Les Etats-Unis créent une «ceinture des batteries», misant sur la transition électrique

Une vue du Guilford Technical Community College, qui offre un programme d'apprentissage où les étudiants travaillent avec le constructeur automobile Toyota, le 22 avril 2024, à Greensboro, en Caroline du Nord. (Photo Allison Joyce / AFP)
Une vue du Guilford Technical Community College, qui offre un programme d'apprentissage où les étudiants travaillent avec le constructeur automobile Toyota, le 22 avril 2024, à Greensboro, en Caroline du Nord. (Photo Allison Joyce / AFP)
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Publié le Jeudi 09 mai 2024

Les Etats-Unis créent une «ceinture des batteries», misant sur la transition électrique

  • Une déferlante d'investissements se déverse aux Etats-Unis, où le président Joe Biden s'active à raviver le tissu industriel et la chaîne d'approvisionnement dans des secteurs cruciaux: batteries, semi-conducteurs, etc.
  • C'est ainsi qu'une «ceinture des batteries» s'étoffe, surtout dans le sud-est du pays -- Caroline du Nord et Géorgie en première ligne -- avec l'implantation d'usines de batteries pour véhicules électriques, et de composants

GREENSBORO, États-Unis : Plus jeune, Devante Cuthbertson pensait devoir un jour quitter sa ville de Greensboro, dans le sud-est des Etats-Unis, pour trouver du travail, jusqu'à ce que le constructeur japonais Toyota décide d'investir près de 14 milliards de dollars pour y bâtir une méga-usine de batteries automobiles.

A 28 ans, il effectue un apprentissage dans un établissement public d'enseignement technique, incluant trois jours hebdomadaire de travail chez le constructeur installé en Caroline du Nord, dans l'optique d'y décrocher un emploi.

Une déferlante d'investissements se déverse aux Etats-Unis, où le président Joe Biden s'active à raviver le tissu industriel et la chaîne d'approvisionnement dans des secteurs cruciaux: batteries, semi-conducteurs, etc.

En cette année de scrutin présidentiel, il fait aussi du pied aux électeurs en col bleu dans les Etats-clés, ceux qui peuvent basculer d'un bord à l'autre selon l'élection, comme l'est la Caroline du Nord.

Mais Joe Biden souhaite également saper la domination chinoise dans les technologies de la transition énergétique.

C'est ainsi qu'une «ceinture des batteries» s'étoffe, surtout dans le sud-est du pays -- Caroline du Nord et Géorgie en première ligne -- avec l'implantation d'usines de batteries pour véhicules électriques, et de composants.

- Opportunité -

Mais avec un syndicalisme peu présent dans ces régions, le président démocrate, qui a promis de «bons emplois syndiqués», est sous pression et pourrait ne pas tirer les fruits de cet essor industriel.

Des syndicats et organisations de protection des droits civiques en Alabama et en Géorgie ont tenté, en août 2023, d'obtenir de Hyundai une protection des droits des travailleurs. Le constructeur sud-coréen a investi 7,6 milliards de dollars en Géorgie, notamment pour bâtir une usine de véhicules électriques.

La perspective d'une création de centaines, voire de milliers, d'emplois a revitalisé des régions entières -- y compris Greensboro et ses alentours, qui avaient prospéré grâce aux industries du textile, du tabac et des meubles.

Pour Devante Cuthbertson, l'arrivée de Toyota a représenté «une opportunité», raconte-t-il à l'AFP. Celle «de faire partie de quelque chose de plus grand qu'un simple boulot. C'est une carrière».

Les effectifs de la gigantesque usine de batteries de Toyota devraient grimper de quelque 800 aujourd'hui à 5.100 personnes d'ici 2028, et l'investissement total à 13,9 milliards de dollars. A l'origine, le constructeur prévoyait seulement 1,29 milliard.

- Déficit de recharge -

Les véhicules électriques devraient représenter environ 30% du marché américain d'ici 2030, relève Sean Suggs, directeur de cette usine, mais il s'inquiète du manque d'infrastructures, comme les stations de recharge.

Le constructeur américain Tesla a créé son propre réseau, désormais utilisable par plusieurs concurrents, et l'émergence de nouveaux acteurs devrait améliorer le maillage.

Le groupe finlandais Kempower s'est ainsi installé en Caroline du Nord il y a deux ans, bénéficiant d'un financement des autorités américaines pour favoriser le développement du secteur.

Près de 650 milliards de dollars de subventions fédérales et locales ont été annoncés depuis 2021 pour développer l'industrie verte (énergie et production).

Une mesure phare de Joe Biden, l'Inflation Reduction Act (2022), doit déverser quelque 370 milliards de dollars d'aides et d'avantages fiscaux pour accélérer la transition énergétique, notamment sur les routes avec l'électrique.

Tomi Ristimaki, patron de Kempower, anticipe une hausse pérenne des financements pour les constructeurs américains et européens, avec des gouvernements qui tentent d'effriter l'hégémonie chinoise.

L'entreprise a investi plus de 40 millions de dollars dans son usine de Durham, et créé des centaines d'emplois. Elle prévoit de s'approvisionner, pour plus de la moitié de ses besoins, auprès de fournisseurs américains.

- Patience -

La Caroline du Nord attire «des niveaux d'activité quasi inédits», relève Christopher Chung, directeur d'un organisme de développement économique de cet Etat.

Le fabricant américain de semi-conducteurs Wolfspeed a notamment investi 5 milliards de dollars dans sa nouvelle usine.

Selon M. Chung, non seulement ces projets se multiplient mais les montants moyens investis ne font qu'enfler, tout comme leurs effets sur l'emploi.

Ces sociétés vont néanmoins devoir faire preuve de patience, car le marché du véhicule électrique se développe moins rapidement qu'anticipé, et la main-d'oeuvre qualifiée manque.

Mais les effets se font déjà ressentir sur le terrain, explique Evito Perez, machiniste chez Toyota: «Les écoles obtiennent davantage de financements qu'auparavant, et beaucoup de routes sont refaites».

 

 


Fabtech et Groupe M signent un accord pour accélérer l'innovation et le développement durable aux Émirats

Cérémonie de signature entre Groupe M et Fabtech. (Photo: fournie)
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  • La collaboration entre Fabtech et Groupe M permettra de répondre à la demande de solutions d'origine locale et d'accélérer les opérations de soutien au site
  • Fabtech modernisera également son installation existante de 2,1 millions de pieds carrés à Dubai Industrial City, conformément à son engagement en faveur de la durabilité et de l'innovation

Dubaï, Émirats arabes unis, 18 mars 2025: Fabtech Engineering, spécialiste de la fabrication d'acier basé à Dubai Industrial City, a conclu un accord stratégique avec le leader industriel français Groupe M afin d'accélérer l'innovation et le développement durable dans les secteurs du nucléaire et des énergies durables aux Émirats arabes unis.

L'accord a été signé lors d'une cérémonie à laquelle ont participé Nicolas Niemtchinow, ambassadeur de la République française aux Émirats arabes unis, Anouar Mekkas, conseiller en énergie nucléaire et renouvelable à l'ambassade de France en Arabie saoudite et aux Émirats arabes unis, et Saoud Abou Alchawareb, vice-président exécutif de l'industrie chez TECOM Group PJSC, au nom de la Dubai Industrial Cit,. Harry Moraes, président de Fabtech Engineering, et Fabien Jeoffroy, vice-président chargé du développement commercial, ont signé l'accord avec Julien Monteiro, président du Groupe M, et Pierre-Laurent Buch, directeur général adjoint. Étaient également présents des représentants du Comité stratégique nucléaire français, de Business France, de Trouvay Cauvin et de la Chambre de commerce et d'industrie française aux Émirats arabes unis.

La société Fabtech est active dans le secteur de la fabrication lourde dans le CCG et sur les marchés mondiaux, et élargira son offre dans le secteur nucléaire grâce au partenariat avec le Groupe M en proposant ses produits «Made in UAE» à des clients locaux et internationaux. Les deux entreprises développeront des produits et des solutions complètes en matière d'ingénierie, de fabrication et de services sur site pour soutenir le secteur nucléaire et les énergies durables, contribuant ainsi aux objectifs à long terme de la stratégie énergétique 2050 des Émirats arabes unis.

Pierre-Laurent Buch, directeur général adjoint du Groupe M, a déclaré: «Cet accord historique ouvre la voie à de nouvelles opportunités passionnantes au Moyen-Orient et s'appuie sur les liens solides entre les Émirats arabes unis et la France. La forte présence de Fabtech à Dubai Industrial City, associée à son expertise, s'inscrit dans la stratégie de croissance du Groupe M. Nous prévoyons une expansion significative dans la région, en particulier dans les secteurs du nucléaire et des nouvelles énergies, et nous tirerons parti de notre expertise combinée pour fournir des solutions à forte valeur ajoutée à une base de clients plus large.»

Fabien Jeoffroy, vice-président de Fabtech, a déclaré: «Ce partenariat avec Groupe M représente un tournant dans notre stratégie de croissance. L'infrastructure de classe mondiale de Dubai Industrial City, y compris un excellent réseau routier conçu pour le transport efficace de composants à grande échelle, jouera un rôle déterminant dans notre expansion. Nous nous concentrons sur l'innovation, en particulier dans le secteur en plein essor de l'énergie nucléaire à faible teneur en carbone, et nous souhaitons continuer à soutenir une croissance industrielle respectueuse de l'environnement grâce à ce partenariat.»

La collaboration entre Fabtech et Groupe M permettra de répondre à la demande de solutions d'origine locale et d'accélérer les opérations de soutien au site. Dans le cadre de l'accord, Fabtech modernisera également son installation existante de 2,1 millions de pieds carrés à Dubai Industrial City, conformément à son engagement en faveur de la durabilité et de l'innovation.

«Il est essentiel d'encourager les connaissances locales pour créer un secteur industriel dynamique et durable», a déclaré Saoud Abou Alchawareb, vice-président exécutif de l'industrie chez TECOM Group PJSC, au nom de Dubai Industrial City. «Notre écosystème est conçu pour soutenir les innovateurs et encourager les collaborations telles que ce partenariat entre Fabtech et Groupe M. En encourageant de telles alliances stratégiques, l'écosystème de Dubai Industrial City contribue aux visions de l'opération 300 milliards, Make it in the Emirates, UAE Energy Strategy 2050, et Dubai Economic Agenda 'D33', réaffirmant le leadership de Dubai et des EAU dans le secteur de l'énergie propre.»

L'accord s'appuie sur les liens économiques solides entre les EAU et la France, les échanges commerciaux bilatéraux entre les deux pays ayant augmenté de 16,8% pour atteindre 29,4 milliards de dirhams émiratis en 2022. Lors de la 16e session du dialogue stratégique entre les Émirats arabes unis et la France, qui s'est tenue en mai 2024, des hauts fonctionnaires des deux pays ont réfléchi aux partenariats et à la coopération industrielle fructueux dans des domaines tels que les énergies renouvelables et l'énergie nucléaire, et ont étudié les moyens d'élargir leur coopération dans des domaines tels que les nouvelles constructions et les petits réacteurs nucléaires.

La société Fabtech Engineering a été créée en 2010 à Dubai Industrial City pour répondre à la demande en ingénierie lourde dans des secteurs tels que l'énergie, les services publics, l'alimentation et les boissons, et les produits chimiques. Son alliance stratégique avec Groupe M devrait accélérer sa croissance à la suite de collaborations fructueuses avec des partenaires du secteur de l'énergie.

Dubai Industrial City accueille plus de 1 100 clients locaux, régionaux et internationaux, ainsi que 350 usines opérationnelles, dont des leaders de l'industrie tels que A.P. Moeller-Maersk, Patchi et Al Barakah Dates. Stratégiquement situé à proximité de l'aéroport international Al Maktoum, du port de Jebel Ali, d'un terminal de fret d'Etihad Rail et des principales routes régionales, le district présente un plan directeur intelligent avec six zones sectorielles spécifiques pour favoriser l'économie circulaire.  

Dubai Industrial City fait partie du portefeuille de quartiers d'affaires du groupe TECOM, qui comprend Dubai Internet City, Dubai Media City, Dubai Studio City, Dubai Production City, Dubai Knowledge Park, Dubai International Academic City, Dubai Design District (d3) et Dubai Science Park.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L'Arabie saoudite devrait construire 16 nouvelles usines de purification de l'eau

L'Autorité saoudienne de l'eau et la Société nationale de l'eau ont signé un accord visant à améliorer la disponibilité de l'eau potable et à faire progresser les technologies durables de dessalement des eaux souterraines. (Agence de presse saoudienne)
L'Autorité saoudienne de l'eau et la Société nationale de l'eau ont signé un accord visant à améliorer la disponibilité de l'eau potable et à faire progresser les technologies durables de dessalement des eaux souterraines. (Agence de presse saoudienne)
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  • L'accord vise à améliorer la disponibilité de l'eau potable et à faire progresser les technologies durables de dessalement des eaux souterraines
  • Le Royaume traite et réutilise actuellement 21% de ses eaux usées et prévoit de porter ce chiffre à 70% d'ici à 2030

RIYAD: L'Arabie saoudite s'apprête à renforcer ses efforts en matière de sécurité de l'eau grâce à un nouvel accord portant sur la construction et l'exploitation de 16 stations d'épuration décentralisées dans l'ensemble du pays.

L'Autorité saoudienne de l'eau et la Société nationale de l'eau ont signé cet accord afin d'améliorer la disponibilité de l'eau potable et de faire progresser les technologies durables de dessalement des eaux souterraines. Les stations devraient produire plus de 18 000 mètres cubes d'eau par jour, selon l'Agence de presse saoudienne.

L'Arabie saoudite traite et réutilise actuellement 21% de ses eaux usées, et prévoit de porter ce chiffre à 70% d'ici à 2030. Les nouvelles installations sont conçues pour s'aligner sur cet objectif, contribuant à la fois à la durabilité environnementale et à l'amélioration de la prestation de services.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre de la stratégie plus large de l'Autorité saoudienne de l'eau visant à promouvoir la gestion intégrée des ressources en eau, à renforcer la durabilité du secteur et à moderniser les infrastructures.  

«Elle vise également à maximiser les avantages de l'expertise et des capacités techniques et d'ingénierie du personnel de l'autorité, et à mettre en œuvre les dernières technologies et innovations en coopération avec les fabricants d'équipements mondiaux afin de garantir les plus hauts niveaux d'efficacité opérationnelle et de durabilité», a ajouté le rapport de la SPA.   

Les stations d'épuration devraient desservir plus de 80 000 personnes, grâce à des systèmes intégrés de traitement et de distribution de l'eau. Ces systèmes sont conçus pour améliorer la fiabilité de l'approvisionnement en eau dans les régions confrontées à des contraintes de ressources, marquant ainsi une étape importante dans le renforcement des services essentiels.

L'Arabie saoudite reste confrontée à des problèmes de pénurie d'eau en raison de son climat aride et de ses ressources naturelles en eau limitées. La résolution de ce problème a conduit le Royaume à adopter des solutions innovantes pour la production, la gestion et la distribution de l'eau.  

Au cours des cinq dernières décennies, le Royaume a connu une transformation rapide de son secteur de l'eau, depuis sa première initiative de dessalement en 1970 jusqu'à la création de l'Autorité saoudienne de l'eau.  

Aujourd'hui, l'Autorité saoudienne de l'eau joue un rôle central dans la réglementation, la supervision et la planification stratégique sous l'égide du ministère de l'Environnement, de l'Eau et de l'Agriculture, garantissant la durabilité du secteur, l'adhésion aux normes internationales et l'amélioration continue de la qualité du service.  

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
 


Tabuk : Les entrepreneurs bénéficient de 61,2 millions de dollars en 2024 de la Banque de Développement Social

Hamed Al-Anzi, directeur régional de la Social Development Bank (SDB). SPA
Hamed Al-Anzi, directeur régional de la Social Development Bank (SDB). SPA
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  • Les entrepreneurs et les travailleurs indépendants de Tabuk ont reçu plus de 230 millions de riyals saoudiens (61,2 millions de dollars) de financement de la Banque de Développement Social en 2024
  • Le soutien s'aligne sur les objectifs de la Vision 2030 de l'Arabie saoudite, qui comprend l'augmentation de la contribution des petites et moyennes entreprises à 35% du produit intérieur brut d'ici à la fin de la décennie

DJEDDAH : Les entrepreneurs et les travailleurs indépendants de Tabuk ont reçu plus de 230 millions de riyals saoudiens (61,2 millions de dollars) de financement de la Banque de Développement Social (Social Development Bank - SDB) en 2024, ce qui a permis de stimuler les entreprises établies et le travail indépendant dans la région.

L'institution financière gouvernementale a annoncé qu'en 2024, elle a fourni plus de 75 millions de RS à plus de 200 entreprises dans la région du nord-ouest et a aidé 4 000 travailleurs indépendants à obtenir un financement, pour un total de plus de 155 millions de RS, selon l'Agence de presse saoudienne.

Le directeur régional de la banque, Hamed Al-Anzi, a souligné que ce soutien s'inscrivait dans le cadre des efforts de la banque visant à renforcer l'esprit d'entreprise et à aider les individus à atteindre l'indépendance financière par le biais de leurs propres entreprises.

Le soutien s'aligne sur les objectifs de la Vision 2030 de l'Arabie saoudite, qui comprend l'augmentation de la contribution des petites et moyennes entreprises à 35% du produit intérieur brut d'ici à la fin de la décennie.

S'exprimant lors d'un panel de discussion à l'occasion de l'événement "Diwaniya of the Chamber" organisé par la Chambre de commerce de Tabuk, M. Al-Anzi a souligné que la banque s'efforce d'offrir une gamme de produits financiers ciblant les jeunes des deux sexes qui souhaitent lancer leur propre entreprise, ainsi que des programmes spécialisés pour soutenir les PME, qui, selon lui, jouent un rôle vital dans le développement de l'économie nationale.

Il a également souligné que la banque et l'Institut national de l'entrepreneuriat, connu sous le nom de Riyadah, s'associent pour donner aux jeunes entrepreneurs les moyens de lancer leur entreprise, créant ainsi des opportunités d'emploi pour la communauté locale.

Le directeur régional a en outre encouragé les aspirants chefs d'entreprise à utiliser les plateformes numériques fournies par les entités de soutien, qui offrent un accès facile au financement, aux programmes de formation et aux consultations spécialisées.

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La session, à laquelle ont assisté plusieurs hommes d'affaires de la région, s'est achevée par une discussion sur les défis du travail en free-lance et les exigences liées à la création de nouvelles entreprises, soulignant l'impact positif de ces initiatives sur l'économie en pleine croissance de Tabuk.

Soutenir les travailleurs indépendants est crucial pour l'économie du pays. En 2023, les travailleurs indépendants ont contribué au PIB à hauteur de 72,5 milliards de RS, soit 2% de la production économique totale du pays.

Avec plus de 2,25 millions de personnes inscrites sur des plateformes de freelance en septembre, le freelancing continue de se développer et joue un rôle de plus en plus vital dans la diversification des sources de revenus et le renforcement de l'économie nationale.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com