif étant d'exploiter le potentiel caché de la région.

Ziina conclut une série A de 22 millions de dollars

La fintech Ziina, basée aux Émirats arabes unis, a levé 22 millions de dollars lors d'un tour de table de série A mené par Altos Ventures, aux côtés de Fintech Collective, Avenir Growth et Activant Capital.

Fondée en 2020 par Faisal Toukan et Sarah Toukan, Ziina permet aux utilisateurs d'envoyer et de recevoir des paiements via un numéro de téléphone, sans avoir besoin de codes IBAN ou Swift.

Ziina conclut une série A de 22 millions de dollars
Ziina conclut une série A de 22 millions de dollars

Le financement soutiendra les plans de l'entreprise visant à évoluer d'une plateforme de paiement vers un fournisseur de services financiers complets pour les consommateurs et les entreprises, en commençant par l'introduction de sa nouvelle ZiiCard.

Hulexo obtient un investissement de départ pour l'expansion de son ERP

Hulexo, fournisseur de progiciels de gestion intégrés basé aux Émirats arabes unis, a levé un capital d'amorçage d'un montant non divulgué auprès d'Arzan VC.

Lancée en 2021, l'entreprise fournit des solutions ERP personnalisées aux détaillants, les aidant à rationaliser leurs opérations grâce à des services par abonnement.

L'investissement financera l'expansion de Hulexo sur les marchés koweïtien et saoudien.

Verofax obtient un tour de table de 3 millions de dollars

Verofax, fournisseur de services Web3 basé aux Émirats arabes unis, a levé 3 millions de dollars dans le cadre d'un tour de table mené par l'Université Roi Abdallah pour la science et la technologie, Plug & Play Tech Center, Navig8 Group et Trove Capital UK.

Verofax, fondée en 2018 par Wassim Merheby et Jamil Zablah, utilise les technologies Web3 telles que la réalité augmentée, la blockchain et l'IA pour améliorer les expériences des utilisateurs dans les domaines du tourisme, de la vente au détail et du marketing de marque.

Le financement soutiendra l'expansion de Verofax au Moyen-Orient et en Europe, y compris des projets impliquant des guides alimentés par l'IA pour les touristes et les fans de sport.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 

 


L'Arabie saoudite s'apprête à accueillir les Olympiades internationales d'IA

La prochaine édition de l'Olympiade internationale d'IA (IAIO) débute dimanche à Riyad. (IAIO)
La prochaine édition de l'Olympiade internationale d'IA (IAIO) débute dimanche à Riyad. (IAIO)
La prochaine édition de l'Olympiade internationale d'IA (IAIO) débute dimanche à Riyad. (IAIO)
La prochaine édition de l'Olympiade internationale d'IA (IAIO) débute dimanche à Riyad. (IAIO)
Short Url
  • Des représentants de 25 pays sont attendus
  • La SDAIA s'est préparée à l'événement au cours des cinq dernières semaines en organisant une série de conférences virtuelles sur l'IA destinées à qualifier les équipes internationales pour la compétition

RIYAD: L'édition mondiale de l'Olympiade internationale de l'IA débute dimanche à Riyad, avec la participation attendue d'équipes de 25 pays.

L'événement, qui se déroulera jusqu'à jeudi, est organisé par L'Autorité saoudienne des données et de l'intelligence artificielle (SDAIA) avec l'UNESCO, l’Observatoire mondial de l'éthique et de la gouvernance de l'IA et le Centre international de recherche sur l'intelligence artificielle, en Slovénie.

La SDAIA espère que l'olympiade servira de plateforme pour les compétitions d'IA et qu'elle permettra de cultiver les talents tout en favorisant le développement des compétences, a rapporté l'Agence de presse saoudienne.

L'événement constituera un forum pour les scientifiques et les passionnés du monde entier, qui pourront s'affronter, mais aussi échanger des idées, renforcer leurs capacités et explorer les dernières avancées dans ce domaine, a ajouté l'Agence de presse saoudienne.

La SDAIA s'est préparée à l'événement au cours des cinq dernières semaines en organisant une série de conférences virtuelles sur l'IA destinées à qualifier les équipes internationales pour la compétition et à permettre aux étudiants de différents pays d'élargir leurs connaissances dans ce secteur.

Les conférences ont porté sur des sujets tels que l'impact social de l'IA et le travail avec les données.
 


Le ministre saoudien de l'Industrie rencontre des dirigeants d'entreprises chinoises d'extraction de lithium et de cuivre

Bandar Alkhorayef pose pour une photo de groupe avec des représentants de sociétés minières chinoises. (Fourni)
Bandar Alkhorayef pose pour une photo de groupe avec des représentants de sociétés minières chinoises. (Fourni)
Short Url
  • Alkhorayef s'est entretenu avec le président de General Lithium Corp. au sujet des objectifs du Royaume concernant l'industrie des véhicules électriques
  • Les discussions ont porté sur le traitement et la production de lithium

RIYAD: Le ministre saoudien de l'Industrie et des Ressources minérales, Bandar Alkhorayef, a rencontré vendredi des représentants de sociétés minières chinoises pour discuter de la coopération et des opportunités d'investissement dans l'industrie minière.

Les discussions ont porté sur le traitement et la production de lithium, utilisé dans les batteries des véhicules électriques, ainsi que sur le traitement et le raffinage du cuivre.

Alkhorayef s'est entretenu avec le président de General Lithium Corp. au sujet des objectifs du Royaume concernant l'industrie des véhicules électriques et a discuté des opportunités d'investissement, de la coopération et du partage des connaissances.

Abdullah Al-Ahmari, ministre adjoint de l'Industrie et des Ressources Minérales chargé de la planification et du développement, Saleh Al-Sulami, PDG du Centre national de développement industriel, et Majed Rafed Al-Argoubi, PDG de l'Autorité saoudienne pour les villes industrielles et les zones technologiques, ont également participé à la réunion.