Coinbase flambe pour son entrée au Nasdaq et vaut désormais 86 milliards de dollars

Le titre de Coinbase, qui s'échange sous le symbole COIN, a même culminé près de 430 dollars quelques minutes après son arrivée sur le marché boursier américain avant de retomber. (Photo, AFP)
Le titre de Coinbase, qui s'échange sous le symbole COIN, a même culminé près de 430 dollars quelques minutes après son arrivée sur le marché boursier américain avant de retomber. (Photo, AFP)
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Publié le Jeudi 15 avril 2021

Coinbase flambe pour son entrée au Nasdaq et vaut désormais 86 milliards de dollars

  • Cela fait de la plateforme d'échanges de bitcoins la plus grosse valorisation jamais accordée à une entreprise américaine entrant en Bourse
  • Le champ d'activité de Coinbase attire la méfiance des régulateurs qui s'inquiètent de l'utilisation des cryptomonnaies à des fins illicites

NEW YORK : Coinbase n'a pas manqué ses grands débuts à Wall Street : pour sa toute première cotation au Nasdaq, l'action de cette plateforme américaine d'échanges de cryptomonnaies a terminé à 328,28 dollars.

C'est bien plus que le prix de référence de 250 dollars communiqué mardi soir à titre indicatif. 

Cela fait de la plateforme d'échanges de bitcoins la plus grosse valorisation, à 86 milliards de dollars, jamais accordée à une entreprise américaine entrant en Bourse.

Le précédent record était détenu par Facebook, dont la valeur boursière s'était élevée à un peu plus de 81 milliards de dollars en 2012 lors de sa cotation initiale.

Le titre de Coinbase, qui s'échange sous le symbole COIN, a même culminé près de 430 dollars quelques minutes après son arrivée sur le marché boursier américain avant de retomber.

Pour son entrée à Wall Street, Coinbase a eu recours non pas à la traditionnelle IPO, mais à une cotation directe.

Ce processus permet à ceux qui sont déjà actionnaires de valoriser leur mise, mais l'entreprise ne lève pas d'argent frais pour l'instant.

Fondée en 2012 à San Francisco (Californie) par Brian Armstrong, 38 ans, ancien ingénieur chez Airbnb et Fred Ehrsam, ex-trader de Goldman Sachs, Coinbase permet d'acheter et de vendre une cinquantaine de cryptomonnaies, dont le bitcoin et l'ether.

M. Armstrong, qui détient 20% des parts de la plateforme et occupe le poste de PDG, devrait prochainement intégrer la liste des 100 hommes les plus riches du monde établie par Forbes, selon le Wall Street Journal.

En amont de l'arrivée de Coinbase, le bitcoin n'a cessé d'enfler ces derniers jours, culminant mercredi à près de 65 000 dollars. Il évoluait mercredi soir aux alentours de 62 000 dollars.

Méfiance des régulateurs

« Le premier jour de cotation ne permet pas de tirer des conclusions », prévient Art Hogan de National Holdings. « Il faudra attendre les trois premiers mois pour savoir si l'action va suivre la volatilité des cryptomonnaies. »

« Il s'agit tout de même d'un lancement réussi en Bourse pour une entreprise dans laquelle de grandes institutions financières vont désormais pouvoir investir », ajoute M. Hogan. 

Le bitcoin a gagné ses lettres de noblesse depuis plusieurs mois, que ce soit auprès d'entreprises comme Tesla, qui permet à ses clients d'acheter une voiture électrique avec cet actif, de banques comme Morgan Stanley, qui rend la devise accessible à ses clients les plus riches, ou de services de paiement comme PayPal, qui a décidé d'accepter les transactions en cryptomonnaies.

Si Coinbase a profité de la flambée de la reine des cryptomonnaies et d'autres devises virtuelles, allant de l'éther au Litecoin, son champ d'activité attire aussi la méfiance des régulateurs qui s'inquiètent de l'utilisation des cryptomonnaies à des fins illicites.

M. Armstrong a reconnu mercredi sur la chaîne CNBC que la régulation était l'une des principales menaces pour l'activité des cryptomonnaies. « Maintenant que Coinbase est une compagnie cotée, nous allons être soumis à davantage de surveillance sur ce que nous faisons et les gens veulent comprendre les implications qui en découlent », a t-il affirmé.

« Nous sommes ravis de respecter les règles. Tout ce qu'on demande c'est d'être traité, a minima, de la même façon que les services financiers traditionnels et de ne pas être punis parce qu'on appartient à l'espace des cryptomonnaies », a-t-il ajouté.

Le patron de la Réserve fédérale américaine, Jerome Powell a qualifié mercredi les cryptomonnaies de « vecteurs de spéculation ».

« Personne ne les utilise pour des paiements de la même façon que le dollar », a jugé M. Powell lors d'un événement par visioconférence.

Coinbase a récemment été épinglée par l'autorité américaine de régulation des marchés à terme et des produits dérivés (CFTC), qui l'accusait d'avoir fourni des informations « fausses, trompeuses ou inexactes » sur des cryptomonnaies et d'avoir manipulé le marché entre 2015 et 2018. 

Sans reconnaître ses torts, l'entreprise s'est acquittée d'une amende de 6,5 millions de dollars et s'est vue contrainte de repousser sa date d'entrée à Wall Street.

Le chiffre d'affaires de la plateforme a presque décuplé en l'espace d'un an, s'établissant à 1,8 milliard de dollars au premier trimestre, selon les estimations du groupe.

Son profit se situe dans une fourchette comprise entre 730 millions et 800 millions de dollars.

 


Fabtech et Groupe M signent un accord pour accélérer l'innovation et le développement durable aux Émirats

Cérémonie de signature entre Groupe M et Fabtech. (Photo: fournie)
Cérémonie de signature entre Groupe M et Fabtech. (Photo: fournie)
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Cérémonie de signature entre Groupe M et Fabtech. (Photo: fournie)
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  • La collaboration entre Fabtech et Groupe M permettra de répondre à la demande de solutions d'origine locale et d'accélérer les opérations de soutien au site
  • Fabtech modernisera également son installation existante de 2,1 millions de pieds carrés à Dubai Industrial City, conformément à son engagement en faveur de la durabilité et de l'innovation

Dubaï, Émirats arabes unis, 18 mars 2025: Fabtech Engineering, spécialiste de la fabrication d'acier basé à Dubai Industrial City, a conclu un accord stratégique avec le leader industriel français Groupe M afin d'accélérer l'innovation et le développement durable dans les secteurs du nucléaire et des énergies durables aux Émirats arabes unis.

L'accord a été signé lors d'une cérémonie à laquelle ont participé Nicolas Niemtchinow, ambassadeur de la République française aux Émirats arabes unis, Anouar Mekkas, conseiller en énergie nucléaire et renouvelable à l'ambassade de France en Arabie saoudite et aux Émirats arabes unis, et Saoud Abou Alchawareb, vice-président exécutif de l'industrie chez TECOM Group PJSC, au nom de la Dubai Industrial Cit,. Harry Moraes, président de Fabtech Engineering, et Fabien Jeoffroy, vice-président chargé du développement commercial, ont signé l'accord avec Julien Monteiro, président du Groupe M, et Pierre-Laurent Buch, directeur général adjoint. Étaient également présents des représentants du Comité stratégique nucléaire français, de Business France, de Trouvay Cauvin et de la Chambre de commerce et d'industrie française aux Émirats arabes unis.

La société Fabtech est active dans le secteur de la fabrication lourde dans le CCG et sur les marchés mondiaux, et élargira son offre dans le secteur nucléaire grâce au partenariat avec le Groupe M en proposant ses produits «Made in UAE» à des clients locaux et internationaux. Les deux entreprises développeront des produits et des solutions complètes en matière d'ingénierie, de fabrication et de services sur site pour soutenir le secteur nucléaire et les énergies durables, contribuant ainsi aux objectifs à long terme de la stratégie énergétique 2050 des Émirats arabes unis.

Pierre-Laurent Buch, directeur général adjoint du Groupe M, a déclaré: «Cet accord historique ouvre la voie à de nouvelles opportunités passionnantes au Moyen-Orient et s'appuie sur les liens solides entre les Émirats arabes unis et la France. La forte présence de Fabtech à Dubai Industrial City, associée à son expertise, s'inscrit dans la stratégie de croissance du Groupe M. Nous prévoyons une expansion significative dans la région, en particulier dans les secteurs du nucléaire et des nouvelles énergies, et nous tirerons parti de notre expertise combinée pour fournir des solutions à forte valeur ajoutée à une base de clients plus large.»

Fabien Jeoffroy, vice-président de Fabtech, a déclaré: «Ce partenariat avec Groupe M représente un tournant dans notre stratégie de croissance. L'infrastructure de classe mondiale de Dubai Industrial City, y compris un excellent réseau routier conçu pour le transport efficace de composants à grande échelle, jouera un rôle déterminant dans notre expansion. Nous nous concentrons sur l'innovation, en particulier dans le secteur en plein essor de l'énergie nucléaire à faible teneur en carbone, et nous souhaitons continuer à soutenir une croissance industrielle respectueuse de l'environnement grâce à ce partenariat.»

La collaboration entre Fabtech et Groupe M permettra de répondre à la demande de solutions d'origine locale et d'accélérer les opérations de soutien au site. Dans le cadre de l'accord, Fabtech modernisera également son installation existante de 2,1 millions de pieds carrés à Dubai Industrial City, conformément à son engagement en faveur de la durabilité et de l'innovation.

«Il est essentiel d'encourager les connaissances locales pour créer un secteur industriel dynamique et durable», a déclaré Saoud Abou Alchawareb, vice-président exécutif de l'industrie chez TECOM Group PJSC, au nom de Dubai Industrial City. «Notre écosystème est conçu pour soutenir les innovateurs et encourager les collaborations telles que ce partenariat entre Fabtech et Groupe M. En encourageant de telles alliances stratégiques, l'écosystème de Dubai Industrial City contribue aux visions de l'opération 300 milliards, Make it in the Emirates, UAE Energy Strategy 2050, et Dubai Economic Agenda 'D33', réaffirmant le leadership de Dubai et des EAU dans le secteur de l'énergie propre.»

L'accord s'appuie sur les liens économiques solides entre les EAU et la France, les échanges commerciaux bilatéraux entre les deux pays ayant augmenté de 16,8% pour atteindre 29,4 milliards de dirhams émiratis en 2022. Lors de la 16e session du dialogue stratégique entre les Émirats arabes unis et la France, qui s'est tenue en mai 2024, des hauts fonctionnaires des deux pays ont réfléchi aux partenariats et à la coopération industrielle fructueux dans des domaines tels que les énergies renouvelables et l'énergie nucléaire, et ont étudié les moyens d'élargir leur coopération dans des domaines tels que les nouvelles constructions et les petits réacteurs nucléaires.

La société Fabtech Engineering a été créée en 2010 à Dubai Industrial City pour répondre à la demande en ingénierie lourde dans des secteurs tels que l'énergie, les services publics, l'alimentation et les boissons, et les produits chimiques. Son alliance stratégique avec Groupe M devrait accélérer sa croissance à la suite de collaborations fructueuses avec des partenaires du secteur de l'énergie.

Dubai Industrial City accueille plus de 1 100 clients locaux, régionaux et internationaux, ainsi que 350 usines opérationnelles, dont des leaders de l'industrie tels que A.P. Moeller-Maersk, Patchi et Al Barakah Dates. Stratégiquement situé à proximité de l'aéroport international Al Maktoum, du port de Jebel Ali, d'un terminal de fret d'Etihad Rail et des principales routes régionales, le district présente un plan directeur intelligent avec six zones sectorielles spécifiques pour favoriser l'économie circulaire.  

Dubai Industrial City fait partie du portefeuille de quartiers d'affaires du groupe TECOM, qui comprend Dubai Internet City, Dubai Media City, Dubai Studio City, Dubai Production City, Dubai Knowledge Park, Dubai International Academic City, Dubai Design District (d3) et Dubai Science Park.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L'Arabie saoudite devrait construire 16 nouvelles usines de purification de l'eau

L'Autorité saoudienne de l'eau et la Société nationale de l'eau ont signé un accord visant à améliorer la disponibilité de l'eau potable et à faire progresser les technologies durables de dessalement des eaux souterraines. (Agence de presse saoudienne)
L'Autorité saoudienne de l'eau et la Société nationale de l'eau ont signé un accord visant à améliorer la disponibilité de l'eau potable et à faire progresser les technologies durables de dessalement des eaux souterraines. (Agence de presse saoudienne)
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  • L'accord vise à améliorer la disponibilité de l'eau potable et à faire progresser les technologies durables de dessalement des eaux souterraines
  • Le Royaume traite et réutilise actuellement 21% de ses eaux usées et prévoit de porter ce chiffre à 70% d'ici à 2030

RIYAD: L'Arabie saoudite s'apprête à renforcer ses efforts en matière de sécurité de l'eau grâce à un nouvel accord portant sur la construction et l'exploitation de 16 stations d'épuration décentralisées dans l'ensemble du pays.

L'Autorité saoudienne de l'eau et la Société nationale de l'eau ont signé cet accord afin d'améliorer la disponibilité de l'eau potable et de faire progresser les technologies durables de dessalement des eaux souterraines. Les stations devraient produire plus de 18 000 mètres cubes d'eau par jour, selon l'Agence de presse saoudienne.

L'Arabie saoudite traite et réutilise actuellement 21% de ses eaux usées, et prévoit de porter ce chiffre à 70% d'ici à 2030. Les nouvelles installations sont conçues pour s'aligner sur cet objectif, contribuant à la fois à la durabilité environnementale et à l'amélioration de la prestation de services.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre de la stratégie plus large de l'Autorité saoudienne de l'eau visant à promouvoir la gestion intégrée des ressources en eau, à renforcer la durabilité du secteur et à moderniser les infrastructures.  

«Elle vise également à maximiser les avantages de l'expertise et des capacités techniques et d'ingénierie du personnel de l'autorité, et à mettre en œuvre les dernières technologies et innovations en coopération avec les fabricants d'équipements mondiaux afin de garantir les plus hauts niveaux d'efficacité opérationnelle et de durabilité», a ajouté le rapport de la SPA.   

Les stations d'épuration devraient desservir plus de 80 000 personnes, grâce à des systèmes intégrés de traitement et de distribution de l'eau. Ces systèmes sont conçus pour améliorer la fiabilité de l'approvisionnement en eau dans les régions confrontées à des contraintes de ressources, marquant ainsi une étape importante dans le renforcement des services essentiels.

L'Arabie saoudite reste confrontée à des problèmes de pénurie d'eau en raison de son climat aride et de ses ressources naturelles en eau limitées. La résolution de ce problème a conduit le Royaume à adopter des solutions innovantes pour la production, la gestion et la distribution de l'eau.  

Au cours des cinq dernières décennies, le Royaume a connu une transformation rapide de son secteur de l'eau, depuis sa première initiative de dessalement en 1970 jusqu'à la création de l'Autorité saoudienne de l'eau.  

Aujourd'hui, l'Autorité saoudienne de l'eau joue un rôle central dans la réglementation, la supervision et la planification stratégique sous l'égide du ministère de l'Environnement, de l'Eau et de l'Agriculture, garantissant la durabilité du secteur, l'adhésion aux normes internationales et l'amélioration continue de la qualité du service.  

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
 


Tabuk : Les entrepreneurs bénéficient de 61,2 millions de dollars en 2024 de la Banque de Développement Social

Hamed Al-Anzi, directeur régional de la Social Development Bank (SDB). SPA
Hamed Al-Anzi, directeur régional de la Social Development Bank (SDB). SPA
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  • Les entrepreneurs et les travailleurs indépendants de Tabuk ont reçu plus de 230 millions de riyals saoudiens (61,2 millions de dollars) de financement de la Banque de Développement Social en 2024
  • Le soutien s'aligne sur les objectifs de la Vision 2030 de l'Arabie saoudite, qui comprend l'augmentation de la contribution des petites et moyennes entreprises à 35% du produit intérieur brut d'ici à la fin de la décennie

DJEDDAH : Les entrepreneurs et les travailleurs indépendants de Tabuk ont reçu plus de 230 millions de riyals saoudiens (61,2 millions de dollars) de financement de la Banque de Développement Social (Social Development Bank - SDB) en 2024, ce qui a permis de stimuler les entreprises établies et le travail indépendant dans la région.

L'institution financière gouvernementale a annoncé qu'en 2024, elle a fourni plus de 75 millions de RS à plus de 200 entreprises dans la région du nord-ouest et a aidé 4 000 travailleurs indépendants à obtenir un financement, pour un total de plus de 155 millions de RS, selon l'Agence de presse saoudienne.

Le directeur régional de la banque, Hamed Al-Anzi, a souligné que ce soutien s'inscrivait dans le cadre des efforts de la banque visant à renforcer l'esprit d'entreprise et à aider les individus à atteindre l'indépendance financière par le biais de leurs propres entreprises.

Le soutien s'aligne sur les objectifs de la Vision 2030 de l'Arabie saoudite, qui comprend l'augmentation de la contribution des petites et moyennes entreprises à 35% du produit intérieur brut d'ici à la fin de la décennie.

S'exprimant lors d'un panel de discussion à l'occasion de l'événement "Diwaniya of the Chamber" organisé par la Chambre de commerce de Tabuk, M. Al-Anzi a souligné que la banque s'efforce d'offrir une gamme de produits financiers ciblant les jeunes des deux sexes qui souhaitent lancer leur propre entreprise, ainsi que des programmes spécialisés pour soutenir les PME, qui, selon lui, jouent un rôle vital dans le développement de l'économie nationale.

Il a également souligné que la banque et l'Institut national de l'entrepreneuriat, connu sous le nom de Riyadah, s'associent pour donner aux jeunes entrepreneurs les moyens de lancer leur entreprise, créant ainsi des opportunités d'emploi pour la communauté locale.

Le directeur régional a en outre encouragé les aspirants chefs d'entreprise à utiliser les plateformes numériques fournies par les entités de soutien, qui offrent un accès facile au financement, aux programmes de formation et aux consultations spécialisées.

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La session, à laquelle ont assisté plusieurs hommes d'affaires de la région, s'est achevée par une discussion sur les défis du travail en free-lance et les exigences liées à la création de nouvelles entreprises, soulignant l'impact positif de ces initiatives sur l'économie en pleine croissance de Tabuk.

Soutenir les travailleurs indépendants est crucial pour l'économie du pays. En 2023, les travailleurs indépendants ont contribué au PIB à hauteur de 72,5 milliards de RS, soit 2% de la production économique totale du pays.

Avec plus de 2,25 millions de personnes inscrites sur des plateformes de freelance en septembre, le freelancing continue de se développer et joue un rôle de plus en plus vital dans la diversification des sources de revenus et le renforcement de l'économie nationale.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com